Les enfants


Avec des enfants, ou petits-enfants on ne peut pas tout prévoir, il faut lâcher prise de temps à autre
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Les enfants

 

Les mômes existent pour nous rappeler que les priorités ne sont pas toujours celles qu’on croit. Même si c’est parfois difficile, ils remettent de l’ordre dans nos existences.

Franck Thilliez

25 photos magiques avec des escargots


J’aime la macrophotographie et ce photographe est passé maitre en ce genre de photos, avec ses sublimes images d’escargots
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25 photos magiques avec des escargots

Le photographe ukrainien Vyacheslav Mishchenko s’intéresse de près a toutes sortes de petites bêtes que nous ne voyons pas. Avec un procédé que l’on appele  la macrophotographie,

il tire des portraits complètement surréalistes de ces escargots pour révéler leur véritable beauté… Et nos gastéropodes devienent soudain des créatures mystérieuses et magiques, gracieuses et fragiles.


Moi ça m’a un peu fait penser au film « Microcosmos ». On dirait presque que ces photos ont été prises dans un autre univers!

http://www.demotivateur.fr/

Le Saviez-vous ► Prévoir le temps en observant la nature


La météorologie n’est pas une science exacte, mais basée sur des probabilités et des statistiques et aider par la technologie. Par contre, si nous sommes moindrement observateurs de notre environnement, nous pouvons essayer de deviner le temps qu’il fera
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Prévoir le temps en observant la nature

 

Il est difficile de prévoir le temps, et pourtant il suffit bien souvent d’ouvrir grands les yeux et les oreilles pour guetter un changement de temps. Car la nature, les plantes, les animaux, les nuages, nous apportent une foule d’indices sur le temps à venir. Voici quelques clés et dictons pour le prevoir.

a) Observer le ciel

  • Il fera beau si : 

    les traînées de condensation des avions se résorbent facilement,

    – de petits cumulus apparaissent en fin de matinée ou se forment dans l’après-midi. Et selon le dicton: “Arc-en-ciel du soir fait beau temps prévoir”.

  • Le temps va se dégrader si :

    – les petits nuages se teintent de rouge ou de mauve au coucher du Soleil,

    – la Lune s’entoure d’un anneau ou joue à cache-cache avec les nuages. … Et selon le dicton: “Rosée du soir, il va pleuvoir”.

  • Gare aux orages si :

    – de gros nuages noirs ou gris s’assemblent par nappes.

    – la nuit est chaude sans dépôt de rosée. Et selon le dicton : “Nuages en griffe, pluie prochaine”

      b) Écouter et regarder la nature

      • Observer les insectes : si les fourmis se déplacent à la queue leu leu, c’est signe de mauvais temps; si les moucherons deviennent nombreux, c’est que l’orage approche ; à l’inverse, si les coccinelles abondent et si les araignées tissent leur toile, c’est que le beau temps s’installe!

      • Espionner les plantes : la pluie n’est pas loin si liseron, chardon, pimprenelle et mouron referment leurs pétales, si les feuilles de laitue s’épanouissent et si les pommes de pin resserrent leurs écailles.

      • surveiller vos animaux domestiques : si votre chat passe sa patte derrière l’oreille ou que votre cheval renifle, cela présage d’un mauvais temps ; si votre chien se roule sur le dos, c’est que le vent va se lever ; et si votre animal devient nerveux, c’est que l’orage n’est pas loin!

      • Être à l’écoute de sa maison : lorsque le temps est sur le point de se dégrader, le pain devient mou, les salières se bouchent, les carrelages lavés sèchent difficilement, les parquets craquent et les tiroirs se bloquent.

      http://meteorologie1s4.e-monsite.com/

      Jeune modèle de 400 livres (182 kg) se gavant sur internet


      Je dénonce souvent les modes qui louent la minceur extrêmes, mais c’est aussi pire que de prôner l’obésité. Manger à outrance devant la caméra pour satisfaire une certaine catégorie de fans sur Internet est pitoyable, sans compter qu’avec toute cette malbouffe, elle risque sa santé. Mais je suis aussi outrée que sa mère participe, et même l’incite a ce projet ridicule. Il est une chose d’avoir un surpoids, mais de là a en faire un genre de culte comme pour la minceur grotesque
      Nuage

       

      Jeune modèle de 400 livres se gavant sur internet

       

      (Photo gracieuseté Barcroft.tv)

      Caitlin Finley, une modèle américaine de 22 ans, n’a pas à se soucier des calories qu’elle ingurgite. Elle mange tout ce qu’elle veut et exhibe ses courbes sur internet.


      La jeune femme du Kentucky, connue aussi sous le nom de Calico Bombshell, affiche avec bonheur 400 livres sur son pèse-personne, elle qui ne mesure même pas 5 pi, rapporte dailyrecord.co.uk

      De plus en plus nombreux sont ses fans sur le web qui la regardent, entre autres, engloutir 10 000 calories par jour et prendre des poses lascives.

      Burgers et pizzas

      Caitlin Finley se gave de pizzas, de burgers, de frites, de laits frappés et de litres de cola en tenues sexy.

      La modèle aspire à devenir la plus populaire des modèles taille plus s’adonnant au fétichisme de la nourriture sur internet.

      (Photo gracieuseté Barcroft.tv)

      IMC de 80

      Pour le moment, ses exhibitions lui rapportent seulement 175 dollars par semaine. Mais sa mère qui la conseille, lui sert de photographe et se délecte du fast food qu’elle mange, l’encourage.

      La jeune femme, qui habille la taille 24 et a un indice de masse corporelle (IMC) de 80, assure qu’elle est en santé et qu’elle visite son médecin plusieurs fois par année.

      (Photo gracieuseté Barcroft.tv)

       

      http://tvanouvelles.ca/

      Atteinte d’un cancer, cette jeune espagnole invente une sucette pour soulager les effets de la chimiothérapie


      Des fois, il suffit une bonne idée toute simple pour aider a diminuer des effets indésirables des traitements contre le cancer. La chimiothérapie, fait peur et je pense que traverser ces épreuves demande beaucoup de courage et de ténacité
      Nuage

       

      Atteinte d’un cancer, cette jeune espagnole invente une sucette pour soulager les effets de la chimiothérapie

       

      Par David Ramos

      Un simple bâtonnet surmonté d’une boule de glace: c’est la nouvelle invention destinée à rendre la vie bien plus supportable aux patients atteints d’un cancer. La chimiothérapie provoque généralement des inflammations de la muqueuse de la bouche et de la gorge, qui se transforment en ulcères et en plaies. Ce phénomène, appelé mucosité, se combat en suçant des glaçons ou des glaces aromatisées. Deux options inconfortables ou peu ragoûtantes, que les patients n’apprécient guère.

      Originaire de Valladolid (Espagne), Ana del Fraile, 29 ans, est responsable de la communication et des réseaux sociaux pour l’entreprise viticole Cuatro Rayas. Une jeune fille à la vie normale si ce n’était son cancer du sein, diagnostiqué la veille de ses 27 ans. La tumeur était localisée et a pu être retirée, mais le combat n’a pas été facile. Comme elle était jeune, elle a reçu les traitements les plus forts, et c’est pendant ses séances de chimiothérapie, dans les fauteuils de l’hôpital, que lui est venue l’idée. Elle était convaincue qu’une simple sucette pourrait changer son quotidien.

      « Je me suis dit que je devais faire quelque chose. Les glaçons, c’est tout sauf pratique et les glaces sont indigestes, le goût te reste dans la bouche… moi je ne peux même plus voir une bouteille de Coca-Cola », raconte-t-elle au Huffington Post Espagne.

      C’est ansi qu’est née We can be heroes, association à but non lucratif offrant un soutien supplémentaire « de proximité », et au cas par cas, aux femmes atteintes d’un carcinome mammaire. Le projet est né de l’inquiétude de sa jeune présidente et grâce au soutien de son grand ami et cofondateur Mario Chimeno.

      « Nous voulions fournir un service que l’hôpital ne peut offrir, une attention plus directe au client », indique-t-il.

      ana y mario

      Mario et Ana/ We Can be heroes

      Une couverture contre le froid, un éventail contre la chaleur, un mouchoir pour « symboliser la force » mis au point par la designeuse Esther Noriega, et maintenant une ‘chupa chup’ dont le succès les dépasse. Quand Ana et Mario sont entrés en contact avec le Groupe d’enquête BISITE de l’Université de Salamanque, qui travaille avec une imprimante 3D, ils étaient loin de s’imaginer que la demande s’étendrait à toute l’Espagne.

      « A l’époque où nous avons fait breveter l’idée, nous voulions la donner gratuitement à tous les hôpitaux de Valladolid, mais aujourd’hui, à voir le succès qu’elle rencontre, nous ne savons pas comment l’exporter en-dehors de la ville. Nous pourrions le vendre à prix coûtant… mais je ne sais pas… Nous n’avons même pas fini de peaufiner les derniers détails avec la société qui va la fabriquer », explique-t-elle, partagée entre la joie et un découragement qui n’est pas prêt de diminuer, du moins sur le court terme.

      Ce mercredi a eu lieu la première présentation officielle du projet.

      « Fière de mes cicatrices. Chaque blessure est un poème. Les héros exhibent leurs cicatrices avec fierté. »

      Comment ça marche?

      Il s’agit d’un simple moule constitué d’une boîte en deux parties et d’un bâtonnet. Et comment l’utiliser? Rien de plus facile: il suffit de joindre les deux moitiés de boîte, de les remplir d’eau par le trou prévu à cet effet, d’y mettre le bâtonnet, de congeler, d’enlever la moitié du haut de la boîte sans enlever le bâtonnet, de tirer sur le bâtonnet. Et c’est prêt!

      chupa chups

      Eléments du kit/ We can be heroes

      http://quebec.huffingtonpost.ca/

      Manger des insectes, une pratique à risque?


      En Europe, et à mon avis avec raison, on s’inquiète des conséquences de manger des insectes sans encadrement contrôlé. Comment ces insectes sont élevés ? Sont-ils en contact avec des substances nocives, et les insectes qui peuvent provoquer des allergies et autres problèmes de santé ?
      Nuage

       

      Manger des insectes, une pratique à risque?

       

      Manger des insectes, une pratique à risque?

      Deux milliards de personnes raffolent de ces petites bêtes.Photo RelaxNews

      L’entomophagie ou le fait de se nourrir d’insectes est courant dans certains pays. Pourtant, certains recommandent la vigilance.

      Ainsi, dans un avis publié le 9 avril, un organisme français, l’Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation (Anses), de l’environnement et du travail, s’est penché sur la question et fait «l’inventaire des dangers potentiels véhiculés par les insectes et des besoins de recherche sur cette question».

      Deux milliards de personnes dans de nombreux pays d’Afrique, d’Amérique latine et d’Asie raffolent des criquets, grillons ou autres sauterelles et petites bêtes, aliments principaux au coeur de nombreux plats de leur cuisine traditionnelle.

      En Europe, cette alimentation exotique riche en protéines et vitamines, commence à faire des adeptes. Restaurants, cafétérias d’entreprise ou même supermarchés n’hésitent plus à la proposer. De grands chefs tentés par la quête de nouvelles recettes inventives mettent eux aussi les insectes au menu de leur carte.

      Pour relever le défi de nourrir la planète, en 2003, l’Organisation des Nations unies pour l’alimentation et l’agriculture (FAO) s’est du reste prononcée en faveur du développement de l’élevage d’insectes à grande échelle.

      Après avoir réalisé «un état des lieux des connaissances scientifiques sur les risques liés à la consommation d’insectes», l’Anses s’est intéressée aux dangers qu’entraine cette pratique.

      Ils sont avant tout d’ordre allergique et liés à certaines substances chimiques (venin), physiques (dard) des insectes ou allergènes à l’ensemble de ces arthropodes (acariens, crustacés, mollusques).

      Des parasites, virus, champignons ou autres substances encore peu explorées sont également susceptibles de «véhiculer certains dangers qui doivent être maitrisés par la fixation de normes spécifiques afin de réduire les risques potentiels liés à la consommation de ces produits», souligne l’Anses.

      L’institution indique que les conditions d’élevage et de production devraient également bénéficier «d’un encadrement spécifique».

      L’Anses préconise d’établir des listes des différentes espèces et stades de développement d’insectes propres à la consommation, d’explorer «la question du bien-être animal», de «définir un encadrement spécifique des conditions d’élevage et de production» et «de fixer des mesures de prévention du risque allergique».

      Elle pointe surtout la prudence et appelle les consommateurs à être vigilants en attendant que des recherches approfondies soient menées.

      Les nouveaux aliments doivent normalement faire l’objet d’une autorisation des États membres et de l’Autorité européenne de sécurité des aliments. Or, à ce jour, les insectes ne sont pas officiellement autorisés dans l’Union européenne et aucune demande d’autorisation de mise sur le marché n’a été reçue ni accordée concernant les insectes par la Commission européenne.

      http://fr.canoe.ca/

      Quelles maladies peut-on attraper aux toilettes ?


      Un endroit que plusieurs qui comme moi, n’aimons pas aller quand nous sortons à l’extérieur, ce sont les toilettes publiques. Il y a tellement de microbes qui y circulent même si les lieux sont souvent nettoyés. Peut-on attraper des maladies sur les sièges de toilettes ? Que pouvons-nous faire pour éviter que certains virus nous choisissent comme hôte ?
      Nuage

      Quelles maladies peut-on attraper aux toilettes ?

        Ah, les toilettes publiques… Qu’elles soient en apparence propres ou pas, on y imagine toujours des microbes par millions, prêts à se jeter sur nous pour provoquer gastros et autres joyeusetés. Mais les vrais dangers ne sont pas forcément ceux que l’on croit…

        La gastro s’attrape aux toilettes, aucun doute !

        Les gastro-entérites s’attrapent aux toilettes, c’est certain. Le virus est présent dans les selles, le salissage des mains est pratiquement inévitable. En plus, le fait de tirer la chasse sans fermer le couvercle dissémine les matières, et donc les microbes, dans l’atmosphère jusqu’à 25 centimètres au-dessus des toilettes (1). Résultat, le virus se retrouve sur le bouton de chasse d’eau, les murs, le siège des toilettes, et d’autres endroits encore selon la configuration de la pièce.

        Des maladies sexuellement transmissibles aux toilettes ?

        La possibilité d’attraper une IST aux toilettes est une angoisse pour certaines personnes. On peut l’imaginer à cause du contact avec le siège des toilettes, mais si elle est théoriquement possible, les études qui ont été faites n’ont jamais réussi à prouver un cas et si elle existe elle est, de toute manière, extrêmement rare (2). Pas d’angoisse, donc ! Même si le lavage des mains reste un must.

        Des allergies aux toilettes

        Une allergie au siège des toilettes, en revanche, personne n’y pense jamais… mais ça existe bel et bien ! Il s’agit de dermatites de contact déclenchées aux cuisses par certaines matières plastiques (polyuréthane) ou par des bois exotiques (3). En l’occurrence cependant, les toilettes publiques, que l’on utilise occasionnellement, sont beaucoup moins problématiques que nos toilettes à nous. Alors attention, à l’achat, prenez en compte vos allergies et celles des personnes de votre foyer !

        Attention, ne pas aller aux toilettes rend aussi malade !

        Terminons par un rappel : si aller dans des toilettes publiques n’est pas toujours une expérience plaisante, ce n’est pas une raison pour se retenir à l’excès ! En effet, ne pas aller à la selle quand le besoin se fait sentir peut entraîner une constipation douloureuse. Et pour ce qui est de faire pipi, une vidange trop rare, ou incomplète (c’est souvent le cas pour les femmes qui tentent d’uriner sans toucher le siège des toilettes) est une cause connue d’infections urinaires.

        Il ne faut donc pas avoir peur des toilettes publiques… ou alors juste assez pour bien se laver les mains !

        Comment éviter d’attraper des maladies dans les toilettes publiques ?

        Simplement se laver les mains

        Heureusement, il est toujours possible de se débarrasser des virus avant qu’ils ne nous rendent malade. C’est même assez simple, il faut se laver les mains ! Au moins vingt secondes, à l’eau courante et avec du savon.

        Il y a d’autres comportements conseillés :

      • Evitez de toucher le siège des toilettes (recouvrez-le de papier toilette avant utilisation, mais surtout sans le toucher de vos mains !).

      • Séchez vos mains, dans la mesure du possible avec une serviette en papier jetable. Si il n’y a qu’une serviette réutilisable, laissez vos mains sécher à l’air libre !

      • Evitez de toucher les surfaces vraiment très sales, comme la chasse d’eau ou les poignées de porte. Utilisez du papier hygiénique pour isoler vos mains.

      par Marion Garteiser, journaliste santé
      Créé initialement par Marion Garteiser, journaliste santé

      Sources : (1) Best, EL. Et al., Journal of Hospital infectiology, janvier 2012.
      (2) Dayan, STI Journal, janvier 2004.
      (3) Litvinov, IV, Pediatrics, février 2010.

      http://www.e-sante.fr/

      Les tyrannosaures, ces charognards


      Les tyrannosaures devaient être les plus grands prédateurs parmi les dinosaures, étaient aussi opportunisme quand ils pouvaient trouver des proies déjà mortes et pouvant aller même jusqu’au cannibalisme
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      Les tyrannosaures, ces charognards

       

      <a href="https://www.flickr.com/photos/31867959@N04/7613843398">Sue (Tyrannosaurus rex) at the Field Museum, Chicago, IL</a> / Dallas Krentzel via Flickr CC <a href="https://creativecommons.org/licenses/by/2.0/">License By</a>

      Sue (Tyrannosaurus rex) at the Field Museum, Chicago, IL / Dallas Krentzel via Flickr CC License By

      Une nouvelle étude réalisée par David Hone, de l’école de biologie et de sciences chimique de l’université Queen Mary (Londres) apporte une nouvelle preuve que les tyrannosaures se mangeaient entre eux.

      L’examen des traces de dents sur le crâne d’un das pletosaurus (un tyrannosauridae un peu plus petit que son cousin le t-rex) a démontré que le crâne de l’animal avait été mordu par l’un de ses congénères durant sa vie et par un autre après sa mort.

      Dans son étude, David Hone évoque le résultat d’études antérieures qui suggèrent que mordre le crâne étaient peut-être commun chez les tyrannosaures et les autresthéropodes. Ces dinosaures se battaient dans une sorte de combat rituel pour protéger leur territoire ou leur nourriture. Il explique à propos du crâne qu’il a étudié:

      «Cet animal a clairement eu une vie dure et a souffert de nombreuses blessures au niveau de la tête, dont certaines qui ont dû être assez affreuses. Le candidat le plus à même d’avoir fait ça est un autre membre de la même espèce, ce qui suggère qu’il y avait de sérieux combats entre ces animaux durant leur vie.»

      Les morsures sur le corps des théropodes représentent une interaction avec un prédateur. Rien ne prouve que le tyrannosaure étudié par David Hone ait été tué par l’un de ses semblables, mais l’un d’entre eux l’a certainement en partie dévoré après sa mort, alors qu’il était déjà en décomposition. Pour le scientifique, il s’agit donc de l’acte d’un charognard.

      Dans le rapport d’étude, David Hone explique que des preuves évoquées dans des études plus anciennes, comme l’une qu’il a lui-même menée en 2010, suggèrent que certains théropodes étaient à la fois des prédateurs et des charognards, et surtout les grands tyrannosaures.

      Les résultats de cette étude vont dans le même sens que la découverte des chercheurs de l’université de Yale que nous évoquions en 2010. Les scientifiques avaient démontré que le t-rex était certainement cannibale. Ces derniers étaient parvenus à l’hypothèse que le cannibalisme était une pratique assez courante chez ce dinosaure au sommet de la chaîne alimentaire.

      http://www.slate.fr/