On jalouse, on rêve, mais on reste assis pour réaliser des rêves. Pour arriver à quelque chose, il faut faire le premier pas.
Nuage
Avancer
‘Il arrive souvent de ne rien obtenir simplement parce qu’on ne tente rien. »
Jacques Deval
Être là au bon moment est une chose, mais réussir à prendre une photo en un clin d’oeil est une prouesse
Nuage
L’or flottant, vous connaissez ? Du vomi de plusieurs kilogrammes de sécrétion biliaire du cachalot, flottant pendant plusieurs années pour durcir et avoir une bonne odeur et utilisé pour le parfum de grande qualité.
Nuage
L’or flottant
L’ambre gris est essentiellement constitué d’une substance grasse qui protège les intestins des cachalots quand ils tombent sur de durs becs de calmars. On pourrait un peu comparer cela aux perles des huitres, bien que le processus biologique soit complètement différent, consistant en une succession de couches de carbonate de calcium qui vient entourer un objet étranger qui se retrouve à l’intérieur de leur coquille. Dans le cas du cachalot, se sont des sécrétions biliaires ainsi qu’une partie du bol alimentaire qui viennent entourés ces éléments trop durs à digérer, pour être ensuite rejeté par le cachalot. Pour rajouter a son caractère unique, seulement 1 % des 350000 cachalots sur Terre peuvent le faire.
De temps en temps, les cachalots déversent en une seule fois des centaines de kilos de cette substance. A partir de là, l’ambre gris flotte dans l’océan pendant des décennies, où elle doit se durcir pour devenir précieuse, pour avoir la bonne odeur.
Son caractère précieux lui a été conféré par l’industrie des parfums haut de gamme. L’ambre gris était le principal ingrédient pour un parfum extrêmement onéreux, crée il y a 200 ans par Marie-Antoinette. Et aujourd’hui, les entreprises de parfumerie, comme Chanel et Lanvin, s’en servent pour pour fixer et rehausser le parfum sur la peau humaine. Quelques dizaines de grammes de la substance peuvent valoir quelques milliers de dollars, ce qui lui vaut le surnom “d’or flottant”.
Qu’est-ce que ça sent ?
Au départ, lorsqu’elle vient d’être relâchée, cela sent plutôt mauvais, c’est en vieillissant que la substance acquiert ses subtiles senteurs. Chaque morceau d’ambre gris est légèrement différent en terme d’odeur, car ils sont tous exposés à des quantités variables de soleil et d’eau de mer. Certains sont plus musqués tandis que d’autres sont un peu plus doux. Le nez des professionnelles, au sein des entreprises de parfum est chargé de déterminer la valeur de chaque pièce d’ambre gris en sachant qu’une goutte d’ambre gris peut modifier un parfum.
En 2008, deux beachcombers (ratisseurs de plage) se promenaient avec leur chien sur une plage dans le nord du Pays de Galles quand ils en ont trouvé un très gros morceau qui pesait 50 kg. Ils l’ont échangé contre $ 790,000 (630 000 euros).
La vente de cette substance a été interdite aux États-Unis en raison de la menace d’extinction qui plane sur ces cétacés, Aujourd’hui, la plupart des parfumeurs utilisent des produits de synthèse pour remplacer l’ambre gris.
Une centenaire qui est un exemple qu’on peut tout réussir même si l’âge avance. Elle a commencé à nager a 80 ans .. De quoi à nous donner une bonne leçon à notre paresse
Nuage
Mieko Nagaoka, une Japonaise de tout juste 100 ans, a réussi à boucler une course de 1.500 m lors d’une compétition de nage libre en petit bassin, un exploit qu’aucun autre centenaire dans le monde n’avait réussi avant elle.
Seule à concourir dans la catégorie 100 à 104 ans, elle a accompli ce défi en 1 heure 15 min 54 sec samedi dans la préfecture de Ehime (ouest), en optant pour le dos crawlé, sous les applaudissements d’un public enthousiaste.
Certes, Mme Nagaoka est loin de la performance réalisée par l’Américaine Katie Ledecky, de 82 ans sa cadette, qui détient le record de la discipline sur cette distance avec un chrono de 15 min 28 sec 36/100.
Mais la vieille dame n’en a cure. Elle espère désormais voir sa course homologuée par le Guinness World Records, et ne compte pas s’arrêter là:
« Je veux nager jusqu’à l’âge de 105 ans si je parviens à vivre aussi longtemps », a-t-elle dit à l’agence de presse Kyodo.
Mme Nagaoka n’a commencé à nager qu’à l’âge de 80 ans dans le cadre d’un programme de rééducation d’un genou malade, selon la même source.
Débutante à l’époque, elle s’est prise au jeu et enchaîne depuis les records. Elle avait déjà parcouru 1.500 mètres dans un bassin olympique à l’âge de 99 ans et a publié l’an passé un livre relatant ses prouesses sportives.
Il y avait près de 59.000 centenaires répertoriés au Japon en septembre dernier, dont 87% de femmes, selon les statistiques officielles du ministère de la Santé.
Parmi eux, plusieurs demeurent très alertes et n’ont rien à envier aux jeunots. Ainsi, Hidekichi Miyazaki, vieillard de 104 ans, peut se prévaloir du record du monde du 100 mètres des 100 ans et plus avec 29,83 secondes, ce qui lui a valu le surnom de « Golden Bolt » – en référence à la star de l’athlétisme Usain Bolt.
Heureusement qu’il est possible d’aider des enfants qui ont ce genre de kyste au visage. Encore faut-il que ce genre d’opération soit accessible surtout qu’il n’y a pas juste au Québec qu’il y a des listes d’attente et quand c’est trop apparent, les enfants sont souvent rejetés
Nuage
Délicate opération : Sa vie changée alors qu’il a failli devenir aveugle
Le petit Colby avant et après l’opération qui a changé sa vie. Photo facebook
Un petit garçon anglais né avec une excroissance importante près de l’œil va voir sa vie complètement transformée grâce à une délicate opération réalisée de l’autre côte de l’océan, aux États-Unis.
(The Mirror)
Colby Ramos-Francis qui a aujourd’hui 17 mois est né avec un kyste près de l’œil. Si l’excroissance ne semblait pas poser de problème au début, elle s’est rapidement mise à grossir, handicapant sérieusement le bambin.
Ses parents, incapables d’attendre que leur petit soit soigné en Grande-Bretagne en raison des très longs délais, se sont envolés vers les États-Unis.
L’intervention était risquée, car le petit risquait de perdre son œil. Heureusement tout s’est bien passé, rapporte The Mirror.
(The Mirror)
«De voir Colby sortir de la salle d’opération sans la tumeur, ce fut la plus belle chose que j’ai vécu de ma vie. Ça me rend incroyablement heureuse», a raconté sa mère Aimme Ramos Price, 18 ans.
«C’était très émouvant de le voir essayer de toucher la bosse, et de le voir réaliser qu’elle n’était plus là. Je suis soulagée de ne plus avoir d’inquiétudes par rapport à ça. Maintenant, il peut grandir l’esprit en paix et être heureux», a jouté la jeune maman.
(The Mirror)
La tumeur de Colby est appelée hémangiome infantile, il s’agit d’une tumeur bénigne des cellules qui tapissent les vaisseaux sanguins.
Ce type de tumeur est normalement bénin, mais peut certainement causer d’importantes douleurs. La plaie peut aussi saigner ou couler si elle est accrochée.
L’opération du petit Colby a eu lieu au Leonox Hill Hospital de New York, en février dernier. C’est grâce à une société américaine, la Little Baby Face Foundation que les parents ont pu se faire payer l’intervention coûtant environ 20 000$ canadiens.
(The Mirror)
Avant l’opération, Colby av ait été refusé dans de nombreuses garderies en raison de son état, on craignait notamment les blessures en lien avec son kyste. Sa mère a dû arrêter de travailler, tout en poursuivant ses études à l’université.
(The Mirror)
Le petit a notamment été rejeté en raison de son apparence, et les parents recevaient des commentaires négatifs sur leur enfant tous les jours. Ils se sont notamment fait demander à plusieurs reprises s’ils battaient leur enfant.
Heureusement aujourd’hui le petit est sur la voie de la guérison.
Alors qu’ici, on lutte contre la violence faite aux femmes avec des lois et des organismes qui sont là pour aider, quoiqu’il reste encore beaucoup a faire, ailleurs, c’est encore un balbutiement de loi qui ne protégerait que certaines femmes, alors qu’une femme sur deux se fait battre en Chine, cela n’a aucun sens.
Nuage
Pour la première fois de son histoire, Pékin songe à adopter une loi sur les violences conjugales – un sujet tabou en Chine, où près d’une femme sur deux serait pourtant victime de violence physique ou sexuelle de la part de son conjoint, selon l’ONU.
Un texte d’Yvan Côté
À près de 40 ans, la vie de Zhang Hongyan ne ressemble en rien à ce qu’elle avait imaginé. Sans le sou, meurtrie, la mère de famille vit aujourd’hui seule dans une minuscule chambre juste assez grande pour contenir son lit.
Sa descente en enfer débute à l’été 2004. Elle est alors propriétaire d’une entreprise de meubles avec son mari lorsqu’elle découvre qu’il a une maîtresse. Elle le confronte et leur relation dégénère rapidement. Il la rue de coups de poings et de coups de pieds et lui interdit de revenir à la maison. Alors qu’elle se réfugie chez ses parents, les violences reprennent. Une nuit, il s’introduit dans sa chambre et lui fracture la jambe à l’aide d’une barre de métal.
« J’ai demandé l’aide des policiers à plusieurs reprises, indique Zhang, mais ils ont toujours jugé qu’il s’agissait de disputes conjugales et qu’ils n’avaient pas à intervenir. Ils m’ont aussi expliqué que leurs budgets ne leur permettaient pas d’enquêter ce type de dossier. »
Dans les semaines qui suivent, Zhang reçoit une autre nouvelle qui la dévaste. Son mari a réussi à obtenir le divorce à son insu et s’est enfui avec tout l’argent de la famille.
« Je ne pouvais pas y croire, dit Zhang. Mon mari a menti à la cour en affirmant que j’avais disparu. Le tribunal a prononcé le divorce sans même avoir de preuve. Ça m’a fait aussi mal que toutes les ecchymoses qui recouvraient mon corps. »
Désintérêt en Chine
La violence conjugale est un drame qui touche des millions de femmes chaque année en Chine et dont personne n’ose parler ouvertement. Selon les groupes de femmes, il s’agirait de l’un des plus grands tabous dans le pays, et ce, même si près d’une femme sur deux serait victime de violence physique ou sexuelle de la part de son mari ou son conjoint.
« Les pourcentages qui circulent dans le pays varient, explique Julie Broussard, responsable pour la Chine du Fonds de développement des Nations unies pour la femme. Une enquête qui date de 2010 parle d’une femme sur quatre qui est victime de violence conjugale, mais lorsque les Nations unies ont mené une étude indépendante, ce chiffre a grimpé à 40 %. »
Dans les années 1990, la violence physique n’était pas encore reconnue comme motif de divorce en Chine. Ce n’est qu’en 2001 qu’une modification de la loi sur le mariage a formellement interdit la violence conjugale.
Une loi trop conservatrice
Le gouvernement communiste planche depuis des mois sur sa première loi pour contrer le phénomène, ce qui constitue une véritable révolution en soit. Mais le projet de texte ne va pas assez loin, selon plusieurs ONG.
S’il est vrai que projet de loi fournit pour la première fois une approche légale à ce type de violence conjugale et qu’il forcera dorénavant les policiers à intervenir en cas d’appels à l’aide, en contrepartie seules les femmes mariées sont mentionnées dans la législation et l’ONU déplore qu’aucun article ne traite des violences sexuelles.
« Le viol est une forme de violence sexuelle, s’insurge Julie Broussard. Nous saluons le travail du gouvernement communiste, mais exclure les violences sexuelles du projet de loi nous a déçus. »
La législation est aussi problématique pour Zhang. Elle exclut les couples non mariés et divorcés. Or, depuis 10 ans, le tribunal refuse de l’entendre pour absence de preuve. Sa cause pourrait donc être perdue à jamais.
Je comprends que des gens sont curieux de ce qui a marqué l’histoire du monde. Être fasciné de voir le premier essai de la bombe atomique me laisse perplexe. Moi, j’aurais un sentiment d’horreur pour toutes les victimes qui ont été irradiées et qui aujourd’hui encore, les effets sont encore présents, sans compter le désastre environnemental
Nuage
Josiah Fidel, âgé de 8 ans, joue dans la poussière devant l’obélisque ommémorant le premier test d’explosion de la bombe atomique, au site de l’essai Trinity, à Alamogordo, au Nouveau-Mexique, dimanche.
PHOTO AP
Associated Press
ALAMOGORDO, Nouveau-Mexique
Des milliers de visiteurs se sont rendus au Nouveau-Mexique samedi pour visiter l’endroit où la première bombe nucléaire a explosé, il y a près de 70 ans.
Plus de 5500 personnes venues de partout aux États-Unis ont pris part à la première des deux visites guidées offertes cette année au site de Trinity (du nom de code de l’essai atomique), selon les responsables du White Sands Missile Range. La seconde visite est prévue le 3 octobre.
Au dire de la porte-parole Erin Dorrance, les gens sont fascinés par cet endroit qui marque un point tournant dans l’histoire.
«Cela a rapidement mis fin à la Deuxième Guerre mondiale et a amorcé l’ère atomique, résume-t-elle. Ici, au milieu de nulle part, le Nouveau-Mexique a changé le monde il y a 70 ans.»
L’essai Trinity, première explosion de la bombe atomique, à Alamogordo, au Nouveau-Mexique, le 16 juillet 1945.
PHOTO D’ARCHIVES AP
Le 16 juillet 1945, des scientifiques de Los Alamos ont fait exploser avec succès la première bombe nucléaire sur ce site nommé Trinity, près de la municipalité d’Alamogordo.
Le vétéran des Marines Pete Rosada, 47 ans, est venu de San Diego avec un compagnon d’armes pour prendre part à la visite de samedi. L’homme a déjà visité Hiroshima et Nagasaki, les deux villes japonaises ciblées par des bombes atomiques à la fin de la Deuxième Guerre mondiale.
«Cela boucle la boucle», a-t-il déclaré au Almogordo Daily News.
Plusieurs équipes de tournage, dont certaines en provenance du Japon, se sont également déplacées pour l’évènement.
De nombreux visiteurs se sont fait photographier près de l’obélisque marquant l’endroit exact où la première bombe a explosé. Ils ont aussi pu voir une coque d’acier qui avait été construite à titre de plan B pour éviter que le plutonium ne se répande durant l’explosion.
Les touristes qui se sont joints au cortège automobile en direction du site à partir d’une école de Tularosa ont été accueillis par des manifestants du Tularosa Basin Downwinders, un groupe communautaire qui tente de sensibiliser le public aux impacts négatifs de l’explosion de cette bombe.
Les membres du Tularosa Basin Downwinders cherchent à convaincre le Congrès américain d’inclure les résidants concernés du Nouveau-Mexique au nombre des bénéficiaires du Radiation Exposure Compensation Act de 1990.
L’avantage du réseau sans-fil, est de circuler dans la maison avec un portable, un téléphone intelligent, une tablette sans avoir un fil qui nous suit. Cependant, il se peut que la réception du Wi-Fi ne soit pas égale dans toutes les pièces de la maison. Il faut donc trouver le meilleur endroit pour l’installer
Nuage
Nous avons tous ressenti ces atroces moments de sans-WiFi-tude, quand le réseau nous lâche sans prévenir. Figurez-vous qu’il y a deux manières d’installer un routeur sans-fil, une bonne et une mauvaise. La mauvaise ralentira le chargement de vos pages Internet et le traitement des vidéos Netflix dans la mémoire tampon.
Jason Cole, un doctorant en physique au Collège impérial de Londres, a résolu l’équation de Helmhotz pour déterminer l’endroit le plus propice à l’installation du routeur dans son appartement (cette équation sert à cartographier les champs électromagnétiques, ceux-là même qu’émet un routeur). Il en a conclu que le planquer dans un coin discret n’était pas la solution idéale pour obtenir une bonne connexion, même si c’est ce que nous faisons quasiment tous.
Interviewé par le Huffington Post, Jason Cole nous a donné plusieurs conseils pour bénéficier d’un signal puissant dans tout l’appartement, voire dans toute la maison… et éviter l’apparition de la petite roue qui tourne quand vous êtes sur Netflix.
1. Ne le placez pas à l’écart
Certes, les fils que vous devez relier au routeur sont sans doute dans un coin, mais il vaut mieux les éloigner des murs (dans l’idéal, le routeur doit avoir une vue dégagée sur l’endroit où vous vous asseyez le plus souvent pour surfer sur Internet).
Votre installation Wi-Fi ressemble probablement à ça :
Sur cette illustration, le signal Wi-Fi se répand dans tout l’appartement en un dix-millionième de seconde. Comme vous le voyez, il rebondit sur les murs et amène votre Internet adoré dans chaque pièce. Les zones non couvertes, où le signal a du mal à passer, sont également visibles et d’autant plus nombreuses que l’on s’éloigne de la source (les murs et autres obstacles absorbent son énergie).
2. Eloignez-le des objets métalliques
« Le métal est un gouffre énergétique assez efficace », indique Cole.
N’installez donc pas votre routeur dans la cuisine.
3. Les murs en béton ou en briques sont aussi vos ennemis
D’après Cole, « tous les matériaux renvoient une partie du rayonnement. Certains l’absorbent davantage que d’autres, notamment le béton ».
En clair, évitez de placer votre routeur à l’angle de murs en béton ou en briques, car le signal ne sera pas diffusé jusqu’aux recoins les plus éloignés de la maison. Les planchers et les plafonds, en revanche, sont meilleurs conducteurs, ajoute-t-il.
4. Ne le mettez pas près d’un micro-ondes
La connexion rame chaque fois que vous faites chauffer quelque chose au micro-ondes? Eh non, vous ne rêvez pas! Les micro-ondes opèrent aux mêmes fréquences que les routeurs sans fil et il suffit qu’une infime quantité de rayonnements s’échappe du four pour perturber le signal.
5. Installez-le en hauteur
Les routeurs Wi-Fi émettent des ondes radio qui se propagent sur les côtés et vers le bas. Accrochez le routeur à un mur, ou placez-le sur une étagère pour obtenir un meilleur signal, surtout si vous vivez dans un duplex et que vous voulez que la connexion s’établisse sur les deux étages.
6. Tournez l’antenne vers le haut pour augmenter la portée horizontale, ou sur le côté pour la portée verticale
Dans une maison à plusieurs étages, vous obtiendrez un meilleur signal à l’étage si vous placez l’antenne latéralement par rapport au routeur. Pointer l’antenne vers le haut contribue en revanche à augmenter la portée horizontale du routeur.
S’il est muni de deux antennes, optimisez le signal en en pointant une vers le haut et l’autre sur le côté. Si vous possédez un modèle sans antenne, assurez-vous de le positionner correctement (pas sur le côté s’il s’agit d’un routeur vertical, par exemple).
7. Réfléchissez bien avant de le mettre au beau milieu de la foule
Les liquides absorbent les signaux Wi-Fi. Puisque nous sommes principalement constitués d’eau, le signal aura du mal à traverser un groupe de gens (vous avez peut-être déjà remarqué que la réception était moins bonne quand il y avait beaucoup de monde). Bien entendu, l’idéal est d’avoir une bonne connexion à l’endroit où les gens aiment se retrouver… mais tous ces corps sont susceptibles de le ralentir dans les autres pièces.
BONUS: une application qui vous permet de visualiser votre réseau Wi-Fi
Si ça vous branche, l’application pour Android de Cole permet de vous représenter la façon dont les ondes électromagnétiques se propagent chez vous. Il suffit de mettre en ligne le plan de votre appartement puis… de faire quelques calculs. Désolé !
Ce texte, publié à l’origine sur Le Huffington Post (Etats-Unis), a été traduit de l’anglais par Fast for Word.