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Notre époque fait éloge de la beauté, et de la surconsommation. Alors nous voulons toujours plus, nous avons cette tendance a ne pas être satisfait de notre état
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« Lorsque tu vois une personne qui a reçu plus que toi en richesses et en beauté, regarde ceux qui ont reçu moins que toi. »

Mohammed

Le Saviez-Vous ► L’invention du biscuit Oreo


Qui ne connait pas les biscuit Oreo, un biscuit qui a vit depuis plus de 100 ans.
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L’invention du biscuit Oreo

 

Marie-Lyse Paquin,

Le 6 mars 1912 que la compagnie Nabisco a créé son célèbre biscuit sandwich qui demeure à ce jour, la marque la plus vendue rapportant 1,5 milliard de revenus annuels. On estime que 322 milliards de biscuits ont été dévorés en 100 ans.

Les premiers Oreo étaient un peu moins plats et affichaient un motif de couronne sur les bords et le nom Oréo inscrit au milieu. Le design actuel date de 1952. Jusque dans les années 20, les Oreo étaient offerts en deux saveurs « meringue au citron » et « crème ».

L’origine du nom est encore discutée, certains affirment qu’il serait dérivé du mot « or » rappelant les premiers emballages dorés, ou le mot grec qui signifie « beau »  ou une combinaison des « o » de chocolat et du « re » de « cream ». L’important c’est que le mot est facile à prononcer pour un enfant de trois ans!

Sur le site d’Oreo, on apprend que 50% des gens séparent leur Oreo avant de le dévorer et les femmes auraient plus tendance à les « dévisser » que les hommes. Et vous ? Comment mangez-vous vos Oreo ?

http://actualites.sympatico.ca/

Opération chirurgicale inusitée L’homme au nez magnétique


On n’arrête pas le progrès, une prothèse de nez tenus par des aimants. Avec un tel nez, on peut enlever le nez et le remettre à volonté
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Opération chirurgicale inusitée

L’homme au nez magnétique

 

L'homme au nez magnétique

Crédit photo : The Mirror

TVA Nouvelles

Un homme à qui l’on a dû amputer le nez en raison de la présence d’un mélanome, a pu faire remplacer la partie enlevée grâce à une opération sophistiquée.

Richard Curry a été diagnostiqué avec un mélanome malin à l’intérieur de son septum (la mince bande de cartilage située entre les narines). Pour arrêter la tumeur de s’étendre, son nez a dû être amputé, rapporte le Mirror.

(Mirror)

Malgré ce cancer inquiétant, l’homme de 71 ans a eu de la chance. C’est que la prothèse qui remplace la partie enlevée de son nez est aimantée. Richard peut ainsi retirer ou remettre son nez comme bon lui semble grâce aux aimants.

Les aimants ont été placés à l’intérieur de ses pommettes et de sa cavité nasale.

«Perdre mon nez a été un véritable choc, mais je n’avais pas le choix, parce que ce cancer est certainement l’un des plus dangereux que vous puissiez avoir», a commenté le patient.

«Je suis reconnaissant que le cancer ait été trouvé à temps et retiré. Quand les médecins m’ont dit que je pouvais faire tenir mon nez avec des aimants, j’ai pensé que c’était extraordinaire.»

(Mirror)

«C’est confortable, et ça parait plutôt bien, et en plus, je suis encore capable de sentir les odeurs», ajoute-t-il.

L’homme qui réside en Grande-Bretagne porte son nez toute la journée, mais l’enlève lorsqu’il est temps d’aller au lit.

Des examens récents ont permis de confirmer que le cancer n’a pas refait surface chez Richard Curry. Pour le médecin qu’il l’a traité la procédure médicale était toute nouvelle, et inhabituelle.

«Les aimants sont utilisés fréquemment pour ceux qui portent par exemple des prothèses aux oreilles, mais c’était une première pour le nez», a indiqué le docteur Paddy Morar.

Les autorités médicales ont voulu parler de ce cas afin de montrer au public qu’il est possible d’avoir une vie normale après ce type de chirurgie.

http://tvanouvelles.ca/

Une danseuse canadienne ayant une tache de naissance refuse Photoshop pour rester naturelle


Vive le naturel ! Alors que bien des gens ont des complexes de leur corps à cause d’un « défaut » naturel et pas nécessairement apparent. Cette jeune femme qui a une carrière publique fait fi d’une tâche de naissance au visage que personne ne peut passer à côté. Elle refuse de changer son visage soit par chirurgie ou par Photoshop juste pour plaire aux autres, car cela fait partie de sa personnalité. C’est un exemple que ceux qui ont un mal à vivre avec leur propre apparence
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Une danseuse canadienne ayant une tache de naissance refuse Photoshop pour rester naturelle

 

CASSANDRA NAUD

Cette danseuse canadienne née avec tâche de naissance a décidé de rester naturelle | Instagram – cassandranaud

INSOLITE – Enfant, Cassandra Naud priait pour que ses parents lui paient une opération. 22 ans plus tard, cette danseuse canadienne revendique pleinement son droit à rester naturelle.

Originaire d’Alberta, Cassandra Naud est née avec une proéminente « tache de naissance » sous son œil droit ce qui lui a valu de nombreuses moqueries dans sa jeunesse rapporte le site Bored Panda.

C’est plus précisément un hypertrichose, symptôme d’un dérèglement hormonal marqué par un développement de la pilosité, que la danseuse a sur son visage. Aujourd’hui, la jeune femme dit aimer ce qui fait sa spécificité et ne veut pour rien au monde être photoshopée et encore moins subir une chirurgie esthétique qui marquerait son visage d’une cicatrice.

« Ma tache de naissance est une énorme partie de ma personnalité. C’est ce qu’il me rend unique et mémorable, ce qui est d’autant plus important dans la carrière que j’ai choisie », explique-t-elle.

« Les gens viennent me voir dans la rue et me posent des questions à ce sujet . Je ne crains pas ces demandes, c’est naturel d’être curieux », assure-t-elle aussi citée par Daily Mail .

Ce faisant, la jeune fille poursuit son bonhomme de chemin afin et espère pouvoir réaliser son rêve.

http://www.huffingtonpost.fr/

Little Foot aurait 3,67 millions d’années


Dans quel coin du monde que tout a commencé pour l’homme, la découverte d’ossements donnent des indices, mais ce n’est qu’avec le perfectionnement des techniques de datation que les chercheurs peuvent mettre des suppositions. Reste à savoir si un jour, la certitude sera sans équivoque
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Little Foot aurait 3,67 millions d’années

 

Depuis la découverte de Little Foot («Petit pied»)... (Photo LAURENT BRUXELLES, archives AFP)

Depuis la découverte de Little Foot («Petit pied») en 1997 dans une grotte du site de Sterkfontein, au nord-ouest de Johannesburg, la bataille fait rage entre les experts pour déterminer l’âge de ce fossile d’australopithèque le plus complet jamais trouvé.

PHOTO LAURENT BRUXELLES, ARCHIVES AFP

PASCALE MOLLARD-CHENEBENOIT
Agence France-Presse
PARIS

L’australopithèque Little Foot, découvert il y a près de vingt ans en Afrique du Sud, serait âgé de 3,67 millions d’années, révèle une équipe de chercheurs qui a réalisé une nouvelle datation de ce célèbre fossile.

Cet âge fait du petit «homme singe» sud-africain un contemporain de la fameuse Lucy, australopithèque trouvée en Éthiopie en 1974 et dont l’âge présumé serait de plus de 3 millions d’années.

«Cela remet l’Afrique du Sud dans la course de l’évolution humaine», alors que depuis plusieurs décennies, l’Afrique de l’Est tenait la corde, a déclaré à l’AFP Laurent Bruxelles, chercheur à l’Inrap (Institut national de recherches archéologiques préventives) en France.

«Avec un âge de 3,67 millions d’années, Little Foot arrive largement avant Homo Habilis, notre ancêtre direct, apparu il y a environ 2,5 millions d’années», souligne Laurent Bruxelles. «Dans ce cas, rien ne s’oppose à ce que cet australopithèque sud-africain soit à l’origine de l’humanité». «Tout reste possible», a souligné M. Bruxelles qui a participé à l’étude.

La marge d’erreur de la nouvelle datation est de plus ou moins 160 000 ans, précisent les scientifiques qui ont utilisé la datation par isotopes cosmogéniques (générés par les rayonnements cosmiques qui bombardent la Terre) dans une version améliorée et publient leur étude mercredi dans la revue britannique Nature.

Depuis la découverte de Little Foot («Petit pied») en 1997 dans une grotte du site de Sterkfontein, au nord-ouest de Johannesburg, la bataille fait rage entre les experts pour déterminer l’âge de ce fossile d’australopithèque le plus complet jamais trouvé.

Quatre millions d’années? 3,3 millions? Ou seulement 2,2 millions? L’enjeu est de taille.

La nouvelle datation a été établie par une équipe internationale, qui comprend notamment le découvreur de Little Foot, Ronald Clarke.

«Datation solide»

En 1994, il trouve dans une boîte d’ossements divers provenant de déblais miniers de la grotte de Silberberg, quatre petits os provenant du pied d’un hominidé très ancien qu’il baptise «Little Foot». Trois ans plus tard, le paléoanthropologue de l’Université sud-africaine de Witwatersrand trouve dans une autre boîte des os de pied provenant du même pré homme et un morceau de tibia.

Avec ces indices, son équipe retrouve dans la grotte le squelette quasi entier de Little Foot enserré dans une gangue calcaire. Il gît à 25 mètres de profondeur. Selon les chercheurs, il a sans doute fait une chute mortelle dans le gouffre.

Treize années ont été nécessaires pour dégager Little Foot. Ce fossile serait un représentant de l’espèce Australopithecus prometheus.

Rapidement, Ronald Clarke attribue un âge de 3,3 millions d’années à Little Foot en se basant sur la morphologie de l’hominidé et sur une première datation des coulées stalagmitiques de la grotte.

Puis en 2003, le géologue Darryl Granger suggère une datation des sédiments entourant le fossile d’environ 4 millions d’années, en utilisant la datation par isotopes cosmogéniques. Elle décrypte le vieillissement d’isotopes de l’aluminium et du béryllium. «Mais la marge d’erreur était de plus ou moins un million d’années», explique M. Bruxelles.

Trois ans plus tard, une étude britannique sème le trouble: Little Foot n’aurait que 2,2 millions d’années, selon l’analyse de sédiments entourant le squelette.

Ronald Clarke ne parvient pas à y croire et il demande en 2006 à Laurent Bruxelles, spécialiste des cavités en milieu calcaire, de démêler la succession de strates qui entourent le fossile. La grotte a subi des inondations, des effondrements et des dynamitages par les mineurs.

Le géomorphologue de l’Inrap remet de l’ordre dans tout cela. Il établit que les dépôts calcaires datés de 2,2 millions d’années sont postérieurs à Little Foot. Les études repartent sur de nouvelles bases.

Darryl Granger, de l’Université Purdue de l’Indiana, refait des analyses, en se basant sur la même méthode de datation cosmogénique, mais améliorée. Une autre innovation, utilisant un aimant, permet d’affiner encore la datation.

«Les résultats sont étonnants», souligne l’Université de Witwatersrand de Johannesburg.

 Sur les onze échantillons récoltés au cours de la dernière décennie, neuf se trouvent sur une unique courbe, apportant ainsi «une datation solide au dépôt», pointe l’université.

http://www.lapresse.ca/

Et si un trou noir s’approchait de la Terre?


Un scénario de fin du monde si notre système solaire était dans la mire d’un trou noir. Heureusement, cette situation fictive a peu de chance d’arriver. Nous pouvons encore espérer que le ciel ne nous tombe pas sur la tête
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Et si un trou noir s’approchait de la Terre?

 

Et

Quand la Terre affronte un trou noir… Capture d’écran Gentside

C’était un peu la seconde star du film Interstellar, mais vous n’aimeriez pas le rencontrer: on parle bien entendu du trou noir. Actuellement, les astronomes estiment qu’il y a une chance sur un trillion que la Terre soit un jour dévorée par un trou noir. Mais comment cela se passerait-il?

Déjà, même à une année-lumière de notre système solaire, un trou noir pourrait fortement le perturber. Sa force gravitationnelle est si forte qu’il pourrait déjà altérer l’orbite des planètes extérieures.

Ceci menacerait les autres planètes, en les envoyant se fracasser les unes sur les autres, mais cela menacerait aussi le Soleil.

Et ce n’est encore rien…

UNE INCURSION DESTRUCTRICE DANS LE SYSTÈME SOLAIRE

 

En s’approchant de nous, le trou noir commencerait par rencontrer le nuage d’Oort, une zone où les comètes s’accumulent. Cela projetterait violemment un grand nombre de ces astres vers la Terre et les autres planètes.

Nous commencerions à le voir lorsqu’il arriverait au niveau des géantes gazeuses comme Saturne et Jupiter. Un disque d’accrétion, composé de gaz et de poussières très chaudes, se formerait alors autour de lui à mesure qu’il dévore les planètes.

Arrivé à la ceinture d’astéroïdes, comme pour le nuage d’Oort, de nombreux croiseurs seraient projetés dans la direction de notre planète. Quand la Terre serait assez proche, son atmosphère elle-même serait arrachée par le trou noir, avant qu’il n’avale la planète entière, morceau par morceau.

Un cataclysme qui provoquerait de terribles tremblements de terre et l’apparition de super-volcans.

Le Soleil est finalement le seul qui pourrait peut-être survivre à sa rencontre avec le trou noir. Si celui-ci est assez petit, il n’aura pas la force gravitationnelle nécessaire pour dévorer notre étoile.

Néanmoins, les chances sont grandes qu’elle rejoigne le reste du système solaire piégé dans le disque d’accrétion. Au final, il ne resterait alors qu’un trou noir entouré d’un disque de plusieurs millions de kilomètres de diamètre.

http://fr.canoe.ca/

5 requins tués… par une seule otarie


Alors que les biologistes croyaient connaitre l’alimentation des otaries, voilà qu’un scientifique est témoin d’une scène étrange qui d’attaques de requin par une otarie dans le but de manger que les viscères et rien d’autre
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5 requins tués… par une seule otarie

 

Une otarie attaque cinq requins pour se nourrir ©Chris Fallows / African Journal of Marine Science

Une otarie attaque cinq requins pour se nourrir ©Chris Fallows / African Journal of Marine Science

Par Virginie Montmartin

Le monde à l’envers : une otarie a attaqué cinq requins bleus et s’est nourrie de leurs viscères. C’est la première fois qu’une telle attaque entre ces animaux est observée

ATTAQUE. Une otarie à fourrure (Arctocephalus pusillus pusillus) a attaqué un groupe de requins bleus (prionace glauca) au large de Cap Town, en Afrique du Sud, pour se repaître de la chair des squales.

Selon l’ichtyologue Chris Fallows et deux chercheurs de l’université de Miami, ce comportement est inédit. L’étude publiée le 16 mars 2015 dans la revue African Journal of Marine Science, démontre que cette attaque a de nombreuses implications sur le fonctionnement de la chaîne alimentaire.

Une otarie au comportement inédit 

Chris Fallows, spécialiste du grand requin blanc, avait emmené un groupe de touristes en haute mer en 2012 afin de les faire plonger au milieu des squales. Entouré d’un groupe de dix requins bleus et de différents poissons, le scientifique vit arriver à sa grande surprise cette otarie qui s’est nourrie non pas des poissons, son alimentation habituelle, mais des viscères de cinq squales qu’elle a littéralement mis à mort ! Ce comportement est surprenant car ces otarie et squale ont une alimentation similaire à base de petits poissons, de calmars ou de crabes, c’est-à-dire de proies plus petites qu’eux. De ce fait, des requins de cette taille ne sont pas supposés être considérés comme des victimes potentielles pour les pinnipèdes même s’il arrive rarement que les otaries se nourrissent de bébés requins ou des restes d’un requin mort. Pourtant, dans cette attaque, l’otarie a laissé sciemment de côté les poissons environnant pour concentrer son attaque sur les squales, pour manger spécifiquement les viscères de l’animal, la partie de son corps contenant le plus de nutriments et donc d’énergie. Un tel comportement avait déjà été vu en 2004 mais le jeune requin bleu qui avait été attaqué par une otarie était un animal solitaire. Rien à voir avec le 1 contre 5 dont on parle ici !

Une otarie en plein festin ©Chris Fallows / African Journal of Marine Science

Une nouvelle forme de prédation ?

Les chercheurs ne savent pas si c’est un comportement rare de la part des pinnipèdes ou une nouvelle forme de prédation. Puisque ces deux grands prédateurs ont le même régime alimentaire, il est possible que les otaries attaquent les requins pour limiter la compétition dans l’océan pour l’accès à la nourriture. Cependant, la forme de l’attaque laisse à penser que ce n’est probablement pas un cas isolé. En effet, l’otarie s’en est directement prise aux squales alors qu’il y avait des poissons, sa proie principale, présents au festin. De plus, l’animal a sélectionné sa nourriture en ne mangeant qu’une partie du corps des squales, preuve qu’il n’était pas affamée. Cette attaque remet donc en question la chaîne alimentaire classique définie par les biologistes. En outre, ces otaries ne se nourrissant que de viscères, elles doivent donc tuer un grand nombre d’individus pour être rassasiées. De ce fait, la population des requins bleus risque de fortement diminuer, sachant que cette espèce est considérée comme « quasi en danger » par l’Union Internationale de la Conservation de la Nature (IUCN).

http://www.sciencesetavenir.fr/