Cela ne prend vraiment pas grand chose, pour ensoleiller la journée d’une personne
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La gentillesse
«Toucher une personne avec sa gentillesse peut la changer pour toujours»
Mike Dooley
Ce chien n’est pas aussi agile que le chat, mais il est quand même rusé pour atteindre son but
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La théorie d’un seul continent : Pangée a maintenant 100 ans. À l’époque, cela expliquait bien des choses, mais elle fut quand même rejeté par les géologues et réhabilita 30 ans plus tard
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Les frontières internationales et les littoraux actuels sont superposés sur la Pangée d’il y a 250 millions d’années. Certaines zones du monde moderne ne sont pas visibles car leur croûte continentale s’est formée plus tard. Crédit: JEROME N. COOKSON, ÉQUIPE DU NGM. SOURCE : RON BLAKEY, COLORADO PLATEAU GEOSYSTEMS
Par Karen de Seve
On fête cette année le centenaire d’une découverte fondamentale. Dès sa sortie de l’imprimerie en 1915, le livre d’Alfred Wegener, La Genèse des continents et des océans, fit l’effet d’une bombe dans le domaine des sciences de la terre. Le météorologue allemand était le premier à croiser des données multidisciplinaires pour étayer une théorie alors controversée sur la dérive des continents.
En 1910, en examinant un atlas du monde, il s’était demandé si les contours des continents s’imbriquaient par pure coïncidence. Il les avait ensuite assemblés pour former un seul «continent primordial» qu’il baptisa Pangée, « toute la terre » en grec. Il théorisa que cette immense masse avait cessé d’exister il y a entre 250 et 200 millions d’années, au moment où les continents actuels commencèrent à se fracturer et à s’éloigner.
Aux yeux des biologistes, cela expliquait la présence d’espèces animales et végétales apparentées sur des terres séparées par des océans. Pour les paléontologues, cette théorie concordait avec la découverte de fossiles de mosasaures à la fois au Brésil et en Afrique du Sud. Aux géologues, Wegener montra des formations terrestres similaires sur des continents séparés ; il suggéra, entre autres, que la chaîne de montagnes appelée « ceinture plissée du Cap », en Afrique du Sud, était autrefois accolée à la Sierra de la Ventana, en Argentine.
Les travaux de Wegener furent rejetés par les grands géologues de l’époque, qui lui reprochaient de ne pas avoir expliqué le mécanisme exact ayant présidé à ce mouvement dérivant. Wegener leur concédait ce point, écrivant en 1929 que « le Newton de la théorie de la dérive n’est pas encore né ». Il s’éteignit l’année suivante, à l’âge de 50 ans. Il fallut attendre encore trente ans – quand les géophysiciens conclurent que la dérive des continents avait été provoquée par la tectonique des plaques – pour que la théorie Wegener l’emporte.
Un casse-tête qui doit être assez intéressant à faire. Imaginez 1000 pièces que chaque pièce est une couleur et l’image n’est qu’un dégradé de couleurs. Pour faire ce genre de puzzle, il ne faut pas de chat qui viens se coucher sur les morceaux, ni de jeunes enfants qui veulent faire leur part
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Photo : CAPTURE D’ÉCRAN 1000 COULOURS
INSOLITE – Venir à bout de ce puzzle est un défi conséquent pour les plus déterminés. Le dégradé de 1000 couleurs qu’il représente en fait l’un des plus difficiles du monde.
Si vous passez plusieurs semaines sur votre puzzle 10.000 pièces de trois chatons dans un panier, attendez de découvrir celui-ci. Aucune image n’est à reproduire, mais une étendue de 1000 couleurs différentes composent le jeu de 50 sur 70 centimètres, une pièce équivalant à une couleur (sinon ce n’est pas drôle).
L’image du « puzzle 1000 » est élaborée selon le système CMJN (cyan, magenta, jaune, noir), un procédé d’imprimerie permettant de reproduire un large spectre colorimétrique à partir des trois teintes de base, comme le précise Gizmodo. Reste à positionner chaque couleur à sa juste place dans ce dégradé parfait.
Le jeu de l’enfer
« Sans la présence d’une image détaillée permettant de localiser une pièce, je comptais seulement sur mon sens intuitif de la couleur et c’était bien plus satisfaisant à faire », explique sur le site internet dédié au puzzle son créateur, Clemens Habicht.
L’idée lui est venue « en profitant des subtiles nuances de bleu dans le ciel ». Belle image marketing pour illustrer le jeu de l’enfer. Selon lui, il existe pourtant « une vraie logique dans la manière de faire, apaisante, thérapeutique ».
Le défi est tentant, comme le prouve la rupture de stock de la première édition. Une seconde est encore en vente pour 50 euros et une troisième ne tardera pas à pointer le bout de son nez. Du nez, il faudra en tout cas en avoir pour y venir à bout.
Photo : CAPTURE D’ÉCRAN 1000 COULOURS
Cela fait longtemps, me semble, que nous n’avons pas entendu parler de parfum inusité. Quoiqu’il en soit, un parfum ayant l’odeur de nourriture, doit donner sûrement mal au coeur à la longue
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(Crédit photo: gracieuseté Burger King Japon)
Afin de célébrer la journée nationale du «Whopper» au Japon, la compagnie de restauration rapide Burger King a décidé de lancer son nouveau parfum à l’odeur de ce burger des plus populaires. Le hic? Le tout est prévu pour le 1er avril, jour parfait pour les canulars.
Or, dans un communiqué de presse, la chaîne de restauration a indiqué que malgré que le lancement soit prévu pour le jour du poisson d’avril, le parfum sera bel et bien lancé, selon ABC.
Le site Kotaku affirme pour sa part que la direction de Burger King Japon aurait elle-même fait enregistrer la date du jour officiel du «Whopper» auprès des autorités. Et comme cette nouvelle fête n’existe qu’au Japon, le curieux parfum ne sera disponible que dans ce pays.
L’eau, cette source naturelle que nous croyons à tort inépuisable pourrait devenir un enjeu important pour la survie, la santé, l’écosystème. Alors que nous avons l’eau sur demande à volonté, il serait temps de ne pas prendre pour acquis qu’il y aura toujours de l’eau potable accessible même pour être gaspiller à volonté. Si ce n’est pas pour nous, pensons aux générations futurs
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Si les pratiques actuelles de consommation demeurent les mêmes, la planète ne disposera que de 60 % de l’eau dont elle aura besoin en 2030.
ARCHIVES LA VOIX DE L’EST
KATY DAIGLE
Associated Press
NEW DELHI
Le monde pourrait devoir composer avec une pénurie d’eau de l’ordre de 40 % d’ici à peine 15 ans si les États ne révisent pas profondément leur façon d’utiliser la ressource, selon un rapport de l’Organisation des Nations unies (ONU) dévoilé vendredi.
Le niveau de plusieurs nappes phréatiques est déjà inquiétant et les modèles relatifs aux précipitations pourraient devenir plus erratiques en raison des changements climatiques.
Or, la croissance démographique est susceptible de faire gonfler la population mondiale pour qu’elle franchisse la barre des neuf milliards de personnes en 2050; de plus en plus d’eau souterraine sera donc nécessaire pour l’agriculture, l’industrie et la consommation humaine.
Le document onusien prévoit que la demande globale en eau augmentera de 55 % d’ici 35 ans tandis que les réserves, elles, diminueront.
Si les pratiques actuelles de consommation demeurent les mêmes, la planète ne disposera que de 60 % de l’eau dont elle aura besoin en 2030, d’après le rapport.
Dans de pareilles circonstances, les récoltes pourraient s’amoindrir, les écosystèmes risqueraient de se dérégler, certaines industries seraient en danger de s’effondrer, des maladies et le taux de pauvreté pourraient augmenter et il est possible que les conflits en lien avec l’eau enregistrent une recrudescence.
«À moins que l’équilibre entre la demande et les réserves ne soit rétabli, le monde connaîtra un déficit en eau de plus en plus sérieux», souligne l’ONU.
Le document a été rendu public à New Delhi deux jours à peine avant la Journée mondiale de l’eau.
Ses auteurs réclament des efforts de la part des décideurs et des communautés pour qu’ils revoient leurs politiques en matière d’eau.
Quel instinct de survie que cette chienne a fait preuve pour sauver ses bébés ! C’est vraiment inouï
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Chili : Une chienne enterre ses bébés pour les sauver des flammes
(Crédit photo: capture d’écran, CNN)
TVA Nouvelles d’après CNN
Une chienne a réussi à sauver ses bébés qui étaient menacés lors d’un incendie qui ravageait Valparaiso, au Chili, la semaine dernière.
La vaillante mère a décidé d’enterrer ses petits pour les protéger des flammes brûlantes.
Il a fallu environ une heure aux sauveteurs pour sortir les chiots du trou. Il semble qu’ils s’en sortiront tous sans blessure.
(Crédit photo: capture d’écran, CNN)
(Crédit photo: capture d’écran, CNN)
L’alimentation via l’imprimante 3D, je me demande jusqu’où nous pouvons aller avec la technologie. Serais-ce la nourriture de demain ? Ou bonne vieille culture sera chose du passé ? Et si un jour la technologie tombe en panne, que se passera-t-il ?
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Exemple de met cuisiné en 3D. Capture d’écran Gentside
Sorti tout droit du cerveau d’une jeune designer néerlandaise, ce projet qui mêle alimentation et nouvelles technologies, risque bien dans l’avenir de modifier le contenu de nos assiettes.
Imaginé par Chloé Rutzerveld, ce projet baptisé «Edible Growth» (pousses comestibles) se présente comme une sorte de pâte dans laquelle se trouve mélangées de la terre comestible, ainsi que des graines qui ne demandent qu’à germer.
Approchée par l’organisme de recherche TNO pour développer un projet autour des questions touchant à l’alimentation et à l’impression 3D, Chloé Rutzerveld a donc créé ces structures de pâte qui contiennent des graines, des spores ainsi que des levures de fermentation.
Une fois imprimées, celles-ci offrent un terrain favorable aux graines pour germer. Au bout de 3 à 5 jours, lorsque les champignons et autres herbes sont arrivés à maturité, il ne reste plus au consommateur qu’à déguster l’ensemble de la structure.
Avec sa démarche innovante, la designer entend créer dans les années futures une véritable nourriture alternative, saine, équilibrée et bio qui permet également d’offrir de nouvelles perspectives en matière de création culinaire.