Grandir


Tout au long de la vie, nous amassons des expériences a travers les épreuves, les personnes, puis nous empruntons d’autres routes, changeant ainsi l’environnement, et délaissant toujours quelque chose derrière nous
Nuage

 

Grandir

 

 

 

« Je pense que grandir, c’est toujours une histoire de choses à abandonner et d’expériences à emmagasiner. »

Larry Clark

Cet interprète en langue des signes a volé la vedette


Ce n’est vraiment pas le candidat qui attire l’attention, mais bien l’interprète qui a traduit en langue des signes qui mérite tous les applaudissements
Nuage

 

Cet interprète en langue des signes a volé la vedette

 

 

Lors d’un concert visant à sélectionner le candidat qui va représenter la Suède lors de l’Eurovision en mai, les chanteurs n’ont pas forcément été le plus à l’honneur. A la télévision scandinave, c’est bien Tommy Krangh, un interprète en langue des signes, qui a volé la vedette.

Comme on peut le voir dans la vidéo en haut de l’article, celui-ci s’est fendu d’une chorégraphie énergique en même temps qu’il traduisait avec ses mains les paroles du candidat Magnus Carlsson sur scène.

Cette vidéo est devenue rapidement virale ce week-end, figurant en bonne place dans les sujets les plus commentés sur le site communautaire Reddit.

« Certains jours, je voudrais avoir un travail que j’aime autant que lui aime le sien », écrit l’internaute jdwoodman.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Le Saviez-Vous ► Chat : son mystérieux sixième sens


Je ne crois pas qu’il y a beaucoup de recherches scientifiques sur ce que l’on appelle le sixième sens des chats. Cependant nombre de maîtres pourraient raconter des anecdotes surprenantes de petites boules de poils. Comment des chats ont pu retrouver le chemin de la maison après avoir été perdu à des kilomètres ? À prédire la mort d’une personne parfois inconnue ?
Nuage

 

Chat : son mystérieux sixième sens

 

Chez le chat, comme chez d’autres animaux, on parle d’un sixième sens. Pourquoi ? Il en existe 5 principaux : la vue, l’ouïe, l’odorat, le toucher et le goût. Mais, chez nombre d’animaux, et en particulier le chat, il y’a quelque chose qui nous échappe, des facultées étranges. C’est le mystérieux sixième sens.

Le retour au maître

Quand on parle du sixième sens des chats, le premier élément qui nous vient à l’esprit est le retour au maître. Périodiquement, la presse nous en cite un nouveau cas. Il existe deux catégories dans les chats qui retournent auprès de leur maitre après avoir été perdus ou laissés chez une autre personne après un déménagement. Pour expliquer, le mieux est de donner des exemples. Je vais commencer par celui qui s’explique le mieux. Le cas où un chat retourne dans un lieu où il a déjà été.

En avril 1977, un chat du nom de Pompom réapparait chez ses maitres à Fontainebleau. Ils l’avaient perdu 2 ans plus tôt à Sanary, dans le Var, lors de vacances. En 1978, Minouche s’enfuit de la voiture de ses maîtres près de Vierzon. 11 mois plus tard, il est de retour à leur domicile, à Dôle, à plus de 400 kilomètres de là. Il est amaigri et ses griffes sont usées.

Déjà plus étonnant est le cas de ce chat australien, perdu par son maitre alors qu’il campait. Le félin a parcouru près de 2400 kilomètres pour retourner chez lui. Son maitre dit de leurs retrouvailles :

 » Il était d’une affreuse maigreur et sentait mauvais. Lorsque je l’appelait par son nom, ses yeux s’éclairèrent e t-il se mit à ronronner. « .

Emouvant

Dans d’autres cas, on comprend moins. Ainsi l’aventure de la chatte Amado, qui nous est contée en 1986 par Jean Prieur dans son livre l’Ame des animaux. Certes, Amado ne parcourut que 25 kilomètres. Sa maîtresse,  une vieille fermière provençale, se sentant près de mourir, avait confié la chatte à une de ses amies, habitant de l’autre côté du Rhone. L’exploit d’Amado parait plus extraordinaire lorsqu’on sait que cette chatte était aveugle et que, sur cette partie du Rhone, il n’existe qu’un seul pont sur plus de 20km. Pourtant, au bout de 15 jours, la vieille fermière entend un gémissement devant sa porte. C’est Amado. La chatte aveugle, sale, très maigre, les pattes en sang, a réussi à retrouver son chemin.

 

Dans ce genre de cas, même si le chat est handicapé, on peut avancer une hypothèse. Le chat retourne dans un lieu où il a déjà été. Probablement suit-il des points de repère, visuels, auditifs ou olfactifs. Une certaine maison, le son d’une cloche. Il procède par la méthode des essais et des erreurs. Il fait jouer sa mémoire et, s’il s’est trompé, revient sur ses pas jusqu’à retrouver son chemin. Au bout d’un moment, il rentre chez lui.

Mais lorsque le chat retrouve ses maîtres dans un lieu où il n’a jamais été ?


 

Là, le mystère s’épaissit. Le cas le plus célèbre de ce genre d’histoire est sans doute celui du persan Sugar. Il vivait en Californie avec ses maîtres. Ceux-ci ont déménagé dans l’Oklahoma. Sur la route, ils se rendirent compte au bout d’un moment que Sugar avait sauté par la fenêtre. La famille continua malgré tout sa route et atteignit son nouveau domicile dans l’Oklahoma. Quatorze mois plus tard, quelle ne fut pas la stupéfaction des maîtres de Sugar de voir entrer leur persan par la fenêtre de la cuisine ! Le chat saute sur l’épaule de sa maîtresse qui le reconnait. Aucun doute n’est permis, en raison de l’excroissance osseuse à la hanche qui identifie Sugar. Le persan, malgré les 2500 kilomètres parcourus, est en bon état.


 

Sugar, comme d’autres chats, n’était jamais allé dans le lieu où il a rejoint ses maîtres. Comment a-t-il fait ? Est-ce mystérieux sixième sens qui lui a permis de s’orienter ? Mais surtout, pourquoi ces chats, souvent au mépris de leur santé et au risque d’y laisser leur vie, s’obstinent-ils à retrouver leurs maîtres ?

 

Chats médiums

Parfois, on a l’impression que le chat lit dans nos pensées. Serait-il télépathe ? Existerait-il un lien mental entre chat et humain ? Il y’a des millénaires, c’est déjà ce que pensaient les anciens égyptiens, pour qui le chat était une figure emblématique. Ainsi, sur un papyrus découvert à Saqqarah on peut lire :

 » Lorsque tu pense, il [ le chat ] t’entend même si tes lèvres ne bougent pas et si ta bouche ne prononce aucun mot. Il lit en toi avec le regard des dieux « .

Au Moyen-Age, la croyance a perduré, mais sous une autre forme. On disait alors que les sorcières communiquaient avec leur chat par télépathie. Après tout, on a bien finit par admettre que de tels capacités, télépathie ou même psychokynésie ( action sur la matière par la seule force de la pensée ), existaient chez certains humains. L’exemple le plus célèbre est celui de l’américain Uri Geller, télépathe reconnu. Le chat est-il doté de pareils pouvoirs ?


 

Certains chercheurs ont essayé de prouver la télépathie entre homme et chat. Karlis Osis, un chercheur américain, a imaginé une expérience dans le but de démontrer que le chat pouvait être influencé par télépathie. On dispose pour cela deux coupelles de nourriture placées à chaque extrémité d’une boîte en forme de T. L’observateur essaye alors, par la pensée, d’influencer le chat à choisir une coupelle plutôt que l’autre. Dans la plupart des cas, ils y parvient. Il existe donc un certain degré de transmission de pensée entre l’homme et le chat.

 

Un chercheur allemand, Schmidt, a quant à lui tenté une expérience afin de prouver l’existence d’une certaine psychokynésie chez le chat. Il a pour cela imaginé un dispositif constitué d’un  » générateur de hasard « , qui envoie, au hasard, du courant dans l’une ou l’autre de deux lampes à infrarouge, qui génèrent de la chaleur. Il est impossible de prévoir laquelle des deux s’allumera. Au total, sur un certain temps, elles s’allument un nombre de fois identique. L’une des lampes est placée dans une enceinte où il ne fait pas très chaud. On introduit un chat dans cette enceinte. Rassurez vous, le chat est bien traité. On remarque que, dès que le chat est en présence, le générateur se détraque. La lampe de l’enceinte où est situé le chat s’allume beaucoup plus souvent que l’autre. Comme si le désir de chaleur du félin influait sur le générateur. Tout redevient d’ailleurs normal lorsqu’on enlève le chat.


 

Télépathie, psychokynésie . . . Le chat et ses mystérieuse capacités ne cesseront jamais de nous étonner. Et de nous fasciner. Quel est donc ce mystérieux sixième sens de nos compagnons félins ? La science essaye de le découvrir, mais le secret nous échappe encore.

Quand vient la mort

le chat sent-il venir la mort ? Il semble en tout cas avoir conscience aussi bien de sa propre fin à venir que de celle de ses proches humains. Il peut s’isoler, mais nombreux sont les chats qui, se sentant partir, réclament au soir caresses et câlins avec insistance, sont plus affectueux que d’ordinaire. Ensuite il cherche un endroit calme et s’endort. Le lendemain, on retrouve son corps déjà froid. Paisiblement endormi de son dernier sommeil. Le chat possède des capacités qui nous échappe. Leur sixième sens se manifeste aussi quand vient la mort.


 

Oui, le chat sent arriver sa propre mort. Dans la plupart des cas il s’isole, cherche un endroit calme pour partir en paix. Il peut aussi se montrer plus affectueux, chercher une dernière fois le contact avec ses maîtres avant de les quitter. Le lendemain, on le voit, apparemment paisiblement endormi. Sa fourrure est froide, il est inerte. Mort. Il le savait, sentait qu’il partait. Cela ne fait aucun doute. Les exemple sont nombreux. Ainsi, le philosophe russe Nicolas Berdiaeff nous raconte que son chat Mourry, se sentant proche de sa fin, entra dans la chambre d’une personne gravement malade et sauta sur son lit. Il mourru juste après.


 

Qui ne connaît l’histoire d’Oscar, ce chat qui prédit la mort ? D’habitude plutôt distant avec les patients, venait un moment où il ne les quittait plus. Peu après ceux-ci mourraient. Oscar les sentait partir. Il n’est pas le seul chat dans ce cas, à deviner la mort prochaine des humains qu’il côtoie. Certains hôpitaux, chez nous comme de l’autre côté de l’Atlantique, abritent des chats. Les témoignages affirment que les petits félins, tels Oscar, vont sur les lits des personnes qui ne tarderont pas à mourir.

Il y a quelques années, à Paris, un chat dont le maître était à l’hôpital ( le chat n’y était pas ) se mit à hurler en pleine nuit, apparemment sans raison. Exactement au même moment, son maître mourrait . . . Par la suite, le chat refusa obstinément d’entrer dans l’ancienne chambre de son maître.


 

Il ya aussi des chats qui restent fidèles à leur maître même après la disparition de celui-ci. On cite l’exemple de ce chat qui, il y a quelques années également, ne quittait pas la tombe de son maître au cimetière de Thouars, dans les Deux-Sèvres. Certains chats vont jusqu’à se laisser mourir ainsi. Volontairement. Pourquoi ? On peut se poser la question.

Comment les chats savent-ils qu’ils vont mourir ? Comment font-ils pour connaître la fin prochaine de leurs proches ? Tout cela reste un mystère. Le sixième sens, on ne peut pour l’instant dire que cela. Le chat ne voit pas le monde avec les mêmes yeux que nous. Son univers est manifestement très différent du notre.

http://feline-world.e-monsite.com/

Vivre dans un café Internet


Quel triste qualificatif : travailleur-jetable. Au Japon, un phénomène social s’est formé dans les cyber-cafés pour les sans emplois, ceux qui restent trop loin pour rentrer à la maison, un hébergement à long terme dans une pièce grand comme un placard
Nuage

 

Vivre dans un café Internet

 

Scène tirée du documentaire Les réfugiés des Net Café de Shiho Fukada

Photo: Pulitzer CenterScène tirée du documentaire Les réfugiés des Net Café de Shiho Fukada

Fabien Deglise

Il s’appelle Tadayuki Sukai. Il a perdu son emploi et depuis quatre mois, il habite dans… un café Internet de Tokyo au Japon. Et il n’est pas le seul à avoir élu domicile fixe dans un placard. Au sens presque propre.

Le phénomène est troublant. Dans la capitale japonaise, les cafés Internet sont devenus en effet des lieux d’hébergement à temps plein pour des exclus du marché du travail, mais également pour des centaines de travailleurs qui n’ont pas le temps de rentrer chez eux le soir, dans les banlieues éloignées, entre deux journées trop chargées en heures supplémentaires.

La tendance s’est ancrée dans le tissu social nippon au début des années 90, avec l’apparition de ces cafés branchés offrant des postes informatiques dans des cabines individuelles pour accéder à l’Internet. Elle a pris de l’ampleur dans les dernières années sous l’effet de la crise économique qui frappe le Japon et de l’augmentation du coût de la vie, particulièrement en zone urbaine où l’accès à un toit est problématique, particulièrement pour les 38 % des travailleurs temporaires que compte le pays.

En 10 minutes, le réalisateur Shiho Fukada témoigne de cette étrange réalité dans un web-documentaire sensible présenté en ligne et intitulé Les réfugiés des Net Café. (voir la vidéo) L’objet est la composante d’une série de capsules qui explorent le thème des travailleurs-jetables au Japon. Claustrophobes s’abstenir.

http://www.ledevoir.com/

Éclipse solaire: est-ce que ça rend aveugle pour vrai?


L’Europe sera le spectateur de phénomène astral vendredi prochain. Je me souviens lors d’éclipse solaire plus jeune qu’il y avait  des messages de préventions  à la télé et radio pour éviter les brûlures aux yeux, il y eut quand même des gens qui ont défié l’éclipse  et ont eu des séquelles aux yeux
Nuage

 

Éclipse solaire: est-ce que ça rend aveugle pour vrai?

 

Éclipse solaire: est-ce que ça rend aveugle pour vrai?

Photo Fotolia

Vendredi 20 mars, les Européens pourront observer un phénomène astral assez spectaculaire: l’alignement total de la Terre, de la lune et du soleil; une éclipse solaire. Il s’agira la dixième en un siècle. Un spectacle qui vaut la peine d’être observé, mais non sans précaution.

Seul l’Atlantique Nord, dont les îles Féroé et l’archipel norvégien du Svalbard, profitera d’une disparition totale du soleil derrière la lune. Mais l’éclipse partielle sera visible dans toute l’Europe et au nord de l’Afrique. En France, l’occultation du soleil pourra aller jusqu’à 80 % selon les zones, et se produira entre 9h et 12h.

Qu’il soit partiel ou total, le phénomène représente un vrai danger à observer à l’oeil nu. Il est donc indispensable de s’équiper de lunettes adaptées. Sans cela, les rayons infrarouges de l’astre solaire provoquent des brûlures irréversibles de la rétine, même lors d’une exposition de quelques secondes. Ces effets peuvent entraîner une grave altération de la vue, voire la cécité.

LES FAUSSES BONNES IDÉES

Dans tous les cas, il faut éviter de fixer le ciel avec de simples lunettes de soleil, très insuffisantes pour protéger l’oeil des rayons solaires. Les instruments optiques, comme les jumelles ou les objectifs d’appareil photo, sont à bannir aussi, tout comme les verres fumés ou les bricolages maison, du type superposition de films radiologiques. Les masques de soudeur ne sont pas non plus forcément adaptés aux infrarouges.

Le seul équipement recommandé sont des lunettes spéciales, filtrant la lumière et constituées soit en polymère noir, soit en polyester recouvert d’une fine couche d’aluminium.

Pour se les procurer, on peut se rendre en pharmacie, chez les opticiens ou dans les clubs d’astronomie.

Enfin, il est également conseillé de faire des pauses lors de l’observation pour ne pas fixer le phénomène de trop longues minutes d’affilée, et reposer ses yeux.

http://fr.canoe.ca/

Les sacs de plastique, victimes innocentes des écologistes


Je ne suis pas tout à fait d’accord avec l’auteur surtout à la fin, cependant le sujet des sacs de plastiques et des sacs réutilisables devraient à mon avis être bien réfléchi non pas pour les sources de revenus, mais vraiment pour l’environnement. Je trouvais l’idée de bannir les sacs de plastiques était une bonne chose, cependant, les sacs réutilisables ne sont pas toujours lavables et cela peut entraîner des contaminations croisées (dû aux achats a l’épicerie) Un autre point important, ils ne sont pas recyclables alors que les sacs de plastiques peuvent être recyclé
Nuage

 

Les sacs de plastique, victimes innocentes des écologistes

 

    Pour éviter un affrontement avec les groupes écologistes, les grandes chaînes d’alimentation ont mis fin à la gratuité des sacs de plastique pour favoriser l’emploi des sacs réutilisables. Pourtant, les consommateurs aimaient les sacs de plastique parce qu’ils les réutilisaient entre autres pour les besoins de leur chien et les déchets de cuisine. Maintenant, ils doivent acheter des sacs encore plus néfastes pour l’environnement.

    Les sacs réutilisables

    Les sacs réutilisables ne sont pas aussi écologiques qu’on le croit. Ils sont une source énorme de pollution. Ils ne sont pas recyclables, consomment du pétrole, et sont une source de contamination bactériologique.

    Les sacs réutilisables ont une durée de vie relativement courte et la plupart ne sont pas recyclables. Ils sont munis de poignées faites de matières non recyclables. Il faut les enlever avant de les mettre au recyclage, ce qui est rarement fait.

    Au final, l’utilisation des sacs réutilisables donne bonne conscience aux consommateurs, mais contribue à polluer l’environnement.

    Les sacs de plastique recyclables

    Jusqu’à maintenant, les sacs de plastique étaient considérés comme des déchets nuisibles à l’environnement et non recyclables. Aujourd’hui, presque tous les sacs de plastique sont recyclables en billes de résine. Il est donc possible de leur donner une deuxième vie en les transformant en d’autres produits de plastique.

    Trente sacs d’épicerie produisent suffisamment de résine pour fabriquer un pot à fleurs. On peut aussi fabriquer des matériaux de construction comme par exemple des drains agricoles.

    Questionnement face aux sacs réutilisables

    Vaut-il mieux utiliser des sacs réutilisables, mais non recyclables ou consommer des sacs de plastique qui sont complètement recyclables? On est en droit de se demander lequel des deux sacs laisse l’empreinte écologique la moins importante.

    Mais la foi écologiste ne tolère pas le doute? Dans la religion écologiste, comme dans toutes les religions d’ailleurs, ce qui compte c’est le symbole. Si en plus, les groupes écologistes en retirent des avantages financiers, c’est la cerise sur le gâteau.

    Selon Protégez-vous, les revenus générés par la vente des sacs de plastique sont redistribués aux nombreux groupes écologistes qui polluent le Québec :

  • Archambault verse les recettes de la vente de ses sacs au Jour de la Terre.

  • Les quincailleries Rona réinvestissent l’argent dans des projets écoresponsables gérés par des groupes écologistes.

  • Les supermarchés Loblaws, Provigo et Maxi, versent les recettes à l’organisme WWF-Canada.

  • Metro, Super C et Marché Richelieu, contribuent au financement des Fonds Éco École du Québec et de l’Ontario.

Pourquoi abandonner maintenant?

Forts du succès de leur campagne en faveur des sacs réutilisables, les écologistes militent maintenant pour le bannissement pur et simple de tous les sacs de plastique. On a la foi ou on ne l’a pas. Espèrent-ils y trouver une nouvelle source de financement, une ristourne sur la vente des sacs réutilisables, par exemple?

Le bannissement des sacs de plastique est un sujet qui revient périodiquement dans l’actualité. Il s’agit d’une solution simpliste à laquelle les médias, souvent par manque de rigueur journalistique, prêtent de fausses vertus. Selon Recyc-Québec, les sacs de plastique représentent moins de 2 % de l’ensemble des matières résiduelles générées annuellement. Par contre, la paille d’un contenant individuel de jus de fruit contient plus de plastique qu’un sac d’épicerie.

Le 4 mars dernier, la Ville de Montréal a annoncé la tenue d’une consultation publique sur l’avenir des sacs de plastique. Ballon politique ou réelle intention?

Les édiles municipaux n’ont-ils pas d’autres priorités? Les nids de poule ou devrais-je dire les cratères qui rendent nos rues impraticables, voire dangereuses, les infrastructures d’aqueduc qui laissent fuir en pure perte 40% de l’eau traitée, la signalisation routière aléatoire, etc. Ces mégas problèmes auraient-ils tous été éliminés sans que personne ne s’en aperçoive? Ou plutôt serait-ce pour amadouer le puissant lobby des écologistes?

Conclusion

Le lobby écologiste québécois a un tel pouvoir médiatique que rares sont les politiciens qui osent les confronter, mais nombreux sont ceux qui propagent son discours dans la plus pure tradition des idiots utiles. Malheureusement, le coup de gueule du maire de Saguenay, Jean Tremblay, qui a osé accuser Greenpeace de fauteur de trouble, est une trop rare exception.

Les groupes écologistes sont une nuisance considérable au développement social et économique du Québec. Il faudra bien un jour mettre fin aux abus et surtout au financement public d’organisation dont le but non avoué est de ramener le Québec au Moyen-Âge.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Faire face à ses regrets


En vieillissant, nous avons tous des regrets, certains semblent venir nous hanter alors que d’autres s’estompent. Pourtant, il est probable que nous aurions agi de la même façon, si cela était à refaire dans le même état d’esprit. Car notre présent est changé en rapport au passé. Et de toute manière, ce n’est pas avec les  »Si » que nous pourrions changer les choses, car nulle ne sait ce qu’aurait été la suite des évènements
Nuage

 

Faire face à ses regrets

 

regrets

    Photo :Getty Images
Isabelle Bergeron
 

«Si j’avais…», «J’aurais donc dû…», on traîne nos regrets comme de véritables boulets! Les conseils d’une spécialiste pour s’en détacher.

Peut-on vivre toute une vie sans avoir le moindre regret? C’est peu probable.

«Néanmoins, certaines personnes semblent n’avoir que très rarement des regrets, alors que chez d’autres, ceux-ci prennent une place démesurée», remarque Rose-Marie Charest, présidente de l’Ordre des psychologues du Québec.

Ce qui les distingue? Les premières, souvent optimistes, savent tirer le positif de toute expérience, alors que les secondes sont généralement plus pessimistes. Les perfectionnistes, les gens qui craignent l’échec et ceux ayant une forte tendance à la procrastination sont aussi plus susceptibles d’accumuler les regrets.

Par ailleurs, la nature de nos regrets a aussi un impact sur la façon dont on les gérera. Selon plusieurs recherches, il semble qu’il soit un peu plus facile de vivre avec le regret de quelque chose qu’on a fait que de quelque chose qu’on n’a pas fait. Alors que le premier a tendance à se dissiper avec le temps, le second, plus insidieux, peut prendre racine pour longtemps. Mais quel que soit le regret qui nous empoisonne la vie, on peut arriver à s’en défaire. Une bonne raison d’y travailler: selon une étude de l’université Concordia de 2011, lorsqu’on se compare avec plus mal loti que soi, on arrive mieux à surmonter nos regrets, et ça a une incidence positive sur notre bien-être émotionnel. En revanche, entretenir des regrets engendrerait un trouble émotionnel qui affecterait jusqu’à notre santé physique.

Pour y arriver, un pas à la fois

1. Faire preuve d’indulgence envers soi-même.

Qu’on regrette d’avoir refusé tel emploi ou de ne pas avoir dit: «Je t’aime» à telle personne, quelle que soit la nature de notre regret, on doit d’abord accepter qu’on ne pourra pas changer les choses. Et se pardonner.

«On doit aussi réaliser que regarder le passé avec notre regard présent est un exercice biaisé, note la psychologue. On n’est pas tout à fait pareille, on a évolué. On peut avoir oublié l’état d’esprit dans lequel on se trouvait alors, ainsi que les raisons qui ont motivé notre choix.»

Dans le cas d’un regret dû à l’inaction, on doit se rappeler qu’on ne sait pas ce qui serait arrivé si on avait posé tel geste ou dit telle chose.

2. Faire le deuil des choix qu’on ne fait pas.

«On peut généralement associer un regret avec un choix qu’on a fait, dit Rose-Marie Charest. Or, ce choix s’est fait au détriment d’un autre. Si on commence à jouer avec les «si» en s’imaginant les mille possibilités qui en découlent, on n’a pas fini! On assume nos choix et on accepte ceux qu’on ne fait pas.»

3. Notre personnalité est-elle en cause?

Peut-être aurait-on avantage à travailler sur notre personnalité, surtout si on est du genre à regretter souvent. S’attarder davantage au positif dans notre vie, apprendre à reconnaître nos bons coups, à apprécier nos résultats même s’ils sont plus modestes qu’on ne l’avait espéré, travailler sur notre tolérance à l’échec, etc. Enfin, se servir de nos regrets pour tirer des leçons:

«Je ne lui ai jamais avoué mes sentiments, désormais je vais m’efforcer de m’exprimer davantage…»

4. Il faut se concentrer sur le présent et se projeter dans l’avenir, dit Rose- Marie Charest.

À partir d’aujourd’hui, qu’est-ce qui est important? Qu’est-ce que je veux vraiment? Il est essentiel de focaliser sur ici et maintenant, et de faire des plans pour le futur.

Si on ne prévoit jamais rien, qu’on se laisse toujours aller au gré du hasard, les occasions de regretter seront assurément plus nombreuses, affirme la psychologue.

Un livre pour s’aider:
Ne laissez plus les regrets vous gâcher la vie, par Serge Ciccotti, Marabout, 2010, 256 p., 9,99$.

http://www.coupdepouce.com/

La truffe du chien, avenir du dépistage du cancer ?


Nous avons souvent connaissance que des chiens détectent des cancers spécifiques. Mais leur odorat fait beaucoup plus que détecté tel type de cancer, les chiens peuvent sentir n’importe quel cancer. Les chiens ont vraiment du potentiel qui pourrait être vraiment utile dans le domaine de la santé autant pour dépister le cancer, mais aussi avec les patients
Nuage

 

La truffe du chien, avenir du dépistage du cancer ?

Le berger malinois fait partie des races les plus utilisées comme chien renifleur. ©ARDEA/MARY EVANS/SIPA

Par Hugo Jalinière

De nouvelles données viennent confirmer le potentiel clinique remarquable des capacités olfactives des chiens renifleurs dans la détection des cancers.

CANCER. Cela peut surprendre, mais la cancérologie s’intéresse de plus en plus à la truffe du chien. En effet, les capacités olfactives du meilleur ami de l’homme seraient très efficaces pour la détection de nombreux cancers. Le dernier exemple en date a été présenté le 6 mars 2015 à l’occasion du Congrès annuel de la Société américaine d’endocrinologie. Frankie, un chien renifleur dressé a été en mesure de détecter le cancer de la thyroïde avec une précision de près de 90% selon les chercheurs. Mieux, le chien a été en mesure de faire la différence entre les personnes atteintes de nodules bénins et celles touchées par un cancer.

Pister dans l’urine les marqueurs du cancer

Le chercheur Arny Ferrando récompense Frankie, l’un des chiens renifleurs dressés à la détection de cancer dans les urines (©University of Arkansas Medical Sciences).

Les chercheurs de la faculté de médecine de l’Arkansas ont recruté 34 participants pour leur étude : 15 atteintes d’un cancer de la thyroïde et 19 présentant des tumeurs bénignes. Des échantillons d’urines de chacune de ces personnes ont été reniflés par Frankie qui a livré le « bon diagnostic » pour 30 des 34 participants. Soit une fiabilité diagnostique de 88,02% ! Une petite prouesse quand on sait qu’il est parfois difficile de distinguer ces nodules bénins de tumeurs cancéreuses. Une délicatesse diagnostique au cœur de la décision de procéder à une thyroïdectomie ou non. En fait, grâce à ses fines capacités olfactives, un chien bien entraîné est en mesure de « pister » dans l’urine des composés organiques volatils marqueurs du cancer de la thyroïde.

Le dépistage du cancer de la thyroïde se fait grâce au dosage dans le sang des TSH (Thyroid Stimulating Hormones) qui régulent la production des hormones thyroïdiennes, une échographie du cou (pour déterminer la nature d’une éventuelle « boule »), une cytoponction (prélèvement des cellules du goître pour les analyser), et une scintigraphie thyroïdienne.

Ce n’est pas la première fois que les capacités olfactives du chien sont mises en avant pour leur efficacité à détecter des cancers.

En 2014, une étude de l’Instituto Clinico Humanitas de Milan avait montré que des chiens renifleurs s’étaient révélés plus efficaces à détecter les cancers de la prostate que le test PSA de référence.

Et en 2011, déjà, une expérience réalisée dans l’armée française avait montré qu’un berger malinois avait réussi à détecter 30 malades sur 33 d’après leurs échantillons d’urine.

Mais cette fois, les chercheurs américains sont allés plus loin :

« Ce que nous avons fait, personne ne l’avait fait avant, explique Arny Ferrando, premier auteur de l’étude.

En effet, non seulement leur expérience a porté sur le cancer de la thyroïde – jamais pris en compte dans ce type d’étude – mais surtout, les chercheurs ont demandé au chien de distinguer des nodules bénins de tumeurs cancéreuses. Les précédentes études avaient consisté pour les chiens à distinguer des personnes saines de personnes atteintes de cancer. 

« Nous sommes passés à l’étape suivante en demandant au chien de nous dire si le cancer existait avant même que le système de diagnostic médical ne le fasse, ajoute encore le Dr Arny Ferrando. Nous avons voulu savoir : le docteur peut-il utiliser le chien pour aider au diagnostic. »

Jusqu’ici, les résultats conduisent les chercheurs à croire que la réponse est « oui » selon le communiqué de l’université.

« Nous avons examiné cela avec scepticisme, d’un point de vue scientifique, mais les données recueillies n’ont fait que valider le fait que les chiens présentent un potentiel clinique remarquable », conclut Arny Ferrando. 

http://www.sciencesetavenir.fr/