L’éducation


La faim de la connaissance, sort toutes personnes de l’ignorance. Sans éducation, ce n’est qu’un ramassis de légendes et une servitude néfaste
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L’éducation

 

« L’éducation ne consiste pas à gaver mais à donner faim. »

Michel Tardy

Le Saviez-Vous ► Top 10 des vrais savants fous, les zinzins en blouse blanche qui ont existé


Des scientifiques dont leurs méthodes et résultats donnent des frissons dans le dos. On pourrait juger certains de tueurs en séries sous le prétexte de la science. D’autres, c’est à se poser des questions sur leur intelligence et certains leurs affreuses méthodes a quand même servi à la science
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Top 10 des vrais savants fous, les zinzins en blouse blanche qui ont existé

 

  • L’image d’Épinal du savant fou voudrait nous montrer un taré avec des cheveux blancs en bataille qui manipule des liquides de toutes les couleurs dans un labo un soir d’orage en riant comme un maniaque. Et parfois il faut reconnaître qu’on en n’est pas loin du tout. En voulant vous faire une liste des scientifiques complètement perchés, on s’est rendus comptes qu’ils ne rentraient pas tous dans la même catégorie : entre les doux-dingues, les tarés cruels et les curieux malsains, le panel était plutôt fourni. Une chose est sûre cependant, tous ces mecs en avaient un grain et leurs cobayes ne sont souvent pas là pour en témoigner.

    1- Josef Mengele – L’ange de la mort

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    Source photo : polityka

Mengele est le symbole des atrocités que commirent les nazis dans les camps au nom de la médecine et de la recherche, même s’il n’y avait rien de médical dans les tortures infligées aux prisonniers d’Auschwitz.

Officier SS passionné par la génétique, Josef Mengele voit dans la masse de déportés un vivier sans fin sur lequel expérimenter.

Pour trouver une résonance médicale aux thèses aryennes (c’est ce qu’il dit en tout cas), il étudie en détail des centaines de jumeaux auxquels il injecte le typhus ou qu’il ampute sans raison. Son fait d’arme, avoir essayé de constituer des siamois en attachant 2 jumeaux (ça n’a pas fonctionné. Du tout.)

2-Shiro Ishii – Unité 731

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Source photo : answers

On vous a déjà parlé ici même de l’Unité 731, un centre japonais de recherche sur les armes bactériologiques pendant la guerre sino-japonaise de 37-45. Cette jolie installation était tenue par le lieutenant-général Shiro Ishii qui s’était spécialisé dans les expérimentations sur cobayes humains (constitués principalement de prisonniers de guerre).

Il leur fit injecter le bacille du charbon, le choléra ou la peste avant de passer à des produits exotiques comme des transfusions de sang de cheval ou d’eau de mer. Ensuite, il décidé de tester la réponse du corps humain à tout un panel de stimuli : eau bouillante, lance-flammes, congélation, électrocution, rayons X, déshydratation, privation de sommeil etc. Sans surprise, la réponse du corps humain était négative, à tel point qu’on estime le nombre de victimes à près de 10 000 hommes, femmes et enfants.

3-Vladimir Demikhov – Le chien à 2 têtes

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Ndlr : ceci est une photo du chien, pas de Vladimir

Source photo : youtube

Un chien à une tête c’est bien, un chien à deux têtes c’est mieux. C’est en tout cas ce que pense Demikhov, scientifique soviétique spécialisé dans une discipline qu’il a, sinon inventée, en tout cas fortement développée : la « transplantologie ».

 Coeur d’un animal dans un autre, remplacement des poumons et du coeur, et donc, pour finir, la greffe d’une tête de chiot sur un berger-allemand adulte qu’il réalise pour la première fois en 1954. En 15 ans, Vladou créa près d’une vingtaine de petits monstres qui ne survivaient malheureusement (ou heureusement) jamais très longtemps.

4-Sergei Brukhonenko – Autojektor

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Source photo : insanidadeshumanas

Dans les années 20, le scientifique soviétique Brukhonenko met au point une machine nommée « Autojektor » qui est constituée d’un poumon et d’un cœur artificiels.

Il décapite ensuite des chiens, et attache la tête du toutou à la machine infernale et là miracle, la tête s’agite et répond aux stimuli divers. Ces expériences furent cruciales dans le développement et la perfection des opérations à cœur-ouvert, même s’il a fallu pour cela décapiter des pauvres toutous.

5-Sidney Gottlieb – le Sorcier Noir

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Source photo : madscientistblog

Gottlieb était un psychiatre et chimiste de l’armée américaine qui reçu au cour de sa vie plusieurs surnoms sympas comme le Sorcier Noir ou le Sale Escroc

Sa spécialité, les poisons et le contrôle mental mais aussi la danse folklorique, Sidney aimait s’amuser. Son CV est long comme le bras, le mec était pour les cobayes humains, le lavage de cerveau, ou empoisonner Fidel Castro via un cigare, une veste, des chaussures ou un stylo empoisonné et même un coquillage explosif. Touche-à-tout, il fit des recherches sur le contrôle mental en trépanant des prisonniers, et passa un peu de temps à mettre au point des armes ne détruisant que certaines populations comme les cubains ou les nicaraguayens, sans succès là non plus. Un vrai curieux qui ira même jusqu’à travailler sur le paranormal et la « vision à distance ».

6-Johann Conrad Dippel – l’alchimiste allumé

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photo (creative commons) : wikipedia

Devinez où habitait Dippel, théologien, médecin et alchimiste allemand du XVIIe ? Au château de Frankenstein. Le rapport semble tout fait avec le personnage du roman de Mary Shelley mais rien n’est moins sûr.

 On sait cependant que Dippel ne reculait devant aucune expérience. Il aurait tenté un temps de transvaser une âme d’un corps à un autre (sans résultat, bizarrement), mais s’il est connu aujourd’hui c’est pour avoir inventé un élixir de jouvence, une huile nauséabonde obtenue en partie grâce à des os d’animaux.

Si l’huile n’a pas fonctionné pour son créateur mort en 1734, elle fut quand même utilisée jusqu’à la 2nde Guerre mondiale pour empoisonner des puits et repousser des animaux nuisibles. C’est mieux que rien.

 

7-Harry Harlow – le mal nécessaire ?

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Source photo : famouspsychologists

Pour étudier l’amour et l’importance de la présence d’une mère dans les premiers mois d’un enfant, Harlow décida de séparer dès singes de leur mère dès la naissance en les isolant complètement pendant plusieurs mois dans le « pit of despair », le puits du désespoir.

Ces méthodes cruelles et à l’éthique douteuse qui lui valurent l’ire des défenseurs de la cause animale permirent cependant de sensibiliser l’opinion à l’importance de l’accompagnement lors des premiers stades du développement, ce qui n’était pas chose acquise à l’époque. Mal nécessaire ou cruauté inutile, le débat est encore ouvert.

8-Jack Parsons – fusées et messes noires

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Source photo : wikimedia

Prototype même du savant fou, Jack Parsons est un inventeur, ingénieur et chimiste américain sans qui la conquête spatiale eut été impossible.

Il aurait pu entrer dans l’histoire comme un spécialiste des propulseurs et des fusées mais c’était sans compter son petit penchant pour l’occultisme. Disciple d’Aleister Crowley, il commença à participer à des messes noires, s’essayant même à un rituel avec son pote L. Ron Hubbard pour invoquer la déesse Babalon (sans succès).

Après cela, Hubbard parti fonder le mouvement scientologue et Jack Parsons mourut quand son labo-maison explosa. La police conclut à l’accident mais les emmerdes que Parsons avait eues avec le gouvernement (comme quoi il était un rouge, un coco) ont nourri la thèse de l’assassinat (ou du suicide).

9-Giovanni Aldini – Mister Electric

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Crédits photo (creative commons) : Wikipedia

Son oncle Galvani était un vrai génie. Il avait découvert l’existence d’une électricité animale et des impulsions lancées par le cerveau vers les muscles. Son neveu a décidé d’aller en plus loin en oubliant les grenouilles qui servaient de cobaye pour travailler sur des cadavres humains, notamment celui de George Foster, un meurtrier pendu qu’il « galvanisa » en lui envoyant des chocs électriques. Le cadavre ainsi réanimé marqua les esprits et Aldini rentra dans l’histoire pour avoir fait danser les morts.

10-Stubbins Ffirth – Vomito

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Source photo : kudok

Pas bien méchant le Stubbins, mais un peu zinzin quand même. Alors que la ville où il étudie la médecine, Philadelphie, est ravagée par la fièvre jaune, il émet l’hypothèse qu’elle n’est pas contagieuse et entend bien le prouver.

Il s’expose à des fluides corporels de personnes malades en étalant du vomi contaminé dans ses plaies ou dans ses yeux. Ensuite, il fait frire ce vomi et le respire, sans pour autant tomber malade. Plus sûr de lui que jamais, il s’enduit le corps de sang, de salive et d’urine contaminés, ce qui pour lui est la preuve ultime : la fièvre jaune n’est pas contagieuse. S’il n’avait pas foncièrement tort, la rigueur scientifique de ces expérimentations a été maintes fois remise en causes, certains ajoutant même que c’était « quand même vachement dégueulasse ».

13 fausses croyances en santé


Il y a beaucoup de fausses idées dans le domaine de la santé qu’on a appris étant jeune et que l’on retransmet à nos enfants. Voici quelques unes parmi ces points, que vous avez sûrement déjà entendu
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13 fausses croyances en santé

 

De nombreuses fausses croyances gravitent autour de la santé. Sachez les reconnaître pour éviter les erreurs et les comportements inadaptés.

Une cure de vitamine C prévient le rhume.

Faux.

Inutile de faire une cure de vitamine C en début d’hiver dans le but d’échapper au rhume. Cette croyance n’est pas fondée. La vitamine C n’empêche pas plus les rhumes qu’un placebo.

(source : PloS Med., vol 2, n°6, juin 2005.)

Vous vous sentez un peu fiévreux et fatigué ? Un petit verre d’alcool fort vous aidera à retrouver la forme.

Faux.

Inversement, l’alcool fragilisera inutilement votre organisme.

En cas d’intoxication alimentaire, il faut boire un verre de lait.

Faux.

Le lait n’est pas un anti-poison. En cas d’ingestion d’une substance toxique, il ne faut surtout rien absorber, ni lait, ni eau, ni aucun aliment, lesquels favoriseraient inversement la digestion et l’absorption intestinale des molécules toxiques. Il faut appeler un centre anti-poison.

Les antibiotiques fatiguent.

Faux.

C’est la maladie qui motive la prise d’antibiotiques qui est à l’origine de la fatigue. En revanche, il est vrai que les antibiotiques peuvent parfois être à l’origine d’effets secondaires indésirables : allergies, diarrhées, nausées…

Arrachez un cheveu blanc et dix autres repousseront.

Faux.

L’apparition de cheveux blancs est due au fait que les cellules pigmentaires localisées dans la racine des cheveux ont perdu leur activité. Les arracher n’a aucune influence sur ce phénomène.

Il est dangereux d’utiliser son téléphone portable à l’hôpital.

Faux.

Par mesure de précaution, on recommande d’éteindre son mobile à l’hôpital. A ce jour, les tests effectués n’ont montré des perturbations que sur un faible nombre d´appareils et à des distances d’utilisation de quelques centimètres seulement. On retiendra que le risque d’interférence existe mais qu’il est faible et qu’il faut se plier aux règles de précaution édictées par l’hôpital.

En cas d’intoxication, il faut faire vomir.

Faux.

Il faut contacter le centre anti-poison. Le fait de vomir a pour effet d’augmenter le contact des muqueuses avec le poison.

On peut donner du coca-cola à un enfant qui a la diarrhée.

Faux.

Le danger en cas de diarrhée chez un enfant vient du risque de déshydratation. Pour compenser les pertes excessives en eau et en minéraux, il faut immédiatement lui donner à boire une boisson adaptée, riche en électrolytes, et non du coca-cola dont la composition en sels minéraux ne convient pas.

Lire dans la pénombre abîme les yeux.

Faux.

Le manque de lumière ne risque pas d’endommager la rétine. En revanche, lire dans la pénombre demande plus d’efforts, ce qui risque de fatiguer les muscles oculaires et de favoriser une migraine, voire un état nauséeux.

Les antibiotiques soignent les rhumes, grippes et autre laryngite.

Faux.

Les antibiotiques ne sont efficaces que contre les infections bactériennes. Or les infections de l’hiver sont majoritairement virales et guérissent le plus souvent spontanément en quelques jours. Si le médecin prescrit malgré tout des antibiotiques, c’est qu’il redoute une surinfection bactérienne.

Boire en mangeant est déconseillé.

Faux.

On peut parfaitement boire de l’eau en mangeant. Boire un peu d’eau régulièrement au cours des repas pourrait même aider à manger moins en remplissant l’estomac et en obligeant à manger moins vite…

Les médecines douces sont sans danger.

Faux.

Ce qui est naturel n’est pas forcement sans danger. Par exemple, certaines plantes et de nombreuses huiles essentielles sont contre-indiquées pendant la grossesse, l’allaitement, chez les jeunes enfants, voire chez certaines personnes allergiques. Demandez systématiquement conseil à votre médecin ou à votre pharmacien

.Il faut retarder le plus possible la prise d’un médicament antidouleur.

Faux. 

Il faut prendre un médicament antidouleur dès que celle-ci se fait sentir. Attendre rendra le médicament moins efficace pour vous soulager.

Mis à jour par Isabelle Eustache

Sources : Institut Moncey

http://www.e-sante.fr/

GASTRONOMIE : Ceci est un steak (en réalité virtuelle)


L’art de leurrer le cerveau. Manger des aliments reconnus pour leurs nombres de calories et qui en fait ne serait qu’un mélange d’eau et d’agar-agar, konjac, et gomme d’arabique et sans calorie, mais dégageant des arômes réels. Serais-ce une solution pour éviter de prendre du poids ? Ou plutôt une autre béquille ? Et que pour le côté protéines, vitamines et minéraux ont en fait quoi ?
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GASTRONOMIE : Ceci est un steak (en réalité virtuelle)

 

Dessin de Joe Magee, Londres – Le site web du dessinateur

Dessin de Joe Magee, Londres – Le site web du dessinateur

Elle a l’apparence, l’odeur et la texture d’un aliment savoureux, pourtant c’est une gelée sans calories qu’on prend pour une entrecôte saignante. La vue, l’odorat et le toucher suffisent pour leurrer notre cerveau.

Vous avez déjà voulu manger sans avoir à vous préoccuper des calories que vous ingurgitiez ? Cela peut sembler trop beau pour être vrai mais, si Project Nourished, une expérience de réalité virtuelle visant à simuler le goût de plats réels, aboutit, le temps sera révolu où les allergies et les régimes alimentaires nous empêchaient de manger selon nos envies.

Ce projet, élaboré à Los Angeles par [la start-up] Kokiri Lab, a été inspiré par une scène du film Hook dans laquelle Peter Pan apprend à utiliser son imagination pour voir de la nourriture sur une table vide. Les premiers travaux sont si concluants que le fondateur de la société, Jinsoo An, pense qu’ils pourraient déboucher sur une nouvelle manière de s’alimenter.

“Je trouvais dommage que depuis l’aube de l’humanité notre façon de manger ait si peu évolué, et je voulais que les gens comprennent qu’ils ne sont pas obligés de s’en tenir aux vieux schémas, nous a-t-il confié. Je tiens à préciser que je ne souhaite pas que ce nouveau mode d’alimentation remplace l’actuel, mais qu’il soit perçu comme une autre possibilité.”

Cette expérience sensorielle fait appel au casque de réalité virtuelle Oculus Rift et à des couverts équipés de capteurs pour reproduire des environnements réels. Elle permet de simuler des plats tels que des steaks, des lasagnes, des tartes et des sushis avec des aliments peu caloriques à base d’agar-agar, de gelée de konjac et de gomme arabique. Grâce à des diffuseurs d’arômes, l’utilisateur peut même sentir son steak virtuel avant d’y planter sa fourchette.

Eviter le riz au lait

“Notre première démonstration simulera un endroit fictif du Tokyo d’hier et de demain. On mangera dans cette ville très animée au milieu de gens et d’objets en mouvement. Actuellement, on travaille aussi le rapport eau–agar-agar et la superposition de fines couches d’agar-agar (façon lasagnes) pour obtenir différentes textures, explique M. An. Jusqu’ici nos efforts se sont concentrés sur les sushis, les steaks, les lasagnes et les tartes, car ces plats ont une configuration relativement simple et d’importantes surfaces planes, ce qui les rend plus facilement détectables pour nos capteurs. Les plats qui présentent des formes irrégulières, sont en morceaux ou se désagrègent facilement seront les plus difficiles à simuler. Il est probable que nous éviterons le riz au lait, le poulet aigre-doux et la salade.”

http://www.courrierinternational.com/

Sauvée par une famille, une pie devient leur amie pour la vie.


Ce que je trouve de remarquable dans cette histoire, c’est que cette famille ont laissé la liberté à cet oiseau quand il fût assez en forme pour voler de ses propres ailes. Même, si cette pie, semble domestiquée, il a le choix de vivre comme il l’entend
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Sauvée par une famille, une pie devient leur amie pour la vie.

 

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Après avoir été sauvée et remise sur pied par une jeune famille de Newport, en Australie, une pie surnommée Pingouin est devenue une amie de la famille, rendant régulièrement des visites au domicile des Bloom, afin de jouer avec eux, et de se réfugier là en cas de pluie.

En 2013, Noah, aujourd’hui âgé de 11 ans, a découvert Pingouin, qui tentait de s’envoler, tout près d’une bibliothèque. Après avoir été soigné par Cameron, Sam, et leurs enfants (Reuben, 13 ans, Noah, 11 ans, et Oli, 9 ans), l’oiseau a été libéré, mais depuis, il revient régulièrement chez les Bloom, afin de passer du temps avec eux. La pie rapporte ce qu’on lui lance, sautille dans la maison, et se perche même sur leurs épaules.

Le volatile attend que la famille quitte son domicile, le matin, pour partir vivre sa vie de pie, mais lorsque les enfants rentrent de l’école, il est là pour les accueillir :

“c’est comme un chien qui remue la queue : elle attend dans son arbre, et elle agite alors les ailes, comme si elle était excitée de nous voir”, a expliqué le père de Noah à ABC News.

Plus d’info: Instagram

“Cette jeune pie est entrée dans nos vies à l’âge de trois semaines, lorsqu’elle est tombée d’un arbre.

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Nous l’avons lentement remise sur pied, avec beaucoup d’affection, et un régime alimentaire approprié.

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Elle regarde la télévision, saute sur le trampoline avec les enfants, vole jusqu’à notre lit le matin, et se blottit contre nous.

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Je n’aurais jamais pu imaginer qu’elle allait s’intégrer à ce point à notre famille. Les enfants l’aiment comme ils aimeraient un chien, voire même plus encore.

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Elle est totalement libre, et le matin, elle reste souvent avec nous jusqu’à ce que les enfants partent à l’école, puis elle part vivre sa vie.

 

Si vous agitez vos bras comme des ailes, elle bat des ailes en réponse.

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Elle passe beaucoup de temps dans la maison, à manger les miettes des enfants, et à jouer à des jeux. Elle est vraiment domestiquée.

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Lorsque les enfants jouent au handball avec leurs amis, Pingouin vole d’enfant en enfant, et elle essaie de faire partie du jeu. C’est amusant. Mais assez mouvementé.

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Si d’autres pies trainent dans les parages, par contre, elle court se réfugier dans la maison, car les autres oiseaux l’attaquent, et la picorent.

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Il y a quelques mois de cela, nous avons vu une autre jeune pie, originaire du quartier. Elles ont commencé à jouer ensemble, et elle est venue dans la maison.

 

Pingouin et cette autre pie discutaient, et s’amusaient ensemble. C’était génial.”

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http://bridoz.com/

Quand les rêves deviennent réalité


Encore une fois, la science-fiction semble nous rattraper. Si on peut changer dorénavant les souvenirs d’une souris, il est probable qu’il sera possible dans un avenir rapproché de le faire pour l’homme. Est-ce une bonne où bien une mauvaise chose ?
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Quand les rêves deviennent réalité

 

Neurones de souris sous colorants fluorescents en 2007 - wikipedia.org

Neurones de souris sous colorants fluorescents en 2007 – wikipedia.org

SOPHIE VANDERMOLEN

Des chercheurs français ont réussi à implanter de nouveaux souvenirs dans le cerveau de souris endormies. Une technique qui pourrait un jour être utilisée pour modifier la mémoire de personnes ayant subi un traumatisme.

Les films de science-fiction Total Recall et Inception deviennent réalité… dans le monde des rongeurs. Des chercheurs français de l’Ecole supérieure de physique et de chimie (ESPCI) ont réussi à introduire de faux souvenirs dans l’esprit de souris endormies. Leurs résultats sont publiés dans la revue Nature Neuroscience.

Menée par Karim Benchenane, l’équipe de scientifiques a « piraté » le processus que le cerveau réalise lorsque nous sommes endormis – assimiler les informations obtenues dans la journée – afin de créer de nouveaux souvenirs dans les réseaux neuronaux.

Associer une sensation de plaisir à un emplacement

A l’aide d’électrodes, ils ont d’abord mesuré l’activité des neurones de lieux (une découverte de ces « cellules GPS » qui avait d’ailleurs valu un prix Nobel de médecine en 2013) lorsque les souris étaient libres de déambuler dans leur cage. Puis, pendant que les souris dormaient, et alors que leurs neurones « s’allumaient » quand les souvenirs étaient réactivés, les chercheurs ont stimulé le circuit de récompense, de sorte qu’une sensation de plaisir soit associée à un endroit précis.

A leur réveil les souris ont passé quatre à cinq fois plus de temps dans les coins pour lesquels elles avaient reçu une stimulation et qu’elles associaient désormais à une récompense.

« C’est la première fois que des souvenirs conscients ont été créés dans la tête d’animaux », explique le magazine New Scientist, qui rappelle que jusqu’ici les scientifiques avaient simplement été capables de former des associations subconscientes dans des esprits en sommeil – notamment chez ceux de fumeurs chez qui ils ont associé l’odeur d’œufs et de poisson pourris à celle de cigarettes.

Après les souris, les hommes ?

Karim Benchenane imagine que cette découverte puisse aider à modifier les souvenirs de personnes ayant subi de graves traumatismes.

« Si on peut identifier quelle zone du cerveau s’active lorsqu’une expérience est associée à une peur irrationnelle, on pourrait être capable de créer ce même type d’association, mais positive », explique-t-il.

Cette découverte pourrait toutefois créer des dérives. Les individus ou les gouvernements pourraient altérer les souvenirs d’une personne endormie pour son propre compte.

Pour Loren Frank, professeur à l’université de Californie : « Ce sera très difficile d’arriver à de tels projets, donc je ne suis pas vraiment inquiet, mais il n’est pas impossible que cela se produise. »

http://www.courrierinternational.com/

La dernière tendance maquillage au Japon: avoir l’air malade


Il y a des modes qui sont difficiles à comprendre surtout en 2015, on veut que la femme puisse atteindre une assurance sur ses capacités et son autonomie. Alors pourquoi, qu »ailleurs, les jeunes femmes veulent paraitre malade, en détresse ?
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La dernière tendance maquillage au Japon: avoir l’air malade

 

La prochaine fois que vous vous mettrez du cache-cernes, pensez-y à deux fois. Apparemment, ce look «malade» fait fureur au Japon.

Cette tendance étrange connue comme le «me no shita chiiku», ce qui signifie «blush sous les yeux», est caractérisée par un mélange de peau très pâle, d’yeux gonflés et de peau rougie autour des yeux. Le résultat? Une apparence semblable à celle d’une poupée.

«Selon les écolières japonaises, un visage malade consiste en un visage pâle, des sourcils songeurs et des lèvres et joues légèrement maquillées, explique la blogueuse Kanako Karita. Le look leur donne une allure de demoiselle en détresse qui donne envie aux gens de les protéger.»

Cette tendance est tellement populaire que l’utilisateur de Twitter TCB a créé une campagne de financement populaire pour que sa palette «Petit chaperon rouge» fasse son entrée dans le marché du maquillage.

red riding hood palette
Ne vous méprenez pas, on apprécie l’audace en termes de maquillage, mais on comprend difficilement comment le fait d’avoir l’air d’une demoiselle en détresse peut sembler attirant.

http://quebec.huffingtonpost.ca/