Nos démons intérieurs


Nos démons intérieurs sont nos pires ennemis, que ce soit un défaut, une mauvaise habitude, une addiction, se rattacher trop au passé, des secrets trop lourds à porter, et encore beaucoup d’autres. Nous avons le choix de les nourrir ou de travailler à les éliminer un à un
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Nos démons intérieurs

 

On peut vaincre des milliers d’obstacles et d’adversaires, mais celui qui vainc ses démons intérieurs détient la victoire la plus noble.

Shakyamuni

Un lézard se détend en jouant de la guitare avec une feuille


Wow, c’est une très belle photo. Est-ce pris sur le vif ? Si oui, c’est assez inusité
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Un lézard se détend en jouant de la guitare avec une feuille

 

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Cet article initialement publié sur le Huffington Post États-Unis a été traduit de l’anglais.

À Yogyakarta, en Indonésie, la photographe Aditya Permana a réussi à prendre un lézard en photo tandis qu’il semblait jouer de la guitare avec une feuille.

Aditya Permana a observé l’animal pendant une heure avant que celui-ci ne se place finalement dans cette position.

L’attente en valait définitivement la chandelle!

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Le Saviez-Vous ► Origine de la brosse à dents


La brosse à dents est un outil indispensable pour l’hygiène dentaire. Mais, la brosse à dent telle que nous la connaissons ne date pas de très longtemps
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Origine de la brosse à dents

 

 Petite histoire de la brosse à dents

Dupons Brüssel

    4000 ans avant J.-C., déjà, on se nettoyait les dents… en mâchant des brindilles de margousier aux Indes, en se curant les dents avec des petits morceaux de métaux précieux chez les Babyloniens. Aujourd’hui, la brosse à dents a remplacé ces pratiques. Il lui fallut quelques millénaires pour y parvenir

    Jusqu’au XVe siècle, on se frottait, on se curait les dents, en général avec des végétaux, mais on ne se les brossait pas. Ce n’est qu’en 1498 que les Chinois inventèrent l’ancêtre de notre brosse à dents.

    Du naturel…

    À quoi ressemblait donc la brosse à dents de Napoléon, l’un des premiers fidèles à cet accessoire, si fidèle qu’il en avait un exemplaire dans chacun de ses nécessaires de campagne ? Le manche était en vermeil et les poils en sanglier… Des poils très durs qui agressaient les gencives… Si bien que les Occidentaux adoptèrent un moment les poils de cheval. Mais, quel que soit l’animal, le poil ressemble à un mini tuyau de très faible diamètre : il laisse bien assez de place aux bactéries pour se développer. Non seulement l’ancêtre de notre brosse à dents agressait les gencives, mais elle ne faisait pas de miracles d’hygiène… On comprend aisément qu’elle n’ait trouvé alors que très peu d’amateurs !

    … Au synthétique

    Il fallut attendre la seconde moitié du XXe siècle pour que la brosse à dents commence à se démocratiser et ceci l’hygiène bucco-dentaire : le nylon. C’est en 1937, dans les laboratoires de Du Pont de Nemours, aux États-Unis, que Wallace H. Carothers inventa ce nouveau matériau qui devait, dès l’année suivante, remplacer les poils de sanglier sur les brosses à dents.

    Dur, dur, le nylon…

    Malgré la découverte du nylon, il n’y eut pas d’engouement extraordinaire pour les nouvelles brosses à dents. Car les poils de nylon « première génération » étaient très rigides et mal taillés, ils blessaient facilement les gencives. On travailla alors le diamètre des poils, les extrémités furent arrondies au diamant et contrôlées au microscope… jusqu’à obtenir des poils souples qui permettaient un nettoyage optimal sans agresser les gencives. À partir des années cinquante, les caractéristiques techniques furent de mieux en mieux maîtrisées, les propriétés mécaniques de plus en plus contrôlées et, à la fin du XXe siècle, les brosses à dents atteignaient enfin la « perfection »…

    Mieux que mieux

    Les brosses à dents, devenues « parfaites », il n’y avait donc, a priori, plus rien à inventer. Elles brossaient efficacement, sans agresser la gencive ; les dentistes encourageaient plus que jamais leur utilisation ; combinées aux dentifrices au fluor, elles commençaient à faire des miracles anticaries… Restait donc à convaincre les utilisateurs de leur caractère indispensable et, surtout, à les encourager à s’en servir de manière très régulière. Si cette habitude est désormais acquise, c’est sans aucun doute parce qu’ils ont été informés de l’importance du brossage des dents quotidien, mais aussi parce que les fabricants ont su adapter les modèles de brosses à dents aux différents besoins, aux différentes modes… Le côté esthétique a été travaillé, mais aussi la diversité : les enfants et les seniors n’apprécient pas les mêmes brosses à dents, n’ont pas besoin de la même taille de brosse, du même manche. Chaque détail compte et la brosse à dents doit plaire à son utilisateur pour que ce dernier l’emploie avec l’assiduité nécessaire à son hygiène bucco-dentaire.

    De récentes innovations

    Les brosses à dents « classiques » se déclinent donc en différentes formes, différentes couleurs, et s’adaptent ainsi à toutes les catégories de consommateurs. Cependant, il restait à satisfaire les « cas particuliers ». Car certaines personnes ont des besoins spécifiques : personnes âgées souffrant d’arthrose, récents opérés de la sphère buccale, adolescents appareillés en orthodontie (forme particulière de la tête pour assurer un brossage efficace autour des bagues)… Aujourd’hui, chaque problème trouve sa solution.

  • Brosses à dents équipées d’un manche ergonomique, bi matière, antidérapant pour une meilleure tenue en main.

  • Brosses à dents « chirurgicales » mises au point pour les personnes qui ont subi une intervention de la sphère buccale, qui ont les gencives sensibles ou qui présentent une faiblesse immunitaire. Dotées de poils très fins (12/100e), elles permettent un brossage le plus doux possible, brossage des dents, mais surtout de la zone de gencive bordant les dents.

  • Brosses à dents spécifiques

Pour les porteurs d’appareils orthodontiques. La découpe des brins en forme de toit permet d’accéder plus facilement aux surfaces dentaires situées sous les arcs et une rangée de fibres plus longues permet d’atteindre les endroits les moins accessibles. Tout comme les brosses à dents « chirurgicales », ces brosses ont subi un traitement antibactérien permettant une décontamination entre deux brossages.

Source

« Bien être et Santé »

http://www.pharmaciengiphar.com/

À 8 ans, il vend du chocolat chaud au profit de l’hôpital qui a sauvé son ami


Une vraie preuve d’amitié la plus sincère, la plus significative. Ce jeune garçon, malgré ses 8 ans a compris ce qu’est la véritable amitié et de la vie en générale. Ramasser des dons pour un hôpital pour enfant simplement pour remercier ceux qui ont sauvé son meilleur ami ! La valeur de ce don est encore plus grande que ceux qui demandent des reçus de dons pour les retours d’impôts
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À 8 ans, il vend du chocolat chaud au profit de l’hôpital qui a sauvé son ami

Le jeune  Tristan Regini est un vendeur particulièrement généreux.

Le jeune  Tristan Regini est un vendeur particulièrement généreux.Photo : Capture NBC News

 

ETATS-UNIS Dans le Colorado, un enfant de huit ans à peine a décidé de vendre des chocolats chauds devant l’hôpital qui a soigné l’un de ses meilleurs amis d’un cancer au cerveau. Animé d’une incroyable générosité, le garçonnet reverse tous les profits réalisés à l’établissement.

La valeur n’attend pas le nombre des années. La générosité non plus. A Aurora (Colorado), un enfant de 8 ans s’est improvisé, depuis quelques semaines, vendeur de chocolats chauds et autres sucreries. Une précocité entrepreneuriale qui ne doit rien à l’appât – tout aussi précoce – du gain, mais, qui, au contraire, poursuit un but désintéressé, empli de bonté. Cet argent récolté – à ce jour près de 3.000 dollars tout de même – le jeune Tristan Regini le cède en effet à l’hôpital des enfants de la ville afin de remercier l’établissement d’avoir sauvé de la mort l’un de ses amis, Cade Humphrey.

« L’hôpital lui a sauvé la vie, alors j’essaie de le soutenir en retour, comme je peux »,témoigne le garçonnet au cœur sur la main.

« C’est l’un de mes meilleurs amis »

Son copain Cade avait été hospitalisé en 2013, quand un examen avait révélé une tumeur au cerveau. Après des mois de soins lourds (opération chirurgicale, chimiothérapie, radiations), le mal a fini par refluer. A ce jour, l’enfant ne montre plus aucun signe de maladie. A tel point, rapportent les médias américains, qu’il est venu prêter main forte à son ami, le week-end dernier, sur son stand de douceurs chocolatées.

« Ce qu’il fait est vraiment incroyable », a-t-il déclaré à la presse. « C’est l’un de mes meilleurs amis et son initiative me fait vraiment du bien. »

Du côté des responsables de l’hôpital, l’initiative de Tristan est loin d’être passée inaperçue.

 »Chaque don, petit ou grand, est un investissement dans l’avenir d’un enfant », certifie le responsable en charge de la collecte de fonds de l’établissement hospitalier. « Le don de ce garçon est particulièrement significatif, poursuit ce responsable interrogé par ABC News, car il démontre que les plus jeunes peuvent agir pour améliorer le quotidien à l’hôpital des enfants de leur âge. »

http://www.metronews.fr/

Le mystère de Senebkay, le pharaon massacré


Un pharaon découvert en 2014 dont les scientifiques découvrent son histoire grâce à ses os. Bien des questions demeure pour ce pharaon mort tragiquement probablement lors d’un combat, mais avec qui ? Peut-être que lors des fouilles d’autres éléments viendront éclaircir les points sombres de son règne
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Le mystère de Senebkay, le pharaon massacré

 

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Le crâne du pharaon Senebkay. Les traits blancs indiquent l’emplacement et la taille de deux importantes blessures. © J. Wegner/Penn Museum.

C’est un pharaon apparu… en 2014. Il y a un an, à environ 500 kilomètres au sud du Caire, sur le site antique d’Abydos, fouillé depuis 1967 par une équipe américaine, le pharaon Senebkay est revenu à l’Histoire avec la découverte de son tombeau. Jusque là, son nom ne figurait nulle part car son règne, aux alentours de 1650 av. J.-C., s’était inscrit dans une ère troublée nommée Deuxième période intermédiaire.

C’est une époque de transition entre le Moyen et le Nouvel Empire, où l’Egypte est divisée au point que se côtoient simultanément plusieurs dynasties : les Hyksos venus du Proche-Orient tiennent le delta du Nil tandis qu’à Thèbes se sont repliés les successeurs des pharaons du Moyen Empire. Quant à Abydos, elle semble désormais avoir été le siège d’une troisième dynastie parallèle car d’autres tombes royales ont été mises au jour en plus de celle de Senebkay. Cette dernière, plutôt modeste en taille, avait été dévastée par des pilleurs qui avaient démantibulé la momie royale. Les chercheurs ont reconstitué ce puzzle macabre et se sont aperçus que le squelette de Senebkay racontait une histoire. L’histoire d’un massacre.

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Le squelette du pharaon Senebkay. © J. Wegner/Penn Museum.

Leurs travaux ne sont pas encore publiés mais le Conseil suprême des Antiquités égyptiennes vient d’en révéler la teneur. Josef Wegner, l’archéologue de l’université de Pennsylvanie qui a dirigé les travaux ayant mené à la découverte du tombeau, a confié l’analyse des ossements à deux anthropologues de la Rowan University (New Jersey), Jane Hill et Maria Rosado. Celles-ci ont tout d’abord constaté que Senebkay était probablement décédé à l’approche de la quarantaine. Surtout, les chercheuses ont comptabilisé un total de 18 marques de traumatismes sur les os. A l’exception de l’un d’entre eux, tous semblaient dater du même moment et disaient que l’organisme du roi n’était pas allé plus loin : rien, en effet, n’indiquait que le corps ait commencé avec eux le moindre processus de guérison…

De toute évidence, ceux qui ont attaqué Senebkay ne lui ont laissé aucune chance.

« Cela semble très brutal, a résumé Josef Wegner pour le National Geographic. Il a probablement été submergé par des assaillants qui l’ont mis en pièces. » 

Curieusement, le corps du pharaon compte de nombreuses blessures dans le bas du corps (pieds, cheville, genou), ce qui a permis aux chercheurs d’élaborer le scénario suivant. Selon toute vraisemblance, Senebkay était à cheval lors de l’attaque, ce qui explique le schéma des traumatismes : les jambes étaient les plus accessibles à ses agresseurs. Cette hypothèse est « confortée » par le fait que l’étude des fémurs et du bassin a montré que le pharaon était doté d’une musculature importante à ce niveau et devait monter beaucoup. La Deuxième période intermédiaire est d’ailleurs celle où le cheval a été introduit en Egypte comme monture de guerre.

Voici, selon la reconstitution des chercheurs, comment l’attaque a pu se dérouler. Les premiers coups ont touché le bas du corps. La blessure à la cheville, très profonde, a dû entraîner une grosse perte de sang. Le pharaon a aussi des traces de coups dans le bas du dos, donnés alors qu’il était en position assise. Une fois Senebkay arraché à son cheval, les assaillants changent de cible et visent la tête. Trois blessures importantes sont ainsi répertoriées sur le crâne. On peut encore y « lire » la taille et la courbure de la lame des haches de guerre utilisées à l’époque. La scène a dû être d’une violence inouïe.

Maria Rosado a précisé à El Mundo que le coup porté « sur le devant de la tête a complètement enfoncé l’os », un coup probablement fatal.

On devine le comment. Reste à savoir le « par qui ? ». Ce qui peut passer par le « où ? ».

Josef Wegner explique que l’étude de la dépouille de Senebkay « suggère que sa mort s’est produite loin du lieu de ses funérailles à Abydos ». 

Le corps ne semble pas avoir été momifié immédiatement après le décès, ce qui laisse supposer qu’il a d’abord fallu le rapatrier.

Senebkay était-il engagé dans une guerre, au nord, contre les Hyksos ? Ou bien, au contraire, se battait-il au sud, étant donné qu’on a la trace, à une époque qui correspond à celle de son règne, d’une tentative de pénétration en Haute Egypte d’une armée venue de Nubie ? Reste enfin la possibilité d’un conflit avec Thèbes… Comme c’est si souvent le cas en science, une découverte provoque une rafale de nouvelles questions. Josef Wegner et ses collègues espèrent que la fouille des autres tombes royales qu’ils ont identifiées dans le même secteur que celle de Senebkay permettront d’en savoir plus sur cette dynastie méconnue et de lever une partie du mystère sur celui qui détient désormais le titre de plus ancien pharaon connu mort au combat.

http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/

Sarah Brightman: 65 M $ pour aller chanter dans l’espace


65 Millions de dollars pour un voyage touristique dans l’espace dans le but de chanter ! Je ne comprends pas ! Cette soprano espère avec ce voyage comprendre la vie sur Terre, pourtant il y a beaucoup d’autres moyens qui avec cet argent, elle pourra s’épanouir juste en aidant les autres, ceux qui sont au bord du gouffre, des enfants de la famine, l’environnement, les animaux disparus, la recherche .. Enfin, 65 millions si vraiment elle paye ce prix ou même un peu moins, elle ne sera surement pas sur la dèche en revenant de son périple. Comprenez que je n’ai absolument rien contre les riches, mais de voir comment ils dépensent est plutôt frustrant
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Sarah Brightman: 65 M $ pour aller chanter dans l’espace

 

Sarah

La soprano sera la 8e touriste de l’espace, en septembre. Photo Reuters

LONDRES, Royaume-Uni – La soprano britannique Sarah Brightman a annoncé mardi qu’elle comptait chanter cet automne dans l’espace, où elle doit devenir la huitième touriste à se rendre à bord de la Station spatiale internationale (SSI).

Âgée de 54 ans, la star de la comédie musicale Le Fantôme de l’Opéra doit partir le 1er septembre du cosmodrome russe de Baïkonour, au Kazakhstan, pour dix jours dans l’espace.

Afin d’avoir une place dans un vaisseau Soyouz, elle a dû débourser l’équivalent de 65 millions $, selon les médias britanniques. Une somme dont elle dit ne pas pouvoir confirmer le montant, puisque son contrat le lui interdit.

«C’est un projet qui semble fou, irréaliste», a-t-elle déclaré mardi au cours d’une conférence de presse à Londres. «J’ai du mal à expliquer pourquoi cette envie est aussi puissante en moi», a-t-elle ajouté.

Peut-être est-ce le souvenir d’avoir assisté, à l’âge de neuf ans, aux premiers pas de l’homme sur la Lune, en 1969. Un «moment charnière dans (s)a vie», a-t-elle dit.

«Ma perception a changé. Soudain mon esprit s’est ouvert», a souligné la chanteuse qui espère que son excursion dans l’espace lui permettra de «mieux comprendre» la vie sur Terre.

En attendant, elle continue à s’entraîner dur à la Cité des étoiles, près de Moscou, pour affronter les rigueurs du voyage et la perspective de tourner en orbite à environ 400 kilomètres au-dessus de la Terre.

Outre l’entraînement physique et psychologique, l’artiste aux 30 millions d’albums vendus dans le monde apprend le russe et se familiarise avec les techniques de survie.

CONTRAINTES DE SYNCHRONISATION

Elle s’entraîne en compagnie de cosmonautes et d’astronautes de la NASA ainsi que des agences spatiales russe et japonaise. À ses côtés se trouve aussi un homme d’affaires japonais qui est son suppléant désigné au cas où elle devrait finalement renoncer au voyage.

Parallèlement, elle travaille sur le chant qu’elle compte interpréter à bord de la Station spatiale internationale.

«Je cherche un air qui corresponde à l’idée de l’espace et qui soit très simple. Je travaille avec mon ex-mari Andrew Lloyd Webber qui a déniché un air absolument merveilleux. On est toujours en train de travailler dessus», a-t-elle dit.

Dans l’idéal, elle cherche à se produire avec «un choeur, un orchestre, un autre chanteur ou des enfants», restés sur la Terre.

«Ce serait beau», a-t-elle estimé. Mais les contraintes techniques, notamment en termes de synchronisation, rendent le projet compliqué à réaliser.

D’autant que «chanter en microgravité et chanter ici sur Terre sont deux choses très différentes», a-t-elle assuré.

Sarah Brightman espère devenir le premier touriste à aller dans l’espace depuis six ans, après une suspension des programmes pour ce tourisme très particulier, faute de place à bord.

Le dernier a été le milliardaire canadien Guy Laliberté, fondateur du Cirque du Soleil, revenu sur Terre en octobre 2009 après onze jours dans l’espace

http://fr.canoe.ca/

Dix maladies du futur : "Docteur, j’ai mal à mes implants"


La technologie ne cesse de progresser autant dans les loisirs, que dans le travail et en médecine, mais ou cela va t-il nous mener. Déjà, npus voyons les problèmes de santé liés à cette technologie, mais dans quelques années certains prévoit des nouveaux maux causés directement vers ces innovations
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Dix maladies du futur : « Docteur, j’ai mal à mes implants »

 

A vivre dans un monde (et un corps) toujours connecté, interfacé, nanostructuré… il va nous arriver des embrouilles. C’est en substance ce que dit le site io9, qui a recensé les pathologies du futur. Ça fait froid dans le dos.

Les nouveaux virus qui mutent et apparaissent ne sont pas les seules afflictions qui nous menacent. La profusion de technologies et leur interaction de plus en plus étroite avec l’espèce humaine pourraient mener au développement de nouvelles maladies.

Et elles sont bien plus effrayantes que cette angoisse diffuse créée par le numérique, connue sous l’acronyme anglais de Fear of Missing (ou Fomo), qui se caractérise par la peur de manquer quelque chose.

Surtitré « We come from the future » (« Nous venons du futur ») le site américain io9 annonce la couleur. Il a listé les nécroses, psychoses et autres pathologies pas très roses, où le probable le dispute au grotesque. Autant d’annonces de cauchemars à venir sur lesquels Courrier international est récemment allé jeter un œil. Revue de détail de ces maladies (presque toutes) imaginaires par le journaliste George Dvorky.

1. L’addiction à la réalité virtuelle ou comment se passer d’un monde « bigger than life » où tous les rêves semblent possibles. Une pathologie déjà annoncée par le désormais célèbre syndrome d’addiction à Internet.

2. Trouble dissociatif de la réalité. A force d’abuser de la réalité virtuelle, si crédible et si réaliste, les utilisateurs pourraient finir par ne plus distinguer le monde réel de la matrice.

3. Dysphorie de l’identité. C’est bien beau de confier à Internet, à des algorithmes, à des assistants numériques, des informations, des tâches et des décisions personnelles. Mais il va devenir de plus en plus compliqué de savoir qui ou quoi l’on est, quelle part du cloud est la nôtre. Et de s’en contenter.

4. Trouble de l’intégration après cryogénisation. Ou le syndrome d’Hibernatus. Quand on saura congeler nos corps, et surtout les réveiller dans un autre siècle ou millénaire, dans une société futuriste, comment pourrons-nous nous adapter ? Le monde que l’on aura connu, ses règles, son langage, auront disparu. Ceux qui se réveilleront seront des naufragés, étrangers en terre inconnue. Pour nous aider à nous adapter, nos bienfaiteurs du futur nous feront-ils rejoindre une classe d’adaptation ?

5. Infection cybernétique généralisée. Nous n’avons aucune idée de la façon dont notre corps va réagir aux implants cybernétiques, et aux problèmes inédits que ceux-ci pourront engendrer, avance le journaliste : des allergies, des inflammations, de la douleur, peut-être… Voire un rejet pur et simple de ces appendices synthétiques. Ils pourraient aussi provoquer des « courts-circuits » dans le fonctionnement normal du corps. Ou même, en se dégradant, conduire à des intoxications ou des infections sans précédent.

6. Choc nanotoxique.

« Les nanotechnologies ont le pouvoir de récrire n’importe quel aspect de la condition humaine, pour le meilleur ou le pire. Et les scientifiques s’inquiètent des effets des nanoparticules dans notre environnement », avertit io9.

Comment cela se passera-t-il quand ils seront injectés directement dans notre organisme ? S’ils sont mal conçus, les nanobots ne risquent-ils pas de se tromper dans la dose de principe actif à injecter. Ils pourraient aussi conduire à un choc anaphylactique, cette réaction allergique violente pouvant entraîner la mort.

7. Psychose de l’hyperconnaissance. Tout savoir sur tout. Un vrai cauchemar qui pourrait devenir réalité dans nos cerveaux dopés aux implants cybernétiques et alimentés par un flux continu d’informations. Mais sommes-nous vraiment faits pour gérer une telle situation ? Ou du moins notre psyché le permet-elle ? Rien n’est moins sûr. Il est possible que cette surdose de connaissances provoque des comportements antisociaux, des crises d’angoisse, des crises existentielles allant jusqu’à la psychose.

8. Phobie des robots. A force d’en voir partout, certains humains pourraient développer une véritable aversion des robots. Et même une peur qui pourrait se muer en un genre de racisme au fur et à mesure que les robots feront partie intégrante de la société, occupant nos emplois et singeant nos comportements.

9. Onanisme irrépressible. La puce sexuelle arrive, annonce io9, et avec elle, la capacité d’activer le plaisir à la demande. D’ailleurs, les chercheurs testent déjà des machines à bonheur en stimulant des régions précises du cerveau. Bien sûr, cela semble paradisiaque, mais nombre d’entre nous risquent de ne plus savoir mettre l’interrupteur sur off.

10. L’ennui d’une vie trop longue. Certains chercheurs prétendent que l’on vivra de plus en plus vieux, de mieux en mieux. Et que nous finirons peut-être par devenir immortels. Mais si c’est vrai, n’allons-nous par finir par nous lasser de l’existence et trouver la vie extrêmement ennuyeuse ?

http://www.courrierinternational.com/

Disney sur Glace : Une baguette en plastique à 40 $ vraiment ?


On remarque facilement lors d’évènements sportifs, de spectacles et autres que les prix sont exagérément élevés autant la nourriture que les objets et vêtements souvenirs. Mais dans un spectacle d’enfant, c’est inadmissible qu’un truc que tu peux trouver à 2 dollars coût 40 dollars. Ils se fient probablement que les parents ne veulent pas faire de la peine et jouent sur les émotions, alors ils vont payer n’importe quel prix. C’est du vol purement et simplement sur le dos des parents
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Disney sur Glace : Une baguette en plastique à 40 $ vraiment ?

 

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Par Claudine St-Germain

C’était beau à voir aux alentours du centre Bell, le weekend dernier. Une véritable marée de fillettes (les trois quarts déguisées en princesses) a envahi les lieux pour assister à l’événement «royal» de l’année: le spectacle Disney sur glace La reine des neiges.

C’était la première fois que ma fille de 5 ans assistait à un événement de cette envergure. Arrivées de bonne heure, on contemplait les lieux, la patinoire, les éclairages, quand son attention a été attirée par des machins lumineux qui brillaient partout dans les gradins. C’était multicolore, ça clignotait sur tous les rythmes, c’était… Des baguettes magiques en forme de flocons!

«Maman, maman, j’en veux une moi aussi! Et regarde, il y a des monsieurs qui en vendent en bas!»

J’ai fait une brève estimation dans ma tête. Ce genre de truc se vendrait autour de 2,50$ chez Dollarama, donc au centre Bell, quoi, 15$? Trop cher, on s’entend, mais c’est tellement le genre de truc qui rend ma fille folle de joie… Mais je suis restée prudente:

«On va aller voir combien ça coûte.»

On est remontées jusqu’au comptoir de marchandises le plus proche… Où j’ai manqué faire une crise cardiaque devant l’étalage. La super baguette magique en plastique coûtait… 40$. Le prix d’un billet au spectacle! Le double de notre dîner pour deux au restaurant!

J’ai annoncé à ma fille que j’étais vraiment désolée, mais que la baguette était beaucoup trop chère. Amère déception dans son visage. Peut-être y avait-il un autre bidule lumineux plus modeste qui pourrait faire l’affaire? Non. Parmi la panoplie de produits pour célébrer la Reine des neiges, rien en bas de 35$.

Le début du spectacle a consolé ma fille. On s’est exclamées à l’arrivée de Anna et Elsa, on a chanté en choeur, on a applaudit les (maigres) effets spéciaux. Puis est arrivée l’entracte. Derrière nous, des enfants mangeaient de la barbe à papa.

«Et ça maman, est-ce que je pourrais en avoir?»

On est remontées en haut. Combien coûtait le sac de barbe à papa (essentiellement, du sucre avec du colorant alimentaire)? 20$. Un cône de glace avec un brin de sirop dessus? 15$.

Là, j’ai pogné les nerfs intérieurement. J’ai expliqué à ma fille que ce n’était pas correct de la part de ceux qui produisaient le spectacle de vendre des choses à des prix aussi exagérés. Que ça faisait en sorte que des enfants comme elle ne pourraient pas en avoir et auraient de la peine ou seraient fâchés (une fillette faisait justement une crise du bacon à côté de nous…). Que ça me faisait plaisir de lui acheter des trucs de temps en temps, mais pas dans des endroits comme ça.

À ma grande fierté, elle a compris ce que je lui disais. Elle avait un peu le coeur gros (faut connaître son amour des bidules lumineux pour comprendre à quel point…), mais elle n’a pas protesté en retournant à son siège les mains vides. On s’est concentrées sur la fin du spectacle et somme toute, on s’est bien amusées.

Ce qui me chicote depuis, c’est que les fameuses baguettes magiques à 40$, il a bien dû s’en vendre des centaines, voire des milliers au cours des 15 représentations montréalaises du spectacle, parce que ça flashait dans tous les coins du centre Bell.

Pourquoi tant de parents ont-ils accepté de payer ce prix clairement exagéré? Peut-être ont-ils senti cette pression de rendre le moment absolument parfait pour leur fille (je l’avoue, ça m’a moi aussi traversé l’esprit une fraction de seconde). Peut-être ont-ils baissé les bras devant des cris de «C’est pas juste!». Ce qui serait compréhensible aussi: expliquer à une enfant de 4 ans que toutes les autres ont cette baguette extraordinaire sauf elle, ce n’est pas facile.

J’ai plus de mal à m’expliquer pourquoi certains parents sont ressortis du spectacle avec des sacs pleins de figurines, couronnes et autres machins à l’effigie d’Elsa (un bon 200$ de dépenses, à vue de nez). Assister à ce spectacle n’était-il pas une super gâterie en soi?

Reste quand même qu’exploiter l’adoration des fillettes envers La Reine des neiges pour soutirer autant d’argent à leurs parents m’apparaît toujours indécent. Non?

http://www.coupdepouce.com/