Domination


A force de vouloir tout contrôler notre environnement, on finit par tout détruire. Alors qu’avec notre intelligence, nos capacités, nous devrions plutôt protéger cet environnement avec les hommes des quatre coins du monde vivre en harmonie avec elle. Puis, il ne faut jamais oublier, que nous ne sommes pas propriétaires de la Terre mais que des locataires
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Domination

 

Photo : Pascal Huot

Quand est-ce que l’Homme fera preuve d’un peu d’humilité. Il est arrivé sur Terre il y a quelques millions d’années seulement et il désire tout dominer, que tout tourne autour de lui.

La Terre est là depuis des milliards d’années, des animaux sont apparus bien avant l’Homme également.

Pourquoi cette espèce particulière qu’est l’Homme devrait avoir la prétention qu’on lui connaît aujourd’hui?

Bien des hommes désirent dominer le monde mais ne savent même pas se dominer eux-mêmes. Une symbiose avec la nature est non seulement possible mais indispensable à l’avenir de l’Homme.

Louis Berger

Météo Il fait si froid que les vagues «gèlent»


Des vagues qui se mélangent à la glace formant quelque chose qui ressemble à une slush
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Météo : Il fait si froid que les vagues «gèlent»

 

Il fait si froid que les vagues «gèlent»

Crédit photo : Twitter: @JDNPHOTOGRAPHY

Le froid inhabituel sur la côte Est américaine a eu une conséquence assez particulière sur le bord de la mer à Nantucket, une île au large de Cape Cod.

Un photographe de l’endroit, Jonathan Nimerfroh a pris des photos des vagues s’abattant sur le rivage, comme le rapporte le siteMashable.

(Twitter: @JDNPHOTOGRAPHY)

Celles-ci avaient une allure assez particulière, et étaient remplies de millions de cristaux de glace, leur donnant l’apparence de «slush» ou frasil. Certaines vagues semblaient presque totalement gelées.

(Twitter: @JDNPHOTOGRAPHY)

En hiver, la glace se forme dans les eaux peu profondes de la mer, mais l’eau sous la surface étant plus chaude, elle ne gèle pas.

Ainsi, lorsque les vagues s’abattent, la glace et l’eau se mélangent donnant une texture de «slush».

(Twitter: @JDNPHOTOGRAPHY)

http://tvanouvelles.ca/

Le Saviez-Vous ► Pourquoi les lapins portent-ils malheur sur les bateaux ?


Une superstition qui remonte à loin, mais qui aurait une cause réelle dans les histoires maritimes. Cependant, ces conséquences sont devenues des croyances populaires que le lapin a mort était signe de mauvais présage
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Pourquoi les lapins portent-ils malheur sur les bateaux ?

 

Les lapins ne sont pas les bienvenus sur les bateaux car ils porteraient malheur.

C’est une superstition que tout bon marin connaît : les lapins ne sont pas les bienvenus sur les bateaux car ils porteraient malheur. Tellement d’ailleurs qu’il est même déconseillé de dire le mot « lapin » à bord.

Cette croyance est née de mauvaises expériences vécues pendant les grandes explorations maritimes, à partir du XVe siècle. A cette époque, les marins emportaient avec eux beaucoup de vivres pour les longues traversées, dont des animaux vivants qu’ils mangeaient au fur et à mesure.

Parmi ces derniers figuraient des lapins qui s’échappaient parfois en rongeant leurs cages en osier. Et une fois en liberté sur le navire, les petits mammifères mordillaient les cordages maintenant le matériel à bord, ainsi que le chanvre utilisé pour caler les planches de la chaloupe.

Les rongeurs étaient alors responsables, à terme, d’une déstabilisation du bateau, voire de son naufrage.

http://www.directmatin.fr/

Un milliard de jeunes menacés de troubles auditifs


La perte d’audition était souvent reliée à la maladie, la génétique et le vieillissement, mais de plus en plus la pollution sonore jouent un grand rôle chez les jeunes, tellement qu’il y a beaucoup plus de troubles auditifs
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Un milliard de jeunes menacés de troubles auditifs

Un milliard de jeunes menacés de troubles auditifs

Les dégâts à l’ouïe sont irréversibles.Photo fotolia

Plus d’un milliard de jeunes dans le monde sont menacés par des troubles auditifs parce qu’ils écoutent de la musique trop forte, a averti vendredi l’Organisation mondiale de la Santé (OMS).

Le niveau sonore dans les concerts et boîtes de nuit est souvent trop élevé, de même que le volume dans les écouteurs des appareils audio et autres téléphones intelligents.

Selon des données recueillies par l’OMS, environ 50% des jeunes entre 12 et 35 ans des pays à haut et moyen revenus sont exposés à des niveaux sonores trop élevés.

DES DÉCIBELS DOMMAGEABLES

Ces niveaux sont de l’ordre de 85 décibels pendant huit heures d’affilée et de 100 décibels pendant 15 minutes.

85 décibels représentent le bruit de la circulation en heures de pointe, quand on est dans sa voiture.

A titre indicatif, une trompette vuvuzela représente 120 decibels, et il ne faut pas l’écouter plus de 9 secondes par jour sous peine d’avoir des dommages auditifs irréversibles.

«On pourrait se passer» de ce genre de trompette, a reconnu vendredi le Dr Shelley Chahda, de l’OMS, en réponse à une question sur l’éventuellle interdiction de la vuvuzela. Et d’ajouter que «de plus en plus de jeunes risquent de subir des dommages auditifs, ils doivent être conscients que l’ouïe, quand elle est perdue, ne revient pas».

Une exposition à des niveaux sonores trop élevés et de manière prolongée peut conduire à des dégâts de l’ouïe irréversibles. Le niveau de bruit le plus élevé à la place de travail ne doit pas dépasser 85 décibels pour un maximum de huit heures par jour.

Beaucoup de personnels travaillant dans des boîtes de nuit, des bars ou pour des événements sportifs sont exposés à des niveaux plus élevés. Une exposition à plus de 100 décibels est habituelle dans ces locaux.

Selon l’OMS, une exposition de cette envergure ne doit pas avoir lieu pour plus d’un quart d’heure par jour.

PRÉVENTION ET RÉGLEMENTATION

En vue de la Journée mondiale de l’audition, le 3 mars, l’OMS recommande des mesures préventives simples.

Les adolescents doivent réduire le volume de leurs appareils audio et téléphones intelligents, ne pas les utiliser plus d’une heure par jour, mettre des bouchons dans les oreilles dans les locaux bruyants et faire des pauses. Ils doivent aussi surveiller leur ouïe et faire des contrôles réguliers.

Les gouvernements devraient imposer des réglementations strictes sur le bruit dans les lieux publics, ajoute l’OMS, qui demande aussi aux patrons de boîtes de nuit et de bars de baisser le volume de la musique pour le rendre supportable.

Dans le monde, 360 millions de personnes souffrent actuellement de troubles auditifs. Ils sont dus à des causes variées, comme des maladies infectieuses, génétiques, des complications à la naissance, l’utilisation de certains médicaments, outre le bruit et le vieillissement

http://fr.canoe.ca/

Etats-Unis : course-poursuite entre la police et… deux lamas


Un autre sujet qui a fait fureur depuis 2 jours Deux lamas qui voulaient connaitre la liberté, ont été après une longue poursuite dans les rues de Phoenix aux États-Unis. Le lama a été attrapé à la bonne manière des cow-boys américains
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Etats-Unis : course-poursuite entre la police et… deux lamas

 

Les deux lamas ont donné du fil à retordre aux policiers / Capture d’écran Fox 10

D’habitude, les courses poursuites filmées aux Etats-Unis se font entre plusieurs voitures de police pourchassant un autre véhicule, slalomant à vive allure entre les autres voitures, le tout filmé par des caméras depuis des hélicoptères qui retransmettent en direct à la télévision. Mais pas cette fois. La course-poursuite qui s’est déroulée à Phoenix, en Arizona, opposait les forces de l’ordre à deux lamas.

Les deux fugueurs s’étaient échappés de la remorque d’un camion qui les transportait vers un centre de rééducation où des patients sont traités grâce à une thérapie animale. Ils se sont alors retrouvés dans les rues de Sun City, dans la banlieue de Phoenix, où une dizaine de policiers tentaient de mettre fin à leur échappée. Ils ont donné du fil à retordre aux policiers, qui ont finalement réussi à les rattraper, le lama blanc capturé au lasso, et le noir, coincé dans un cul-de-sac, s’est rendu sans difficultés.

Les réseaux sociaux emballés par cette histoire

 

Cette histoire a immédiatement enflammé les réseaux sociaux avec les hashtags #whitellama (lama blanc), #llama et #teamllama (l’équipe lama). Google Play a même créé dans la foulée le jeu « Llama Run » (La course du lama) et a tweeté « on vous met au défi de capturer ces lamas au lasso ». Disney a tweeté une photo du lama Kuzco, en titrant « Llama drama » (La tragédie du lama). Les Arizona Cardinals, équipe de football américain, a joué la carte de l’humour en annonçant sur Twitter voulant embaucher les deux coureurs « Chaque lama gagnera une tonne de foin par saison ».

Ces deux lamas ont autant fait rire que les internautes que Serge le lama, subtilisé par des jeunes éméchés, qui l’avaient ensuite emmené dans le Tramway à Bordeaux en octobre 2013.

 

http://www.ladepeche.fr/

Pourquoi un débat autour des couleurs de cette robe? À cause de votre cerveau!


Cette robe est devenue virale sur le Web, Quand Salut Bonjour a montré cette robe, moi, je la voyais blanche et or, alors que d’autres la voit bleu et noir. Pourquoi qu les avis sur les couleurs de ce vêtements peuvent être différentes ? Notre cerveau n’a pas les mêmes perceptions des couleurs dépendant de la lumière émise
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Pourquoi un débat autour des couleurs de cette robe? À cause de votre cerveau!

 

Par Marine Le Breton

Bleue et noire? Blanche et dorée? Une robe à couleur indéterminée fait exploser Internet. Postée sur Tumblr, elle rend fous les internautes qui n’arrivent pas à se mettre d’accord, même si depuis, il semblerait qu’on ait retrouvé l’originale (qui est noire et bleue, navré).

Comment expliquer que les avis divergent autant? Voyons-nous réellement deux couleurs différentes? Il ne s’agit pas d’une blague, ni de magie, mais d’une question d’interprétation du cerveau. Selon la sensibilité de la rétine et le cerveau de chacun, les couleurs sont perçues différemment.

Le site Vice a interrogé Jay Neitz, chercheur à l’université de Washington, spécialiste de la vision des couleurs. Lui, voit la robe blanche et or, mais l’un de ses élèves l’a vue bleue et noire.

« C’est l’une des perceptions des couleurs les plus fascinantes que j’aie vue depuis longtemps », s’amuse-t-il.

GIF de Slate.com

Pour lui, il y a d’abord une question d’âge à prendre en compte.

« La rétine de l’œil change tout au long de votre vie, et vous êtes moins sensible à la lumière bleue quand vous êtes plus vieux », explique-t-il.

Une histoire de cônes et de bâtonnets

Mais ce qui entre surtout en jeu, c’est « l’adaptation chromatique ». En fonction de l’éclairage, le cerveau peut voir une couleur au lieu d’une autre. Si la robe est blanche mais que l’éclairage est un peu bleuté, notre cerveau pense que la robe est bleue.

La lumière entre dans l’œil par le cristallin, qui est une sorte de lentille naturelle. Chaque couleur correspond à une différente longueur d’ondes. La lumière vient frapper la rétine, qui est « tapissée d’une mosaïque de photorécepteurs: les cônes et les bâtonnets« . Stimulés par la lumière, ces cônes émettent des signaux électriques vers le cortex visuel, qui va analyser, interpréter, et donc, transformer ces signaux en une image. C’est un processus complexe qui fonctionne à merveille. Mais il faut savoir que nous avons des photorécepteurs qui sont plus ou moins sensibles à la lumière, son intensité et sa longueur d’onde.

« Ce qui se passe ici, c’est que notre système visuel regarde cette chose, et vous essayez de prendre en compte le biais chromatique de l’axe la lumière du jour », explique sur le site Wired Bevil Conway, neuroscientifique, spécialiste des couleurs et de la vision. « Donc soit les gens prennent en compte le côté bleu, auquel cas ils la voient blanche et or, soit ils prennent en compte le côté doré, auquel cas ils la voient bleue et noire ».

Pour faire simple, si votre cerveau pense que l’éclairage est artificiel (plutôt blanc, jaune), vous voyez certainement la robe bleue. Mais si votre cerveau estime que l’éclairage est plus bleuté, près d’une fenêtre avec un ciel bleu par exemple, vous voyez la robe blanche. C’est ce qu’explique ASAPScience (en anglais):

Ou encore:

Image via XKCD.

Tout est donc une question de contexte et d’interprétation que le cerveau peut avoir du mal à faire. Nous pouvons arrêter de nous battre.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Mort de Léonard Nimoy, alias Spock


Léonard Nimoy, l’homme qui n’a jamais pu se dissocier de Monsieur Spock est décédé. Il a du apprendre à vivre avec son personnage jusqu’à la fin
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Mort de Léonard Nimoy, alias Spock

 

Leonard Nimoy et sa femme Susan Bay, en mai 2013.

Leonard Nimoy et sa femme Susan Bay, en mai 2013. KEVIN WINTER / AFP

Benjamin Benoit

Il avait déjà fait pleurer les fans de Star Trek à la fin de La revanche de Khan, lorsque son personnage, Spock, se sacrifiait pour sauver le vaisseau Enterprise. Leonard Nimoy s’est éteint ce 27 février, à l’âge de 83 ans, a annoncé sa femme au New York Times. Il avait été hospitalisé en début de semaine pour des douleurs à la poitrine.

Marié pendant 33 ans à l’actrice Sandra Zober, dont il a divorcé en 1987, il avait épousé le jour de l’an 1989 Susan Bay, cousine du réalisateur de films d’action Michael Bay. Il laisse derrière lui deux enfants, Adam et Julie Nimoy.

Né le 26 mars 1931 à Boston, Leonard Nimoy est le fils d’un couple de juifs orthodoxe ukrainiens, une confession au coeur de sa vie. Encouragé par son grand-père, il fait ses premiers pas d’acteur à l’âge de huit ans, et décroche son premier rôle à 17 ans dans une production amateur. Il rentre à l’université de Boston mais ne termine pas son cursus de théâtre – ce qui ne l’empêchera pas de recevoir plusieurs diplômes honorifiques au cours de sa vie.

Il enchaîne alors de nombreux rôles avant de percer, accumulant une cinquantaine d’apparitions dans des films de séries B, dont Perry Mason, Bonanza, Two Faces West. C’est sur un tournage qu’il rencontre en 1954 son futur camarade de Star Trek, William Shatner, alias le capitaine Kirk. Leonard Nimoy prend alors le risque le plus payant de sa carrière. A l’époque, la science-fiction est réservée aux petits budgets et à un jeune public, il va pourtant intégrer le casting d’une petite série du studio en déclin Desilu (bientôt Paramount), nommée Star Trek.

C’est cette série de science-fiction, initialement diffusée de 1966 à 1969, qui lui donnera son rôle-clé : Spock, alien mi-homme mi-Vulcain, une race caractérisée par sa logique et son premier degré excessif. Ses racines humaines, plus émotives, ressurgissent parfois et font tout le sel de ce personnage extraterreste, torturé et souvent involontairement drôle. Chaque fan de Star Trek peut réciter ses caractéristique : sa capacité à endormir n’importe qui d’une simple pression sur l’épaule ; ses oreilles pointues ; et le fameux signe vulcain, un douloureux « V » de la main qui s’ouvre entre le majeur et l’annulaire. Un signe emblématique, inspiré, selon lui, d’un signe de prière juive orthodoxe. Le geste vulcain s’accompagne de la maxime « longue vie et prospérité », qu’il s’est approprié, signant chacun de ses tweets avec.

Une relation complexe avec son double

Leonard Nimoy restera la figure de Spock tout au long de sa vie, dans ses nombreuses adaptations et déclinaisons : une série animée, une succession de films dérivés de la série dans les années 80… En parallèle, après la fin de la série télévisée originale, il poursuit une filmographie foisonnante où il côtoie notamment Yul Brunner dans Catlow (1971). Dans les années 1980, il amorce une longue carrière sur scène : il a joué notamment dans la version théâtrale de Vol au dessus d’un nid de coucous, Caligula, Sherlock Holmes et My Fair Lady. Touche-à-tout, il s’essaie à de nombreuses formes d’arts, dont la photographie et la chanson il sort plusieurs albums à la fin des années 60.

image:

Leonard Nimoy, dans le rôle de Spock.

Leonard Nimoy, dans le rôle de Spock. NBC

Leonard Nimoy est l’auteur de deux autobiographies aux titres curieux : Je ne suis pas Spock, puis Je suis Spock. Signes d’une relation compliquée avec son “double” cinématographique, et soigneusement entretenue avant de retrouver une forme de paix avec son double – et les hordes de fans, qui se baptisent « trekkers » ou « trekkies ». Initialement hésitant à incarner Spock, cultivant une fixation sur ses fameuses oreilles, Nimoy est toujours resté le visage de Spock. Le personnage vole la vedette au Capitaine Kirk de William Shatner, avec un salaire moindre. L’acteur devient progressivement le personnage, et assiste à la popularité de la série qui ne décolle que quelques années après sa fin.

Au milieu des années 1970, Star Trek est un véritable phénomène culturel, durablement inscrit dans la culture populaire. Des conventions dédiées voient le jour à Chicago, Los Angeles, New York… et acceuillent des dizaines de milliers de fans. Il lutte alors pour oublier son alter-ego à oreilles poinutes.

« Je suis passé par une crise d’identité. Embrasser Monsieur Spock ou subir la colère du public ? Je n’avais pas le choix. Spock et Star Trek  étaient vivants, je n’y pouvais rien. »

 Après de longues négociations, il retourne dans le personnage pour mieux l’enterrer dans les films adaptés. Il aura un rôle croissant sur la production des suivants, utilisant Spock comme un outil de négotiation.

Dans Je suis Spock, il déroule des dialogues imaginaires et quelque peu schizophréniques avec son personnage-titre.

« Spock, savez-vous à quel point nous sommes chanceux de nous avoir ? – Je ne crois pas en la chance, je pense que chaque évènement est statistique… – Nous sommes tous deux très chanceux, Spock. Chanceux d’avoir vécu cette vie. – Oui, je suppose que oui… »

En 2010, il annonce sa retraite et passe le relais à Zachary Quinto, qui incarne sa version « jeune » dans les deux films de J.J. Abrams, Star Trek (2009) et Star Trek : Into Darkness (2013). Leonard Nimoy continue à jouer, et réalise notamment des doubalges pour des dessins animés Disney ou des jeux vidéo de niche. jJsqu’à ce que sa santé se détériore en 2014, où il est diagnostiqué d’une obstruction chronique des poumons.

« J’ai arrêté de fumer il y a 30 ans » tweete-t-il. « Pas assez tôt… »

http://www.lemonde.fr/

La douleur chez le chat : 5 signes qui doivent vous alerter


C’est étonnant comment un chat peut cacher sa douleur, et souvent, on s’en aperçoit quand il est trop tard. Savoir reconnaitre les changements qui peuvent être subtiles, est donc un atout pour comprendre son chat quand il est souffre
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La douleur chez le chat : 5 signes qui doivent vous alerter

 

Par Sophie Le Roux

Crédits photo : rore – Flickr

On a beau inventer toutes sortes d’objets connectés plus sophistiqués les uns que les autres, et même des traducteurs de miaulements, nos chers et tendres compagnons à 4 pattes ne savent toujours pas parler, et encore moins exprimer leur douleur. C’est surtout le cas des chats, qui dissimulent leur souffrance pour ne pas révéler leur faiblesse à leurs prédateurs.

Un comportement très utile pour les chats vivant à l’état sauvage, mais parfois dangereux pour les chats domestiques dont les humains ne détectent pas suffisamment tôt le mal-être.

Certains signes doivent toutefois vous alerter et vous aider à repérer la douleur chez le chat.

1. Son comportement a soudainement changé

 

Un chat en souffrance, physique ou mentale, a souvent tendance à changer radicalement de comportement. Un chat sociable peut se replier sur lui-même, s’isoler.

Un sommeil perturbé, une perte d’appétit, mais aussi des difficultés à faire ses besoins, un refus d’utiliser la litière ou encore une toilette négligée sont autant de comportements qui doivent vous mettre la puce à l’oreille.

Aussi, si votre chat se lèche beaucoup et seulement sur une partie de son corps, il est fort possible qu’il tente d’apaiser une douleur.

2. Il est devenu agressif

 

D’habitude ravi de se faire câliner, votre animal est crispé et grognon voire agressif quand vous le prenez dans vos bras, le caressez ou touchez une zone de son corps en particulier ? Il est possible qu’il exprime sa souffrance en grognant, en miaulant et en se crispant.

3. Il est apathique

 

Un chat qui ne bouge plus, ou qui le fait péniblement et uniquement lorsqu’il y est contraint – et ce qu’il soit jeune ou dans la force de l’âge -, ça n’est pas normal.

Si votre compagnon devient soudainement inactif, n’attendez pas pour l’emmener chez le vétérinaire.

4. Son visage est crispé

 

Oreilles tombantes, yeux plissés à moitié fermés, pattes tendues lorsqu’il est couché sur le côté : les chats, d’habitude si souples et agiles ont tendance à se contracter lorsqu’ils souffrent, et ce phénomène s’observe particulièrement au niveau du visage.

5. Le ronronnement de douleur

 

Oui, le ronronnement est très souvent un signe de bien-être. Mais un chat peut aussi se mettre à ronronner lorsqu’il est stressé ou lorsqu’il souffre. Le ronronnement est un moyen de communication chez le chat, qui peut aussi bien exprimer son contentement qu’une douleur, « comme si le chat essayait de se débarrasser du mal en le désarmant, comme s’il avait affaire à un adversaire. Un chat agonisant ronronne. Le bercement doit l’apaiser ainsi que les phéromones qu’il dégage il doit se rassurer face à la mort. Mais il n’y a encore une fois aucune certitude sur ce processus » explique Marie-Hélène Bonnet, comportementaliste du chat.

http://wamiz.com/

Les nutriments ne résistent pas à tous les modes de conservation


Souvent, nous n’avons pas le choix d’utiliser des modes de conservations des aliments, malheureusement, cela détruit les vitamines et nutriments. Quand cela est possible, mieux vaut manger frais
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Les nutriments ne résistent pas à tous les modes de conservation

 

Il est possible de perdre des nutriments ou de leur faire perdre de leurs bienfaits, ou même de les rendre nocifs selon les modes de conservation utilisés. Comment garder un maximum de la qualité nutritionnelle des aliments ?

À des degrés divers, dès l’instant où les aliments sont lavés, épluchés, conservés, congelés, ils perdent une partie de leurs nutriments. Ainsi, si le fait de rincer les fruits et légumes ne modifie pas leur teneur en vitamines ou minéraux, un trempage long, surtout s’ils sont déjà épluchés et coupés, leur en fait perdre une partie. De même, l’épluchage de la peau des fruits et légumes frais riches en vitamines, minéraux et antioxydants élimine jusqu’à 25 % de ces molécules.

Pour ce qui concerne les conserves, dont la fabrication doit (selon la législation en vigueur) être effectuée dans les heures qui suivent la récolte des végétaux, la pêche…, elles sont souvent salées et stérilisées, ce qui entraîne une destruction des vitamines fragiles telles que les vitamines B9 et C, sans compter l’imprégnation de sel et la fuite des minéraux dans le liquide de couverture.

« Quant à la congélation, précédée d’une opération de blanchiment, elle détruit aussi partiellement les vitamines (44 % de la vitamine C et 15 % de la vitamine B9 pour les petits pois par exemple, perte de 60 % de la vitamine A dans les carottes après un an en stockage congelé) et les oméga 3. Sans compter que le produit, bien que congelé, continue à vieillir tout au long de sa conservation et perd minéraux et vitamines au fil du temps. Enfin, certains oligoéléments sont également détruits, notamment dans les poissons congelés », souligne Nathalie Négro.

Attention aux températures !

 

C’est un fait, plus on cuit les aliments à une température élevée et de façon prolongée, plus ils risquent de libérer des substances toxiques (benzopyrène des fritures et grillades sur barbecue, acroléine des matières grasses surchauffées…) que l’on soupçonne d’augmenter à long terme les risques de cancers ou de maladies des vaisseaux sanguins. Des études sont en cours pour évaluer les effets délétères de ces substances sur la santé. En attendant, mieux vaut donc privilégier des temps de cuisson courts, à chaleur modérée (de 130 à 180 °C au four) et sans faire griller ou brûler.

http://www.topsante.com/