Quand chiens, chats et autres poilus se trouvent d’improbables meilleurs amis


Une sélection d’amitié animale insolite. Prédateurs et proies ne sont pas des ennemis jurés, mais peuvent s’apprivoiser pour jouer ensemble
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Quand chiens, chats et autres poilus se trouvent d’improbables meilleurs amis

 

 

Parce que nos chères et tendres boules de poils n’ont jamais été aussi plébiscitées qu’elles le sont aujourd’hui, toutes les marques se mettent une à une à tenter de nous faire fondre à coups de pubs pleines de chatons, chiots et autres mignons en tous genres.

C’est donc tout naturellement que Samsung a suivi le mouvement en misant dans sa dernière campagne surles amitiés les plus étonnantes entre animaux.

Un chien et un orang-outan, un chaton et des canetons, un chien et un éléphant…

http://wamiz.com/

Truc Express ► La Solution Toute Simple Contre les Cheveux Électriques


Ma petite fille a souvent de l’électricité statique dans ses cheveux surtout quand on lui enlève sa tuque ou encore quand elle fait sa sieste, et me donne des chocs électriques, avec ce truc si simple, ce n’est plus un problème
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La Solution Toute Simple Contre les Cheveux Électriques

Vous cherchez une solution pour vos cheveux électriques ? Sachez d’abord que la cause est simple : quand vous passez votre peigne dans les cheveux, cela créé de l’électricité statique. Résultat : les cheveux se dressent sur la tête sans gel ! Heureusement, le remède pour les discipliner est tout simple.

Comment Faire

  • 1. Mouillez-vous les mains en les passant rapidement sous l’eau.
  • 2. Passez simplement vos doigts humides dans les cheveux. 
  • 3. Recommencez si besoin.

Et voilà, vous savez maintenant comment faire pour ne plus avoir les cheveux électriques Une autre solution consiste à passer un mouchoir humide directement sur vos cheveux.

http://www.comment-economiser.fr/


 

Greffer un corps entier sur une tête, c’est possible ?


On dirait de la science-fiction à la Frankenstein ! Est-ce possible que les scientifiques puissent être d’accord avec ce genre de projet ? Et sur le côté éthique ? Je peux comprendre que pour un paraplégique qui pourrait se faire greffer la tête sur un autre corps serait un sentiment de liberté, de quitter son propre corps qui est en somme une prison, mais entre greffer un organe et un corps complet, n’est-ce pas un peu glauque ?
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Greffer un corps entier sur une tête, c’est possible ?

 

Le projet d'une greffe d'un corps entier sur la tête d'un receveur porté par le Dr Sergio Canavero dresse dans l’inconscient des barrières issues des mythes et  fantasmes du monstre de Frankenstein. ©Kobal / The Picture Desk / AFP

Le projet d’une greffe d’un corps entier sur la tête d’un receveur porté par le Dr Sergio Canavero dresse dans l’inconscient des barrières issues des mythes et fantasmes du monstre de Frankenstein. ©Kobal / The Picture Desk / AFP

Par Elena Sender

Ce projet fou porté par le neurochirurgien italien Sergio Canavero pourrait connaître de nouvelles avancées lors du prochain congrès de l’Académie américaine de chirurgie neurologique en juin 2015.

CHIRURGIE. Greffer le corps complet d’un donneur sur la tête d’un patient ? C’est le projet un peu fou mais tout ce qu’il y a de plus sérieux de Sergio Canavero, neurochirurgien à l’université de Turin (Italie). Celui-ci vient de dévoiler un protocole détaillant la technique chirurgicale permettant de « fusionner » la moelle épinière du donneur avec celle du receveur. Un « détail » technique prépondérant pour la crédibilité de l’opération. Surtout, Sergio Canavero est bien décidé à présenter le lancement de son projet à l’occasion du prochain congrès de l’Académie américaine de chirurgie neurologique qui se déroulera en juin 2015 à Annapolis dans le Maryland (Etats-Unis). Et il espère bien convaincre la communauté scientifique de la crédibilité de son protocole.

Nous vous proposons de retrouver ci-dessous l’enquête menée sur cet improbable projet par notre reporter Elena Sender et publiée dans le magazine Sciences et Avenir n°798 en juillet 2013.

« Monstrueux », « impossible », « ridicule », les adjectifs fusent lorsqu’on évoque une « greffe de tête », la transplantation d’une tête humaine (vivante) sur le corps d’un donneur (mort), qui permettrait à des tétraplégiques, par exemple, de recouvrer l’usage d’un corps sain. Pourtant, ce sujet très sensible vient d’être remis sur le devant de la scène par le neurologue italien Sergio Canavero. Ce directeur du groupe Advanced Neuromodulation à Turin (Italie) a en effet publié dans l’obscure revueSurgical Neurology International son projet de première transplantation de ce type, détaillant le déroulé possible de l’intervention. Le chercheur rappelle à cette occasion que cette tentative avait été réussie chez le singe Rhésus par le neurochirurgien américain Robert White, de la Case Western Reserve University (Cleveland, États-Unis), en 1970. Le singe chimérique avait survécu trente-six heures, dont trois éveillé. L’animal disposait de tous ses sens intacts (ouïe, odorat, vision, goût) mais était resté paralysé, la moelle épinière ne s’étant pas reconnectée entre la tête et le reste du corps.

« Aujourd’hui, nous avons les techniques pour accomplir cette reconnexion, assure Sergio Canavero. Des travaux ont montré que des substances chimiques, le polyéthylène glycol (PEG) et le chitosan, induisent la fusion des fibres nerveuses (axones) coupées. Nous pourrions, grâce à cela, reconnecter plus de 50% des axones. Or, d’après la littérature, la connexion de 10% seulement de fibres descendantes (du cerveau vers le corps) de la moelle épinière suffit pour rétablir le contrôle volontaire de la motricité. »

Interrogés, les spécialistes restent prudents sur la faisabilité technique de cette greffe inédite. Zohreh Amoozgar, expert en PEG à l’université Harvard (Cambridge, États-Unis), dont les travaux sont cités dans la publication de Sergio Canavero, nuance :

« Les chitosan et PEG sont certes capables de connecter les nerfs périphériques avec succès sans perte substantielle de fonction. Néanmoins, pour la moelle épinière, il faudrait y associer des sutures chirurgicales. »

Et si le greffon est rejeté ?

Une opération de microchirurgie longue et délicate s’il en est.

« Le problème majeur reste le rejet du greffon, commente pour sa part Ignacio Anegon, directeur de l’unité Inserm-Centre de recherche en transplantation et immunologie de Nantes. Les organes principaux du système immunitaire du corps (moelle osseuse, rate et ganglions) réagiront contre le tissu composite (muscles, peau, cerveau…) qui constitue la tête »

 Résultat dramatique : le corps risque de rejeter la tête ou le cerveau ! La solution passerait par des traitements anti-rejet, bien maîtrisés aujourd’hui.

« Mais les greffes ont une durée de vie limitée, poursuit Ignacio Anegon. Au bout d’un temps, variable, les traitements peuvent ne plus suffire. Or, si l’on peut retirer une main greffée lors d’un rejet, on ne pourra pas retirer la tête ! »

Le directeur de recherche appelle à la mesure : « Il manque des résultats sur une dizaine de singes, avec des traitements immunosuppresseurs, pour voir leur survie à long terme. »

Il faut aussi tenir compte des freins psychologiques.

« La greffe de tête effraie plus que toute autre, ajoute-t-il. Elle dresse dans l’inconscient des barrières issues des mythes, des fantasmes, du monstre de Frankenstein. Pour ma part, je suis cependant partisan de repousser les limites du possible pour aider des gens qui vivent des situations dramatiques. »

L’opération créera une chimère porteuse de l’esprit du receveur mais qui engendrera la descendance du donneur » – Dr Sergio Canavero 

Sergio Canavero met en avant un autre frein éthique : « L’opération créera une chimère porteuse de l’esprit du receveur mais qui engendrera la descendance du donneur. »

Quoi qu’il en soit, le neurologue estime qu’une fois obtenue l’autorisation d’un comité d’éthique et des fonds débloqués, l’opération prendrait à peine deux ans pour être mise sur pied. Où ? Un indice :

« Les Russes m’ont convié cet été à présenter mon hypothèse devant de riches mécènes », lâche-t-il.

Déjà, dans les années 1970, Robert White avait été invité par l’URSS.

« Mon inspirateur est russe d’ailleurs, souligne Sergio Canavero. C’est Constantin Tsiolkovski, le père de l’astronautique. Il disait que l’impossible d’aujourd’hui deviendra le possible de demain. »

Un possible qui, s’il devient finalement réalité, risque de faire tourner bien des têtes…

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Aibo. De chien-robot à véritable animal de compagnie


Je ne suis pas psychologue, mais je trouve anormale qu’on puisse agir ainsi avec des chiens robots allant même jusqu’à organiser des funérailles quand le pseudo-chien ne fonctionne plus.
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Aibo. De chien-robot à véritable animal de compagnie

 

    Les chiens-robots Aibo sont souvent considérés comme de vrais animaux.  © TOSHIFUMI KITAMURA / AFP

    Les chiens-robots Aibo sont souvent considérés comme de vrais animaux. © TOSHIFUMI KITAMURA / AFP

    Imaginés par Sony, les chiens-robots Aibo ont fait fureur au Japon pendant quelques années jusqu’à l’arrêt de leur production en 2006. Certains maîtres étaient tellement attachés à leur compagnon qu’ils leur offrent maintenant des funérailles.

    CHIEN-ROBOT. Munis d’une personnalité, capables de se déplacer et d’exprimer leurs émotions, les chiens-robots Aibo sont considérés comme des vrais animaux de compagnie par bon nombre de propriétaires. Certains leur organisent même des funérailles lorsqu’ils cessent de fonctionner. D’ailleurs, pour la première fois, un moine a rendu honneur à des canidés décédés lors d’une cérémonie organisée en janvier dernier (voir vidéo ci-dessous).

    COÛTEUX. Produits et commercialisés entre 1999 et 2006, les Aibo ont fait fureur au Japon malgré leur prix élevé (250.000 yens soit l’équivalent de 1.850 euros). A leur sortie, plus de 3.000 robots avaient été vendus en l’espace de 20 minutes.

    Une clinique véto pour Aibo

    Malgré un arrêt de fabrication en 2006, Sony offrait, jusqu’à l’an dernier, un service vétérinaire (Aibo Clinic) pour réparer les robots endommagés. Suite à cette fermeture, d’anciens ingénieurs de la firme nippone se sont réunis pour créer l’entreprise A Fun qui vient en aide aux maîtres démunis devant les problèmes de leurs compagnons.

    « J’ai été surpris la première fois que j’ai parlé directement à un client. Il m’a dit:   ‘il ne va pas très bien, pouvez-vous l’ausculter?’ Je me suis rendu compte que cette personne ne voyait pas Aibo comme un robot mais comme un membre de sa famille », a déclaré à l’AFP Hiroshi Funabashi, un des ingénieurs de la société. 

    Les réparations sont possibles grâce aux dons effectués par des propriétaires d’Aibo qui ne sont plus fonctionnels. Ainsi, les maîtres doivent parfois attendre longtemps avant de voir leur tour arriver… surtout que la liste d’attente compte actuellement plus de 180 noms. 

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    Décès de l’ancien combattant Ernest Côté, âgé de 101 ans


    Il ne doit pas rester beaucoup de vétérans de la Deuxième Guerre Mondiale, Ce soldat a quand même connu, en décembre 2014, une sauvage agression d’un homme qui a aussi tué 3 personnes en juin 2007.
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    Décès de l’ancien combattant Ernest Côté, âgé de 101 ans

     

    M. Côté était un habitué des cérémonies du... (Photo archives AFP)

    M. Côté était un habitué des cérémonies du Jour du Souvenir. Sa contribution a d’ailleurs été soulignée au Musée canadien de la guerre.

    PHOTO ARCHIVES AFP

    Ernest Côté, l’un des anciens combattants les plus connus au pays, s’est éteint mercredi à l’âge de 101 ans.

    Le lieutenant-colonel avait été responsable de la logistique de la troisième division d’infanterie du Canada lors du célèbre débarquement de Normandie sur la plage de Juno, le 6 juin 1944. Il est reconnu pour avoir joué un rôle important dans l’événement historique qui a mené à la chute de l’Allemagne nazie pendant la Deuxième Guerre mondiale.

    M. Côté était un habitué des cérémonies du Jour du Souvenir. Sa contribution a d’ailleurs été soulignée au Musée canadien de la guerre.

    Il avait fait les manchettes récemment puisqu’il avait été victime d’une invasion de domicile particulièrement violente, où il avait été ligoté par un suspect, qui a aussi été accusé du meurtre de trois personnes dans la région d’Ottawa.

    Après la guerre, M. Côté avait mené une longue carrière au ministère des Affaires étrangères.

    Le militaire, qui est né à Edmonton en Alberta, avait suivi une formation d’avocat avant de s’enrôler dans l’armée en tant que lieutenant et membre du Royal 22e Régiment.

    http://www.lapresse.ca/

    La science


    Il ne faudrait jamais perdre l’idée que la science puisse tout changer l’environnement selon ses désirs, car la nature finie toujours par reprendre le dessus et souvent au détriment de l’être humain
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    La science

     

    L’utilisation correcte de la science n’est pas de conquérir la nature, mais de vivre avec elle.

    Barry Commoner

    Peste noire : le rat innocent


    Comme une erreur judiciaire des nouvelles données viendrait disculper le rat pour les crimes qu’on lui imputait lors de la pire épidémie connue depuis le Moyen-Âge. C’est un autre suspect qui a été formellement accusé à la place
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    Peste noire : le rat innocent

     

    La grande gerbille

    La grande gerbille Photo :  cbc/wikipedia

    Le rat ne serait pas le grand responsable de la propagation de la peste bubonique au Moyen-Âge. Une nouvelle étude en impute plutôt la responsabilité à la grande gerbille, un petit rongeur de la famille des muridés.

    L’étude de l’Académie américaine des sciences affirme que ce sont les données climatiques qui contredisent le fait que les rats auraient été responsables de la propagation des épidémies de peste qu’a connue l’Europe au 14e siècle.

    Ces données démontrent que les épidémies qu’a connues l’Europe sont survenues après un printemps pluvieux en Asie centrale, suivi d’un été chaud.

    Ces conditions, néfastes pour le rat noir, sont favorables à la gerbille asiatique.

    L’étude indique que ce petit animal aurait été transporté en Europe par la route de la soie. Ce sont les puces de l’animal qui auraient transmis la peste aux humains, entraînant la mort de dizaines de millions d’entre eux.

    La grande gerbille, que l’on retrouve dans plusieurs régions de l’Asie centrale, peut atteindre 15 à 20 centimètres à l’âge adulte.

    http://ici.radio-canada.ca/

    Les coraux de la Grande Barrière d’Australie ingèrent du plastique


    C’est une bien mauvaise nouvelle pour l’environnement, si les coraux se mettent a ingérer des microplastiques. Ils ne se nourrissent de moins en moins de plancton. Ce qui aurait donc, une grande conséquence écologique
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    Les coraux de la Grande Barrière d’Australie ingèrent du plastique

     

    Des militants écologistes manifestent à Sydney, dénonçant les... (PHOTO PETER PARKS, ARCHIVES AFP)

    Des militants écologistes manifestent à Sydney, dénonçant les risques que fait courir à la Grande Barrière le secteur du charbon, le 13 février.

    PHOTO PETER PARKS, ARCHIVES AFP

    SYDNEY

    Les coraux de la Grande Barrière australienne ingèrent des petits débris de plastique dont le Pacifique est abondamment pollué, ont constaté des chercheurs australiens qui s’alarment des conséquences écologiques de ce phénomène.

    Publiée dans le journal Marine Biology, cette étude réalisée en laboratoire révèle que les coraux «mangent le plastique à un rythme à peine inférieur à celui auquel ils consomment habituellement le plancton».

    «Si la pollution aux microparticules de plastique augmente sur la Grande Barrière, les coraux pourraient être affectés au fur et à mesure que les cavités de leur petit estomac se bouchent avec du plastique inassimilable», a expliqué Mia Hoogenboom, de l’Université James Cook, dans le Queensland (nord-est).

    Les microplastiques sont définis comme des particules mesurant moins d’un demi-centimètre.

    Du plastique a été retrouvé «en profondeur dans les polypes des coraux, recouvert de tissu digestif», et serait susceptible d’altérer la capacité de ces organismes à digérer leur nourriture traditionnelle, ont souligné les scientifiques.

    Ils ont également prélevé de l’eau à proximité de la Grande Barrière, inscrite au patrimoine mondial de l’UNESCO, et y ont trouvé des microparticules de plastique, dont du polystyrène et du polyéthylène en petites quantités.

    Ces découvertes interviennent alors que l’UNESCO a d’ores et déjà émis des inquiétudes sur l’état de santé de la Grande Barrière, en raison des développements industriels, du déversement de déchets, de la pêche ou encore du réchauffement climatique et de la montée des océans.

    En 2012, le Programme des Nations unies pour l’Environnement avait estimé que chaque kilomètre carré de la mer contenait environ 13 000 morceaux de déchets en plastique, le Pacifique Nord étant le plus pollué.

    http://www.lapresse.ca/