Tout finit un jour


Je crois, c’est ce qui est encourageant, enfin pour moi, quand les choses ne vont pas bien, c’est qu’il y a d’autres jours que le soleil sera présent
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Tout finit un jour

 

Dans la vie c’est comme ça. Tout finit par finir, même le pire.

Louis Caron

Lumière allumée et lumière éteinte, deux univers parallèles!


C’est vraiment magnifique ! De très beau mural fait avec une peinture phosphorescente qui donne à une pièce une profondeur étonnante
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Lumière allumée et lumière éteinte, deux univers parallèles!

 

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Une artiste incroyablement douée pour les murales que l’on voit, une fois les lumières éteintes! Bogi Fabian, est une spécialiste en la matière, ses murales éclairées par des ampoules noires (black lights) sont magiques!

Plusieurs de ses murales ne sont visibles qu’une fois plongé dans le noir. Et d’autres on une allure de simples murales, qui elles aussi, une fois dans le noir, deviennent vibrantes de couleurs brillantes!

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Source: bogifabian.com

http://www.trucsetbricolages.com

Le Saviez-Vous ► Volcan Kawah Ijen et ses coulées de lave bleue


Déjà que voir un volcan en éruption la nuit avec cette larve rouge sang. que ce volcan en Indonésie est vraiment spectaculaire
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Volcan Kawah Ijen et ses coulées de lave bleue

Le photographe Olivier Grunewald et Régis Etienne, président de la Société de volcanologie de Genève, s’intéressent au volcan Kawah Ijen depuis 2008. Et pour cause, cette montagne indonésienne abrite le lac le plus acide de la planète ainsi qu’une grande quantité de soufre pur. Les vapeurs sont émises à une température d’environ 200 °C.

Cette mine de soufre produit de la lave d’un bleu spectral, un spectacle extraordinaire lorsqu’il est observé la nuit. En s’enflammant, les gaz sulfuriques à haute température produisent des torchères d’un bleu électrique qui peuvent atteindre jusqu’à cinq mètres de hauteur.

Olivier Grunewald et son équipe ont bravé les dangers et l’environnement très toxique pour capturer ces coulées incandescentes. À l’occasion du documentaire Kawah Ijen, le mystère des flammes bleues, ils ont découvert que des mineurs viennent récolter de nuit « le sang coagulé du volcan ». Au péril de leur vie, ils extraient des morceaux de soufre pour les vendre 680 roupies le kilo (environ 0,04 euros).

http://www.huffingtonpost.fr

La barbe de Toutankhamon engluée dans un scandale


Je n’aimerais pas être dans les souliers de ou, des personnes qui ont eu cette mauvaise aventure avec la barbe de Toutankhamon. Même étant une fan de l’archéologie et je comprends très bien le désastre que cela occasion à un trésor de l’histoire de l’Égypte ancienne, et si cela a été un simple accident, alors il faut le prendre comme tel. Juste qu’il est dommage que le ou les personnes n’ont pas pris la responsabilité d’avertir des personnes compétentes pour réparer le masque du Pharaon
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La barbe de Toutankhamon engluée dans un scandale

 

 

Toutankhamon, avant qu'on lui titille la barbe. © HEATON / ONLY WORLD / ONLY FRANCE / AFP

Toutankhamon, avant qu’on lui titille la barbe. © HEATON / ONLY WORLD / ONLY FRANCE / AFP

Par Bernadette Arnaud

Lors d’un banal nettoyage, le postiche bleu et or du masque du pharaon s’est détaché, puis a été recollé sans précaution aucune par le (ou les) employé(s) maladroit(s)…

STUPIDE. Un des trésors les plus précieux de l’Égypte ancienne, et sans doute l’un des plus connus au monde, a été victime d’un accident aussi stupide qu’irréparable. Lors d’une banale opération de dépoussiérage du célèbre masque de Toutankhamon — l’illustre pharaon du Nouvel Empire (18e dynastie) —, sa barbe postiche bleu et or se serait… détachée ! Et elle serait restée dans les mains de (des ?) (l’)employé(s) du Musée égyptien du Caire où cette merveille, découverte par l’archéologue Howard Carter en 1922, est exposée. Paniqué, celui-ci (ou ceux-ci) aurai(en)t, en toute hâte, utilisé de la colle époxy pour la souder à nouveau au visage. Or, la réfection est totalement ratée… et l’adhésif irréversible. Sur les photos du masque prises récemment, on aperçoit en effet très nettement la couche de gel utilisé pour recoller les morceaux. Le masque aurait aussi été légèrement éraflé lors d’une tentative de retrait d’une coulée de colle par l’utilisation d’une spatule.

La procédure de restauration n’a pas été suivie, c’est le moins que l’on puisse dire ! 

Cet accident, qui se serait produit au mois d’octobre dernier, a été révélé très récemment et relayé par le site Al Araby Al Jadeed le 22 janvier 2015, repris par Associated Press et la presse britannique, en particulier la BBC (voir aussi, en gros plan, à cette adresse). Une journaliste a pu aussitôt se rendre sur place et constater les dégâts. Ces dommages ont ensuite été confirmés par le directeur du Musée égyptien, Mahmoud Al Hawagi. Par crainte de représailles, les conservateurs égyptiens s’expriment sous le couvert d’anonymat et il est donc difficile de savoir pour l’instant ce qui s’est réellement passé. Une chose est certaine, la procédure de restauration n’a pas été suivie, c’est le moins que l’on puisse dire ! Après l’accident, le masque aurait dû en effet être transporté dans le laboratoire de conservation du musée, pour recevoir un traitement adapté. Une enquête interne est en cours.

La barbe, un attribut royal

Dans l’Égypte antique, la barbe postiche était un des attributs royaux du pharaon et des divinités. Celle-ci était portée au menton, attachée aux oreilles par un fil. Un symbole de pouvoir tel, que la reine Hatchepsout devenue pharaon s’était fait représenter portant cette barbe postiche

http://www.sciencesetavenir.fr/

Comment les bactéries communiquent entre elles


Si vous pensiez être seule à vous parler quand vous êtes seul, sachez que votre corps est un vaste réseau de communication pour les bactéries. Comme dans la vie des hommes, certaines bactéries se comprennent, s’entraident, mais aussi se mentent ou font la guerre
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Comment les bactéries communiquent entre elles

 

Selon les chercheurs, 116 autres espèces de bactéries, dont plusieurs pathogènes humains, utiliseraient cette même langue. © Inserm/Universcience/CNDP/Picta productions

Selon les chercheurs, 116 autres espèces de bactéries, dont plusieurs pathogènes humains, utiliseraient cette même langue. © Inserm/Universcience/CNDP/Picta productions

Par Elena Sender

Une nouvelle langue bactérienne a été identifiée. Comprendre ces échanges dans le corps humain pourrait permettre de leur « parler », voire de leur « mentir » pour influer sur leur comportement.

Blablabla blablabla blablabla c’est ce que se racontent les bactéries lorsqu’elles se rencontrent. Ou presque. En effet, loin d’être des êtres vivants sourds et muets, elles ne cessent de bavarder entre elles, pour se reconnaître, se compter, se multiplier ou au contraire stopper leur croissance, faire la paix avec leurs voisines ou déclarer la guerre.

Comment ? En diffusant des molécules, ce qu’on appelle le « quorum sensing », phénomène découvert dans les années 1990.

Une centaine de bactéries utiliseraient la même langue

 

DÉCOUVERTE. Ce 22 janvier 2015, un professeur de biotechnologie moléculaire de l’université Goethe à Francfort, Helge Bode et Ralf Heerman, du département de microbiologie à l’université Ludwig Maximilian de Munich, ont découvert un nouveau langage jusqu’ici inconnu qui semble être très répandu. Une découverte qui complète les recherches pionnières menées entre autres par la talentueuse Bonnie Bassler de l’université de Princeton, surnommée à raison « la femme qui murmurait à l’oreille des bactéries » (voir l’article en pdf ci-dessous).

Jusqu’ici le langage le plus connu passait par l’émission d’une molécule (N-acyl homoserine lactone). Les bactéries marines Vibrio fischeri, qui colonisent le calmar, en secrètent ainsi à tout-va pour se « compter » jusqu’à devenir bioluminescentes lorsqu’elles sont suffisamment nombreuses. Mais les chercheurs allemands ont, quant à eux, étudié Photorhabdus asymbiotica, comme ils le rapportent dans leur étude publiée dans les PNAS. Ce pathogène, mortel chez les insectes et qui infecte également l’homme, déclenche des problèmes cutanées. Et ces bactéries coordonnent leur action en secrétant du dialkylresorcinol et des cyclohexanediones.

Selon les chercheurs, 116 autres espèces de bactéries, dont plusieurs pathogènes humains, utiliseraient cette même langue. Or ces études sont cruciales. Comprendre le langage des bactéries permettrait en effet de leur « parler », voire de leur « mentir » pour influer sur leur comportement, les empêchant ainsi de développer leur pathogénicité. Une sorte d’antibiotique qui ne provoquerait pas de développement de résistance en quelque sorte.

http://www.sciencesetavenir.fr/

Cruauté animale en Grande-Bretagne : Neuf chiens réduits en «tas de chiffons»


C’est épouvantable de laisser toute une famille de chien dans de telles conditions. Espérons qu’ils retrouverons celui ou celle qui a abandonné ces chiens à leur triste sort
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Cruauté animale en Grande-Bretagne

Neuf chiens réduits en «tas de chiffons»

 

(Gracieuseté lavenir.net)

Neuf chiens abandonnés ont été retrouvés dans un état tellement déplorable, en bordure d’une route du sud de la Grande-Bretagne, qu’il était impossible de deviner leur race.

Les animaux maltraités, vraisemblablement une chienne et ses huit chiots, ressemblaient à des tas de chiffons lorsqu’ils ont été recueillis par un centre de protection des animaux. D’une saleté inouïe, ils avaient du mal à voir et à se tenir sur leurs quatre pattes en raison des blessures qui leur avaient été infligées.

«En 25 ans de carrière, je n’ai jamais vu ça, a expliqué l’un des employés du centre aux médias anglais. Vu qu’ils sont tous issus d’une même portée, il est probable qu’ils appartiennent à une seule personne. Je pense qu’ils ont été maltraités toute leur vie.»

(Gracieuseté lavenir.net)

Amenés en lieu sûr, les neuf chiens ont été soignés, puis toilettés. Les employés du centre ont alors pu déterminer qu’il s’agissait d’une sorte de caniches croisés. Ils ont réussi à les cajoler après un certain temps d’adaptation à faire baisser leur stress.

Les pauvres chiens pesaient moins de la moitié de leur poids normal. Ils se portent maintenant beaucoup mieux, mais les autorités recherchent toujours leur propriétaire, qui risque des poursuites judiciaires pour de tels actes de maltraitance animale.

(Gracieuseté lavenir.net)

http://tvanouvelles.ca/

Un sac de couchage innovant pourrait venir en aide aux sans-abris


L’idéal serait que tout le monde puisse avoir un toit, mais cette compétition a quand même le mérite de sensibiliser les étudiants à un problème qui mérite des solutions.
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Un sac de couchage innovant pourrait venir en aide aux sans-abris

Le sac de couchage dispose d'une capsule isolante.

Le sac de couchage dispose d’une capsule isolante.

JUSTINE KNAPP

ÉTATS-UNIS – Des étudiants américains ont mis au point un abri portatif pour SDF, à la croisée entre le sac de couchage et la tente. Une innovation qui pourrait amoindrir le nombre de décès causés par le froid.

En France, depuis le début de l’hiver, au moins six personnes sont mortes à cause du froid. Pour les sans-abris, les places en hébergement d’urgence ne sont pas toujours accessibles et dormir dans la rue s’impose souvent comme une solution par dépit. À l’avenir, une innovation pourrait améliorer leur quotidien.

Des étudiants de l’Institut de l’innovation de l’université Carnegie Mellon, à Pittsburgh, ont élaboré un abri portatif dans le cadre d’un concours organisé ce mois-ci. Le but pour les deux équipes en compétition : trouver de nouvelles solutions économiquement réalisables pour venir en aide aux sans-abris. Leurs travaux se sont portés sur des logements temporaires qui pourraient, à terme, être adoptés par les villes.

Un matériau utilisé pour les couvertures de survie

L’équipe arrivée en seconde position a donc imaginé un refuge à porter sur l’épaule, le « Satellite Shelter » (abri-satellite). Ce sac de couchage se transforme en tente grâce à une sorte de capsule rabattable. Composé d’un matériau à base de polyester abordable, utilisé notamment pour les couvertures de survie, il est complètement isolant, imperméable et ventilé.

Par ailleurs, des roues et des sangles facilitent son transport.

« Nous voulions nous assurer qu’il était léger et durable, de sorte qu’il soit facile à déplacer », a déclaré l’un des membres de l’équipe dans une vidéo introduisant le concept.

L’équipe gagnante, quant à elle, a conçu une structure close et fixe, panneau d’affichage le jour et logement la nuit. Le soir, la personne dans le besoin peut alors « déplier » l’abri via un système d’identification, alimenté à la base des lampadaires.

Un sac de couchage innovant pourrait venir en aide aux sans-abris

Photo : CAPTURE D’ÉCRAN VIDÉO

Un sac de couchage innovant pourrait venir en aide aux sans-abris

Photo : CAPTURE D’ÉCRAN VIDÉO

Un sac de couchage innovant pourrait venir en aide aux sans-abris

Photo : CAPTURE D’ÉCRAN VIDÉO

http://www.metronews.fr/

Les effrayantes expérimentations animales d’un laboratoire américain qui aide l’industrie de la viande à être plus rentable


Payer à l’insu de la population pour maltraiter des animaux lors d’expérimentation dans le but de rendre l’élevage encore plus productif tout en étant plus rentable. Je crois que les contribuables américains seraient déçus pour la plupart de savoir où va leur argent
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Les effrayantes expérimentations animales d’un laboratoire américain qui aide l’industrie de la viande à être plus rentable

 

<a href="https://www.flickr.com/photos/familyclan/15140832740">Barbecue ribs, pork</a> / David McSpadden via Flickr <a href="https://creativecommons.org/licenses/by/2.0/">CC License By</a>. Image d'illustration.

Barbecue ribs, pork / David McSpadden via Flickr CC License By. Image d’illustration.

par Claire Levenson

Pour baisser les coûts de la production de viande américaine, le laboratoire fédéralU.S. Meat Animal Center, financé par le contribuable américain, met en oeuvre des expérimentations choquantes sur les animaux depuis les années 1960, révèle une longue enquête du New York Times.

Dans ce centre, situé dans l’Etat du Nebraska, les scientifiques tentent notamment de créer des truies et des vaches qui ont des portées plus importantes et des grossesses à intervalles plus rapprochées, ainsi que des brebis «soins faciles» qui peuvent survivre et se reproduire sans trop d’intervention humaine.  

Pour en arriver là, la direction du laboratoire ne recule pas devant un taux très élevé de décès, maladies et malformations de leurs animaux. Pour rendre les vaches plus rentables, le centre a notamment tenté d’augmenter le taux de naissance de jumeaux. Depuis le début des années 1980, les scientifiques ont commencé à fertiliser des oeufs dans des vaches qui avaient donné naissance à des jumeaux en utilisant du sperme de taureaux pères de jumeaux. Ces embryons ont été implanté dans des vaches qui n’avaient pas encore donné naissance à des jumeaux. Au fil des générations, le pourcentage de jumeaux s’est multiplié: habituellement de trois paires pour 100 naissances, il a atteint 55 pour 100.

Mais dans son enquête, le journaliste Michael Moss évoque les terribles effets secondaires de ces expériences: 95% des femelles jumelles avaient des vagins déformés, et environ 16 pourcent des jumeaux et triplés mourraient, un taux quatre fois plus élevé que pour les naissances habituelles.

Même chose pour les truies, manipulées de sorte qu’elles aient des livrées de 14 petits, au lieu des huit en moyenne. Dans ces livrées trop grandes, des centaines de petits cochons du centre meurent écrasés ou étouffés chaque année.

Quant aux brebis, le centre a tenté de les rendre moins domestiquées et de voir si elles peuvent se débrouiller sans l’aide de bergers. Habituellement, les brebis sont gardées au chaud dans des granges pour accoucher, mais depuis une dizaine d’années, les scientifiques du U.S. Meat Animal Center les laissent seules dehors pour voir lesquelles résistent le mieux. Dans ce contexte, des centaines de petits meurent de faim, abandonnés ou mangés par des coyottes. Entre 25 et 30% des petits meurent, contre 10% dans les conditions habituelles.

De nombreux vétérinaires qui ont travaillé dans ce laboratoire ont plusieurs fois tenté de tirer la sonnette d’alarme, mais leurs critiques n’ont pas été prises en compte. L’idée des chercheurs du centre est de baisser les coûts de l’élevage, mais même les éleveurs sont choqués par ce genre de pratique, rapporte le journaliste du New York Times.

Le ministère de l’agriculture américain, qui régule pourtant ce type de pratiques lorsqu’il s’agit d’expériences médicales, donne presque carte blanche à ce laboratoire dans la mesure où la loi sur le bien-être des animaux ne s’applique pas aux recherches sur les animaux d’élevage.

La presse américaine a déjà réagi avec horreur à cette enquête. Dans Mother Jones, le journaliste Tom Philpott explique qu’au lieu de demander à ce que ce centre soit fermé, il faudrait peut être le convertir en laboratoire d’étude sur les fermes diversifiées, qui font à la fois de l’élevage et de l’agriculture, dans un système de rotation qui est moins dommageable à l’environnement que la monoculture intensive.

http://www.slate.fr/