Moi comme d’autres, nous devrions reconnaitre que souvent le silence vaut mieux que la parole
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Le silence
« Parle si tu as des mots plus forts que le silence, ou garde le silence. »
Euripide
C’est vraiment beau à voir, ce petit éléphant se comporte comme tout enfant qui joue dans l’eau. Pousser les vagues, rentrer la tête dans l’eau ou mieux tout le corps, bref une vraie partie de plaisir
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Je n’aime pas l’hiver, mais oui, l’hiver avec sa neige est une saison vraiment unique, qui peut même de venir apaisant et les paysages et ce même en ville sont magiques. Quand les branches des arbres et arbustes qui sont glacées miroitent au soleil, ou en prenant un raccourci encore praticable de voir l’entendue de cette blancheur quasi-uniforme, c’est magnifique. Quand le ciel est bleu, la neige blanche, c’est étincelant. Et c’est toujours agréable de revenir à la maison après une bonne marche en hiver
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SelectStock via Getty Images
Il n’y a aucun doute que l’hiver amène son lot de désagréments. Les températures glaciales, les routes dangereuses et les trottoirs glacés, mais tout le monde sait que pour passer au travers de cette saison, mieux vaut rester positif!
Nous nous sommes donc attardés à la neige que nous ne pouvons nous empêcher d’admirer chaque fois qu’elle tombe sans trop savoir pourquoi.
On annonce de la neige au bulletin météo? Voici huit raisons de vous en réjouir.
La neige stimule notre capacité d’émerveillement.
La neige apporte du changement, de la nouveauté aux décors extérieurs. Même ceux qui n’aiment pas l’hiver admettent que la première neige a quelque chose de magique et de merveilleux. La neige donne lieu à des décors époustoufflants. La neige donne aussi lieu à des tempêtes qui nous donnent envie de rester emmitoufflés dans la maison ou de sortir dehors faire des bonhommes de neige. Des réunions de travail et des écoles fermées… Il y a tout plein de magie là-dedans!
Elle nous calme.
La neige qui tombe en plein milieu de la nuit a un effet apaisant sur nous. Ça dort tellement bien une nuit de tempête de neige! Même lors des journées stressantes, si on prend quelques minutes pour regarder les flocons tombés par la fenêtre, ça relaxe instantanément. Essayez!
Elle nous rappelle l’enfance.
Avez-vous déjà remarqué que c’est en devenant adulte que la majorité des gens se mettent à détester l’hiver? Pour les enfants, la neige est associée au plaisir de jouer dehors, de faire des bonhommes de neige, de patiner, de boire un bon chocolat chaud en rentrant. Nous devrions retrouver notre coeur d’enfant cet hiver!
L’hiver est un remède à l’ennui.
Il y a toujours quelque chose à faire en hiver. Sortir déblayer les marches, pelletez l’entrée, faire du ski, de la raquette, du patin, faire des forts. L’hiver est tout sauf ennuyeuse!
L’hiver nous ramène dans l’instant présent.
Il n’y a rien comme prendre une bonne bouffée de l’air froid et de sentir la bonne odeur de l’hiver pour nous connecter avec le moment présent.
L’hiver rassemble les gens.
On ne peut pas nier l’effet rassembleur de la neige qui nous donne envie de se coller sous d’épaisses couvertures avec ceux qu’on aime incluant nos animaux. Devant un feu de foyer, c’est encore mieux!
L’hiver nous rappelle la beauté de la nature.
Alors que la pluie laisse place à des paysages gris et sombres, la neige en contrepartie illumine les espaces. Avouez qu’une journée d’hiver avec un ciel bleu clair, les sapins verts et les flocons blancs est un spectacle pour les yeux qui nous émerveille chaque fois.
Le projet Mars One est toujours d’actualité. C’est un très long voyage qui demande beaucoup d’organisation. La NASA semble aller dans la direction des films de science-fiction et voit un grand avantage a faire le voyage en dormant
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L’ article ci-dessous vient de paraître dans le deuxième numéro d’un nouveau magazine consacré à la recherche, Thinkovery (148 p., 15 €), émanation papier du site Thinkovery.com, dont j’ai déjà parlé ici et qui propose des vidéos où les scientifiques exposent leurs résultats de manière pédagogique. La rédaction a bien voulu me confier une chronique intitulée « L’imaginaire des sciences », dans laquelle je confronte la science-fiction à la réalité… Je remercie Thinkovery de m’autoriser à reproduire ce texte.
Pierre Barthélémy
Quel point commun entre 2001, Odyssée de l’espace de Stanley Kubrick, Alien, le huitième passager de Ridley Scott et le plus récent Interstellar de Christopher Nolan ?
Au-delà de la réponse évidente – la promenade spatiale –, ce qui relie ces trois films, c’est la manière dont les astronautes passent une partie du voyage : ils roupillent. Ou plutôt, ils hibernent.
Etant donné les distances véritablement astronomiques qui séparent les différents corps du Système solaire (sans parler des années-lumière qu’il faudrait parcourir pour se rendre autour d’autres étoiles), il y a un véritable intérêt à ne rien faire pendant le parcours et la NASA, qui garde l’expédition vers Mars dans un coin de son agenda, l’a bien compris, qui envisage sérieusement de passer de la fiction à la réalité.
Via son Institute for Advanced Concepts, l’agence spatiale américaine a ainsi confié à la société SpaceWorks l’étude d’un projet de voyage vers la Planète rouge – six mois pour l’aller, six mois pour le retour –, au cours duquel les astronautes seraient placés en biostase, quelque part entre sommeil et coma. A l’occasion du 65e Congrès international d’astronautique qui s’est tenu début octobre 2014 à Toronto, SpaceWorks a, par la bouche de l’ingénieur Mark Schaffer, fait le point sur l’avancée de ses travaux. L’idée consiste à placer les explorateurs spatiaux dans un état de torpeur en faisant baisser de 3 à 5°C leur température corporelle, afin de réduire et de ralentir leur métabolisme. Rien de bien sorcier là-dedans puisqu’on s’inspire directement de pratiques médicales éprouvées depuis plusieurs années :
« Des protocoles existent dans la plupart des grands hôpitaux pour induire une hypothermie thérapeutique chez des patients », a expliqué Mark Schaffer.
La manœuvre est en général pratiquée chez les personnes ayant subi un arrêt cardiaque – afin de préserver leur encéphale le temps que le cœur reparte – ou un accident vasculaire cérébral, mais aussi chez les nourrissons dont le cerveau n’est pas assez oxygéné. Suite à l’accident de ski dont a été victime Michael Schumacher fin 2013, le CHU de Grenoble a ainsi eu recours à cette technique pour protéger le cerveau de l’ancien champion du monde de Formule 1. Simplement, dans le cadre de l’hypothermie thérapeutique, les patients ne sont maintenus que quelques jours dans cet état de torpeur.
Or, comme le reconnaît Mark Schaffer, « pour des missions humaines vers Mars, il faudra repousser ce maximum à 90 ou 180 jours ».
Le protocole présenté par SpaceWorks prévoit de refroidir les astronautes grâce au système RhinoChill de la société américaine BeneChill : un tuyau diffusant un produit réfrigérant est introduit dans la cavité nasale car seule une membrane la sépare du cerveau. En se diffusant, ce produit fait baisser la température de l’encéphale puis du reste du corps, le sang rafraîchi dans la matière grise gagnant ensuite tout l’organisme. Placées sous monitoring, les marmottes de l’espace seraient alimentées par intraveineuse et, leur système digestif se mettant lui aussi en sommeil, il faudrait uniquement récupérer leur urine. Un système robotisé activerait quotidiennement la stimulation électrique des muscles pour les empêcher de fondre pendant le voyage. C’est joli sur le papier mais SpaceWorks n’a pour l’instant pas précisé comment on validera l’innocuité du protocole « Belle au bois dormant » sur de si longues périodes…
Ce que la firme américaine a en revanche calculé avec précision, c’est le bénéfice qu’il y aura à envoyer vers Mars des dormeurs dans un vaisseau-couchettes. Outre le fait qu’on ne risque pas d’avoir de disputes à bord, le gain de place et de poids qu’entraîne l’hibernation générale est considérable. Moins de mètres cubes, d’électricité, de nourriture : pour un équipage de quatre personnes, on pourrait ainsi économiser plus de 50 % de la masse du vaisseau et passer d’un gros « bidon » de 475 mètres cubes et de 41,3 tonnes à une structure de 105 m3pour 19,8 t. Par ricochet, il faudrait aussi moins de carburant pour expédier tout ce matériel dans l’espace. Quand on sait que le prix du kilo mis en orbite tourne autour des 10 000 dollars, rabioter 20 tonnes revient à économiser quelque 200 millions de billets verts… Quant aux futurs explorateurs martiens, on leur conseillera juste de ne pas vexer le « taulier » informatique qui les surveillera : on se souvient que, dans 2001, Odyssée de l’espace, le superordinateur Hal fait une hécatombe parmi les membres d’équipage en désactivant leurs caissons d’hibernation.
Si je ne m’abuse, il n’a jamais été prouvé de la possibilité d’une combustion spontanée. De plus, il est quand même étrange qu’elle trouve la même excuse pour le deuxième bébé pour la mère d’avoir été brûlé. J’ose croire que ses enfants seront placés ailleurs
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(Capture d’écran, The Daily Mail)
Un couple d’Indiens soutient que son bébé a pris feu soudainement. L’enfant est actuellement soigné à l’hôpital de Chennai où les médecins s’intéressent à son cas.
La mère du bambin soutient que l’enfant a été victime d’une combustion spontanée jeudi dernier, six jours après sa naissance. Ses pieds se seraient enflammés sans explications, rapporte le quotidien anglais, le Daily Mail.
Une équipe de cinq médecins incluant pédiatres, chirurgiens plastiques et psychiatres se relaient au chevet de l’enfant et tentent de comprendre ce qui lui est arrivé.
«Nous avons fait des prélèvements sur les plaies pour des tests. Nous attendons les résultats dans les prochains jours et nous déciderons alors des autres examens et traitements», fait savoir le Dr Gunasekaran.
Ce n’est pas la première fois que cette mère de famille de 22 ans se présente à l’hôpital avec un enfant victime de combustion spontanée.
Déjà en 2013, elle avait conduit son fils Rahul à l’hôpital après qu’il eut pris feu pour la quatrième fois. Après de nombreuses analyses, les médecins avaient conclut qu’il n’avait pas été victime de combustion spontanée et s’inquiétaient alors qu’il a été victime de maltraitance.
«Les gens pensent que je l’ai enflammé, mais ce n’est pas vrai», se défendait-elle à l’époque.
Aller à la pêche et remonter sur le bateau un étrange requin vaut la peine de le souligner, mais espérant qu’il a pu retrouver son habitat
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INSOLITE – Une rencontre pour le moins inhabituelle. Le mois dernier, David Guillot pêchait comme d’habitude sur son chalutier au large de Lakes Entrance (300 km de Melbourne, en Australie), lorsqu’il est tombé sur un bien étrange poisson.
« Cela fait 30 ans que je pêche et je n’ai jamais vu un requin comme celui-ci », explique-t-il auSydney Morning Herald.
« Sa tête faisait penser à une chose sortie d’un film d’horreur. C’était assez horrible à regarder », a-t-il ajouté au sujet de la créature en question: un requin-lézard.
Parfois qualifié de « fossile vivant », ce poisson vieux de 80 millions d’années vit dans les profondeurs (il a été pêché à quelque 1100 mètres) et il est donc plutôt rare de le croiser.
Doté de 300 dents acérées, le requin-lézard peut atteindre jusqu’à deux mètres de long. Mais que l’on se rassure, il se nourrit essentiellement de calamars.
un questionnaire pour aider une amie, le sujet est littéraire
Une momie a été découverte, ce n’est pas vraiment une primeur, le masque de la momie est fait de papyrus, rien d’extraordinaire, mais parmi ces papyrus, un fragment de l’Évangile de St-Marc qui aurait utilisé. Ce fragment a causé une discorde due à sa datation. Mais il pourra probablement affirmer en plus que la Bible a été modifier au cours des siècles
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Ci-dessus un masque appartenant à une momie égyptienne (ce masque n’est pas celui dans lequel a été trouvé le document biblique). Crédits : The Brooklyn Museum, Charles Edwin Wilbour Fund
Par Julie Aram
Un fragment de l’évangile de St Marc, datant du premier siècle de notre ère. Soit ni plus ni moins le plus vieux fragment de cet évangile connu à ce jour. Tel est le document qui a été découvert dans le masque… d’une momie égyptienne, par une équipe du Acadia Divinity College de Wolfville, Canada).
Quels sont les détails qui ont été communiqués concernant le masque de cette momie ? Tout d’abord, il semble que cette momie soit celle d’un simple civil, et non pas d’un personnage haut placé. Par conséquent, les constituants du masque de cette momie sont plus rudimentaires que ceux des masques de momies appartenant à de hauts dignitaires. De fait, ce masque est fabriqué à base de papyrus, sur lequel une peinture a été réalisée (pour voir un masque ressemblant à celui décrit ici, vous pouvez vous reporter à cet article – en anglais – de LiveScience).
Mais il s’avère que ce papyrus, composant le masque de cette momie, n’est pas comme les autres. En effet, en séparant les différentes couches du papyrus, les auteurs de la découverte se sont aperçus qu’il contenait des inscriptions. Après les avoir analysées avec soin, les chercheurs du Acadia Divinity College en sont arrivés à la conclusion qu’il s’agissait d’une version de l’évangile de St Marc.
Jusqu’ici, si la découverte était certes de taille, la plus grande surprise allait toutefois provenir de la datation de ce document. En effet, après l’avoir utilisé une combinaison de techniques de datation au carbone 14, les chercheurs se sont aperçus que ce papyrus avait été rédigé… au premier siècle de notre ère. Et plus précisément, avant l’an 90 de notre ère.
Une découverte considérable, car jusqu’ici, les versions de l’évangile de St Marc connues à ce jour sont plus récentes d’au moins 150 ans…
De nouvelles informations concernant la découverte de cette version éminemment ancienne de l’évangile de St Marc seront vraisemblablement publiées au cours de cette année 2015. Des informations qui devraient notamment apporter des précisions supplémentaires quant à la datation de ce document.
Pourquoi alors avoir souhaité communiquer sur ce résultat dès maintenant ? En fait, il s’avère que l’information concernant la date de ce document avait été divulguée à la presse dès 2012, par Daniel B. Wallace, l’un des chercheurs qui travaillait à l’époque avec l’équipe du Acadia Divinity College. Une information qui avait déclenché une série de débats et de controverses concernant les méthodes utilisées par les chercheurs pour dater le document, alors même que les travaux de datation n’étaient pas du tout terminés.
Et c’est pour répondre à ces controverses que le spécialiste en textes bibliques anciens Craig Evans, responsable de l’équipe du Acadia Divinity College à l’origine de ces travaux, a décidé de révéler dès ce mois de janvier 2015 que les travaux de datation menés depuis 2012 sur le papyrus confirment bel et bien que ce fragment de l’évangile de St Marc date du 1er siècle de notre ère. Une révélation qui a pour but de clore les controverses concernant la datation du document qui avaient pu naître en 2012, tout en préparant le terrain d’une publication à venir au cours de l’année 2015 dans une revue scientifique (dont le nom n’est pas encore connu), et qui comprendra notamment une partie des textes découverts sur le papyrus.
Toutefois, si les nécessités de la confidentialité entourant ces travaux empêchent d’en savoir beaucoup plus pour l’instant sur le contenu du papyrus, Craig Evans a toutefois révélé à LiveScience que, bien que le fragment de texte présent sur le papyrus soit plutôt court, son contenu devrait toutefois prouver que l’évangile de St Marc a évolué au cours du temps, au fil des différentes versions écrites au cours des siècles suivants
On achète un bébé alligator pour le garder à l’intérieur de la maison,.. Mais, ça grandis et il devient vite de trop dans la maison. Je trouve cela irresponsable d’avoir ce genre d’animal.
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Los Angeles : un alligator soupçonné de dévorer les chats du quartier depuis 40 ans
L’alligator a été transféré dans le zoo de la ville. Photo : SIP
ÉTATS-UNIS – Un alligator a été découvert lundi dernier dans la banlieue de Los Angeles, aux côtés de deux cadavres de chats. Le reptile vivait illégalement chez des particuliers depuis les années 1970.
Si les iguanes et autres serpents sont des animaux de compagnie de plus en plus répandus, l’alligator est plus rare dans les foyers. Peut-être de par sa mâchoire gigantesque ou ses attaques puissantes. Des caractéristiques qui ne semblent pas rebuter tout le monde… En atteste la découverte le 12 janvier par des agent de contrôle de Los Angeles d’un alligator de près de 2,50 mètres dans la cour arrière d’une maison de Van Nuys, en banlieue. Il y vivait illégalement depuis environ 40 ans.
Selon Reuters, deux chats morts se trouvaient à côté du reptile. Le meneur de l’opération, Mark Salazar, a donc ouvert une enquête criminelle. Les habitants de la zone sont invités à se manifester s’ils ont perdu un animal durant les 40 dernières années.
Le propriétaire de l’alligator, qui ne possédait pas de permis pour sa garde, est décédé l’an dernier. Depuis, son beau-frère Ron Gorecki, 53 ans, faisait partie de ceux qui avaient pris le relais.
« Nous avons essayé de lui offrir un bon foyer », s’est justifié l’homme auprès du Los Angeles Times.
L’animal avait été acheté dans un magasin pour animaux de compagnie de la ville et baptisé Jaxson. Il vivait au départ à l’intérieur de la maison jusqu’à ce que sa taille l’en empêche.
Poulet et hot-dog au menu
Pour autant, selon ses propriétaires, il ne se serait attaqué à aucun chat. Son alimentation était composée de poulet ou de hot-dog. Dans le voisinage, « tout le monde connaissait Jaxson ». La tolérance des habitants du coin risque d’en prendre un coup à l’annonce de la mort de deux félins.
Les agents de contrôle avaient déjà fouillé la maison l’année dernière, après avoir reçu un signalement anonyme. Sans succès. L’alligator a été emmené au zoo de Los Angeles.