L’echec


Nous avons tous des idées, des buts, des rêves que nous voulons accomplir, ce qui importe c’est d’essayer d’y accéder pour ne jamais dire j’aurais du …
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L’echec

 

 

Je peux accepter l’échec, tout le monde vit des échecs, mais je ne peux pas accepter de ne pas avoir essayé

Michaël Jordan

Il demande à des gens dans la rue leur mot de passe.


C’est insensé que des journalistes ont pu soutirer si facilement les mots de passe des personnes interrogées. Je suis certaine que cela serait pareil ailleurs dans le monde. Espérons, que ces gens se sont dépêchés à changer leurs mots de passe
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Il demande à des gens dans la rue leur mot de passe.

 

 

Barack Obama vient de proposer des solutions pour contrer les pirates informatiques en Amérique.

L’animateur Jimmy Kimmel pense qu’il faut surtout sensibiliser les utilisateurs, et cela commence par les mots de passe.

Ses journalistes sont alors descendus dans la rue pour poser quelques questions aux gens, dont leur demander leur mot de passe.

Regardez bien ce qu’ils vont répondre…

http://www.insoliteqc.com

Le Saviez-Vous ► Janvier 1967. L’Américain James Bedford se fait congeler en attendant d’être soigné pour son cancer


Même devant une maladie incurable, il n’est pas question de me faire cryogéniser. Un jour où l’autre, il faudra bien déclarer ces corps gelés bel et bien mort
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L’Américain James Bedford se fait congeler en attendant d’être soigné pour son cancer

 

12 janvier 1967. L'Américain James Bedford se fait congeler en attendant d'être soigné pour son cancer © Alcor Foundation

Frédéric Lewino et Gwendoline Dos Santos

Aujourd’hui, ils sont des centaines d’hommes et de femmes à patienter dans des cercueils-congélateurs.

Voilà quelques millénaires, les pharaons avaient cru pouvoir vaincre les outrages du temps en se faisant embaumer. Depuis quelques décennies, des désespérés veulent les imiter, mais en choisissant la cryogénisation. Le premier à tenter le grand saut cryogénique, le 12 janvier 1967, est un Américain de 73 ans, professeur en psychologie, James Bedford. Depuis plusieurs années, il souffrait d’un cancer incurable, persuadé qu’un jour la médecine aurait fait suffisamment de progrès pour le soigner. Il avait donc demandé à son entourage de le congeler si jamais il venait à mourir, et de le réveiller quand un remède efficace serait prêt.

En 1965, James Bedford répond à l’annonce d’un certain Cooper, fondateur de la Life Extension Society (LES), qui cherche un volontaire pour la cryogénisation dont il vient de mettre au point – croit-il – la technique. Bedford n’est pas le seul à se porter candidat. Avec d’autres volontaires, il signe un contrat de congélation. Il est le premier à rendre son dernier souffle. À peine le corps a-t-il eu le temps de refroidir que son médecin personnel, averti du voeu de son patient et aidé par les employés de la Cryonics Society of California, se met au boulot. D’abord, vider le sang, pour le remplacer par un fluide censé supprimer la cristallisation des cellules. En fait, les opérateurs ne parviennent pas totalement à leurs fins. Mais cela ne les empêche pas de poursuivre les opérations en refroidissant le corps jusqu’à – 200 °C avec de l’azote. Bedford, qui ne semble pas s’en offusquer, est alors enfourné dans une capsule isolante.

Puis commence une très longue attente. Notre professeur congelé séjourne d’abord dans le garage d’un certain Dr Robert Prehoda, mais la femme de celui-ci pique une crise d’hystérie à chaque fois qu’elle monte dans sa voiture. Aussi faut-il déménager le corps. On lui trouve un premier abri, puis un autre. Finalement, il migre vers un refuge définitif en Arizona, à l’Alcor Life Extension, qui abrite, aujourd’hui, une centaine d’autres patients congelés, et même une trentaine d’animaux de compagnie.

James Bedford y attend toujours sa résurrection, sans manifester le moindre signe d’impatience. Lors d’un changement de capsule, il a passé un check-up. Apparemment, il est en pleine forme ,,,,

www.lepoint.fr/

Quand notre cerveau a besoin de fierté


Un billet intéressant sur la fierté qui est essentiel pour tout individus pour ressentir une reconnaissance, une estime de soi et un encouragement pour aller de l’avant. Perdre cette fierté, c’est de sentir inutile, dépressif, bon à rien » Il ne coûte rien à personne d’encourager une personne pour le remonter dans sa fierté
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Quand notre cerveau a besoin de fierté

 

François Richer

Chercheur en neuropsychologie, professeur à l’UQAM

Un enfant qui s’affirme haut et fort pour revendiquer sa place. Un employé qui montre des signes de burn-out parce qu’il n’est ni reconnu ni écouté. Une personne fragile qui se sent insultée au moindre commentaire. La fierté n’est pas un défaut mais un besoin essentiel.

Chez l’enfant, on a tendance à favoriser la fierté et la confiance en soi pour s’assurer qu’il prenne sa place et qu’il affronte les défis qui l’attendent. Mais chez l’adulte, on est plus ambivalent par rapport à la fierté. Même si on est très préoccupé par notre propre statut, les excès de fierté des autres sont mal vus et on peut facilement négliger ou porter atteinte à la fierté de ceux qui nous entourent par manque de respect, d’égards ou de reconnaissance. On oublie trop facilement que la fierté est utile.

Les systèmes motivationnels de notre cerveau, comme la faim, la peur et la libido, ont évolué pour augmenter nos chances de survivre et de nous reproduire. Le besoin de fierté est aussi fondamental. C’est un instinct de compétition sociale qui sert à prendre et maintenir sa place dans une hiérarchie ou un réseau et à obtenir sa part des ressources. Chez le primate, le statut social prédit l’accès à la nourriture et aux partenaires sexuels. L’instinct de compétition sociale est aussi impliqué dans la territorialité et dans l’agressivité calculée, y compris la manipulation, la mesquinerie, l’intimidation et les luttes de pouvoir. Machiavel a souligné dès 1513 l’utilité de talents comme la tromperie, la formation d’alliances et la manipulation pour le succès politique. Mais les chimpanzés ont aussi développé plusieurs de ces talents pour assurer leur succès reproducteur (De Waal, 1982).

Chez l’humain, le besoin de fierté se traduit d’abord par le besoin de respect, de reconnaissance et de statut social. La compétition sociale donne lieu à de nombreuses émotions dont l’envie ou le respect du pouvoir, mais aussi la sensibilité aux affronts et aux manques de respect de la part des autres. La fierté est utile. Elle est une source importante de confiance en soi et d’ambition. Grâce à ses propriétés euphorisantes, elle inhibe l’anxiété, réduit nos doutes sur nos capacités, nous fait anticiper des succès et nous donne de l’assurance. Grâce à elle, on se sent plus volontaire et on formule des plans plus ambitieux où l’envie de conquête domine sur la peur de l’échec.

La fierté freine aussi l’irritabilité. Le manque de fierté rend souvent susceptible. Les commentaires sont perçus comme des insultes blessantes, les jeux de compétition normaux sont vus comme des attaques personnelles. Pour plusieurs, plus le système de fierté est plombé, plus le système de grogne ou d’irritation est amplifié. Un grognon frustré est souvent une personne en manque de fierté et plusieurs ont suggéré qu’une bonne façon de réduire l’irritabilité est l’augmentation des succès et de la reconnaissance.

Les pertes de fierté (pertes de capacité, humiliation, rejet social, soumission prolongée) sont des stresseurs importants. Ils peuvent en outre favoriser l’anxiété, la dépression et la violence. Quand notre fierté tombe en panne, tout notre fonctionnement en souffre. Dans la dépression ou le stress post-traumatique, notre assurance et notre confiance en soi est ébranlée. On est envahi par un sentiment d’impuissance, on devient hypersensible au moindre signe de difficulté et notre cerveau nous fait croire qu’on ne vaut rien. Cette évaluation faussée nous rend anxieux et elle favorise les erreurs ce qui confirme notre auto-évaluation négative. C’est l’extrême opposé de «Yes we can!». On perd notre ambition et notre combativité. En plus, cette perte d’assurance nous rend plus vulnérable au manque de respect, à l’intimidation et à l’abus.

Chez l’enfant, la confiance en soi se développe naturellement, renforcée par la découverte de ses capacités, par les succès et les encouragements. Mais prendre sa place est aussi une question d’affirmation et le niveau de compétition dans les cours de récréation rivalise parfois avec les milieux de travail les plus compétitifs. Plusieurs enfants montrent des comportements d’opposition (argumenter excessivement, défier l’autorité…) qui reflètent en partie un besoin de pouvoir. L’irritabilité de l’enfant peut aussi refléter un manque de fierté et être un signe précurseur de dépression.

Chez la femme, le système de fierté est influencé par les œstrogènes qui fluctuent à de nombreuses périodes (périodes prémenstruelles, grossesses, pré-ménopause). Ces fluctuations peuvent augmenter la sensibilité aux critiques ou au rejet ou favoriser la dépression.

Les hommes (en particulier les jeunes) ont parfois un système de fierté plutôt sensible qui se gonfle rapidement avec les succès, la reconnaissance et les flatteries, mais qui est aussi sujet au dégonflement rapide quand leurs attentes sont déçues, qu’ils perdent leurs statuts (responsabilités, rôle de soutien de famille …) ou autres sources de fierté. Chez le mâle, les circuits cérébraux de la fierté sont liés à la testostérone, car les succès dans les conflits sociaux augmentent le niveau de testostérone tandis que les échecs le diminuent.

Le statut, on y prend goût et il devient même rapidement une nécessité. Les propriétés euphorisantes de la fierté peuvent parfois créer une dépendance et un excès de fierté peut s’installer qui peut nous rendre myope, prétentieux ou arrogant. La surévaluation de nos capacités, de notre influence ou de notre leadership peut nous exposer à des revers coûteux. L’orgueil peut nous faire négliger les signes de danger et quand surviennent l’échec ou la rebuffade, la perte de fierté soudaine peut être une cause de détresse majeure. Le narcissisme et le délire de grandeur sont des exemples pathologiques d’une fierté excessive. Dans certains cas, l’aveuglement rend la personne imperméable aux réactions et au changement, ce qui peut mettre en danger notre entourage et nos projets. La fierté montre aussi des excès dans la violence déclenchée par les atteintes à l’orgueil pour sauver la face (jalousie, vengeance, humiliation, représailles …).

La fierté est une composante essentielle de la condition humaine et ses fluctuations ont des répercussions majeures. Même si ses excès sont parfois ridicules, elle mérite d’être prise au sérieux. La reconnaissance, les compliments et le partage des pouvoirs ne coûtent presque rien et, en cultivant la fierté, ils fournissent un service presque aussi essentiel pour la santé mentale que la nourriture.

http://quebec.huffingtonpost.ca

La journée la plus déprimante de l’année


Aviez-vous la déprime ce matin, ? Un air maussade peut-être ? L’hiver continu à faire des victimes. Personnellement, je trouve que le mois de janvier le pire mois de l’année. Il fait plus froid, et le temps parait plus long. Le fait de changer sa routine, aide à affronter ce mois et comme toujours bouger et sortir à l’extérieur sont les remèdes efficaces
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La journée la plus déprimante de l’année

 

TORONTO – Vous vous êtes levé avec du mauvais pied ce matin? Car non seulement il fait froid, mais c’est aussi le «Blue Monday», une journée considérée comme étant la plus déprimante de l’année.

Le Blue Monday est le troisième lundi du mois de janvier. Si certains disent qu’il ne s’agit que de pseudoscience, il n’en reste pas moins que les températures froides, le manque de vitamine D et le fait d’être un lundi peut en déprimer plus d’un.

Un sondage demandé par Météomédia a révélé que 43 % des Canadiens ont vécu ou vivent actuellement une déprime hivernale. L’enquête a aussi conclu que de janvier à mars, les Canadiens sont plus susceptibles de se sentir fatigués (54 %), léthargiques (35 %) et dépressifs (24 %) plutôt que de se sentir heureux (19 %) et remplis d’énergie (7 %).

Le conseiller en encadrement de vie Bruno LoGreco et Météomédia se sont associés afin de donner des conseils pour aider les gens à se rendre jusqu’au printemps.

1. Faire de l’activité physique: un programme d’exercice physique régulier accroît l’énergie ainsi que le mieux-être physique et mental, et contribue à évacuer le stress et l’anxiété.

2. Faire de la méditation: dix minutes par jour. Concentrez-vous, prenez de grandes inspirations par le nez et expirez lentement par la bouche.

3. Doses de vitamine D: prenez du soleil, allez faire une promenade lors de la pause et prenez avantage de la lumière du jour extérieure.

4. Exprimez votre créativité: pas besoin d’être un artiste. Créez quelque chose que vous aimez qui ne demande pas d’effort et qui est agréable (cuisiner, travailler le bois, etc.).

5. Cassez la journée en allant marcher ou en sortant du bureau. L’heure du lunch est un bon moment pour refaire le plein de nutriments dont le cerveau a besoin pour demeurer alerte durant l’après-midi.

http://fr.canoe.ca/

 

Un adolescent américain se fait passer pour un médecin pendant un mois


Je pense que l’hôpital va prendre des mesures pour que personne se fasse passer pour un médecin encore moins par un adolescent. On espère qu’il n’a pas prescrit de médicaments ou de traitements
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Un adolescent américain se fait passer pour un médecin pendant un mois

 

Un adolescent américain se fait passer pour un médecin pendant un mois

INSOLITE – En Floride, un jeune américain de 17 ans portant une blouse blanche et un stéthoscope a pu circuler pendant un mois dans l’hôpital en toute impunité, donnant l’illusion qu’il appartenait au corps médical.

Une simple blouse, un stéthoscope et un masque ont permis à cet adolescent d’usurper l’identité d’un médecin. Dans l’hôpital St. Mary’s Medical Center, en Floride, le garçon de 17 ans s’est déplacé au milieu des professionnels de l’hôpital pendant un mois, sans qu’aucun d’entre eux ne réalise la supercherie.

La police est intervenue jeudi dernier pour stopper cette mascarade. Un patient avait donné l’alerte, après avoir vu « un très jeune homme habillé comme un médecin » et arborant même l’enseigne de l’établissement sur sa blouse. Celui-ci a ainsi été aperçu par des témoins à l’intérieur de la salle d’examen et en salle d’urgence.

Discussions avec le personnel

Selon le gardien interrogé par la police, l’adolescent était connu de l’hôpital comme étant un « médecin » et avait été « vu sur plusieurs étages par plusieurs employés », rapporte thesmokinggun.com.

Selon lui, il pénétrait même dans les chambres et parlait aux membres du personnel. Pour autant, aucune question n’a été posée. Un médecin a également indiqué qu’il avait reçu une note sur son bureau de la part du faux médecin, lui demandant de le suivre dans ses tournées quotidiennes.

Malgré les témoignages, le porte-parole de St. Mary a nié que l’imitateur mineur avait été en contact avec les patients ou avait pu accéder à des zones restreintes. Pour autant, aucune accusation n’a été retenue contre l’adolescent. Sa mère a mentionné à la police que son fils est « suivi par un médecin » et qu’il refuse de prendre les médicaments prescrits.

http://www.metronews.fr

L’homme et la maladie


On parle tellement souvent de la dépression que malgré tout, il y a encore trop de préjugés face aux maladies mentales. Chez l’homme, les préjugés sont probablement plus forts par ce qu’un homme ne pleure pas, ne montre pas ses émotions, il garde tout en dedans. Qu’est-ce qu’il faut faire pour changer les stéréotypes ?
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L’homme et la maladie

 

Serge Larochelle

Les préjugés envers la personne dépressive ou ayant une santé mentale fragile sont des plus persistants et virulents, et ce malgré les nombreuses campagnes publicitaires a cet effet. Ayant moi-même eu deux dépressions majeures, j’ai été aux premières loges pour constater leur puissance et les dommages qu’ils causent.

Une chose m’est apparue très clairement durant ces dernières années, ces préjugés sont encore plus ancrés quand il s’agit d’un homme qui souffre de maladie mentale.

Généralement les femmes sont portées à parler davantage et plus rapidement de leurs problèmes, de ventilé, se confier a une amie ou un proche, un spécialiste. Elles consultent et cherchent davantage à comprendre ce qui lui arrive et par le fait même, régler son problème de santé plus rapidement comparativement à l’homme qui lui, attend encore et encore que le tout se replace.

Pourquoi donc, nous les hommes, attendons-nous que le problème ou notre situation soit rendu si dévastatrice avant de consulter?

Pourquoi attendre encore et encore pour finalement dire  »je pense que j’ai un problème », vous conviendrez que juste penser que nous avons un problème alors que le bateau coule depuis déjà longtemps, qu’il y a des fissures partout, nous sommes encore bien loin de la résolution de consulter et de guérir.

Si je prends mon exemple, très jeune, comme tous ceux de ma génération, nous nous sommes, nous nous sommes fait dire à satiété: Un gars ça ne pleure pas, un gars c’est fort, ça ne montre pas ses émotions, nous devons être grand et toujours maître de soi et surtout ne jamais démontrer nos sentiments en public.

Avec un tel discours, pas surprenant que nous attendions que tout explose pour voir un spécialiste et encore là, nous n’avouerons pas d’emblée que nous sommes malades psychologiquement, nous commencerons par nos bobos physiques.

Cela n’est pas exclusif qu’aux hommes, car bien sûr, plusieurs femmes agissent de la sorte. Mes deux séjours en milieux hospitaliers m’ont quand même démontré malheureusement que cette tendance est très majoritairement une affaire masculine.

Les sarcasmes, les jugements et l’opinion que les gens ont envers la maladie sont bien présents, mais en plus de se battre pour un bon rétablissement, nous devons faire fit de ces préjugés et je sais que cela n’est pas une mince tâche, mais nous devons les vaincre. D’abord pour avancer dans notre cheminement vers la santé, mais aussi, afin de devenir à notre tour un maillon de plus a la chaine de ceux qui dénoncent ses idées préconçues.

Quand j’ai écrit mon livre maintenant, ma vie prend racine, je tenais beaucoup à faire voir la dépression du point de vue d’un homme, car il est plus rare de le lire et de l’entendre. C’était important que dans mon propos les gars s’y retrouvent, voient et se rendent compte que la maladie mentale touche tout le monde même ceux qui ce sont fait dire le contraire depuis tant d’années.

Oui la maladie mentale et principalement la dépression est mal vue de la grande majorité et nous ne serons jamais assez pour dénoncer ces faux jugements. Alors pourquoi en ce début d’année, nous n’en parlerions pas un peu plus. Dénoncé toutes ces faussetés entourant la dépression n’est-il pas une noble résolution

http://quebec.huffingtonpost.ca

Pourquoi a-t-on des fourmis dans les jambes ?


On sait que si nous sentons des fourmillements dans les jambes, c’est qu’il faut changer de position. Mais le processus est le cerveau qui capte le problème pour avertir qu’il serait peut-être une bonne idée, de bouger
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Pourquoi a-t-on des fourmis dans les jambes ?

 

 

C'est notre cerveau qui nous inflige cette inconfortable sensation de fourmillement dans les jambes. Image Source C’est notre cerveau qui nous inflige cette inconfortable sensation de fourmillement dans les jambes. Image Source

Par Laura Muraine

C’est notre cerveau qui nous inflige cette inconfortable sensation de fourmillement dans les jambes.

Explications.

CIRCULATION SANGUINE. L’oxygène est transporté à travers tout le corps grâce aux globules rouge dans le sang. Celui-ci circule dans différents vaisseaux : les artères, qui transportent du sang richement oxygéné vers les organes et les veines qui rapatrient le sang peu oxygéné, après l’approvisionnement. Une mauvaise position du corps va entraîner la compression de l’un ou l’autre de ces vaisseaux et provoquer un ralentissement de la circulation sanguine.

Des signaux contradictoires en rafales

Ce ralentissement est perçu par des nerfs sensitifs et interprété par le cerveau. Pour ne pas risquer une diminution de l’apport d’oxygène aux tissus, le système nerveux réagit. Il envoie un message pour provoquer un engourdissement au niveau du membre comprimé suggérant ainsi un changement de position. La circulation se rétablit alors peu à peu. Cela va donner lieu à un temps de latence pendant lequel le système nerveux, désorienté, envoie des signaux contradictoires en rafales : c’est cette sensation de fourmillement désagréable.

À noter que si le fourmillement dure plus longtemps ou apparaît de façon chronique, il peut être le symptôme d’une pathologie plus grave et une consultation médicale est fortement recommandée.

http://www.sciencesetavenir.fr