Je pense que tout le monde à voler un jour où l’autre que ce soit dans un magasin où autre, mais certain continu car ils aiment le feeling. Ils n’ont pas nécessairement besoin de voler, mais ce plaisir les satisfait.
Nuage
Pourquoi vole-t-on dans les magasins?
11 adeptes du vol à l’étalage (repentis ou non) expliquent pourquoi ils agissent ainsi et surtout ce qu’ils ressentent.
«Tu sais, j’ai déjà volé des trucs dans les magasins.»
Cette phrase, vous l’avez sûrement déjà entendue prononcée par un ami. Ou peut-être l’avez-vous déjà avoué à un proche.
En effet, le vol à l’étalage est bien plus répandu que l’on croit. Mary Mann, qui a étudié la question et publié le fruit de son travail sur Matter, explique qu’un Américain sur onze vole dans les magasins. Mais rarement des objets de valeurs:
«Le fromage est la chose la plus volée au monde», note-t-elle.
Onze personnes ont bien voulu répondre à ses questions, de toutes origines économiques et sociales, notamment sur ce qu’elles ressentent lorsqu’elles sortent du magasin, le fruit du larcin caché dans le sac ou sous le manteau.
«Vous prenez des trucs seulement pour voir si pouvez les prendre. Vous ne pensez pas à leur utilité dans votre vie», confie Elaine, une New-Yorkaise trentenaire, qui avait l’habitude de voler des vêtements et des bijoux pas chers pendant son adolescence.
Marvin, un Britannique de 43 ans, a profité des errances techniques des caisses automatiques dans les supermarchés pour soustraire des produits anecdotiques: de la salade, de la bière… Et dans les deux cas, Elaine et lui avouent avoir apprécié ces choses justement parce qu’ils les avaient volées. Le pire pour Mona, qui était encore au lycée à l’époque où elle s’est fait attraper en flagrant délit pour le vol d’un petit bracelet, n’est pas le délit en soi: c’est d’avoir été privée de bal de fin d’année.
«Pourquoi n’y aurais-je pas droit? […] Les autres enfants ont plus de jouets que moi», se répétait constamment Julian, lorsqu’il avait une dizaine d’années et qu’il n’hésitait pas non plus à voler en toute impunité ses camarades de jeux.
Paul, 28 ans, a une technique bien particulière: échanger chaque année la paire de chaussures qu’il avait déjà troquée l’année précédente, abusant du «satisfait ou échangé» proposé par la boutique. Ce n’est pas du vol à proprement parler, mais Paul est bien conscient de son abus, expliquant qu’il peut ainsi avoir «la montée d’adrénaline, mais sans prendre de risques».
Car d’où qu’ils viennent, et peu importe leur âge, ces petits voleurs ont tous une chose en commun: un besoin de transgression et d’exaltation dans une vie parfois morose.
«Tout ce que j’ai ressenti était de l’adrénaline, explique Ashley, 30 ans, voleuse de magazines érotique dans ses années lycées. J’étais dans l’instant présent, et ce moment-là était hilarant.»
Oui mais s’ils se font prendre, ils risquent peut-être gros!
bien sur c’est ce qui fait monter l’adrénaline ..
Quand j’étais gosse je volais des cerises, alors que on avait quatre sortes dans le jardin ! 🙂 Passe de belles fête de fin d’année Nuage ! A bientôt.
Ma mère avait un commerce, un bowling et vendait chips, boissons gazeuses, bonbons etc .. et on prenait les bouteilles de boissons gazeuses vides (il y a une remise d’argent pour les bouteilles vides) et on allaient les vendre chez un concurrent pour acheter des bonbons
Quand j’étais gosse , chez moi , le père buvait beaucoup , trop ….Certains des vins qu’il consommait était vendus dans des bouteilles qu’on dit consignées , c.a.d que la bouteille vide était racheté par le vendeur….Etant donnée la quantité de bouteilles vides , nous les ramenions contre l’argent de la consigne ( le père ne le savait pas sinon !!!! ) Et avec les pièces , nous nous achetions des bonbons parfois même des petits jouets…..
ici aussi on dit consignée mais les bouteilles d’alcool ne le sont pas et les gens aimeraient bien que la régie des alcools puissent les reprendre
Ce dont je parle date d’il y a longtemps , aujourd’hui pratiquement aucune bouteille n’est consignée , les bouteille d’alcool sont souvent protégées par un système anti-vol , que la caissière ôte après paiement …..Sinon , les bouteilles en verre sont ,souvent , recyclées …Et beaucoup de vin de basse qualité sont dans des récipients plastique ou même carton !
chez moi les boissons gazeuses sont consignées depuis toujours
Autre chose : Quand j’avais mon magasin , il y avait des vols bien sur , avec le temps , je savais qui volait ……Mais….on voit ceux qui volent par besoin et ceux qui le font par plaisir …..Ma réaction était différente selon les cas….
Les consignes n’existent plus en France et je trouve cela bien dommage, mais bon c’est une autre époque, maintenant on donnent nos bouteilles gratis pour qu’un autre se fasse de l’argent pour nous les revendre.
Paris 1964 j’avais 14ans , ma mère m’avait emmené au BHV un grand magasin de la capitale .Là j’ai fait mon premier et dernier vol d’enfant un modèle réduit « dinky toy » d’une ferrari de course . je me suis senti mal à l’aise une fois mon larçin commis.maman s’inquiéta et nous sommes sortis .une fois éloigné de cette enseigne mon mal être prit fin .
maintenant dans les grands magasins du moins, il est plus difficile de faire des vols .. caméra et articles magnétisé qui fait crier l’alarme s’il n’est pas démagnétisé