La vieillesse n’est que le processus naturel et mieux vaut prendre la vieillesse du bon côté pour la vivre le plus sereinement possible
Nuage
Vieillir
»Ne regrettez pas de vieillir. C’est un privilège refusé à beaucoup »
Auteur Inconnu
La vieillesse n’est que le processus naturel et mieux vaut prendre la vieillesse du bon côté pour la vivre le plus sereinement possible
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Vieillir
»Ne regrettez pas de vieillir. C’est un privilège refusé à beaucoup »
Auteur Inconnu
Le singe semblait avoir compris l’urgence de la situation, et a appliqué des procédures de réanimations à la façon des singes
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Un singe réanime un autre singe qui s’est fait électrocuter!
À la gare ferroviaire de Kanpur, en Inde, un singe a sauvé la vie de l’un de ses congénères, lequel gisait, inanimé, entre les voies ferrées après avoir touché un câble électrique.
Pendant plusieurs minutes, le singe a tenté de réanimer son ami en le secouant et en le mordant puis, dans une ultime tentative, en le jetant dans une évacuation remplie d’eau.
Un geste qui a permis au malheureux animal de reprendre peu à peu ses esprits.
Un petit truc qui a fait le tour du web récemment. Que faire avec une baguette de pain qui commence a sécher ? Bien beau en faire de la chapelure, mais il est dommage de ne pas offrir une belle baguette de pain bien frais au repas.
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Baguette de pain sec
Votre baguette n’est plus fraîche et croustillante?
Pas de soucis, grace à l’astuce ci-dessous votre baguette sera comme neuve en seulement 5 minutes!
Encore une fois, je suis contre les zoos, et je trouve aberrant que la justice humaine statue sur le droit de la liberté des personnes non-humaines, c’est-à-dire les animaux. Si ce jugement pouvait devenir une loi mondiale, alors tous les animaux en cage sans jugement pourraient être libérés ? Cela serait une très bonne idée !
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Sandra, une femelle orang-outan de 29 ans, au zoo de Buenos Aires le 22 décembre 2014 © AFP – Juan Mabromata
Un tribunal argentin vient de reconnaître le droit de vivre en liberté à une femelle orang-outan, vivant au zoo de Buenos Aires depuis vingt ans, en considérant l’animal comme « une personne non humaine », une première mondiale.
Dégustant paresseusement des fruits, l’orang-outan, Sandra, semblait lundi impassible face aux objectifs des médias locaux, venus la filmer et la photographier après l’annonce du jugement pendant le week-end.
La Chambre de cassation pénale de la capitale a décidé d’appliquer une ordonnance d’Habeas Corpus (le droit de ne pas être emprisonné sans jugement) à l’animal, considérant ainsi que, même s’il ne s’agit pas d’un être humain, il a des sentiments et le droit à une plus grande liberté.
Une demande similaire avait été rejetée en décembre 2013 par la justice de New York : une organisation de défense des animaux demandait alors que quatre chimpanzés en captivité soient considérés comme « personnes non humaines » et bénéficient du droit à la liberté.
Cette fois, c’est l’Association de fonctionnaires et avocats pour les droits des animaux (AFADA) qui avait saisi le tribunal pour demander la libération de Sandra, une orang-outan de 50 kilos, haute d’1,50 mètre, locataire du zoo de Buenos Aires.
Les responsables de ce dernier défendaient lundi ses conditions de captivité.
« Elle vit depuis vingt ans dans un grand espace, avec des spécialistes qui s’occupent de son alimentation, contrôlent sa santé, et de manière générale, elle vit dans de très bonnes conditions », a assuré à l’AFP Adrian Sestelo, responsable du département biologique du zoo.
Mais pour l’association AFADA, Sandra « est une personne non humaine car elle a des liens affectifs, elle réfléchit, elle ressent, elle se frustre d’être enfermée, elle prend des décisions, elle est dotée de conscience et de perception du temps, elle pleure quand elle perd (un proche), elle apprend, elle communique et elle est capable de transmettre son savoir ».
Orang-outan née en 1986 dans le zoo allemand de Rostock, elle est arrivée dans celui de Buenos Aires en septembre 1994.
Les conséquences immédiates du jugement n’étaient pas connues lundi.
Même si, légalement, elle peut désormais recouvrer la liberté, les experts estiment que Sandra ne connaît pas son habitat naturel et ne pourrait pas y survivre.
Le zoo a lui indiqué que, même avant ce jugement, il étudiait déjà la possibilité de la transférer dans un sanctuaire naturel au Brésil ou aux États-Unis.
L’urine peut donner des informations sur notre santé, par sa couleur et son aspect. Bien sûr, il y a la quantité d’eau, certains aliments qui peuvent influencer la couleur, mais sinon, il faudra peut-être faire un tour chez le médecin
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Urine foncée, trouble, avec du sang… Elle peut en dire long sur votre santé. Par exemple, révéler un problème de prostate, de reins ou une infection.
Medisite a interrogé l’urologue Marc Galiano pour y voir plus clair et arrêter de stresser au moment de tirer la chasse d’eau.
Pourquoi l’urine est jaune ?
La couleur normale de l’urine est jaune ou transparente. Mais qu’est-ce qui lui donne cet aspect ?
« C’est à cause de la filtration du sang par les reins« , explique le Dr Marc Galiano, urologue.
Certaines membranes laissent passer des colorants alimentaires, des protéines décomposées et des cristaux qui donnent cette teinte jaune. Lorsque l’urine est transparente, c’est tout simplement parce qu’on a bu beaucoup d’eau.
Urine jaune foncé, orange, rouge ou trouble ?
Normalement, la couleur de l’urine est jaune, mais il peut arriver que notre alimentation ou certaines maladies causent une variation de couleurs dans les urines.
Jaune foncé : Au moment de la filtration, certains pigments ou protéines peuvent passer dans la vessie. Si on boit peu, ces déchets se retrouvent dans l’urine et lui donnent sa couleur foncée.
Transparente : Plus on boit de l’eau, plus l’urine est transparente.
Trouble : L’urine peut être trouble en cas d’infections urinaires, par exemple.
Orange : « Certains médicaments contiennent des colorants qui pigmentent la couleur des urines » explique Marc Galiano, urologue.
Rouge : Il s’agit de sang dans les urines, sans doute provoqué par une infection ou une autre maladie.
A savoir : Au moindre doute, consultez votre médecin.
Jet faible : un obstacle dans le canal urinaire
« Si on n’arrive pas ou peu à uriner c’est simple, il s’agit d’un obstacle qui bouche le canal urinaire » explique le Dr Marc Galiano.
Un adénome de la prostate : La prostate est située en dessous de la vessie. En cas d’adénome elle gonfle et peut bloquer les voies urinaires.
Les autres causes : Un blocage urinaire peut aussi être provoqué par certains médicaments ou par une intervention chirurgicale.
Sang dans les urines : un problème de prostate ?
Uriner du sang peut faire peur. Cela arrive parfois lorsqu’on s’hydrate peu après un effort physique ou si un calcul dans les reins ou la vessie a bougé. Pour les cas plus sérieux, c’est le moment auquel s’écoule le sang qui détermine l’organe touché :
Le sang coule au début de la miction : C’est une hématurie initiale. « Cela provient certainement du canal urinaire ou de la prostate« , explique le Dr Marc Galiano, urologue.
Le sang coule à la fin de la miction : On parle d’hématurie finale. « Dans ce cas c’est la vessie qui est touchée » ajoute notre interlocuteur.
Le sang coule tout le temps : Il s’agit d’une hématurie finale. « Cela peut venir des reins, de la prostate ou de l’urètre. »
Dans tous les cas, il est conseillé de consulter un spécialiste.
Brûlures urinaires : une infection ou un rapport sexuel trop long
Lorsque ça brûle, pique ou gêne au moment d’uriner, il s’agit le plus souvent d’une infection urinaire pour la femme ou d’une urétrite pour l’homme.
« Cela peut-être dû aussi à des rapports sexuels trop longs ou trop rapprochés », explique le Dr Marc Galiano, urologue.
Les frottements des tissus favorisent la colonisation de microbes à l’intérieur de la vessie.
Les autres causes : L’élimination d’un calcul augmente l’acidité de l’urine et peut aussi provoquer des brûlures au moment de la miction. « Des maladies neurologiques peuvent en être à l’origine » ajoute l’urologue.
Urine gazeuse : une fistule anale ?
C’est la forme de troubles urinaires la moins connue. Au moment d’uriner le patient peut constater la présence de bulles et de bruits de gaz dans l’urine. C’est ce qu’on appelle une pneumaturie.
« C’est généralement lié à une communication entre le rectum et la prostate qu’on appelle fistule anale« selon Marc Galiano, urologue.
« Ce genre de troubles ne se fait jamais naturellement. Cela peut arriver après une intervention chirurgicale » poursuit-il avant de se souvenir avoir déjà rencontré le cas une fois après une pratique sexuelle anale.
Résidus dans les urines : sperme, microbes et parasites
Au moment de tirer la chasse d’eau, il peut arriver de constater des dépôts dans les urines. Ce genre de trouble correspond à plusieurs causes :
Une éjaculation rétrograde : Lors d’une éjaculation, il arrive que le sperme, au lieu d’être éjecté à l’extérieur de la verge soit renvoyé vers l’intérieur de la vessie. Du coup, le sperme sera éliminé dans les urines sous forme de dépôts blancs, transparents.
Une parasitose : « Si l’urine est trouble et qu’il y a de gros dépôts, il peut s’agir d’un parasite » explique le Dr Marc Galiano.
Une cystite : Après une cystite, les microbes qui ont provoqué l’infection s’éliminent dans l’urine. Il peut arriver de constater des dépôts.
Une hématurie : La présence de sang dans urines peut former des caillots de sang qui s’éliminent dans les urines.
Une entrée du sujet en commençant par un adage très connu pour parler d’une maladie ayant un rapport avec le froid. Cette maladie qui est très handicapante surtout en hiver, alors que généralement, le froid fait partie du quotidien
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illustration Julien Dufour
Johanne Blais
Combien de fois se fait-on dire cet adage! Et bien, c’est un peu vrai.
Je m’explique. Pour que notre corps fonctionne correctement, l’hypothalamus, qui est notre thermostat interne, a comme rôle de maintenir notre température à 37 °C. Lorsqu’il fait froid, cette petite glande, située dans le cerveau, se permet d’augmenter la production de chaleur en stimulant la contraction des muscles, tout en diminuant la circulation sanguine aux extrémités, dans le but d’envoyer le sang en priorité à nos organes vitaux (cœur, poumons, cerveau).
Autrement dit, les extrémités refroidissent, mais le cœur, lui, reste au chaud!
Maladie de Raynaud
Par contre, chez certaines personnes, le système de préservation de la chaleur fait problème. Il se produit alors une contraction exagérée des artérioles, qui sont les artères de petit calibre que l’on retrouve, entre autres, au niveau des extrémités (mains et pieds), mais aussi au niveau des oreilles, du nez et des lèvres. C’est ce qu’on appelle la maladie de Raynaud, qui touche à la fois les deux mains et les deux pieds.
Les doigts ou les orteils deviennent blancs avec une diminution de sensibilité et parfois, des engourdissements (impression de doigts morts). Par la suite, on observe une phase où les extrémités deviennent bleutées. La crise, pouvant durer de quelques minutes à quelques heures, prend fin lorsque l’on réchauffe les doigts ou les orteils. Ceux-ci deviennent rouges pendant un certain temps avec une sensation de picotement avant de revenir à la normale.
La cause de ce phénomène est inconnue, mais on sait que la maladie de Raynaud touche particulièrement les femmes âgées de 15 à 40 ans.
Éviter le froid
Si vous êtes atteint de la maladie de Raynaud, retenez que le traitement consiste à éviter l’exposition au froid.
Ainsi, le port de plusieurs couches de vêtements minces et chauds, de gants ou de mitaines (même pour manipuler des produits réfrigérés ou congelés), de même que l’utilisation d’un contenant isolant pour les boissons froides sont des moyens de prévention efficaces.
On peut aussi penser à se munir de chauffe-mains et de chauffes-orteils par temps très froid. Par ailleurs, la pratique d’une activité physique régulière favorise une meilleure circulation sanguine.
Certains médicaments peuvent diminuer la fréquence des crises chez beaucoup de gens. On pense entre autres aux vasodilatateurs qui dilatent les petits vaisseaux sanguins. Finalement, il est fortement conseillé de ne pas fumer, car le tabac favorise la vasoconstriction des vaisseaux sanguins, ce qui augmente vos risques de crise.
Il est étonnant de voir les techniques de protections diverses chez les espèces animales. Comme cet oisillon qui grâce à son camouflage imite une chenille très toxique
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La couleur orange du duvet et son aspect proche du poil permet à l’oisillon de l’Aulia cendré d’imiter une chenille toxique. © Santiago David-Rivera
SURVIE. C’est dans la forêt tropicale humide d’Amazonie qu’une équipe de chercheurs sud-américains menée par Gustavo A. Londoño a réussi à observer la stratégie de survie mise en place par l’oisillon de l’Aulia cendré (Laniocera hypopyrrha). Les conclusions de leur étude ont été publiées dans le journal The American Naturalist.
Les scientifiques ont donc pu documenter ce qu’ils pensent être une forme de mimétisme « batésien » pratiqué par l’oisillon de l’Aulia cendré. Ce mimétisme, très rare chez les oiseaux, consiste à imiter un organisme dangereux, toxique ou particulièrement indigeste pour décourager les prédateurs. Dans le cas du petit de Laniocera hypopyrrha le mimétisme est particulièrement poussé. Car il implique un changement de l’aspect et du comportement.
Un spécimen de chenille imitée par l’oisillon de l’Aulia cendré. © Youtube / MrHawkshadow.
Une remarquable stratégie de défense
Pour décourager les prédateurs, l’oisillon arbore donc une couleur orange vif, très différente du plumage gris de ses parents. Ce camouflage lui permet de se faire passer pour une chenille de la famille des megalopygidae. Une technique efficace car la taille de l’oisillon approche celle de la chenille (environ 14 cm). Le petit de ce passereau tropical ne se contente pas d’imiter l’aspect de la chenille. Mais il effectue aussi des mouvements de la tête rappelant la façon de se déplacer de cette dernière.
Au début de la vidéo, on peut voir l’oisillon imiter les mouvements d’une chenille. © Youtube / Dano Grayson.
SEUL. De plus, afin de ne pas dévoiler sa couverture, l’oisillon évite de faire du bruit en l’absence de ses parents. Il attend un signal de leur part avant de se signaler. La remarquable stratégie de défense de l’oisillon tient en partie au fait que la période de nidification de l’Aulia cendré est longue (20 jours). En outre, la faible fréquence de nourrissage (1 fois par heure) conduit l’oisillon à rester longtemps seul et sans protection. Selon les experts, l’étonnante capacité d’imitation de l’oisillon est le résultat d’une évolution visant à réduire le pillage des nids par des prédateurs, plutôt courant dans les forêts humides.
Le nez bouché causé par un temps plus sec, un rhume est fréquent, mais si cela provoque des sinusites à répétitions mieux vaut consulter
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Sous ce nom compliqué se cache une maladie inflammatoire de la muqueuse nasale qui se caractérise par le développement de polypes.
Résultat : nez bouché, nez qui coule, sinusites, odorat perturbé et migraines. La polypose naso-sinusienne peut aller jusqu’à entraîner une gêne très importante.
Quels sont les symptômes de la polypose naso-sinusienne ?
La polypose naso-sinusienne est une affection très peu diagnostiquée car elle se manifeste par des symptômes très courants comme une obstruction nasale, un nez qui coule ou des maux de tête. Mais à long terme, les polypes, qui siègent dans la muqueuse nasale et qui finissent par encombrer les sinus, provoquent des sinusites à répétition et des modifications de l’odorat. Ces symptômes sont plus ou moins permanents et évoluent souvent par des poussées répétitives. La gêne fonctionnelle peut être très importante.
A noter également que la polypose naso-sinusienne est souvent associée à l’asthme et à une intolérance à l’aspirine.
Etes-vous atteint d’une polypose naso-sinusienne ?
Si vous faites souvent des sinusites et que votre nez vous gêne très souvent, il semble opportun de prendre rendez-vous chez un ORL. Celui-ci pourra porter le diagnostic en réalisant un examen clinique incluant s’il le faut une endoscopie des sinus, puis en prescrivant un scanner des sinus afin d’examiner précisément les différentes cavités nasales et sinusiennes et d’apprécier la sévérité de la maladie.
Traitement de la polypose naso-sinusienne par corticoïdes
Le traitement de la polypose naso-sinusienne repose sur des pulvérisations nasales quotidiennes de corticoïdes à poursuivre à vie. Cette prise en charge est complétée en cas de poussées par une cure courte de corticoïdes par voie orale (en comprimés). S’il est bien suivi, ce traitement est très efficace et permet de se débarrasser des symptômes. Il arrive cependant que la polypose naso-sinusienne résiste aux corticoïdes. Par ailleurs, le nombre de cures courtes de corticoïdes orales doit être limité à 3 par an, afin d’éviter tout risque de complications à la corticothérapie. On recourt alors à la chirurgie afin d’ôter les polypes.
Attention, cette intervention très délicate ne permet pas de guérir, mais de diminuer les symptômes. Et ensuite, le traitement par corticoïdes restera nécessaire. En revanche, le nombre de cures orales sera diminué et la qualité de vie améliorée.
Mis à jour par Isabelle Eustache
Créé initialement par Dr Philippe Presles