Il sauve trois bébés requins!


C’est une chance pour ses petits requins qu’une personne a eu la bonté de les sauver. Heureusement que ce genre d’animal peut se débrouiller tout seul dès la naissance
Nuage

 

Il sauve trois bébés requins!

 

(Capture d’écran YouTube)

Un père de famille qui se promenait sur une plage de Capetown, en Afrique du Sud, a sauvé la vie de trois bébés requins grâce à son sens de l’observation aiguisé.

Il a vu une carcasse de requin échouée.  Mais quelque chose bougeait, à l’intérieur; c’était une femelle enceinte.

Il a ouvert le corps de l’animal et, sous les cris d’admiration des enfants qui l’entouraient, il en a retiré trois bébés requins vivants et frétillants qu’il a rejeté à la mer.

Plusieurs espèces de requins sont vivipares, et les petits sont très capables de se débrouiller tout seuls dès la naissance.

http://tvanouvelles.ca/

Le Saviez-Vous ► 10 objets du quotidien qui sont de véritables nids à bactéries


Nous savons que nombres que nous touchons ont beaucoup de bactéries, plus que le siège de toilettes, comme les billets de banque, le clavier etc .. Mais d’autres objets, on n’y pense pas vraiment. Dire qu’après on se touche le nez, la bouche … Beurk ! Il ne faut quand même pas de venir paranoïa, mais se laver les mains est vraiment salutaire
Nuage

 

10 objets du quotidien qui sont de véritables nids à bactéries

 

10 objets du quotidien qui sont de véritables nids à bactéries objets du quotidien bacterie 720x450

Invisibles à l’oeil nue, les bactéries s’installent et se propagent sur les objets du quotidien que nous utilisons, sans que nous en ayons d’ailleurs vraiment conscience. Et parfois même dans des endroits assez inattendus. Pas de quoi devenir hypocondriaque non plus, mais connaitre ces objets vous rappellera de sortir la lingette pour nettoyer de temps en temps ces objets que vous utilisez tous les jours.

Découvrez donc sans plus attendre ces 10 objets du quotidien qui sont de véritables nids à bactéries

Les billets de banque

10 objets du quotidien qui sont de véritables nids à bactéries billets banques bacteries 720x528

L’argent est l’objet le plus sale de notre vie quotidienne. Les billets de banque et les pièces de monnaie contiendraient jusqu’à 26 000 bactéries, et certains virus peuvent rester 17 jours dessus.

Le clavier d’ordinateur

10 objets du quotidien qui sont de véritables nids à bactéries photo clavier bacterie 720x480

Le clavier d’ordinateur est cinq fois plus sale qu’un siège de toilettes, et peut dépasser de 150 fois la limite pour le nombre de bactéries néfastes.

Le menu de restaurant

10 objets du quotidien qui sont de véritables nids à bactéries menu restaurant bacteries 720x624

Les germes peuvent survivre jusqu’à 18 heures sur la surface plastifiée d’une carte de menu d’un restaurant, touchées plusieurs fois par jours par des dizaines de personnes différentes,.

Le réfrigérateur

10 objets du quotidien qui sont de véritables nids à bactéries photo refrigerateur bacteries 720x494

Les différences de températures favorisent la prolifération des bactéries. Le tiroir à légumes de nos réfrigérateurs pourrait contenir à lui seul jusqu’à 750 fois la concentration de bactéries considérée comme sûre.

La poignée de mains

10 objets du quotidien qui sont de véritables nids à bactéries photo fist bump obama 720x405

Il n’y a pas pire qu’une poignée de mains pour la transmission de virus. A contrario, le «fist bump» divise par 10 la transmission bactérienne par rapport à une poignée de mains. Obama a tout compris.

Le paillasson

10 objets du quotidien qui sont de véritables nids à bactéries photo paillasson bacteries 720x428

96% des paillassons contiendraient des traces de bactéries fécales transmises par les chaussures.

Le bureau

10 objets du quotidien qui sont de véritables nids à bactéries photo bureau bacterie 720x480

Le bureau est l’un des refuges préférés des bactéries, avec environ 20 000 bactéries pour 6 centimètres carrés. Ajouter à cela votre clavier (vu plus haut), et vous verrez votre lieu de travail différemment.

Écrans de smartphone

10 objets du quotidien qui sont de véritables nids à bactéries photo smartphone bacteries 720x480

Objet que nous utilisons des dizaines de fois par jour, notre smartphone est un véritable nid à bactéries. Le téléphone contiendrait en effet 18 fois plus de microbes qu’une cuvette de toilettes.

La planche à découper

10 objets du quotidien qui sont de véritables nids à bactéries photo planche a decouper bacteries 720x476

Souvent utilisée mais insuffisamment nettoyée, une planche à découper peut contenir 200 fois plus de bactéries qu’un siège de toilettes. Notamment lorsque l’on utilise cet ustensile pour couper de la viande crue.

Les cacahuètes dans les bars

10 objets du quotidien qui sont de véritables nids à bactéries photo cacahuetes bacteries

Ce dernier est assez connu, mais on ne le répètera jamais assez. En 1997, une étude a en effet décelé 14 traces d’urines différentes sur des cacahuètes en libre-service sur le comptoir d’un bar.

http://www.tuxboard.com

La lumière bleue et notre santé


La lumière bleue a des effets positifs pour la santé, mais nous sommes rendues avec tellement lumière bleue autour de nous, qu’il est maintenant question de conséquences connues et inconnues
Nuage

 

La lumière bleue et notre santé

 

On suppose qu’une exposition prolongée à la lumière bleue peut précipiter et aggraver la dégénérescence maculaire liée à l’âge et occasionner des cataractes prématurées.

Photomontage La Presse

Sophie Allard

Le mois dernier, les inventeurs des diodes électroluminescentes (DEL) bleues recevaient le prix Nobel de physique. La lumière bleue est aujourd’hui omniprésente dans notre environnement. Cette exposition quotidienne a-t-elle des effets sur notre santé?

La lumière bleue est partout, la voyez-vous? C’est elle qui illumine l’écran de votre téléphone intelligent, de votre ordinateur, de votre téléviseur et de votre tablette numérique. C’est elle qui vous éclaire au boulot, à la maison, sur la route, au centre sportif. Sa faible consommation d’énergie et sa longue durée en font un choix économique et écologique.

«La tendance en architecture, c’est d’opter pour des lumières plus froides, contenant plus de bleu, dans les environnements intérieurs», indique Alexandre Sasseville, chercheur en neurobiologie au Centre de recherche de l’Université Laval.

Cette lumière s’ajoute à celle déjà présente dans les appareils électroniques.

«On est en train d’augmenter la proportion de bleu à laquelle on est exposé au quotidien. On suppose qu’à long terme, il pourrait y avoir des dommages, mais ce n’est pas encore connu.»

Qu’est-ce que la lumière bleue?

La lumière que l’on perçoit blanche est en fait un mélange de couleurs qui se déclinent dans un continuum allant du rouge au violet, en passant par l’orange, le jaune, le vert et le bleu, telles les couleurs de l’arc-en-ciel. Au-delà de ce qui nous est visible, il y a les ultra-violets et les rayons X et, à l’autre bout du spectre, les infrarouges et les micro-ondes.

«La lumière visible est probablement ce qu’il y a de moins nocif pour l’oeil, explique Nicolas Fontaine, professeur adjoint à l’École d’optométrie de l’Université de Montréal. Mais plus on tend vers le violet, plus la longueur d’onde est courte et plus elle a une intensité énergétique élevée, d’où son impact potentiel sur les surfaces oculaires.»

Le violet a une longueur d’onde d’environ 380 nanomètres (nm), tandis que le rouge a une longueur d’onde de 780 nm. Et le bleu? Autour de 440 nm.

La santé des yeux

«Les études montrent que la lumière bleue (autour de 440 nm) produit des modifications moléculaires au niveau de la rétine, du cristallin et de la cornée, précise Nicolas Fontaine. Elle transforme certaines molécules en radicaux libres, créant ainsi un vieillissement prématuré des structures de l’oeil, tandis que d’autres molécules deviennent phototoxiques et créent des dommages potentiels aux tissus.»

Si l’importance des dommages à long terme reste à confirmer, on suppose qu’une exposition prolongée à la lumière bleue peut précipiter et aggraver la dégénérescence maculaire liée à l’âge et occasionner des cataractes prématurées. Par contre, les effets des rayons ultra-violets seraient beaucoup plus importants.

À court terme, les effets possibles sont plus clairs: on note par exemple un inconfort et une fatigue visuelle.

«En présence de lumière bleue artificielle, on a tendance à plisser les yeux, ça crée une tension visuelle. On a une impression de sécheresse oculaire et ça peut occasionner des maux de tête. La performance visuelle est aussi affectée. La lumière bleue est diffuse et crée un éblouissement, on a de la difficulté à voir les détails et les contrastes.»

Avec des verres protecteurs spécialement conçus pour bloquer la lumière bleue, on diminue l’inconfort de moitié, indique Nicolas Fontaine, qui a mené une étude sur le sujet. L’effet sur la performance oculaire n’est cependant pas significatif.

Le sommeil troublé

«Notre horloge biologique est très sensible à la lumière bleue, affirme Alexandre Sasseville. On sait qu’une exposition inadéquate, surtout en soirée, peut avoir des impacts à court terme sur le sommeil.»

L’utilisation d’un écran tactile en soirée troublerait le sommeil et les rythmes circadiens. La lumière bleue, qui agit comme la lumière naturelle matinale, inhibe la production de mélatonine, elle retarde et rend difficile l’endormissement.

Un sommeil perturbé entraîne tout un lot de complications possibles: fatigue, troubles de concentration et de mémoire, risque augmenté d’obésité et de maladies métaboliques, risque accru de dépression, etc.

Cancer du sein

L’action du tamoxifène, utilisé contre le cancer du sein, pourrait être réduite chez les femmes qui s’exposent de façon importante à la lumière bleue en soirée. Des chercheurs américains pensent que c’est en raison du bouleversement des rythmes circadiens induits par cette exposition. Une exposition de deux heures à la lumière bleue le soir peut entraîner une baisse de 20% de la production de mélatonine. L’effet est aussi noté chez les femmes qui ne profitent pas d’une obscurité totale pour dormir.

Source: LePoint.fr

Plus sensibles à la lumière bleue:

  • Les enfants, parce que leurs yeux sont plus sensibles à la lumière.
  • Les personnes sans cristallin ou avec cristallin artificiel.
  • Les consommateurs de médicaments photosensibilisants.
  • Les personnes ayant une maladie oculaire.
  • Les personnes qui passent huit heures par jour devant un écran, qui travaillent avec la lumière (ex. éclairagiste, etc.)

Source: Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses, France)

Les écrans en chiffres

 

21 heures Près de 1 Canadien sur 5 (19 %) passe 21 heures ou plus par semaine devant le téléviseur, selon Statistique Canada (2007).

heures Les propriétaires d’un téléphone intelligent passent 8 heures chaque jour (durant leurs temps libres) devant un des écrans qu’ils possèdent, selon un sondage Ipsos (2013).

7 heures Les jeunes passent plus de 7 heures par jour devant tous les écrans, selon Jeunes en Forme Canada (2012). La recommandation de la Société canadienne de physiologie de l’exercice? Pas plus de 2 heures!

Vive le bleu!

 

Au-delà des risques qu’elle présente, la lumière bleue a des effets thérapeutiques variés et intéressants. En voici des exemples.

Travail de nuit et décalage horaire

«En exposant les travailleurs de nuit à de la lumière enrichie de bleu durant la nuit et en bloquant cette lumière le matin venu (grâce à des verres protecteurs), on arrive à simuler un déplacement de la nuit vers le jour. Ça fonctionne bien», indique le chercheur Alexandre Sasseville, de l’Université Laval.

D’autres études menées avec des néons enrichis de bleu auprès de gens travaillant en Antarctique (privés de soleil et aux rythmes circadiens bouleversés) ont été concluantes: la production de mélatonine revenait à la normale, l’humeur était améliorée. L’horloge biologique se resynchronisait.

Acné

Solution de rechange à la médication, la photothérapie par DEL utilise la lumière bleue (pour ses propriétés antibactériennes) et la lumière rouge (action cicatrisante et anti-inflammatoire). La longueur d’onde utilisée varie entre 405 et 420 nanomètres, sans dommage cutané, dit-on. Le traitement, non douloureux, dure une vingtaine de minutes.

Cancer

Lorsqu’exposées à la lumière bleue, les cellules cancéreuses brillent. La lumière bleue compte donc parmi les outils diagnostiques (cancer de la bouche, de la vessie, etc.). Mais elle peut s’avérer tout aussi importante dans le traitement du cancer. Par exemple, lors de certains types de cancer de la peau, la lumière bleue est utilisée pour activer un photosensibilisant appliqué sur la peau pour un traitement localisé.

Et la luminothérapie?

Si plusieurs appareils de luminothérapie utilisent la lumière bleue pour contrer les effets de la dépression saisonnière, il n’a pas été démontré que celle-ci a un impact plus grand sur l’humeur que d’autres sources lumineuses.

«C’est avant tout une question d’intensité lumineuse. Il faut 5000 à 10 000 lux pendant 30 à 60 minutes par jour pour que la luminothérapie soit efficace», explique Alexandre Sasseville.

Comment se protéger?

 

Même si on connaît encore peu les effets de la lumière bleue sur notre santé et qu’il n’existe aucune norme pour une utilisation sans danger, on peut néanmoins adopter certaines habitudes afin de prévenir une trop grande exposition.

  • On évite l’utilisation d’écrans tactiles en soirée.
  • On opte pour une lumière chaude (jaune) et tamisée dans la chambre à coucher.
  • On se tient à une distance minimale d’un avant-bras devant une source lumineuse de 8 1/2 x 11 (plus si plus grande, plus si enfant).
  • On réduit légèrement la luminosité de l’écran.
  • On diminue si possible le temps d’exposition.
  • Si l’exposition est prolongée et fréquente, on porte des verres protecteurs.
  • On ne fixe pas la lumière bleue d’éclairage.
  • On évite la lumière bleue dans les endroits et objets destinés aux enfants (veilleuse, consoles, salle de jeu, etc.).

Source: Agence nationale de sécurité sanitaire de l’alimentation, de l’environnement et du travail (Anses, France)

 

http://www.lapresse.ca/

L’importance des émotions négatives


Personnellement, je ne crois pas qu’une personne doit chercher le bonheur ou être optimiste à tout prix, ce serait même utopique, les émotions négatives sont même essentielles pour se remettre en question. Seulement, je crois que notre attitude positive face aux événements permet de sortir le meilleur de tout problème où du moins, que les choses pourraient être pires ..
Nuage

 

L’importance des émotions négatives

 

Carolyn Gregoire

Des livres aux conférences en passant par les blogues, l’étude du bonheur semble être devenue une faculté. Mais y a-t-il une fin en soi à la quête du bonheur?

«L’idée qu’une personne devrait toujours se sentir bien est néfaste», a déclaré le psychologue Todd Kashdan au Huffington Post.

Des recherches suggèrent que les Américains sont de moins en moins heureux et, selon Kashdan, c’est cette poursuite obstinée du bonheur qui nous entraînerait dans la mauvaise direction.

Mais étant donnée la culture du positivisme entourant les recherches et l’écriture sur le bonheur, il est facile d’oublier que les «mauvaises» émotions sont saines et même essentielles à la vie humaine.

«La science est claire : lorsque nous tentons de cacher notre détresse, nous sommes beaucoup moins productif et efficace, et nous finissons par nous sentir encore plus mal», explique Todd Kashdan.

Dans son dernier livre, The Upside of Your Dark Side: Why Being Your Whole Self – Not Just Your ‘Good’ Self – Drives Success and Fulfillment, co-écrit avec Robert Biswas-Diener, Todd Kashdan vante les mérites du mal-être.

Todd Kashdan explique dans son livre que cette poursuite persistante du bonheur est le résultat d’une forte tendance à rechercher à tout prix le confort et éviter les malaises de toutes sortes, et c’est ce qui nous rend vulnérable sur le plan psychologique.

Quelle est la solution dans ce cas? Dans un premier temps, il faut embrasser le malaise et apprendre à expérimenter et à apprécier les émotions négatives comme une facette naturelle et utile de notre quotidien. Nous devrions également, selon Kashdan, cultiver notre «agilité émotionnelle», notre aptitude à reconnaître et à susciter les émotions appropriées (positives et négatives) devant une situation donnée.

Voici quatre leçons importantes tirées de The Upside of Your Dark Side :

La culpabilité nous rend meilleur.

«La culpabilité augmente notre fibre morale, nous motivant à être plus sensible et empathique que nous le serions autrement. Par exemple, des chercheurs ont découvert que les adultes plus enclins à se sentir coupables étaient moins susceptibles de conduire en état d’ébriété, de voler, de consommer des drogues illicites, ou de s’en prendre physiquement à autrui. Si votre personnalité se révèle dans ce que vous faites lorsque personne ne regarde, alors la culpabilité est l’une des principales fondations de votre morale».

Douter de soi accroît la performance.

«Ce que bien des gens ne réalisent pas, c’est que le doute est sain. Le doute est un état psychologique nous incitant à prendre conscience de nos capacités et à nous améliorer dans des domaines où il y a peut-être un manque à gagner. Karl Wheatley, un chercheur de la Cleveland State University, soutient que le doute peut être bénéfique, surtout pour un enseignant. Il explique que lorsqu’un professeur ressent de l’incertitude face à son travail, cette émotion incite à la collaboration avec autrui, favorise la réflexion et encourage le développement personnel, préparant ainsi l’individu à accueillir favorablement le changement».

L’anxiété nous aide à venir à bout d’un problème.

«Dans les zones de danger, l’anxiété supplante le positivisme. Dans des situations où le danger est possible, mais un doute persiste, l’anxiété supplante l’optimisme. Dans de telles situations, les personnes anxieuses découvrent rapidement des solutions. Lorsqu’ils sont bien entourés (d’amis, de leur famille ou de collègues de travail), ils partagent le problème et ses solutions. Les groupes ont plus de succès lorsqu’ils incluent des personnalités différentes, dont au moins une sentinelle anxieuse».

L’insouciance nous rend plus créatif.

«La créativité a longtemps été associée à l’inconscient… Vous êtes probablement familier avec le terme «eurêka», l’éclair de génie qui nous permet de venir à bout d’un problème lorsque l’on s’y attend le moins. Il y a, semblerait-il, quelque chose d’inventif dans le relâchement et l’inattention. Des recherches supportent l’idée qu’on ne peut forcer la créativité et que c’est elle qui finit toujours par nous envahir».

http://quebec.huffingtonpost.ca

Contrefaçon Elle découvre que son manteau est fait de poils de chien


Il faut se méfier des ventes par internet, surtout sachant qu’en Chine, la contrefaçon peut cacher beaucoup de choses.
Nuage

 

Contrefaçon

Elle découvre que son manteau est fait de poils de chien

 

 

Comparaison entre un vrai et un faux Canada Goose (TVA Nouvelles)

TVA Nouvelles

Une résidente de Val-d’Or qui avait magasiné un manteau sur Internet a découvert que celui-ci était confectionné avec du poil de chien.

Claudette Beaupré s’est confié à l’émission Denis Levesque sur sa mésaventure peu commune.

Elle a expliqué qu’elle aimait les manteaux de la marque Canada Goose, mais qu’elle se refusait à en acheter, car elle est contre le port de la fourrure.

«Je trouvais que c’était de beaux manteaux, mais on sait qu’ici, au Canada, le col est en fourrure de coyote. Des amis m’ont alors dit qu’il y avait des imitations que je pouvais me procurer avec de la fausse fourrure», a-t-elle dit.

Après quelques recherches, elle a trouvé la veste de ses rêves pour 150 dollars sur un site internet chinois, avec comme elle le désirait un col en fausse fourrure.

«Mais quelques jours plus tard, quelqu’un m’a informé que les cols de ces manteaux étaient faits avec de la fourrure de chien», a-t-elle raconté.

«Quand j’ai eu connaissance de ça, j’ai contacté le vendeur en direct. Il a fallu que je lui tire les vers du nez pour savoir en quoi était fait le col. Et au bout d’un moment, il m’a avoué que c’était du chien.»

Mme Beaupré a précisé qu’elle ne voulait «rien savoir» de ce manteau, formulant une plainte pour annuler la vente sans que cela soit possible.

Il faut savoir que les fourrures issues de Chine sont le plus souvent obtenues de manière très cruelle, l’animal étant écorché vif.

Claudette Beaupré a aussi indiqué qu’elle ne se sentait pas coupable d’avoir acheté une contrefaçon puisqu’elle ne voulait pas acheter de la fourrure.

http://tvanouvelles.ca

A Java, la gravure sur coquille date de 500.000 ans


Probablement, les plus vieux dessins datant de plusieurs millénaires ont été retrouvé sur des coquillages.
Nuage

 

A Java, la gravure sur coquille date de 500.000 ans

 

Le coquillage pseudodon avec ses gravures réalisées par des Homo Erectus. Wim Lustenhouwer, VU University Amsterdam Le coquillage pseudodon avec ses gravures réalisées par des Homo Erectus. Wim Lustenhouwer, VU University Amsterdam

Des coquilles sculptées vieilles d’environ 500.000 ans et réalisées par des Homo erectus ont été découvertes sur l’île de Java.

 

GRAVURE.  Les premiers hominidés qui ont occupé l’île de Java, en Indonésie utilisaient des coquillages pour fabriquer des outils et réaliser des gravures géométriques révèlent de nouveaux fossiles découverts par des paléontologues de l’université de Leiden, aux Pays-Bas.

Des coquilles gravées à la dent de requin

 

Les coquillages, des pseudodons, ont été sculptés il y a entre 430.000 et 540.000 ans par des Homo erectus. Ils ont été retrouvés sur le site de Trinil où des restes d’erectus ont déjà été découverts. L’une des coquilles retrouvées présente un bord lisse et poli ce qui indique qu’elle a sans doute été utilisée comme un outil de coupe ou de raclage.

COGNITION. D’autres coquilles présentent des traces de gravures géométriques : des traits parallèles ou des droites qui se croisent vraisemblablement gravés à la pointe de la dent de requin. Ces gravures sont considérées comme un signe de capacité cognitive moderne. Cependant, les origines de ces comportements ont été débattues, soulevant des questions quant à savoir si cette innovation est limitée à l’Homo sapiens (c’est-à-dire aux humains modernes) et si elle a une origine africaine unique.

Les résultats présentés par Josephine Joordens dans la revue Nature suggèrent que l’Homo erectus asiatique était également capable de comportement «moderne».

javaPrécédentSuivant

Un coquillage pseudodon avec ses gravures réalisées par des Homo Erectus.Wim Lustenhouwer, VU University Amsterdam

java

Détail de gravure sur un coquillage fossile pseudodon.Wim Lustenhouwer, VU University Amsterdam

java

Agrandissement d’une gravure.Joordens et al.,

java

Le trou dans la coquille se situe exactement à l’endroit où le muscle adducteur y est attaché.Henk Caspers, Naturalis, Leiden, The Netherlands

http://www.sciencesetavenir.fr

Vagues de chaleur et inondations exceptionnelles en 2014


On ne cesse de parler de réchauffement climatique qui rend notre planète de moins en moins hospitalière à ses habitants. Nous sommes en pleins changements, mais peut-on espérer qu’enfin il y aura des gestes concrets qui seront mis en oeuvre, non pas pour faire marche arrière, car cela est impossible, mais au moins diminué l’impact et cesser d’empirer les conséquences de notre présence
Nuage

 

Vagues de chaleur et inondations exceptionnelles en 2014

 

Un fermier égyptien est touché par la sécheresse. Photo :  Mohamed Abd El Ghany / Reuters

Alors que se déroulent à Lima, au Pérou, des négociations internationales sur les changements climatiques, l’Organisation météorologique mondiale (OMM) tire la sonnette d’alarme.

Si la tendance se maintient, prévient l’organisme des Nations unies dans un rapport préliminaire publié mercredi, 2014 sera l’une des années les plus chaudes jamais observées – si ce n’est la plus chaude – depuis que l’on a commencé à enregistrer les données météorologiques, il y a 135 ans. Or, souligne l’OMM, cela n’est pas sans impact sur les populations.

Au cours des dix premiers mois de l’année, la température moyenne de la Terre a été supérieure de 0,57 °C à la moyenne de 14 °C de la période 1961-1990.

Or, s’alarme l’OMM, cette hausse du mercure explique en partie des « pluies et inondations exceptionnelles » dans certaines régions du globe et des « sécheresses extrêmes » ailleurs.

Des scénarios atypiques

En mai, des inondations dévastatrices ont par exemple frappé la Serbie, la Bosnie-Herzégovine et la Croatie, touchant plus de 2 millions de personnes, ont rappelé les experts de l’organisation. En septembre, le sud des Balkans a enregistré 250 % de la moyenne mensuelle des précipitations, un taux qui atteignait 500 % dans certaines parties de la Turquie.

À l’inverse, dans la partie méridionale du nord-est de la Chine, les précipitations estivales ont représenté moins de 50 % de la normale, occasionnant une grave sécheresse. À la mi-novembre, le même phénomène a été observé dans une grande partie de l’ouest des États-Unis, où certains États ont reçu moins de 40 % des précipitations observées normalement.

En début d’année, la sécheresse a aussi touché le Canada, où de nombreuses régions dans l’Ouest et dans le Nord n’ont reçu que 50 % à 70 % des précipitations normales.

La situation a « mis à mal les moyens de subsistance des populations et semé la désolation », a commenté le secrétaire général de l’OMM, Michel Jarraud.

Les températures élevées enregistrées sur le globe entre janvier et octobre sont pourtant survenues en l’absence du phénomène El Niño, un réchauffement cyclique des eaux du Pacifique tropical qui provoque des températures plus hautes que la normale.

Notons qu’une grande partie des États-Unis et du Canada et certaines régions de la Russie centrale ont de leur côté connu des températures inférieures à la normale.

« Les émissions records de gaz à effet de serre et l’accumulation de ces gaz dans l’atmosphère rendent très incertain l’avenir de la planète, qui risque de devenir beaucoup plus inhospitalière. » Michel Jarraud, secrétaire général de l’OMM

Selon le dernier rapport du groupe intergouvernemental d’experts sur le climat (GIEC), publié en novembre, les concentrations de gaz à effet de serre (GES) dans l’atmosphère sont les plus élevées depuis 800 000 ans.

Il y a quelques jours, l’Administration océanique et atmosphérique des États-Unis soulignait elle aussi que la planète était en voie d’établir un record de chaleur pour l’année.

L’enjeu des changements climatiques est au cœur de la 20e Conférence mondiale sur le climat de l’ONU, amorcée lundi à Lima pour deux semaines. L’objectif des négociations est de parvenir, d’ici la fin de 2015, à une entente liant tous les pays à réduire leurs émissions de GES, de façon à limiter les effets du réchauffement de la planète.

Changements climatiques

http://ici.radio-canada.ca