Vieillir !


Louise Latraverse (actrice québécoise) livre une belle réflexion sur la vieillesse. Elle dit entre autre  »On ne s’est pas libérées pour en arriver à ce triste constat : être réduites à notre apparence physique !  »

Il y a eu un article que des grands-maman posaient nues pour une noble cause, mais pourquoi nue ? Bon le principale est caché, mais elles se sont quand même dévêtues. Ces grands-maman n’ont t-elles pas un vécu extraordinaire de leur propre histoire ? Pourquoi ne peut-on pas vieillir au naturel ? Même si nous n’avons pas la beauté d’autrefois, nous avons nos rides, nos cheveux blancs, notre corps qui se déforme qui témoignent que nous avons eu des enfants, des peines, des joies, des misères, bref, nous avons existé.
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Vieillir !

 

Louise Latraverse COLLABORATION SPÉCIALE

Ça y est ! J’y suis. Je rentre dedans à cent milles à l’heure.

Bonjour, ceux et celles qui se croient au-dessus de la mêlée. Ceux qui sont convaincus que vieillir n’est pas un processus normal dans l’évolution de l’être humain. Ceux qui croient qu’ils ne seront jamais touchés par cette… c’t affaire-là. Oui, la vieillesse.

Ouch ! Le mot que personne ne veut prononcer de peur de l’attraper. Ce sale virus qui sévit dans notre société riche, instruite et moderne. Cette maladie qui touche davantage les femmes que les hommes. Encore et depuis toujours, les hommes s’en sortent mieux que nous… pour le moment. Ils sont si séduisants avec leurs tempes grises et leurs belles petites rides au coin des yeux. Regardez comme ils sont beaux ! Fallait voir George Clooney, l’incarnation de la beauté mâle, se balader en gondole avec ses amis célèbres, flamber des millions pour épouser, à Venise, la belle Amal Alamuddin. L’avocate libanaise qui a décidé de changer de nom et de prendre celui de son célèbre mari, après son mariage.

Yahoo nous informe que le site internet du cabinet d’avocats pour lequel elle travaille, Doughty Street Chambers, le nom qui figure au-dessus de son portrait est désormais celui d’Amal Clooney. En 2014, faut le faire ! Revenu à Los Angeles, notre beau George se promène affichant sa propre marque de téquila sur son T-shirt. Avec son avoir de 180 millions, a-t-il vraiment besoin de faire ce genre de publicité ? Nos héros ne savent plus s’arrêter. Et les belles ne cessent de rêver qu’il va bientôt divorcer et qu’elles auront encore une chance d’attraper le bellâtre de 53 ans.

Pour conquérir ce trophée, elles devront envahir les gyms, faire du yoga, du chaud, du froid, courir, ne pas s’arrêter de courir et se convaincre que rien n’est à leur épreuve. Qu’elles repoussent l’échéance de quelques années ! Ensuite, trop souvent, arrive l’odieux, l’horrible. L’effaçage des rides, du double menton, du cou et du lissage de peau. En voulant se distinguer, les femmes sont devenues toutes pareilles. Elles ont donné en appâts leurs visages au Grand Chirurgien qui, se prenant pour un artiste, a sculpté sur elles, à coups de bistouri et de dollars, sa vision de la beauté et de la jeunesse. Elles y laissent souvent plus que leurs peaux : les économies de toute une vie !

Que nous est-il arrivé ? Avons-nous vendu notre âme au diable ? Nous sommes toutes dans le même bateau. Et si peu solidaires ! Nous participons toutes, ensemble et individuellement, à cette débâcle. À cet abandon de notre identité pour plaire à tous sauf à nous-mêmes. Aucune femme n’est gagnante dans cette course effrénée à repousser le temps. On ne s’est pas libérées pour en arriver à ce triste constat : être réduites à notre apparence physique ! À une fausse jeunesse ! Et notre belle intelligence et nos talents ! Pfitt ! Réduits à néant ? Je dois me pincer. Je suis dans un mauvais film, dans un mauvais rêve. J’ai envie de nous secouer pour que nous retrouvions un peu de notre gros bon sens.

Celles qui se sont fait remonter, celles qui songent à le faire et celles qui ont résisté, unissons-nous ! On fait bien des bêtises par inconscience, vanité, pression sociale, lâcheté, mode, peur. L’immense peur d’être rejetée, de ne plus travailler, de ne plus plaire à personne sauf au chat d’à côté. Moi, la première !

C’est ensemble que nous arriverons à mettre un terme à cette barbarie. L’Histoire jugera notre faiblesse.

Mes belles, mes toutes belles, la jeunesse a du bon, je vous l’accorde. La vieillesse aussi. Et combien ! L’endroit, si peu convoité, où l’on peut enfin se reposer de toutes ces pressions qu’une société très malade nous a imposées. Enfin heureuse de s’appartenir.

Un matin, tu décides que c’est assez d’essayer, à grands frais depuis des années, de camoufler les signes du temps. Tu te rends chez ta coiffeuse et tu lui demandes : 

« Manon, penses-tu qu’il y a une façon assez rapide de retirer toute la teinture jusqu’à mes cheveux naturels, c’est-à-dire blancs ?

– On va travailler doucement tes cheveux en enlevant la couleur, une couche à la fois. Ça peut prendre une couple d’heures. »

L’après-midi a passé. Avec ses potions magiques et ses années d’expérience, la coloriste m’a transformée en femme moderne. De mon temps. Blanche et libérée !

Elle m’a enlevé les années d’esclavage passées à teindre et restreindre des cheveux qui ne voulaient pas se faire emprisonner. Pardonnez-moi, un à un.

En sortant du salon de Manon, je me suis sentie belle et légère. Avec une assurance que je ne me connaissais pas. Et la fierté d’être moi-même, enfin, sans artifice !

J’aurai mis du temps ! Je suis lente.

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Didga, le chat qui sait faire du skateboard!


Ceux qui croient que les chats ne peuvent pas recevoir un dressage pour des trucs difficiles et bien voilà une preuve qu’ils se trompent. En plus le chat semble aimer faire du skateboard, car un chat ne fait pas ce qu’il n’aime pas
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Didga, le chat qui sait faire du skateboard!

 

Didga est un chat dressé pour faire du skateboard.

Robert Dollwet a plus de 33 ans d’expérience en dressage d’animaux, il a relevé le défi de dresser un chat à savoir utiliser un skate.

Dans la vidéo, Didga nous fait une petite démonstration dans un skatepark!

http://www.insoliteqc.com

Le Saviez-Vous ►Les mystères de l’effet de lac dévoilés


Certaines régions reçoivent plus de neige que d’autres, une des causes semblent être l’effet de lac, Il faut des conditions spécifiques pour avoir des accumulations spectaculaires de neige comme ce qu’à reçu la ville de Buffalo
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Les mystères de l’effet de lac dévoilés

 

Photo : Lucie Desbiens, Port Elgin

Certaines régions sont plus susceptibles de recevoir davantage de neige en raison de l’effet de lac. Ce phénomène localisé donne souvent lieu à des accumulations colossales.

Recevoir 100 cm de neige en deux jours, c’est possible? En Ontario, cette réalité fait partie du quotidien, dans les régions situées aux abords des Grands Lacs. Au Québec, ce phénomène peut influencer les quantités de précipitations autour du lac Saint-Jean ou en Gaspésie.

L’effet de lac a généralement lieu du mois d’octobre jusqu’en décembre, mais il peut durer tout l’hiver si les plans d’eau demeurent libres de glace.

Les bourrasques de neige, terme aussi utilisé pour parler de l’effet de lac, se produisent lorsque l’air froid passe sur les eaux plus chaudes. La masse d’air se charge alors d’humidité et forme des nuages convectifs très intenses, qui engendrent d’importantes chutes de neige une fois au-dessus des terres.

En décembre 2013, certaines villes américaines et ontariennes situées près des Grands Lacs ont reçu des bordées de neige extrêmes. Il est notamment tombé plus de 130 cm à Redfield, une municipalité d’environ 500 habitants.

L’humidité qui s’évapore dans l’air se condense et forme des nuages, et des flocons de neige commencent à tomber.

 

http://www.meteomedia.com/

Ce tatouage crée une illusion d’optique sur le bras de son propriétaire


C’est vraiment bizarre comme effet sur le bras de la personne. Personnellement, je ne trouve pas cela très joli
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Ce tatouage crée une illusion d’optique sur le bras de son propriétaire

 

INSOLITE – Certaines illusions d’optique deviennent encore plus impressionnantes sous forme de tatouage, quand elles changent carrément l’aspect d’un membre de la personne tatouée.

C’est le cas de Paddy Buckley, qui s’est fait tatouer début novembre par Paul O’Rourke, au salon AllStar Tattoo de Limerick, en Irlande. Sous ses aiguilles, le bras de Paddy semble se déformer pour créer un trou de part en part.

Interrogé par le HuffPost US, le tatoueur raconte:

« j’aime les tatouages géométriques donc celui-ci était très amusant à faire mais constituait également un défi », souligne-t-il.

De fait, sur les réseaux sociaux, les internautes n’en croient tout simplement pas leurs yeux. Cet incroyable tatouage n’aura pourtant demandé que deux heures et demi de travail. Après la mode des tatouages emoji, celle des tatouages illusion d’optique?

tatouage

http://www.huffingtonpost.fr

En vrai héros, un chien saute dans l’eau gelée pour sauver son maître de la noyade


Généralement dans ce genre de situation, c’est le maître qui sauve son chien, mais cette fois-ci, c’est le contraire. Un chien bien courageux qui a permis à un bébé sur le point de naitre de connaitre son papa
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En vrai héros, un chien saute dans l’eau gelée pour sauver son maître de la noyade

Par Sophie Le Roux

Crédits photo : sgrace – Flickr

Corbin, c’est le nom d’un véritable héros. Un héros à 4 pattes qui a sauvé la vie de son maître, en se jetant dans l’eau glacée dans laquelle il était en train de se noyer.

Comme tous les soirs, Philip Skirving, d’Alexandria en Ecosse, se promenait avec son chien au bord de la rivière Leven. Mais le jeune homme a trébuché, et glissé tout droit dans l’eau gelée.

« Je ne pouvais plus respirer, il faisait tellement froid » raconte-t-il au journal Lennox Herald. Philip Skirving s’est trouvé paralysé, incapable de rejoindre la berger pourtant toute proche.

« Sans lui je me serais noyé »

Mais heureusement, Corbin l’American Staffordshire Terrier a compris que son maître avait besoin d’aide. Le chien a alors sauté dans l’eau puis a attrapé son pull entre ses dents pour le tirer jusqu’à la rive.

C’est trempés, gelés, mais sains et saufs que Corbin et Philip ont pris le chemin du retour.

« S’il n’avait pas été là pour me secourir, je me serais noyé » affirme le jeune homme, qui a décidé d’éviter pour un temps les balades nocturnes au bord de la rivière.

« Ma femme Zoe a une telle peur quand je suis entré trempé de la tête aux pieds. Nous avons tous eu très peur parce que nous attendons un bébé dans quelques semaines et j’aurais pu mourir. Je crois que je vais promener Corbin dans la rue à partir de maintenant » confie-t-il.

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La stimulation cérébrale populaire pour traiter la dépression sévère


Pour les dépressions profondes, certaines personnes ne réagissent pas aux antidépresseurs, il semble avoir une méthode moins drastiques que les électrochocs ou autres traitements du genre et qui aurait de bons résultats sans trop d’effets secondaires
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La stimulation cérébrale populaire pour traiter la dépression sévère

 

La stimulation magnétique transcrânienne (SMT) stimule une région... (Photo La Presse Canadienne)

La stimulation magnétique transcrânienne (SMT) stimule une région du cerveau que l’on croit moins active chez les gens qui souffrent de dépression.

Photo La Presse Canadienne

Sheryl Ubelacker
La Presse Canadienne
TORONTO

De plus en plus, les médecins se tournent vers la stimulation cérébrale pour traiter la dépression sévère lorsque les médicaments et la psychothérapie n’ont pas l’effet voulu.

La stimulation magnétique transcrânienne (SMT) stimule une région du cerveau que l’on croit moins active chez les gens qui souffrent de dépression.

La stimulation de cette aire, située dans le cortex préfrontal, se fait au moyen d’un instrument qui transmet un champ électromagnétique à travers le crâne.

«Le champ magnétique passe à travers le crâne et, lorsqu’il interagit avec le cerveau, il cause un courant électrique dans les tissus cérébraux qu’il touche», explique le docteur Mark George, directeur du laboratoire de stimulation cérébrale de l’université médicale de la Caroline du Sud.

«Donc c’est une bonne technique, lorsque vous pouvez, de manière non invasive, entrer dans le cerveau et stimuler le cerveau d’une personne éveillée et alerte, sans réel inconfort», a-t-il fait valoir mardi, durant une conférence téléphonique organisée par le Centre de toxicomanie et de santé mentale de Toronto.

M. George, psychiatre et neurologue, pionnier dans l’utilisation de la technique pour le traitement de la dépression, affirme que la SMT est bien tolérée par les patients et a des effets secondaires minimes.

Jusqu’à 40 pour cent des patients souffrant de dépression majeure ne répondent pas aux antidépresseurs, ou leur effet ne dure pas, ou encore leurs effets secondaires sont trop intenses pour les patients, précise M. George, qui a commencé à utiliser ce traitement il y a 15 ans.

Le docteur Jeff Daskalakis, du Centre de toxicomanie et de santé mentale de Toronto, affirme que le traitement par SMT s’administre habituellement sur une période de quatre semaines. Environ la moitié des patients répondent à ce traitement, et le tiers voient leurs symptômes disparaître complètement.

Gail Bellissimo, une mère de quatre garçons âgée de 52 ans, a souffert de dépression grave durant plusieurs années. Elle a essayé différents types d’antidépresseurs combinés à la psychothérapie, en vain. Sa détresse était grande, constante.

En février dernier, elle s’est inscrite à des essais cliniques pour tester différentes durées de thérapies par SMT chez les patients dépressifs résistants aux traitements.

Elle a testé la version la plus courte, soit des sessions de trois minutes, cinq fois par semaine pendant quatre semaines, avec une option de deux semaines supplémentaires, qu’elle a prises.

Après les deux premières semaines, elle a constaté un changement dans sa vie, «une clarté et une lumière».

Le traitement par SMT l’a non seulement sauvée, confie-t-elle, mais lui a permis de s’épanouir.

«Je me sens mieux que jamais, j’aime la vie, je me remets et je regarde en avant.»

Selon le docteur Daskalakis, un patient atteint de dépression coûte environ 19 000 $ par année au système de santé, alors que la SMT coûte environ 6500 $ par personne, et les effets sont durables.

La probabilité que le patient demeure en rémission est très élevée, surtout avec des traitements de maintien.

«Plus longtemps on garde les gens en rémission, moins enclins seront-ils à faire des rechutes», indique-t-il.

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90 $ pour enterrer vos objets sur la Lune


Qu’est ce qu’ils vont encore inventé pour donner l’impression que les gens laisseront quelque chose d’éternelle dans l’espace.
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90 $ pour enterrer vos objets sur la Lune

 

90 $ pour enterrer vos objets sur la Lune

Pour participer au projet, un don minimum de 90 $ est demandé.Photo d’archives / Reuters

Une entreprise britannique demande la participation du public pour envoyer un robot sur la Lune afin de forer sa surface et en apprendre davantage sur sa formation.

La compagnie Lunar Mission One se tourne vers le site de financement participatif Kickstarter pour amasser 1 million $ en un mois.

Pour encourager les gens à faire un don, l’entreprise offre aux gens la possibilité de numériser certaines de leurs informations personnelles ou encore d’envoyer un message personnel, une photo, un poème, une vidéo ou une chanson.

Les informations seraient placées dans des capsules miniatures et enfouies sous la surface lunaire afin qu’elles soient éternelles.

Ceux qui réserveront tôt leur «place» dans l’espace pourraient même y envoyer une mèche de cheveux.

Pour participer au projet, un don minimum de 90 $ est demandé.

Les dirigeants de l’entreprise sont conscients que 1 million $ n’est pas suffisant pour financer la totalité du projet, mais cela serait bon départ afin de montrer aux gouvernements, et à d’autres compagnies, l’intérêt de la population de poursuivre l’exploration spatiale.

Deux jours après son lancement, le projet a récolté plus de 230 000 $ auprès de plus de 1300 personnes.

http://fr.canoe.ca

Tom, le merveilleux chat qui réconforte les patients en fin de vie et leurs familles


De plus en plus en parle des bienfaits des animaux dans les lieux de santé et autre. Les chiens et les chats par leur nature sont apte à apporter support et encouragement que ce soit face à la vie ou à la mort.
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Tom, le merveilleux chat qui réconforte les patients en fin de vie et leurs familles

 

Par Sophie Le Roux Crédits photo : Laura Hart, Salem VA

Il s’appelle Tom, il est âgé de 8 ans et il vit dans un hôpital à Salem, en Virginie. Il, c’est un chat, un gros matou roux qui apporte aux patients en fin de vie apaisement et réconfort. Tom se balade, vit sa vie de chat, monte sur le lit de ses amis en soins palliatifs et se laisse papouiller en ronronnant. C’est son job, et il le fait merveilleusement bien.

Une présence réconfortante pour les patients et leurs familles

« Regarder le chat ou le caresser vous sort du triste moment que vous traversez » explique à VA.gov Dorothy Rizzo, coordinateur des soins palliatifs de l’hôpital.

Et d’ajouter : « Les animaux, comme les bébés, sont en quelque sorte une affirmation de la vie ».

Tom a été adopté par les infirmières de l’hospice du Salem VA Medical Center dans le cadre d’une expérimentation de thérapie animale. Et sa présence ne fait pas seulement du bien aux patients, les familles des malades profitent elles aussi des bienfaits de cet adorable thérapeute à 4 pattes.

« Les familles se sentent souvent impuissantes. Elles regardent un être cher mourir et savent qu’elles ne peuvent pas les sauver » explique Betty Gillespie, une psychologue de l’hospice.

« Parfois, on ne peut même pas parler avec eux, ni les réveiller. Tout ce qu’on peut faire est de les regarder et attendre. Mais Tom offre un certain réconfort, quelque chose sur quoi se concentrer. Parce que quand un chat marche nonchalamment dans la salle, il envoie un message disant que tout va bien, que tout est comme cela doit être ».

« Ce ne fut pas un jour triste. Et cela grâce à Tom »

Certains patients ont noué une relation très forte avec ce chat. Ce fut le cas d’Edwin Gehlert, un vétéran de la seconde guerre mondiale. Le jour de sa mort, Tom semblait savoir ce qui allait se passer. Le chat est monté sur le lit de son ami puis s’est allongé près de lui, une patte posée au creux de sa main.

« Ce chat l’a conduit tout droit au paradis » affirme la femme d’Edwin Gehlert, Elizabeth, qui dit avoir ressenti à ce moment une véritable paix.

Cette douce présence a fait aussi un bien immense à la fille d’Edwin et Elizabeth, Pam.

« Quand Tom a mis sa patte dans la main de papa, c’était comme si Dieu me disait qu’il s’occupait de mon père et que tout allait bien. (…) Je n’ai pas quitté l’hôpital dans la douleur et les larmes. J’avais tant de joie dans mon coeur, je me suis presque sentie coupable. Ce ne fut pas un jour triste. Et cela grâce à Tom » confie-t-elle.

Véritable membre de l’équipe de l’hôpital, Tom a comme n’importe qui d’autre besoin de se reposer après avoir accompagné l’un de ses amis durant les dernières heures de sa vie.

« Il entre dans une sorte d’hibernation pendant plusieurs heures. Il trouve un coin et se met en veille. Je pense qu’il recharge juste ses batteries » raconte Laura Hart, l’un des médecins de l’unité des soins palliatifs du Salem VA Medical Center.

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