La différence


On dit souvent que si on pouvait on agirait, mais les patrons, les gouvernements, nous en empêchent, pourtant quand on voit cette jeune fille se lever contre l’injustice, cela donne une bonne leçon
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La différence

 

Quand le monde est silencieux, une seule voix peut faire la différence

Malala Yousafzai

Une chouette se marre comme un petit fou


Cette chouette a un son assez particulier, comme un rire gêné.
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Une chouette se marre comme un petit fou

 

MIGNON – Blague ? Situation cocasse ? Prise de substances illicites ? Impossible de savoir ce qui a pu déclencher ce fou rire chez ce hibou, mais celui-ci s’en donne à cœur joie.

Yeux plissés, sourire banane et gorge qui vibre : cette chouette s’esclaffe comme pas deux. Visiblement situé dans un accueil réservé à ces oiseaux, le caméraman s’oriente rapidement vers l’animal rieur au détriment de ses voisins.

Rien d’étonnant vu le caractère insolite de la scène. On entendrait presque sa voix moduler… à moins que ce ne soit celle du réalisateur de la séquence, qui encourage l’animal muet.

 

 

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Astuce geek : surveillez ces applis Android qui font chuter l’autonomie de votre smartphone.


Sous Android, ceux qui ont un forfait limité, ou qu’ils voient la batterie de leur téléphone baisser trop vite devraient éviter certaines applications, ou encore, avoir son adapteur pour recharger la batterie dans les environs
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Astuce geek : surveillez ces applis Android qui font chuter l’autonomie de votre smartphone

 

android batterie autonomie

Certaines applications sont à surveiller de près pour préserver l’autonomie de votre smartphone Android.

BATTERIE – Vous voulez savoir quelles applications drainent votre batterie à la vitesse grand V ? La société de sécurité AVG Anti-Virus a listé les applis les plus gourmandes, celles qui prennent le plus de place, etc. Découvrez les différents classements.

 

Mais qu’est-ce qui bouffe votre batterie ? Tout le monde s’est un jour posé la question en regardant l’autonomie de son smartphone chuter inexorablement sans savoir quelle appli fermer ou carrément désinstaller. La société de sécurité informatique AVG Anti-Virus a sorti ses instruments de mesures et analysé quelles étaient les les applications les plus gourmandes en ressources. Pour cela, trois éléments ont été pris en compte : l’usage de la batterie, le stockage utilisé et la quantité de données échangées.

Pour résumer, méfiez-vous des jeux les plus populaires du moment (Hay Day, Candy Crush, Minecraft, Clash of Clans, Angry Birds…) mais aussi de Facebook, Instagram, Spotify, Netflix ou encore de l’appli LOL 9Gag.

Voici les classement ainsi obtenus :

Les jeux les plus gourmands en énergie sous Android
(sachant que 60 % du temps passé sur notre smartphone y est consacré en moyenne, indique AVG)

1. Puzzle & Dragons (GungHo Online Entertainment)
2. Hay Day (Supercell)
3. Candy Crush Saga (King)
4. Minecraft — Pocket Edition (Mojang)
5. Cookie Jam (SGN)
6. Pet Rescue Saga (King)
7. Clash of Clans (Supercell)
8. Bubble Witch 2 Saga (King)
9. Farm Heroes Saga (King)
10. Angry Birds (Rovio Mobile)

Les applications les plus gourmandes en énergie sous Android

1. Facebook
2. Path
3. 9GAG Funny Pics & Videos
4. Instagram
5. Spotify Music
6. BBM (BlackBerry)
7. QQ (Tencent Technology)
8. textPlus Free Text & Calls
9. Wattpad Free Books & Stories
10. iFunny

Les applications qui prennent le plus de place sur le smartphone (stockage)


1. NY Times — Breaking News
2. Tango Messenger Video & Calls
3. Spotify Music
4. Facebook
5. Chrome Browser
6. 9GAG Funny pics & videos
7. Instagram
8. LINE camera — Selfie & Collage
9. Vine
10. Talking Angela

Les applications qui drainent le forfait data de votre abonnement mobile


1. Netflix (Netflix inc.)
2. Daily Mail Online (Daily Mail Online)
3. Facebook (Facebook)
4. Tumblr (Tumbler inc.)
5. Instagram (Instagrem)
6. 9Gag Funny pics & videos (9GAG)
7. iFunny (Okrujnost’)
8. TV Guide UK (TV Guide)
9. NYTimes Breaking News (The New York Times Company)
10. CNN BreakingUS & WorldNews (CNN)

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Philae va prendre un repos bien mérité sur la comète


L’ESA a dû passer par diverses émotions avec leur robot Philae, surtout quand ils ont cru qu’il ne pourrait émettre les données à cause de sa pile qui ne pouvait pas vraiment être rechargée par les panneaux solaires dû à sa position qui n’est pas idéale, sans parler qu’il n’a pu s’ancrer sur la comète. Mais cela à été au-delà des espérances.
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Philae va prendre un repos bien mérité sur la comète

 

 

Photo ESA / Reuters

La comète Tchourioumov-Guérassimenko, sur laquelle s’est posé le robot Philae.

Véronique Martinache / AFP

 

PARIS – Le robot Philae est désormais en veille sur la comète Tchouri, en attendant des jours meilleurs, mais avant de s’endormir, il a pu transmettre toutes les données scientifiques récoltées depuis son atterrissage historique.

Trois jours après son atterrissage très médiatisé – et quelque peu mouvementé – sur la comète Tchourioumov-Guérassimenko, à plus de 500 millions de km de la Terre, la batterie de Philae s’est déchargée, comme prévu.

Mais Philae a eu le temps de transmettre les données du forage réalisé la veille sur la comète.

«On a tout reçu. Tout s’est déroulé exactement comme prévu», a déclaré samedi à l’AFP le responsable scientifique de l’atterrisseur, Jean-Pierre Bibring.

«On a même pu faire la rotation pour optimiser la réception de la lumière sur les panneaux solaires», a ajouté M. Bibring dans un entretien téléphonique depuis le centre de contrôle de Philae à Cologne (Allemagne).

Cette manoeuvre vise à préparer l’avenir : Philae, qui s’est posé à l’ombre entre des rochers, peut espérer sortir de son hibernation lorsque la comète s’approchera du soleil dans quelques mois, permettant à ses batteries de se recharger.

«L’atterrisseur de Rosetta a achevé sa première mission scientifique après 57 heures sur la comète», a indiqué l’Agence spatiale européenne (ESA) dans un communiqué.

«C’est un énorme succès. Toute l’équipe est ravie», a déclaré Stephan Ulamec, responsable de l’atterrisseur au DLR, l’agence spatiale allemande.

Les premiers résultats scientifiques pourraient être publiés dans les prochaines semaines.

Philae est maintenant «en mode veille», en attendant que son second système de fourniture d’énergie, des batteries rechargeables grâce à de petits panneaux solaires, puisse éventuellement prendre la relève.

Il est aujourd’hui un peu dans la situation d’un téléphone portable dont la batterie serait déchargée: il ne fonctionne plus, mais il n’est pas mort.

«L’important c’est qu’on puisse survivre jusqu’à des moments meilleurs», a souligné M. Bibring.

«Différent de ce qu’on imaginait»

Rosetta va continuer de tenter de renouer le contact à chaque fenêtre de communication avec Philae.

«Les communications radio avec Philae sont possibles jusqu’à environ 60 à 100 km et peut-être au-delà», a précisé Andrea Accomazzo, directeur de vol de la mission Rosetta, dans un échange de mails avec l’AFP.

Les scientifiques sont en tout cas déjà extrêmement satisfaits.

«On a terminé cette première phase absolument fabuleuse et rien ne ressemble à ce qu’on avait prévu. Ca nous donne très envie de continuer à l’explorer», a déclaré Jean-Pierre Bibring.

«On travaille, on n’arrête pas, c’est fabuleux. Un seul mot, c’est fabuleux», s’est-il enthousiasmé.

«On s’aperçoit que c’est de plus en plus différent de ce qu’on imaginait, c’est fantastique», a-t-il encore dit, refusant cependant d’en dévoiler plus.

«Les résultats de Philae sont extraordinaires», avait estimé vendredi Marc Pircher, le directeur du CNES, l’agence spatiale française, à Toulouse. «80% du travail du robot a été fait», avait-il assuré.

Sa feuille de route était notamment de trouver dans le sol cométaire des molécules organiques ayant pu jouer un rôle dans l’apparition de la vie sur Terre, les comètes étant les objets les plus primitifs du système solaire.

Mais Philae a aussi radiographié l’intérieur de la comète, étudié son magnétisme, fait des images du sol, analysé les molécules complexes dégagées.

Quant à Rosetta, plus de 6,5 milliards de km au compteur depuis son lancement en 2004 dans l’espace, elle est repartie sur une orbite à 30 km autour de la comète. Elle devrait revenir à une orbite à 20 km le 6 décembre et continuer à étudier la comète au fur et à mesure qu’elle devient plus active en se rapprochant du soleil.

Dans les prochains mois, Rosetta prendra ses distances vis-à-vis de Tchouri, mais réalisera une série de survols qui la mèneront jusqu’à 8 km du centre du noyau. 80% du programme scientifique de la mission reposent sur ses épaules, contre 20% pour le robot Philae.

Tchouri sera au plus près du soleil le 13 août prochain, mais la mission Rosetta est programmée jusqu’à fin décembre 2015.

L’histoire des deux aventuriers mise en scène par l’ESA a d’ores et déjà conquis le public: Rosetta compte 264 000 abonnés sur son compte Twitter, et Philae 350 000 fidèles.

http://www.journaldequebec.com

Arnaques par internet: des victimes y ont laissé leur peau


Nous sommes plusieurs à être méfiant devant certaines attrapes-nigaud sur internet, mais malheureusement dès que les gens touchent aux émotions, certains sont plus fragiles. Des personnes de l’autre bout du monde arrivent à mettre des gens d’ailleurs dans une situation de honte, une honte qui peut devenir tragiquement mortelle
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Arnaques par internet: des victimes y ont laissé leur peau

 

Arnaques par internet: des victimes y ont laissé leur peau

Photo Fotolia

Denis Therriault

 

Êtes-vous de ceux qui jugent les victimes d’arnaque par internet, qui se demandent comment on peut se faire prendre par ces arnaqueurs qui piègent des Québécois à partir de cafés internet en Côte d’Ivoire, de l’autre côté de l’Atlantique?

L’équipe de l’émission J.E. a enquêté sur le phénomène et démontre combien l’expérience est dévastatrice pour les victimes.

Michaël Houle, un jeune dans la vingtaine, n’hésite pas à parler des effets dévastateurs d’une arnaque sentimentale qui lui a coûté 8000 $, qui a failli le tuer. Il donne des conférences dans l’espoir de prévenir le plus de monde possible.

«Je me retenais pour ne pas me suicider. Si j’avais eu un moyen pour me suicider rapidement, je l’aurais fait. Un fusil ou quelque chose d’autre, je l’aurais fait», a confié à J.E. Michaël Houle.

Sa mère, Claire Royer a même écrit un livre où elle raconte le cyberdrame vécu par son fils.

«Ça a l’air bien, on tue du monde à distance. On met ça sur le dos de la dépression, ce sont des gens vulnérables, on les juge, on les oublie», a-t-elle dit.

L’été dernier, Le Journal de Montréal rapportait l’histoire de Maxime Forgue qui s’est suicidé à la suite d’une telle arnaque. En lisant cette histoire, Claire Royer a vécu de fortes émotions.

«Je ne peux pas oublier Maxime, dit-elle. Maxime avait 19 ans mon fils en avait 20.»

Mort de honte

Renée Roussel a été la première coroner au Québec à identifier formellement les arnaques de Côte d’Ivoire comme étant à l’origine de suicides. Elle parle notamment du cas d’un Gaspésien de 67 ans et de celui d’un jeune dans la vingtaine du Bas-Saint-Laurent. Les deux s’étaient dévêtus devant la webcam croyant avoir affaire à une jeune femme. Ils n’ont pu résister à l’intense tentative d’extorsion qui s’en est suivie.

«On touche à quelque chose de tabou, le sexe. Quand ça te touche personnellement dans des choses de cet ordre-là, les gens sont extrêmement vulnérables, a indiqué Renée Roussel. Le pire c’est qu’on ne peut rien faire contre les arnaqueurs ivoiriens, car il n’y a pas d’entente de réciprocité entre les deux pays. On ne peut pas poursuivre l’investigation là bas ni même faire extrader les gens.»

Questionné sur les efforts mis par la Côte d’Ivoire pour contrer les arnaqueurs, N’Goran Kouame, ambassadeur de ce pays au Canada, dit que des lois sévères ont été adoptées, mais qu’il ne peut y avoir un policier derrière chaque ivoirien. Il recommande aux Canadiens de ne pas envoyer d’argent en Côte d’Ivoire, cela encourage les arnaqueurs, dit-il.

http://fr.canoe.ca

Texas Pour suivre son maître parti en ambulance, un chien embarque sur le pare-choc


Le chien était vraiment attaché à son maitre et pourtant, il était avec lui que depuis 4 mois. Il a été tenace.
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Texas

Pour suivre son maître parti en ambulance, un chien embarque sur le pare-choc

 

Pour suivre son maître parti en ambulance, un chien embarque sur le pare-choc

Crédit photo : gracieuseté, San Angelo Standard-Times

Quand son maître a été transporté d’urgence à l’hôpital, le chien Buddy n’a pas hésité une seconde à le suivre. Il a décidé de prendre place sur le pare-choc de l’ambulance et y est resté pendant plus d’une trentaine de kilomètres!

Les ambulanciers ont été appelés chez J. R. Nicholson, un homme de 85 ans vivant au Texas, qui a été victime d’un malaise, rapporte le San Angelo Standard-Times.

Même si Buddy est le meilleur ami de M. Nicholson, les ambulanciers ne pouvaient l’emmener. Mais ça n’a pas empêché le chien qui a réussi à faire du covoiturage.

Il avaient déjà roulé une trentaine de kilomètres quand un motocycliste leur a signalé la présence du quadrupède.

«C’était complètement fou», raconte l’ambulancier Tenner Brown.


(Crédit photo: gracieuseté, San Angelo Standard-Times)

Rapidement, ils ont pris le chien et l’ont mis dans l’ambulance.

«Il n’y avait pas grand-chose d’autre qu’on pouvait faire alors on l’a pris avec nous jusqu’à l’urgence», ajoute M. Brown.

Le propriétaire de Buddy a expliqué que le chien n’était avec lui que depuis quatre mois seulement, mais qu’il était désormais un membre à part entière de la famille.

http://tvanouvelles.ca

Fabriquer de la peau humaine par impression 3D bientôt possible


Si un jour, comme le prévoit les chercheurs, l’imprimante 3D serait capable de reproduire la peau et de la vasculariser, ce sera un grand pas pour bien sûr les grands brûlés, mais aussi pour les cosmétiques qui pourraient délaisser enfin, les tests sur les animaux
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Fabriquer de la peau humaine par impression 3D bientôt possible

 

Fabriquer de la peau humaine par impression 3D bientôt possible

par Claude Canellas

PESSAC Gironde (Reuters) – Produire des tissus humains sera bientôt possible grâce à une technique d’impression biologique en 3D par laser développée par des chercheurs français, avec des applications en cosmétique et en chirurgie, notamment dans le domaine des greffes.

Fabien Guillemot, de l’Institut national de la santé et de la recherche médicale (Inserm), vient de créer avec un associé une société spécialisée dans la fabrication de tissus par bio-impression, Poietis, à Pessac, près de Bordeaux.

Les premières bases ont été jetées il y a 25 ans par un scientifique américain, Joseph Klebe, qui utilisait une simple imprimante à jet d’encre et une protéine présente dans le liquide extracellulaire, la fibronectine.

Plusieurs projets de recherche ont suivi en Europe, aux Etats-Unis et au Japon pour limiter le rejet des implants par le corps humain, dont celui dirigé par Fabien Guillemot.

Ce dernier travaillait sur le traitement laser des bio-matériaux pour faciliter leur intégration dans le corps quand il a découvert un nouveau champ d’expérimentation en abandonnant la méthode soustractive, qui consiste à enlever de la matière, au profit d’une technique additive, qui consiste à l’empiler.

« Progressivement, on s’est aperçu qu’il serait pertinent d’aller plus loin que le dépôt de principes actifs pour favoriser l’attachement des cellules, en travaillant sur le dépôt des cellules elles-mêmes », précise le chercheur bordelais.

Le projet s’est développé avec l’apport d’autres laboratoires. Objectif : trouver la bonne méthode permettant de d’empiler de façon ordonnée, à l’aide d’un laser, des cellules vivantes contenues dans du liquide.

Depuis 2010, il est entré dans une phase de développement des applications de la bio-impression.

RÉVOLUTIONNER LES GREFFES

« On s’est intéressé aux tissus osseux et, plus récemment, à la peau et à la cornée, les deux tissus où il y a le plus de besoins » explique Fabien Guillemot.

« Ce sont des tissus relativement fins qui se prêtent assez bien à la bio-impression, contrairement aux tissus osseux demandeurs de plus grandes quantités de matière bio-imprimée, ce qu’on n’est pas capable de faire aujourd’hui. »

Il reste beaucoup de chemin à faire. Un des obstacles à franchir est de comprendre comment fabriquer des tissus plus complexes et de les vasculariser.

Les chercheurs bordelais travaillent sur l’assemblage de cellules formant de petits vaisseaux sanguins, les capillaires. Lorsque cette technique sera maîtrisée, il sera lors possible de fabriquer des tissus vivants de grand volume.

Reste aussi à maîtriser l’évolution des cellules imprimées.

« Avec le même patrimoine génétique, les cellules vont évoluer en fonction de leur environnement. Et plus on va anticiper l’évolution de cet environnement, plus on sera en mesure de fabriquer des structures complexes et de passer à des applications concrètes », explique Fabien Guillemot.

Les industries pharmaceutiques et cosmétiques sont très intéressées : l' »impression » de tissus vivants leur permettra de tester de nouvelles molécules et de nouveaux médicaments sans passer par des essais sur des animaux et des cultures de cellules et donc de gagner beaucoup de temps.

« A plus long terme, disons dix ans, nous visons le marché clinique avec la greffe chirurgicale », dit Fabien Guillemot.

Le traitement des grands brûlés pourrait en être à terme considérablement améliorés.

Mais si des chercheurs imaginent déjà pouvoir fabriquer des organes humains, Fabien Guillemot reste très prudent.

« A ce jour, même si on peut toujours imaginer que ça se fera un jour, on ne sait absolument pas comment. La bio-impression d’organes c’est un peu de la science-fiction », concède-t-il.

(Edité par Yves Clarisse et Emmanuel Jarry)

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Honduras: 30 000 tortues marines gagnent la mer


Voilà des gestes concrets pour sauver une espèce en danger. Des défenseurs de l’environnement ont surveillé contre tout prédateurs (animal et humaine) des oeufs jusqu’à l’éclosion et la première trempette des tortues
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Honduras: 30 000 tortues marines gagnent la mer

 

Les tortues étaient venues déposer leurs oeufs il... (Photo REUTERS)

 

Les tortues étaient venues déposer leurs oeufs il y a 45 jours, et des défenseurs de l’environnement les ont surveillés jusqu’à leur éclosion afin d’éviter qu’ils ne soient pillés pour être consommés.

Photo REUTERS

Agence France-Presse
TEGUCIGALPA

Quasiment 30 000 tortues olivâtres nées sous la protection de défenseurs de l’environnement ont gagné la mer jeudi sur la côte Pacifique du Honduras.

«Nous avons libéré 29 888 tortues des 41 027 oeufs déposés par 490 tortues qui sont parvenues à pondre dans quatre refuges» du département de Choluteca, à environ 130 kilomètres au sud de Tegucigalpa, a indiqué à l’AFP Luis Turcios, directeur du Projet de conservation des écosystèmes du golfe de Fonseca (Progolfo).

Des membres de Progolfo, du ministère des Ressources naturelles et de l’environnement ainsi que d’entreprises privées ont participé jeudi, comme tous les ans, à cette opération d’ouverture des nids et d’accompagnement jusqu’à la mer de milliers de petits pour les protéger d’attaques de prédateurs.

Les tortues étaient venues déposer leurs oeufs il y a 45 jours, et des défenseurs de l’environnement les ont surveillés jusqu’à leur éclosion afin d’éviter qu’ils ne soient pillés pour être consommés – la croyance publique leur accorde des vertus aphrodisiaques – ou attaqués par d’autres animaux.

Cette année, «il y a eu une mortalité de 23%, due à des facteurs climatiques, une chute de température du sous-sol», a déploré M. Turcios.

En 2013, 42 614 tortues avaient gagné la mer.

M. Turcios a souligné que grâce à ce programme initié il y a 20 ans, qui prévoit notamment la surveillance des nids 24 heures sur 24 durant leur incubation dans le sable, «la survie de cette espèce de tortue marine a été garantie».

http://www.lapresse.ca