Échanger, partager


C’est souvent ce qui manque dans notre monde, la communication, les échanges d’idées. Avons-nous peur de nos différences, de perdre nos propres idéaux ?
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Échanger, partager

 

Échanger et partager ne veut pas dire se mettre d’accord, mais entendre justement nos différences. Ce qui veut dire aussi pouvoir se rapprocher et quand même pouvoir rester soi-même.

Jacques Salomé

15 animaux à poil. Ils sont vraiment majestueux !


Il y a des animaux qu’il vaut mieux être brossé tous les jours sinon, c’est la pagaille totale avec leurs poils. D’autres, leurs poils sans être nécessairement très long, leur donne un petit quelque chose d’unique
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15 animaux à poil. Ils sont vraiment majestueux !

 

Les poils, on aime ou on aime pas. Mais chez les animaux, quand ils sont tout touffus, ça ne peut qu’être mignon. Et ces bestiaux-là sont certainement abonnés à l’Oréal, vu la touffe qu’ils ont ! Vous verrez : Une vache rousse à frange, une chenille bouclée, un chien et un hamster aux coupes ultra-swagg, et même une tortue Punk !

Tortue Punk

Lapin (Nuage)

C’est une perruche (Nuage)

www.demotivateur.fr

Le Saviez-Vous ► Les fourmis tisserandes et les larves tubes-de-colle


Quand on observe un groupe de fourmis, nous pouvons avoir une impression qu’elles sont désordonnées, qu’elles courent partout au hasard. Pourtant, c’est tout le contraire qui se produit. Ces fourmis tisserandes, ont des capacités étonnantes pour fabriquer leur nid
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Les fourmis tisserandes et les larves tubes-de-colle

 

Ci-contre : une fourmi tisserande et son tube de colle. Crédits : Mark W. Moffett pour National Geographic.

Les fourmis du genre Oecophylla tissent leurs nids à partir de feuilles qu’elles collent les unes aux autres. Pour cela, elles s’agrippent aux feuilles avec leurs mandibules et tirent de toute leur force. Une fois que les feuilles sont suffisamment proches les unes des autres, elles se servent de leurs propres larves pour souder l’ensemble. Ces dernières sécrètent en effet des fils de soie collants extrêmement résistants. On peut admirer les fourmis tisserandes manipuler leurs larves dans la vidéo ci-dessous :

 

http://sweetrandomscience.blogspot.fr

Sauvetage au World Trade Center : Une fenêtre défoncée pour secourir les laveurs de vitres


Quelle idée de faire des buildings aussi haute. Être laveur de vitre sur des bâtiments d’une telle hauteur, demande beaucoup de courage. Ils ont dû avoir la peur de leur vie
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Sauvetage au World Trade Center

Une fenêtre défoncée pour secourir les laveurs de vitres

 

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(Crédit: Twitter)

 

Deux laveurs de fenêtres sont coincés dans leur nacelle à la hauteur du 69e étage du World Trade Center, à New York. L’événement, qui a débuté peu après l’heure du dîner, était toujours en cours en début d’après-midi.

Plusieurs pompiers du département d’incendie de New York intervenaient d’ailleurs pour tenter de les sortir de leur fâcheuse position.

Les secours ont été alertés par des témoins qui ont vu un des câbles de la nacelle céder et la plateforme s’incliner dangereusement avec des travailleurs toujours dessus. Ces derniers ne sont pas blessés, selon des informations transmises par les pompiers.

Les intervenants sont parvenus à faire un trou dans une fenêtre à la hauteur de la nacelle, et à 14h15, l’un des deux laveurs parvenait à rentrer à l’intérieur de l’édifice, sain et sauf.

La tour du World Trade Center a une hauteur qui dépasse les 540 mètres.

 


L’incident vu de l’intérieur du World Trade Center par les pompiers qui participent à l’opération de sauvetage. (Crédit: compte Twitter des pompiers de New York)

http://tvanouvelles.ca

Torture: «Nous avons franchi la limite», admettent les États-Unis


Quand on prône les droits et liberté de l’homme, on se doit de faire des efforts pour diminuer voir disparaitre les tortures et tout abus dans son propre pays. Guantánamo est toujours ouvert, la violence policière contre les minorités sont toujours présentes en 2014.
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Torture: «Nous avons franchi la limite», admettent les États-Unis

 

Les membres du Comité ont soumis la délégation... (PHOTO MLADEN ANTONOV, ARCHIVES AFP)

 

Les membres du Comité ont soumis la délégation à un flot de questions sur la façon dont leur pays agissait pour corriger ces abus, la pressant notamment d’expliquer pourquoi la prison de Guantánamo était toujours ouverte.

PHOTO MLADEN ANTONOV, ARCHIVES AFP

 

Les États-Unis ont reconnu une nouvelle fois mercredi «avoir franchi la limite» pendant la «guerre contre la terreur» dans une audition à Genève devant le Comité de l’ONU contre la torture.

«Les États-Unis sont fiers de leur rôle pour le respect, la promotion et la défense des droits de l’homme et de la primauté de la loi à la fois chez eux et dans le monde», a assuré la conseil juridique par intérim du gouvernement américain, Mary McLeod devant les dix membres du Comité sur la torture à Genève.

«Mais après les attaques du 11-Septembre, de façon regrettable, nous ne nous en sommes pas toujours tenus à nos propres valeurs», a-t-elle dit.

«Nous avons franchi la limite et nous en assumons la responsabilité», a-t-elle ajouté, citant les propos du président Barack Obama.

Mme McLeod fait partie d’une délégation d’une trentaine de hauts fonctionnaires américains venus à Genève pour répondre pendant deux jours aux questions du Comité, qui examine le cas des États-Unis pour la première fois depuis 2006.

Après l’élection du président Obama, Washington a admis que la «guerre contre la terreur» initiée par le président Georges W. Bush avait conduit à certains abus.

«Nous admettons qu’aucune nation n’est parfaite, y compris la nôtre», a dit Keith Harper, l’ambassadeur des États-Unis auprès du Conseil des droits de l’homme de l’ONU à Genève.

Les membres du Comité ont soumis la délégation à un flot de questions sur la façon dont leur pays agissait pour corriger ces abus, la pressant notamment d’expliquer pourquoi la prison de Guantánamo était toujours ouverte, avec de nombreux prisonniers détenus sans charges ni jugement et lui demandant quand Washington comptait la fermer.

Ils ont aussi interpellé la délégation sur les conditions de détention de ces prisonniers ou sur l’absence de compensations pour les victimes des abus commis par des soldats américains dans la prison irakienne d’Abou Ghraib au début des années 2000.

Au-delà des abus liés à la «guerre contre la terreur», des questions ont été posées sur la détention en nombre d’immigrants illégaux, dont des mineurs, qui ne sont pas des criminels.

Les violences policières contre les minorités ont aussi été dénoncées, avec le cas du jeune Michael Brown, âgé de 18 ans, tué par un policier à Fergusson dans le Missouri en août. Son père est à Genève pour témoigner auprès d’ONG en parallèle à l’audition au Comité.

Ce dernier rendra publiques ses conclusions le 28 novembre

http://www.lapresse.ca

Thérapie assistée par l’animal: quand les animaux nous font du bien


La zoothérapie n’est pas nouvelle, mais il avait perdu du terrain quand la médecine a fait de grands pas. Aujourd’hui, les spécialistes voient de plus en plus l’intérêt d’utiliser les animaux surtout avec les personnes atteintes de maladies mentales et aussi les troubles de comportement comme chez les autismes,  que les chiens et les chevaux peuvent leur venir en aide. Et même pensent-on que les interactions entre l’enfant et l’animal serait bénéfique pour les deux
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Thérapie assistée par l’animal: quand les animaux nous font du bien

 

Credit Photo : Society for the prevention of Cruelty to animals - LosAngeles

Credit Photo : Society for the prevention of Cruelty to animals – LosAngeles

 

La thérapie assistée par l’animal, une pratique de plus en plus utilisée en santé.

La zoothérapie, vous connaissez? Composé du préfixe «zỗion» en grec ancien signifiant animal et de «therapeía» pour cure, cette discipline vise à tirer parti des bienfaits thérapeutiques apportés par les liens sociaux entre certains animaux et l’être humain. Pour autant, «la zoothérapie n’est pas un traitement mais un accompagnement vers un mieux-être», comme le mentionne la Corporation des zoothérapeutes du Québec. Également appelée «thérapie assistée par l’animal» (TAA), voici donc une mise en contexte de cette pratique de plus en plus répandue dans une perspective d’innovation en santé. Ce billet vient compléter notre dossier  »Animaux et santé ».

Les liens sociaux entre les animaux et les êtres humains, une relation de longue date

Il faut remonter à une période reculée dans l’histoire des hommes pour trouver les prémices d’une relation privilégiée entre des animaux et des peuplades nomades, bien avant les débuts de sédentarisation de notre espèce. Des recherches tendent en effet à montrer qu’il y a 33 000 ans, des peuplades ont développé un début de relation étroite avec des chiens sauvages descendants des loups . Plus tard, vers 12 000 avant J-C, on a retrouvé des sépultures dans lesquelles des chiens étaient enterrés avec des êtres humains, signe que les canidés étaient parfois traités comme des êtres méritant une place aux côtés des défunts.

Dès lors, les liens sociaux privilégiés entre certaines espèces et Homo sapiens n’ont cessé de s’étoffer, à tel point que le chien est par exemple qualifié de nos jours de «meilleur ami» de l’homme. Cependant, d’autres espèces occupent elles aussi une place privilégiée à nos côtés depuis également plusieurs millénaires. De façon bien sûr non exhaustive, on peut citer les chats, les chevaux, les oiseaux ou encore les grands singes.

La lente prise de conscience des bienfaits des relations sociales avec les animaux

Malgré les lents rapprochements entre notre espèce et certains animaux, ces derniers ont longtemps été confinés exclusivement à des rôles ingrats ou tout simplement comme pourvoyeurs de nourriture. Il faudra attendre le début des années 1700 avec l’avènement du Siècle des Lumières pour voir apparaître des changements dans la perception des animaux par le public. L’être humain descendait alors de quelques marches sur l’escalier séparant le monde animal de Dieu.

Ces changements se caractérisaient par «une augmentation de l’empathie envers les animaux et la nature ainsi qu’une atténuation de la vision anthropocentriste qui caractérisa le Moyen-Âge et la renaissance» telle que l’a décrit l’historien Joyce Salisbury dans son livre The Beast Within : Animals in the Middle Ages.

Les maladies mentales comme terrain privilégié de la thérapie assistée par l’animal

On attribue à un quaker anglais du nom de William Tuke l’idée que des patients souffrant de problèmes mentaux puissent améliorer leur capacité de socialisation et de concentration en développant des relations avec des animaux. En 1796, Tuke ouvre le York Retreat, un établissement réservé au traitement des maladies mentales et au sein duquel les méthodes conventionnelles de l’époque (inhumaines dans la grande majorité des cas) sont oubliées au profit de pratiques innovantes, dont celle de permettre aux malades de déambuler dans les jardins tout en interagissant avec des animaux comme des lapins, des oiseaux de proie ou des animaux de basse-cour comme des oies.

Même si l’idée d’avoir recours à des animaux pour améliorer la santé de certains patients a en premier lieu été expérimentée avec des individus souffrant de troubles mentaux, la thérapie assistée par l’animal est de nos jours de plus en plus pertinente dans les cas de troubles du développement et du comportement. Les effets bénéfiques de la TAA sont de plus en plus corroborés par des études scientifiques récentes qui attestent d’un effet quantifiable sur certains marqueurs physiologiques.

Les animaux et la réduction du stress chez les enfants atteints du trouble du spectre de l’autisme.

Le trouble du spectre de l’autisme (TSA) «est le résultat de problèmes médicaux qui ont comme conséquence l’apparition de troubles graves et envahissants du développement chez les très jeunes enfants. Le TSA n’est pas une maladie ment, le et n’est en aucun cas relié à des problèmes psychologiques.»

Les symptômes liés au TSA sont nombreux, mais de façon générale il s’agit de troubles de socialisation incluant des crises ou des peurs inhabituelles. Chez les enfants autistes, réussir à contrôler le niveau de stress est très important. C’est là que les animaux et plus particulièrement les chiens ou les chevaux entrent en scène. De récentes études ont montré que les enfants autistes accompagnés de chiens d’assistance développent une diminution de leur taux de cortisol réactif, une hormone sécrétée en permanence par les glandes surrénales de notre corps, mais qui peut atteindre des niveaux élevés en cas de présence d’un agent stressant. Ainsi, dans le cadre d’une étude menée auprès de 42 enfants autistes, une équipe dirigée par Sonia Lupien (neuropsychiatre et directrice scientifique à l’Institut Universitaire de santé mentale de Montréal) a démontré une diminution du taux de cortisol chez les enfants grâce à la présence des chiens guides (issus de la Fondation Mira). Les familles ont pu constater une amélioration du sommeil et une diminution de la fréquence et de l’intensité des crises chez les enfants qui ont participé à l’étude. L’émission de vulgarisation scientifique Le Code Chastenay a d’ailleurs réalisé ce reportage qui explique très bien les résultats de cette étude.

Comme mentionné plus haut, il existe également des effets bénéfiques sur les taux de cortisol réactifs des enfants autistes mis en contact avec des chevaux, plus particulièrement dans le cas de pratiques équestres. Dans ce cas, on parle d’«hyppothérapie».

Il est important de mentionner qu’on a d’abord fait appel aux chevaux pour aider à la «diminution de troubles du mouvement associés à plusieurs pathologies neurologiques et neuromusculaires.» C’est ce que mentionne une étude publiée en 2012 dans la revue Neurochemichal Journal.

L’équipe regroupant plusieurs chercheurs de l’Université d’Estrémadure en Espagne a effectué des relevés salivaires immédiatement après que des enfants de 8 à 16 ans atteints de TSA eurent effectué une session équestre consistant en un rapprochement avec le cheval, un parcours dans lequel les enfants devaient donner des ordres simples à l’animal et finalement en descendre tout en enlevant le harnais et en interagissant une nouvelle fois avec l’équidé. En montant sur les chevaux, les enfants voyaient une forte diminution de leurs gestes répétitifs et de leur comportement altérés. Surtout, le taux de cortisol réactif a également diminué chez les enfants après avoir interagi avec les chevaux. L’article publié est disponible ici.

Des résultats bénéfiques évidents, mais une prudence scientifique nécessaire dans certains cas.

Il est important de mentionner qu’il existe des voix discordantes quant aux bienfaits de la TAA. Il est en effet maintenant démontré grâce à l’analyse de marqueurs physiologiques que les troubles du développement et du comportement peuvent être réduits en faisant appel à l’effet calmant de certains animaux comme les chiens d’assistance ou les chevaux. Cependant, selon certains spécialistes, il reste encore à étudier si l’interaction avec des animaux chez des personnes possédant certains troubles est susceptible d’avoir des effets bénéfiques sur leur santé.

Finalement et comme le mentionne Sonia Lupien dans le reportage du Code Chastenay, les enfants autistes développent une symbiose avec l’animal, ce qui laisserait penser que les animaux eux-mêmes bénéficieraient des interactions avec les enfants.

 

http://www.sciencepresse.qc.ca/

Philae a atterri sur la comète, une 1re dans l’histoire spatiale


Ils ont réussi !! Un projet qui est né il y a 20 ans, envoyer un satelite Roseta en orbite sur la comète Tchourioumov-Guérassimenko, qui roule à 18 km/seconde, pour y déposer au moment voulu le robot Philae. Cette semaine a dû être intense pour tous ceux qui ont travaillé sur ce projet, maintenant, se sera les données de Philae, qu’ils recevront pour éplucher et peut-être connaitre un peu plus sur notre univers
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Philae a atterri sur la comète, une 1re dans l’histoire spatiale

 

Représentation artistique du robot Philae sur la comète Tchouri.Photo ESA

Vangelis (Crédit: ESA/Vangelis)

Véronique Martinache et Pascale Mollard-Chenebenoit

 

DARMSTADT – Mission accomplie: pour la première fois dans l’histoire de l’Humanité, l’Europe a posé en douceur mercredi un petit robot, Philae, sur le noyau d’une comète, couronnement d’une aventure spatiale entamée il y a vingt ans.

«Nous sommes sur la comète», «nous sommes très heureux», a déclaré Andrea Accomazzo, directeur de vol de la mission Rosetta au Centre européen d’opérations spatiales (ESOC) à Darmstadt (Allemagne), sous des applaudissements nourris.

Après une attente angoissante de sept heures pendant lesquelles Philae est descendu en chute libre vers sa cible, l’atterrissage du robot s’est fait «en douceur», selon l’ESA.

Le signal confirmant l’atterrissage est arrivé sur Terre à 11h03.

«C’est un grand pas pour la civilisation humaine», a commenté Jean-Jacques Dordain, directeur général de l’ESA. «Nous sommes les premiers à l’avoir fait et c’est cela qui restera pour toujours», a-t-il ajouté, manifestement soulagé après 24 heures sous haute tension dans les différents centres de contrôle de l’ESA.

Cette prouesse technique s’est jouée à plus de 510 millions de km de la terre.

La mission du robot laboratoire est de faire des prélèvements qui donneront des informations sur les origines du système solaire, voire sur l’apparition de l’eau et de la vie sur Terre.

Largué en début de matinée par Rosetta avec laquelle il avait voyagé pendant dix ans, le petit robot aventurier était à l’heure pour son rendez-vous sur le noyau de la comète Tchourioumov-Guérassimenko.

Comme prévu, il a touché le sol cométaire -ce qu’aucun engin de fabrication humaine n’avait encore jamais fait- sur le site d’Agilkia, choisi comme celui présentant le meilleur compromis technique et scientifique.

Cette arrivée en territoire inconnu n’est pas sans rappeler les premières explorations du sol martien.

Klim Tchourioumov, codécouvreur de la comète en 1969, était venu en personne à l’ESOC pour assister en direct à l’évènement. L’autre découvreuse, Svetlana Guérassimenko, a fait le déplacement jusqu’à Cologne, au siège de l’agence spatiale allemande.

Le graal des astrophysiciens

Philae s’est posé à la vitesse d’un marcheur (3,5 km/h)… mais sur une comète qui file à 18 km/seconde.

Pendant sa longue descente, Philae n’est pas resté désoeuvré: il a d’abord pris des images de sa fidèle complice, Rosetta, qui l’a transporté pendant plus de dix ans de voyage interplanétaire. Il a aussi pris des images à l’arrivée, du site d’atterrissage sur la comète.

Plusieurs autres de ses instruments ont été mis en action pendant la descente.

Mais c’est surtout les 60 heures qui viennent, pendant lesquelles Philae va fonctionner sur sa pile, qui vont être décisives pour la science.

Car outre l’exploit technique, Philae a la mission de trouver sur le noyau de la comète le graal des astrophysiciens: des molécules organiques qui ont pu jouer un rôle dans l’apparition de la vie sur Terre, les comètes étant les objets les plus primitifs du système solaire.

«On s’est fixé comme objectif que dans les 60 heures, chaque instrument puisse travailler au moins une fois au maximum de ses possibilités», a déclaré Jean-Pierre Bibring, responsable scientifique de l’atterrisseur.

Après, la ressource en énergie de Philae sera plus aléatoire: il devra compter sur un système secondaire de batterie, rechargeable par de petits panneaux solaires.

Si tout va bien, il doit fonctionner jusqu’en mars. Au-delà, il est condamné à mourir de chaud car il n’est pas conçu pour supporter la montée en température lorsque la comète se rapprochera du Soleil.

Mais Rosetta, qui a déjà parcouru 6,5 milliards de km et a été la première sonde à se mettre en orbite autour d’une comète, poursuivra sa mission d’escorte au moins jusqu’au 13 août prochain, date à laquelle Tchouri passera au près de l’astre, et même au-delà. Sa mission est prévue jusque fin décembre 2015.

«80 % de la science est faite par Rosetta mais, d’un autre côté, Philae va donner des informations sur la comète qu’on ne pourra pas avoir avec Rosetta», a souligné M. Dordain.

D’un coût total de 1,3 milliard d’euros, le prix de trois Airbus 380, la mission Rosetta a mobilisé environ 2000 personnes depuis 20 ans. Plus de 50 entreprises de 14 pays européens et des États-Unis ont participé à la réalisation de la sonde.

Voici la vidéo montrant des images de la comète Tchourioumov-Guérassimenko, sur une musique composée spécialement pour l’occasion par le célèbre musicien

 

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La quête de récompenses, l’une des clefs de la domestication du chat


Le premier but de cette recherche est pour mieux cibler les maladies héréditaires chez nos boules de poils qui pourraient aussi aider les maladies humaines. Mais les recherches ont aussi aidé à mieux comprendre la domestication des chats
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La quête de récompenses, l’une des clefs de la domestication du chat

 

La quête de récompenses, l'une des clefs de la domestication du chat

Photo Fotolia

La quête de récompenses et la docilité ont apparemment joué un rôle déterminant dans la domestication du chat, révèle une étude comparative du séquençage du génome de félins domestiqués et sauvages.

«Les humains ont très probablement encouragé les chats à venir dans leurs habitations pour chasser les rats et souris qui mangeaient les céréales récoltées qu’ils stockaient», explique Wes Warren, généticien à l’Université de Washington à St Louis et principal auteur de l’étude publiée lundi dans les Comptes rendus de l’académie américaine des sciences (PNAS).

«Nous pensons que les humains devaient offrir de la nourriture à ces chats pour les encourager à s’installer chez eux», ajoute-t-il dans un communiqué.

Une façon pour les scientifiques de comprendre la génétique de la domestication est d’examiner les parties du génome qui ont été altérées par le fait de vivre avec des humains.

Ils ont constaté chez le chat domestique des modifications notables des gènes jouant un rôle important dans la mémoire, la peur et la recherche de récompense. Des traits liés, selon les chercheurs, à la domestication.

Certains félins vivant en solitaire dans la nature ont ainsi eu une incitation à rester avec les hommes.

Dociles

Au fil du temps, les humains ont réussi à les rendre plus dociles.

Chats et humains partagent les mêmes habitations depuis au moins 9 000 ans ce qui est très récent par rapport aux chiens dont la domestication remonte à plus de 30 000 ans.

Les chercheurs ont aussi comparé le génome du chat avec ceux notamment du tigre, du chien, de la vache et des humains, ce qui a aidé à comprendre pourquoi les chats sont presque exclusivement carnivores et les raisons pour lesquelles leur vision et leur odorat diffèrent d’autres mammifères comme le chien.

Les chercheurs ont notamment découvert dans les génomes du chat et du tigre des gènes spécifiques leur permettant d’absorber efficacement les lipides de la viande qu’ils consomment en abondance, et leur offrant donc un avantage particulier pour digérer des protéines animales.

Des gènes qui n’ont pas été trouvés chez la vache, un herbivore, et l’être humain dont le régime alimentaire est plus diversifié.

Et les chats dépendent moins que les chiens de leur odorat pour chasser une proie: les chercheurs ont trouvé moins de gènes liés à l’odorat chez les félins que chez les canidés.

Le projet de séquençage du génome du chat, débuté en 2007, a été financé par l’Institut national de recherche sur le génome humain.

Le but initial était l’étude des maladies héréditaires chez les chats domestiques qui sont similaires dans certains cas chez les humains

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Il dépense 90 000$ pour sa demande en mariage et elle dit non


Je dis bravo, car elle a dit non à l’extravagance! Même si nous ne savons pas la situation financière de cette femme, elle n’a pas choisi la richesse, une richesse gaspillée qui aurait pu être utilisé a quelque chose d’humanitaire.
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Il dépense 90 000$ pour sa demande en mariage et elle dit non

 

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Weibo

L’amour ne s’achète pas. Voilà la leçon à tirer de cette spectaculaire demande en mariage complètement ratée.

Un Chinois a dépensé 500 000 yuans (environ 90 000$) afin d’acheter 99 iPhone 6s pour l’extravagante demande en mariage. Cette somme correspond à 17 années de travail pour un ouvrier chinois au salaire moyen, rapporte CNN.

Selon les images publiées sur le réseau social Weibo, l’homme amoureux a disposé les 99 appareils intelligents en forme de cœur.

Il a fait la grande demande à l’intérieur de la forme romantique le 11 novembre, soit la journée des célibataires en Chine (une sorte d’anti-Saint-Valentin).

Malheureusement, la centaine de gadgets d’Apple n’a pas impressionné sa douce, qui a refusé sa main.

Les internautes savent maintenant où se procurer le nouveau téléphone à bon prix.

http://www.journaldequebec.com