Plus facile à dire qu’à faire


C’est une vérité, les belles paroles sont souvent que des mots, car les actions sont absentes pour celui qui les prononcent
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Plus facile à dire qu’à faire

 

 »Il est plus facile de professer en paroles un humanisme de bon aloi que de rendre service à un voisin »

Henri Laborit

Sans harnais et les yeux bandés, le funambule relie deux gratte-ciel


Doit-on l’applaudir ? Est-ce que cela vaut vraiment le coup, de sacrifier sa vie pour des records du monde dans le domaine du funambulisme ?
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Sans harnais et les yeux bandés, le funambule relie deux gratte-ciel

 

Nik Wallenda a signé un nouvel exploit en reliant deux gratte-ciel de Chicago. - Jean-Marc Giboux - /AP/SIPA

Nik Wallenda a signé un nouvel exploit en reliant deux gratte-ciel de Chicago. Jean-Marc Giboux  /  /AP/SIPA

 

Nik Wallenda a signé un nouvel exploit dimanche soir : le funambule a marché entre deux buildings de Chicago, perché sur un fil à 180 mètres du sol. Le cascadeur a ainsi battu deux records du monde, les yeux bandés et sans aucun système de sécurité.

Dans un premier temps, il est parti du 50e étage de la tour ouest de la Marina Tower, à 179 mètres de haut, pour rejoindre le Leo Burnett Building, perché à 205 mètres. L’Américain de 35 ans a effectué cette traversée en un peu moins de sept minutes et a ensuite relié en un peu plus d’une minute la tour ouest et la tour est de la Marina, malgré les fortes rafales de vent.

La traversée du Grand Canyon

« Il s’agit de me dépasser pour devenir meilleur dans ce que j’entreprends, et d’inciter d’autres personnes à vouloir améliorer leurs performances », a déclaré Wallenda à la Discovery Channel, qui a diffusé l’événement dans plus de 220 pays… avec un différé de dix minutes en cas de chute dramatique de l’aventurier.

En juin dernier, celui-ci était devenu le premier homme à franchir le Grand Canyon sur un fil tendu à 450 mètres du sol. L’année dernière, il avait traversé les chutes du Niagara, toujours sans harnais ni filet de sécurité.

http://www.ladepeche.fr

Le Saviez-Vous ►Les gladiateurs étaient principalement végétariens et buvaient des boissons énergisantes à la cendre


Les gladiateurs avaient pour la plupart, un régime alimentaire comme la majorité des gens à cette époque. Cependant, il y avait une nette différence sur le taux de calcium en faveur des gladiateurs
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Les gladiateurs étaient principalement végétariens et buvaient des boissons énergisantes à la cendre

 

Barley/ Aleksej Leonov via Flickr CCLicence By

Non, les gladiateurs n’engloutissaient pas des kilos de viande crue avant d’entrer dans l’arène. En tous cas, pas ceux vivant à Ephèse. Une récente étude, publiée sur PLOS One et signalée par Chronique de l’espace-temps, blog de l’Obs, nous donne quelques indications sur le régime alimentaire de ces combattants de l’Empire romain.

Des chercheurs en médecine légale des universités de Vienne et de Bern ont soigneusement analysé les os extraits d’un cimetière de gladiateurs, retrouvé sur le site de l’ancienne ville d’Ephèse, aujourd’hui en Turquie. Ces hommes vivaient au IIe ou au IIIe siècle: à l’époque, Ephèse était la capitale de la province romaine d’Asie et comptait environ 200.000 habitants.

Les squelettes de 53 personnes, dont 22 gladiateurs, ont été étudiés, en analysant les rapports isotopiques de carbone, d’azote et de souffre dans les os –ce qui permet d’identifier des groupes d’aliments régulièrement mangés– ainsi que les proportions de strontium et de calcium.

Résulat,

«les gladiateurs étaient principalement végétariens». Il n’y avait presque pas de différences nutritionnelles avec la population «normale», c’est-à-dire qu’un repas classique était principalement composé de céréales, surtout du blé et de l’orge, sans viande: pas de régime spécial de sportif, donc. Seuls deux gladiateurs semblaient avoir avalé plus de protéines animales, peut-être parce qu’ils venaient de contrées éloignées. 

Comme le rapporte le site de l’université de médecine de Vienne, cela confirme les sources historiques racontant que les gladiateurs mangeaient surtout des céréales, et qu’ils étaient surnommés les «mangeurs d’orge».

Par contre, il y a une grosse différence entre les gladiateurs et les reste de la population en ce qui concerne le ratio entre strontium et calcium dans les os. Ce qui veut dire que les gladiateurs avaient un apport beaucoup plus élevé en calcium… C’est sans doute une preuve que les «boissons aux cendres» citées dans des sources historiques, notamment chez Pline l’Ancien, existaient bel et bien. 

Fabian Kanz, un des auteurs de l’étude, explique que la pratique a en quelque sorte perduré jusqu’à aujourd’hui:

«Les cendres issues de plantes étaient de toute évidence consommées pour fortifier le corps après un effort physique et pour aider une meilleure cicatrisation osseuse. (…) Cela ressemble à ce que nous faisons aujourd’hui: nous prenons du magnésium et du calcium (sous forme de comprimés effervescents par exemple) après un effort physique.»

http://www.slate.fr

Quand le corps réserve de mauvaises surprises


Dans le corps, certaines affections se cachent, il se peut qu’ils restent à jamais terrer dans un recoin, mais aussi peuvent sortir tout d’un coup sans avertissement
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Quand le corps réserve de mauvaises surprises

 

Certaines maladies se terrent dans l’organisme et se manifestent de façon innattendue. Voici trois de ses affections et des mesures que l’on peut prendre pour s’en protéger.

 

Certaines maladies se terrent dans l’organisme et se manifestent de façon innattendue. Voici trois de ses affections et des mesures que l’on peut prendre pour s’en protéger.

Le Zona

Longtemps considéré comme une maladie d’aînés, le zona n’épargne plus les jeunes.

« Cela semble attribuable à notre mode de vie trépidant. Un stress accru neutralise presque le système immunitaire », fait observer la dermatologue Julia Carroll.

Et un zona précoce comporte des risques additionnels pour la santé. Une étude publiée dans Neurology indique en effet que les personnes qui ont souffert de zona alors qu’elles étaient âgées de 18 à 40 ans sont 74 % plus à risque d’avoir dans l’avenir une crise cardiaque.

Manifestations et symptômes

Le plus souvent, des cloques apparaissent d’un côté du corps, sous forme de petites boursouflures ou d’éruptions rouges qui provoquent des démangeaisons ou de la douleur. L’affection est souvent accompagnée de symptômes de type grippal (fièvre, fatigue, frissons, douleur, maux de tête, etc.).

Ce dont il s’agit

Le zona est causé par le virus varicelle-zona, le même que celui de la varicelle. Inactif dans les tissus nerveux des personnes qui ont eu la varicelle, il peut se réactiver des années après sous forme de zona. (Les personnes qui n’ont jamais eu la varicelle ne peuvent pas être atteintes du zona.)

Prévention et traitement

« Ne pas avoir eu la varicelle est la forme la plus simple de protection contre le zona, commente la Dre Carroll, mais les personnes qui ne l’ont pas eue devraient se faire vacciner. »

Aussi, l’exercice, une alimentation saine et une bonne gestion du stress, en favorisant le maintien d’un système immunitaire fort, minimisent les risques. Les personnes de 50 ans et plus peuvent demander à leur médecin de leur administrer un vaccin contre la varicelle-zona. Il ne constitue pas une garantie absolue contre la maladie, mais il en réduit la gravité si elle se manifeste. Si on pense être atteinte de zona, on consulte un médecin le plus tôt possible. Un médicament antiviral peut empêcher la reproduction du virus, mais il faut le prendre dans les 72 heures suivant l’apparition des symptômes. Un traitement précoce peut accélérer la guérison et atténuer le risque de complications, notamment des infections cutanées, des problèmes neurologiques, des pertes de vision et des douleurs qui persistent après la disparition de l’éruption cutanée.

Les infections au staphylocoque doré

Le staphylocoque doré est la bactérie qui cause le plus d’infections graves et de décès d’origine infectieuse en Amérique du Nord. Le plus souvent, elle entraîne des atteintes cutanées mineures, mais des complications graves peuvent survenir : une pneumonie à staphylocoques ou une endocardite (inflammation de la paroi des valves du cœur).

Manifestations et symptômes

Le staphylocoque doré peut entraîner des infections s’il s’infiltre dans une blessure ou dans les voies respiratoires. Ces infections sont parfois mineures, mais il arrive que des souches agressives se répandent rapidement dans l’organisme ; il faut alors voir un médecin sans tarder. Et se rendre sans délai à l’urgence en cas d’éruptions cutanées rouges, douloureuses, purulentes ou accompagnées d’une forte fièvre.

Ce dont il s’agit

Le staphylocoque doré à l’origine de ces infections est une bactérie que l’on trouve dans la membrane nasale, sur les lèvres et sur la peau d’environ une personne sur trois. La plupart du temps, elle est inoffensive, mais il peut en être tout autrement.

Prévention et traitement

La majorité des infections au staphylocoque doré sont traitées à l’aide d’antibiotiques oraux ou, dans des cas extrêmes, intraveineux. Des souches résistantes aux antibiotiques peuvent exiger une intervention chirurgicale. Des chercheurs de l’Université de l’Iowa ont mis au point un vaccin qui prévient toutes les infections au staphylocoque, des atteintes mineures jusqu’aux cas de résistance aux antibiotiques potentiellement mortels. Ces derniers se font plus fréquents puisque la variété la plus menaçante de la bactérie (USA300) est en progression.

« Le vaccin est semblable à celui contre le tétanos en ce qu’il consiste à injecter dans l’organisme une forme biologiquement inactive de la toxine, ce qui a pour effet d’immuniser le sujet sans causer la maladie, explique le Dr Patrick Schlievert, chercheur principal au Collège de médecine Carver de l’Université de l’Iowa. Notre objectif est d’immuniser tout le monde sur un horizon de cinq ans. Nous espérons combiner le vaccin à celui contre le tétanos. »

Les enfants recevraient une première injection à trois mois environ, à intervalles de quelques mois par la suite, puis à intervalles annuels, et seraient ainsi protégés toute leur vie. Les chercheurs en sont aux premiers stades des essais sur les humains. Le vaccin pourrait être sur le marché dans un proche avenir.

L’endométriose

Parmi les principales causes d’hospitalisation en gynécologie, l’endométriose touche quelque 775 000 Canadiennes.

« L’affection se répercute sur tous les aspects de la vie d’une femme. Elle nuit même à ses relations sexuelles en lui causant des douleurs physiques », explique Heather Guidone, directrice du programme chirurgical au Centre de soins de l’endométriose d’Atlanta.

Dans certains cas, cette maladie rend la conception difficile et augmente le risque de fausses couches.

Manifestations et symptômes

Le symptôme le plus courant est une douleur dans la région du bassin, en particulier pendant les menstruations. L’intensité de la douleur varie d’une femme à l’autre : de relativement faible à insupportable. L’endométriose peut aussi occasionner de la fatigue, des ballonnements, des maux de dos et des douleurs pendant les relations sexuelles et l’évacuation des selles.

Ce dont il s’agit

Des tissus de type endométrial se forment en dehors de l’utérus, en général dans la région du bassin, mais aussi, dans de rares cas, derrière les genoux, sur le diaphragme, dans les poumons, voire dans le cerveau. On croit que certaines femmes sont porteuses de l’affection dès la naissance et que celle-ci se manifeste plus tard sous l’influence de facteurs génétiques ou immunologiques.

Prévention et traitement

Le seul moyen de savoir si on est atteinte d’endométriose est de subir une intervention par laparoscopie (insertion d’un tube optique au travers d’une petite ouverture pratiquée dans l’abdomen) sous anesthésie générale.

« Si c’est le cas, le tissu endométrial peut être retiré pendant l’intervention », indique la Dre Guidone.

La principale cause de l’affection serait génétique.

 « Pour soulager les symptômes, on prescrit des analogues de la gonadolibérine (hormone du cerveau qui agit sur les glandes sexuelles), des contraceptifs oraux ou la pose d’un stérilet », dit-elle.

Éviter certains aliments et boissons comme le sucre, l’alcool, le sodium, le soya, le gluten pourrait aussi aider à limiter l’inflammation.

« C’est par un processus d’essais et d’erreurs qu’on peut alors déterminer lesquels créent le plus d’inconfort », souligne la spécialiste.

http://fr.chatelaine.com

Les bienfaits du ronronnement du chat, sur lui, et sur nous


On s’intéresse beaucoup au ronronnement des chats ! Comment expliquer ce phénomène qui en plus a un son tout à fait apaisant pour le maitre que pour le chat.
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Les bienfaits du ronronnement du chat, sur lui, et sur nous

 

Apaisante musique, moyen de communication, signe de plaisir mais aussi parfois de douleur, le ronronnement du chat n’a pas finit de nous livrer ses mystères. Mais pourquoi le chat ronronne-t-il ? Que signifient ses ronrons et quels sont les bienfaits du ronronnement du chat sur nous autres humains ?

Docteur vétérinaire et journaliste, Laetitia Berlerin, notre Miss Véto, nous en dit plus sur les secrets des ronrons et de la ronronthérapie.

Un signe de joie ou… de douleur !

Premier son émis par le chaton (dès 2 jours d’âge), le ronronnement est un moyen de communication apaisant et inné entre la chatte et ses petits.

Il persiste plus ou moins chez l’adulte et serait d’autant plus présent que le chat est proche de l’homme. Les chats qui ont grandi avec des enfants câlins ou qui ont été élevés au biberon sont de vraies « locomotives ». Ronronner est à l’évidence un signe de bien-être et de plaisir chez le chat mais pas seulement ! Un chat blessé ou très malade, une chatte mettant bas peuvent ronronner car ce murmure particulier est déclenché par une émotion intense, qu’elle soit agréable ou non.

Comment le chat ronronne-t-il ?

Le mécanisme précis du ronronnement est une énigme qui a de tous temps passionné les chercheurs. Des théories aussi fantaisistes les unes que les autres ont été avancées. Selon les dernières études, ce son attendrissant serait dû à des mouvements d’air lors des ouvertures et des fermetures de la glotte, elles mêmes déclenchées par les muscles du larynx. Et non pas à un organe spécial « moteur à ronrons » !

Le chat domestique n’est pas le seul à ronronner, beaucoup de félins sauvages en sont capables : serval, puma, ocelot, guépard… Le plus puissant est celui du puma qu’on dit entendre à plusieurs kilomètres à la ronde !

Une musique thérapeutique

Comme caresser un chat, l’entendre ronronner aurait chez nous des effets relaxants similaires à ceux qu’apporte la méditation. Mais cette douce musique a aussi et surtout un effet positif chez celui qui l’émet !

Selon certains scientifiques, le ronronnement stimulerait chez le chat la production d’endorphines, ces hormones du bien-être qui diminuent les sensations douloureuses. Pour d’autres, les vibrations produites favoriseraient la croissance des os et leur consolidation après une fracture.

Un ronronnement au pouvoir guérisseur ? Voilà le secret des 9 vies du chat !

http://wamiz.com/

Secouru par les pompiers, il ne s’était pas lavé depuis 5 ans !


Là, j’avoue ne pas comprendre ! Comme société, comment sommes-nous rendus à ne plus s’inquiété pour nos voisins ? Comment un homme alité a pu vivre dans des conditions pitoyables sans qu’il y ait des personnes qui l’auraient signalé? Il y avait de la nourriture, des boîtes de pizza, il faut bien que cela viennent de quelque part et que ces personnes soient payés !
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Secouru par les pompiers, il ne s’était pas lavé depuis 5 ans !

 

Photo : SIPA

 

Justine Knapp

 

ALLEMAGNE – Les pompiers sont intervenus masque à gaz sur le nez pour secourir la victime, un homme atteint d’obésité morbide qui ne s’était pas lavé depuis 5 ans.

 

Le voisinage a d’abord cru à une alerte bactériologique, de part la combinaison intégrale des pompiers intervenant dans cet immeuble situé près de Stuttgart, en Allemagne. Ils venaient en réalité pour secourir un homme de 160 kilos qui ne s’était pas lavé depuis 5 ans et qui présentait des difficultés à respirer.

Des pompiers non équipés d’un masque à gaz se sont rendus dans un premier temps sur place. Le voisin du dessous avait en effet signalé avoir entendu toquer à son plafond. La porte étant bloquée par les déchets, les pompiers ont dû la briser pour aider cet homme de 65 ans atteint d’obésité morbide. L’équipe a décrit l’odeur sortant de l’appartement comme « indescriptible », « l’enfer absolu », selon le Mirror.

Boîtes de pizza et insectes au sol

« Il était dans les ordures jusqu’au genou », a précisé l’un des pompiers.

Boîtes de pizza, nourritures pourries et insectes jonchaient le sol. Alité depuis 5 ans, le propriétaire n’avait pu ni se lever, ni se laver d’ailleurs. Il a seulement pu envoyer un SOS à son voisin en tapant au sol depuis son lit.

L’homme a du être évacué par une grue pour monter dans l’ambulance vers l’hôpital.

http://www.metronews.fr

Les habitants de l’ile de Pâques seraient allés en Amérique il y a 500 à 700 ans


Les habitants de l’île de Paques qui ont érigé les géants  regardant l’horizon, semble aussi avoir été des voyageurs, une information dévoilé grâce à la génétique
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GÉNÉTIQUE

Les habitants de l’ile de Pâques seraient allés en Amérique il y a 500 à 700 ans

 

ile de pâques

L’ile de Pâques, perdue au milieu de l’Océan Pacifique, est célèbre pour les centaines de statues monumentales qui ont été érigées par ses habitants. Crédits : Bradenfox

Alors que les chercheurs pensaient que les habitants de l’ile de Pâques avaient vécu isolés sur leur ile, une nouvelle étude montre qu’ils entretenaient en réalité d’étroites relations avec les habitants de l’Amérique du sud précolombienne.

Les habitants de l’ile de Pâques sont entrés en contact avec les habitants de l’Amérique du sud précolombienne avant que les européens ne découvrent cette île en 1722, révèle une étude. Ces contacts ont probablement eu lieu entre 1300 et 1500 ap. JC.

Ce résultat est issu d’une étude en biologie des populations, menée sur le génome de 37 habitants de l’ile de Pâques par une équipe internationale de généticiens et de biologistes.

La découverte est loin d’être anodine car jusqu’ici, les chercheurs pensaient que les habitants de l’ile de Pâques avaient vécu de façon très isolée.

« Nous avons trouvé l’existence d’un partage de gènes entre ces deux populations, ce qui suggère l’existence d’une route maritime entre la Polynésie et l’Amérique du sud », indique la généticienne Anna-Sapfo Malaspinas (Université de Copenhague, Norvège), auteur principal de cette étude.

Si ces travaux n’indiquent pas lequel de ces deux groupes de population a fait le trajet pour rencontrer l’autre groupe, les auteurs de l’étude pensent toutefois que ce sont les polynésiens de l’ile de Pâques qui se sont déplacés.

Pour mémoire, l’ile de Pâques est un petit bout de terre perdu au milieu du Pacifique, à 3700 km à l’Ouest du continent sud-américain, et dont l’ile la plus proche est située à 1770 km. Cette ile est célèbre pour les 900 statues monumentales qui ont été érigées sur ses côtes.

Ces travaux ont été publiés le 0 dans la revue Current Biology, sous le titre « Genome-wide Ancestry Patterns in Rapanui Suggest Pre-European Admixture with Native Americans » .

http://www.journaldelascience.fr/

Démasquer le burnout en 9 questions


Avec la maison et le travail, il peut arriver de perdre l’équilibre et de ne plus être motivé. Il serait judicieux de voir si ce n’est pas un épuisement professionnel, pour chercher le plus vite possible de l’aide
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Démasquer le burnout en 9 questions

 

    Photo : Shutterstock
Julie Leduc, Coup de pouce,

 

Impatience, manque de motivation, insomnie… Des indices qui ne mentent pas selon les spécialistes.

En Occident, de 7 à 10% des travailleurs souffrent d’épuisement professionnel, affirme le Dr Nicolas Chevrier, psychologue spécialisé en santé psychologique au travail.

«Le burnout est un syndrome de détresse psychologique intense liée au travail et caractérisée par une grande fatigue et un désengagement professionnel.»

Des questions pour savoir si on est à risque:

1. Suis-je devenue cynique par rapport à mon travail?

2. Est-ce que j’entre au travail à reculons et éprouve des difficultés à me mettre à l’ouvrage?

3. Suis-je devenue impatiente et irritable avec mes collègues et mes clients?

4. Est-ce qu’un grand sentiment de fatigue m’envahit avant même de commencer ma journée?

5. Ai-je l’impression de ne plus me réaliser au travail?

6. Est-ce que je mange davantage ou consomme de l’alcool ou de la drogue pour me sentir mieux ou pour engourdir un malaise?

7. Est-ce que j’éprouve des problèmes de sommeil?

8. Est-ce que je ressens des malaises physiques inexpliqués (migraines, maux de dos, étourdissements, problèmes de digestion)?

9. Ai-je des pensées suicidaires?

Si on répond oui à une seule de ces questions, le Dr Chevrier estime qu’il faut consulter. Et il insiste: un seul oui devrait nous mettre la puce à l’oreille. On peut se tourner vers le programme d’aide aux employés de notre entreprise, notre médecin ou un psychologue. «Non traité, le burnout peut se transformer en dépression», prévient le Dr Chevrier 

http://www.coupdepouce.com