Heureux


C’est une très belle réplique de John Lennon quand il était petit. Il avait bien compris la leçon de sa mère
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Heureux

 

 

 

«Quand j’étais petit, ma mère m’a dit que le bonheur était la clé de la vie. À l’école, quand on m’a demandé d’écrire ce que je voulais être plus tard, j’ai répondu « heureux ». Ils m’ont dit que je n’avais pas compris la question, je leur ai répondu qu’ils n’avaient pas compris la vie.»

John Lennon

Un homme a pêché une étrange créature sous-marine à Singapour!


J’imagine la tête de la personne qui a sorti cette créature de la mer, mais c’est une espèce connue mais qui vit assez profondément dans les océans
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Un homme a pêché une étrange créature sous-marine à Singapour!

 

Au large de Singapour, un homme a remonté une étrange créature à la surface de l’eau.

Il s’agit en fait d’une ophiure, un animal issu de l’ordre des Euryalida.

Il vit à 2 000 mètres au-dessous de la surface et possède 5 longs bras pouvant atteindre jusqu’à 70 centimètres de long.

Il se nourrit principalement de jeunes mollusques et d’annélides.

http://www.insoliteqc.com

Des exemples d’ophiure

http://fr.wikipedia.org

Le Saviez-Vous ► L’assassinat d’Abraham Lincoln élaboré à Montréal?


Est-ce que Montréal a été témoin d’un complot du président des États-Unis Abraham Lincoln en avril 1865 ? Que des suppositions, cependant, il semble quand même que cela soit possible, étant donner que John Wilkes Booth aurait été entendu dans un lieu public avec des propos plutôt menaçant devant sa future victime. Bien sûr d’autres indices sont présents, mais cela n’aurait pas été assez pour établir hors de tout doute ce lien avec Montréal
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L’assassinat d’Abraham Lincoln élaboré à Montréal?

 

Abraham Lincoln... (PHOTOTÈQUE LA PRESSE)

Abraham Lincoln

PHOTOTÈQUE LA PRESSE

Andy Blatchford
La Presse Canadienne
MONTRÉAL

L’anniversaire d’un lien peu connu entre le Canada et l’assassin du président américain Abraham Lincoln sera souligné sans cérémonie cette semaine: il y a 150 ans, John Wilkes Booth rencontrait des leaders confédérés à Montréal. Six mois après sa visite dans la métropole, Booth ouvrait le feu sur le président Lincoln, l’atteignant à la nuque.

 

John Wilkes Booth a assassiné le président américain Abraham Lincoln en avril 1865.

PHOTO AP/PC

Certains indices laissent croire que le mystérieux voyage de Booth à Montréal, en octobre 1864, a été l’élément précurseur de l’assassinat de Lincoln dans un théâtre de Washington, en avril 1865. À l’époque, la cause des Confédérés bénéficiait d’une sympathie considérable à Montréal, une ville considérée comme un lieu de prédilection pour les agents des États confédérés d’Amérique.

Mais les autorités n’ont jamais trouvé de preuves permettant d’établir un lien avéré entre l’assassinat du président et le séjour de Booth à Montréal.

«Il est clair que Booth est venu Montréal, et il pourrait bien avoir discuté de son plan, mais nous n’avons jamais été en mesure de le déterminer», explique Adam Mayers, auteur de Dixie & The Dominion: Canada, the Confederacy and the War for the Union.

«Ce qui fait toujours l’objet d’un débat, c’est de savoir si ses sympathisants au Canada ont été impliqués de façon concrète dans le complot pour assassiner Lincoln, et bien entendu, cela n’a jamais été prouvé.»

Même sans lien canadien confirmé, des preuves laissent penser que le séjour de Booth à Montréal, six mois avant l’assassinat, pourrait avoir établi les bases du complot.

Les livres d’histoire montrent que le célèbre acteur de théâtre s’est enregistré le 18 octobre 1864 au prestigieux St-Lawrence Hall, un hôtel du Vieux-Montréal réputé être le quartier général des Confédérés au Canada.

Des témoins auraient vu Booth discuter avec des responsables des États confédérés et l’auraient entendu exprimer ouvertement son mépris envers Lincoln.

Les remarques faites par Booth lors d’une partie de billard dans le salon de l’hôtel ont pris tout leur sens six mois plus tard, a écrit Clayton Gray dans son livre Conspiracy in Canada, publié en 1950.

«De face ou de dos, cela ne fait pas de différence», aurait dit un Booth éméché à son interlocuteur, avec qui il parlait de la prochaine élection présidentielle américaine, en novembre 1864.

«Le contrat d’Abe est presque terminé, et qu’il soit réélu ou non, il sera fini…»

«J’aime votre style canadien. Je devrais afficher un air canadien, parce que certains d’entre nous […] pourraient devoir s’installer ici bientôt.»

John Wilkes Booth a aussi laissé derrière lui de l’argent canadien entouré de son propre mystère.

Quand les autorités ont coincé puis tué Booth en Virginie quelques semaines après l’assassinat de Lincoln, il avait sur lui une lettre de change de l’Ontario Bank à Montréal, datée du 27 octobre 1864.

Un livret bancaire de la même institution, estampillé de la même date, a aussi été découvert dans ses effets personnels.

«Il a encaissé toutes sortes de monnaies et il avait une traite bancaire quand ils l’ont capturé, rappelle M. Mayers. Il l’avait dans sa poche, et c’est pour cela que tout le monde dit qu’il y a un «lien canadien» avec l’assassinat.»

À travers son compte bancaire, le lien entre Booth et Montréal s’est poursuivi après sa mort.

Son compte à l’Ontario Bank, une institution acquise par la Banque de Montréal en 1906, est resté ouvert avec un solde de 455 $ pendant une période indéterminée après sa mort.

«La famille a refusé [l’argent] ou ne voulait rien savoir de ce compte», a indiqué une porte-parole de la Banque de Montréal, Jessica Leroux, dans un courriel, en attribuant l’information à un livre écrit en 1967 par l’historien de l’institution, Merrill Denison.

Selon Mme Leroux, les avoirs bancaires de Booth ont été décrits au fil des ans comme de «l’argent taché de sang».

Le chef des services secrets confédérés au Canada, Jacob Thompson, avait lui aussi un compte à l’Ontario Bank. Lors du procès des conspirateurs ayant participé à l’assassinat de Lincoln, des témoins ont déclaré que Thompson avait été vu avec Booth au St-Lawrence Hall.

«Les espions et les badauds pouvaient difficilement ignorer le fait que John Wilkes Booth, une célébrité bien connue, parlait à de hauts responsables des États confédérés», a écrit l’auteur Michael W. Kauffman dans son livre, American Brutus: John Wilkes Booth and the Lincoln Conspiracies.

«Ce qu’il a fait [à Montréal] fait toujours l’objet d’un débat. Des témoins ont déclaré en 1865 avoir vu Booth avec différents responsables, parlant ouvertement de leur complot contre Lincoln. Mais la valeur de ce témoignage n’a pas été comprise de tous; après tout, il décrivait un niveau d’imprudence qui défiait le bon sens.»

Durant la guerre de Sécession, les Confédérés ont utilisé Montréal comme base, en grande partie pour sa sophistication et le bon réseau de communications dont bénéficiait la ville, affirme M. Mayers.

Il ajoute que plusieurs d’entre eux, pour échapper aux grandes chaleurs de l’été dans le sud des États-Unis, allaient passer leurs vacances dans les Cantons-de-l’Est.

Au Canada, les sudistes bénéficiaient de la sympathie des habitants.

«Ils détestaient les Yankees», rappelle M. Mayers au sujet des Canadiens de l’époque, qui considéraient les gens de la Nouvelle-Angleterre comme des expansionnistes agressifs.

Dans son livre, M. Mayers rappelle à quel point John Wilkes Booth était populaire à Montréal et comment il avait «électrisé» le public en octobre 1864 avec ses représentations du Marchand de Venise de William Shakespeare et de The Charge of the Light Brigade d’Alfred Tennyson.

Mais malgré tout le soutien dont bénéficiaient les sudistes à Montréal, la ville et le Canada ont été la source d’une immense vague de compassion après l’assassinat du président Lincoln.

Certains vestiges liés à Abraham Lincoln sont encore présents dans la métropole, près de 150 ans après sa mort.

L’Université McGill abrite la plus importante collection d’objets liés à Lincoln hors des États-Unis. On y trouve notamment des images, des prospectus et des sculptures. Parmi les objets exposés figure aussi un bout de tissu que le médecin a enroulé autour de la tête de Lincoln après que celui-ci a été atteint par le tir de Booth. Il est encore taché du sang du président.

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Un miroir un peu spécial aide les femmes à reprendre confiance en elles


C’est sûrement une belle expérience que ces femmes ont vécue face à leur impression sur elle-même et comment les autres les perçoivent. Mais, en même temps, je trouve cela triste qu’en réalité, on ne dit pas de belles choses à ceux qui comptent pour nous. Nous ne prenons pas  le temps pour se dire de belles choses, et pour critiquer là pas de problème. L’autre jour, sur une page d’un média de nouvelle connu au Québec, sur Facebook, une section sportive, sexy pour homme, une photo comme a chaque semaine, de la beauté de la semaine. Une belle fille soite, en bikini avec naturellement un corps parfait. J’ai écrit : Alors qu’on parle que la beauté est intérieure, ce n’est pas ce qui est véhiculé ici, Pourquoi ne pas montrer des femmes ordinaires qui font des choses exceptionnelles, par leur don de soi, leur intelligence, leur créativité ? Et bien, ils ont supprimé mon commentaire … Cela veut tout dire ! Voilà, que nous avons toujours deux messages et le plus fort est celle qui nuit à l’estime de soi
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Un miroir un peu spécial aide les femmes à reprendre confiance en elles

 

Publié par Laure Gautherin

En plein coeur d’un centre commercial, des passantes ont été invitées à regarder et évaluer leur beauté dans un miroir interactif et, évidemment, peu se sont jugées jolies. Elles ont alors eu une drôle de surprise.

Que ce soit le matin au réveil, le soir au coucher ou en plein milieu de la journée, rares sont les femmes qui apprécient à 100% de se regarder dans le miroir (au delà du côté pratique). Et pour cause, comme l’a récemment révélé un grand sondage international mené par la marque Dove, elles ne sont que 4% à se trouver belles. Leur image constamment remise en question par un idéal, une perfection surréaliste mais vantée dans la plupart des médias, elles peinent à voir dans leur reflet quelque chose, quelqu’un, qu’elles peuvent aimer tel qu’il est. Face à ce terrible constat, The Mrs., un groupe de musique texan uniquement composé de membres féminins, a décidé d’agir en lançant une campagne intitulée #ImEnough et au centre de laquelle se trouve une expérience pour le moins originale afin de redonner confiance en elles à toutes les femmes qui douteraient de leur beauté, qu’elle soit extérieur ou intérieur.

​ Au beau milieu d’un centre commercial très fréquenté, un miroir interactif a été placé. Invitées à s’y regarder, les passantes devaient indiquer, sur une échelle allant de « belle » à « beuuurk », comment elles se percevaient à ce moment-là. La plupart a bien sûr dit qu’elles étaient loin de se sentir jolies et ont plutôt opté pour des réponses comme « pas top », « j’ai connu mieux », « un désastre ». Mais alors qu’elles pensaient que l’expérience s’arrêtait là, le miroir a commencé à leur parler, leur demandant pourquoi elles se rabaissaient autant alors qu’elles avaient toutes accompli des choses extraordinaires, avant de donner la parole à leurs proches qui viennent remplacer le reflet de la principale intéressée et témoignent de tout l’amour qu’ils lui portent.

« Tu m’as toujours fait passer avant toi. Et tu n’as jamais manqué une occasion de me dire à quel point tu étais fière de moi, insiste une fille s’adressant à sa mère. Je suis fière de toi aussi. »

« Tu étais là, quand on m’a appelé pour me dire que mon père était mourant. Tu m’as serré fort et tu as pleuré avec moi », raconte une femme à son amie. « Ma chérie, je voulais te dire à quel point tout le monde t’admirait, déclare également un mari. Tu es la meilleure mère qui soit. Nous t’aimons et tu devrais être très, très fière de toi. »

Visiblement très émue par ces témoignages, ces femmes ont été de nouveau invitées à indiquer comment elles se sentaient et toutes ont choisi le point le plus haut. Preuve que si l’on n’aime pas forcément notre reflet direct, peut-être peut-on aimer celui qui se trouve dans le regard de ceux qui nous sont chers et nous aiment, telles que l’on est vraiment.

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Elle trouve une sangsue de 8 cm dans son nez


Ce n’est pas le genre de souvenir qu’on aime rapporter au retour d’un voyage à l’étranger. Ce n’est pas non plus très ragoutant de voir cela dans le nez et qui en plus aurait pu être dangereux voir mortel
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Elle trouve une sangsue de 8 cm dans son nez

 

Daniela Liverani a trouvé une sangsue de 8 cm dans son nez - © Caters News Agency

Daniela Liverani a trouvé une sangsue de 8 cm dans son nez © Caters News Agency

Après un beau voyage en Asie du Sud-Est, une jeune Britannique a vécu un vrai cauchemar lors de son retour à Edimbourg. Daniela Liverani a en effet souffert d’importants saignements de nez causés par la présence d’une sangsue longue de 8 cm dans son orifice, rapporte 20Minutes, citant le Daily Mail.

Cette jeune femme de 24 ans se rappellera longtemps de son voyage au Vietnam, marqué déjà par un accident de moto. Elle a en effet ramené de son séjour une invitée surprise qui aurait bien pu lui coûter la vie. De retour à son domicile, Daniela s’est mise à saigner du nez de façon abondante. Elle a d’abord pensé qu’il s’agissait d’un vaisseau sanguin qui avait explosé. Mais à chaque fois qu’elle souhaitait enlever le caillot de sang, celui-ci remontait à l’intérieur de sa narine.

« Elle sortait jusqu’à ma lèvre inférieure »

« Quand j’étais dans la douche, elle sortait jusqu’à ma lèvre inférieure et je pouvais la voir, a-t-elle relaté. Une fois, je me suis dépêchée à sortir de la douche pour aller voir de plus près ce qui se passait dans mon nez. En m’approchant du miroir, j’ai vu des nervures. C’est là que j’ai constaté que c’était une bestiole » peut-on lire dans le Journal de Montréal.

La jeune femme s’est donc rendue aux urgences les plus proches afin de faire examiner son nez. C’est alors que le médecin a aperçu la sangsue. Mais l’opération pour la retirer du conduit nasal n’a pas été simple.

 « J’étais à l’agonie. Chaque fois que le docteur tirait sur la sangsue, je sentais de puissants tiraillements à l’intérieur de mon nez. Puis soudainement, après une demi-heure, la douleur s’est arrêtée. Le docteur tenait la sangsue avec des pinces » explique Daniela Liverani.

La sangsue aurait pu continuer jusqu’au cerveau

La sangsue qui mesurait 8 centimètres a finalement été retirée du nez de la jeune femme, qui aurait ramassé le parasite au Vietnam, « en nageant ou ayant bu de l’eau », a commenté Mark Siddal, conservateur au Musée américain d’histoire naturelle à New York et expert des sangsues.

Cette histoire aurait pu se finir très mal, selon lui. En effet, la sangsue aurait pu continuer son chemin jusqu’au cerveau de la jeune femme.

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L’estrogène déstabilise les écosystèmes des lacs


Les produits chimiques ont des répercussions dans nos eaux. La pilule contraceptive, par exemple a un effet direct sur les poissons mâles et qui a une incidence sur leur reproduction Le traitement des eaux usées est donc une des solutions
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L’estrogène déstabilise les écosystèmes des lacs

 

Des chercheurs pressent les gouvernements d'améliorer les systèmes de... (Photo: Sylvain Mayer, Archives Le Nouvelliste)

Photo: Sylvain Mayer, Archives Le Nouvelliste

Aly Thomson
La Presse Canadienne
HALIFAX

Des chercheurs pressent les gouvernements d’améliorer les systèmes de traitement des eaux usées après avoir découvert que la présence de composantes de la pilule contraceptive dans des lacs avait eu pour effet de déstabiliser des écosystèmes.

L’étude menée par la chercheuse Karen Kidd, de l’Université du Nouveau-Brunswick, démontre que l’introduction de petites doses d’estrogènes dans des lacs a presque entraîné l’extinction du vairon à grosse tête. La présence de ces hormones a interféré avec la capacité de reproduction de cette espèce de poisson.

L’équipe de Mme Kidd a commencé à introduire de petites doses d’estrogènes dans une installation de recherche d’un lac ontarien en 2001.

Immédiatement, les poissons mâles ont commencé à réagir à l’estrogène, en produisant d’abord des protéines de jaunes d’oeuf et ensuite, ils ont commencé à fabriquer des oeufs, a expliqué la chercheuse. Ils ont été féminisés, a-t-elle précisé.

Peu de temps après avoir fait l’expérience, le nombre de vairons à grosse tête a chuté rapidement et dramatiquement, selon les données des chercheurs. Cette quasi-disparition de l’espèce serait directement liée à l’estrogène.

La raréfaction du vairon à grosse tête a aussi eu des incidences sur son prédateur, la truite, qui s’est elle aussi faite de plus en plus rare dans le lac.

Depuis la fin des années 1990, plusieurs études ont déjà fait état de ce problème. Au Royaume-Uni, notamment, des experts ont découvert que des poissons mâles avaient commencé à produire des oeufs dans des cours d’eau lorsque des estrogènes avaient été décelés dans leur habitat.

Plusieurs cours d’eau au Canada ont vu leur population mâle de poissons se féminiser en raison des déversements d’eaux résiduelles dans les affluents, comme la rivière Grand, en Ontario, et la rivière Saskatchewan Sud, en Alberta.

Mme Kidd croit que le problème pourrait être résolu avec un meilleur traitement des eaux. D’ailleurs, après avoir épuré le lac à l’étude, la population de vairons à grosse tête est redevenue comme avant, ont remarqué les chercheurs.

«Enlever ces produits chimiques aura des effets bénéfiques sur la population de poissons dans nos affluents», a souligné Mme Kidd.

Selon elle, ces conclusions prouvent la pertinence de la région des lacs expérimentaux en Ontario, que le gouvernement fédéral avait menacé de fermer dans les dernières années. Les chercheurs n’auraient pas pu constater l’ampleur des effets de l’estrogène dans un environnement non contrôlé, a indiqué Mme Kidd.

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Une chatte sauve la vie de sa jeune maitresse atteinte d’une malformation cardiaque


Les chats sentent quand nous n’allons pas très bien. Mais certains réagissent plus que d’autres, quand une personne malade est en danger. C’est ce genre de chat qui semble être capable de percevoir le danger chez une personne et alerter d’autres pour venir à son secours
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Une chatte sauve la vie de sa jeune maitresse atteinte d’une malformation cardiaque

Une chatte noire nommée Perla a sauvé plusieurs fois la vie de sa maitresse atteinte d’une malformation cardiaque. Comment ? En donnant l’alerte dès que le cœur de sa jeune maitresse fait des siennes.

Avis aux superstitieux, les chats noirs ne sont pas tous signe de mauvais augures. Perla en est la preuve. Ce matou au pelage sombre veille sans cesse sur Maria Grillon, sa maitresse. L’adolescente écossaise âgée de 13 ans est atteinte d’une malformation cardiaque. Cette anomalie provoque régulièrement chez elle des crises, se traduisant par l’accélération du rythme cardiaque, de fortes douleurs thoraciques et des paralysies qui l’empêchent de se déplacer et de parler.

Le risque d’un arrêt cardiaque pèse sur la vie de Maria. La collégienne est en effet particulièrement vulnérable, surtout quand elle dort. Pour empêcher que n’advienne un accident, Perla a développé un comportement pour le moins surprenant. La famille de la victime affirme que la chatte est capable de repérer les symptômes des attaques et de se précipiter dans la chambre d’Adèle, la mère, pour la prévenir à temps.

« Perla et Maria sont inséparables. La chatte dort dans le lit de Maria et reste avec elle toute la nuit » témoigne Adèle.

Elle ajoute : « Si Maria a une attaque, qui peut durer jusqu’à 40 minutes, et pendant laquelle elle souffre tellement qu’elle ne peut ni parler ni bouger, Perla viendra dans ma chambre, me sautera dessus et mordra mes orteils jusqu’à ce que je me réveille ».

Perla surveille ensuite avec sa maitresse jusqu’à ce que les secours arrivent et que sa vie soit hors de danger.

Une chatte miraculeusement sauvée

Perla a été adoptée par la famille Grillon il y a trois ans, alors qu’elle n’était qu’un tout petit chaton âgé de huit semaines. Sa vie a toutefois été mise en péril une fois après avoir été percutée par une voiture. Recueillie par le personnel soignant de l’hôpital vétérinaire d’Edimbourg PDSA PetAid, elle a pu être soignée et miraculeusement épargnée. Andrew Hog, chirurgien à l’hôpital se souvient, avec ses collègues, s’être particulièrement attaché au petit animal.

« Le personnel a eu un véritable coup de cœur pour elle, malgré ses blessures, elle s’est démarquée par sa personnalité », a t-il expliqué cité par le Daily Mail.

« Ce que Perla fait pour Maria est merveilleux. Nous n’avons pas souvent la chance de rencontrer des chats si intelligents et c’est formidable que Perla puisse continuer à être l’inséparable compagnon de Maria », a t-il conclu.

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Toilettes : l’horreur du sèche-mains électrique


Certains établissement offrent les sèche-mains et les serviettes de papiers. Les sèche-mains sont à éviter totalement, car ils propagent les bactéries sur une grande surface de notre corps et dans les toilettes publiques, ne sont pas toujours bien entretenues
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Toilettes : l’horreur du sèche-mains électrique

 

    Se laver les mains quand on sort des toilettes, c’est bien sûr essentiel pour l’hygiène.

    Mais savez-vous que la manière dont vous vous séchez les mains est aussi déterminante ?

    Beaucoup de lieux publics proposent un sèche-mains électrique… Mais cet appareil n’est pas forcément le meilleur choix pour l’hygiène et la santé.

    Il est très important de sécher ses mains

    C’est la première des leçons : le séchage des mains fait partie intégrante de l’hygiène, laver ne suffit pas !

    En effet, des bactéries demeurent sur les mains après lavage. Or la chaleur et l’humidité favorisent leur développement. C’est ainsi que des mains lavées mais non séchées peuvent transmettre des bactéries…

    Mais comment se sécher les mains ?C’est toute la question. En effet, plusieurs méthodes existent. Si à domicile, nous choisissons pratiquement tous de nous sécher les mains sur une serviette de toilette, dans les lieux publics nous n’avons pas le choix.

    La grande majorité des établissements proposent soit des serviettes jetables en papier, soit des sèche-mains électriques qui font circuler de l’air, parfois chaud, sur les mains pour les sécher.Et les études sont pratiquement toutes unanimes : d’un point de vue bactériologique, les sèche-mains électriques sont la pire des solutions !Si vous en avez la possibilité, préférez toujours les serviettes jetables en papier aux sèche-mains électriques, surtout en période d’épidémie de rhume, grippe et/ou gastro.

    Pourquoi faut-il éviter les sèche-mains électriques ?

  • Sécher les mains à l’air chaud augmente le nombre de bactéries présentes sur les mains, même si l’on utilise des appareils neufs.En effet, quand nous tirons la chasse d’eau des toilettes, de fines gouttelettes sont projetées dans l’air environnant, parfois à plusieurs mètres à la ronde. Des bactéries peuvent être contenues dans ces gouttelettes, et si l’on utilise un sèche-mains électrique, elles seront déposées sur nos mains…

  • Les sèche-mains électriques projettent les bactéries dans les environs, et pas seulement sur nos mains.Une personne qui se sèche les mains verra donc des bactéries se déposer sur ses vêtements, devenant ainsi une potentielle source de contamination pour ceux qui l’entourent.

  • Enfin, le séchage par sèche-mains est beaucoup moins efficace que par serviettes en papier.Il faut en moyenne 40 secondes pour sécher correctement des mains avec un appareil, or nous nous contentons généralement de la moitié.

    Résultat, nous sortons avec les mains encore mouillées et très susceptibles de transmettre des bactéries.

Et les nouveaux sèche-mains, dans tout ça ?

Vous en avez peut-être déjà croisé, des sèche-mains qui vous demandent de mettre les mains dans un appareil. Ils utilisent de l’air filtré, pas chaud mais froid, et avec un fort débit.Leur point fort, c’est leur efficacité : avec eux, les mains sont effectivement sèches en 10 secondes à peu près.

Cependant, l’augmentation du nombre de bactéries sur les mains pendant le séchage se vérifie aussi avec ces nouveaux modèles, même si elle est moins importante. Par ailleurs, la plupart d’entre eux sont extrêmement bruyants (équivalents au passage d’un camion à trois mètres…).Les serviettes jetables sont-elles la panacée ?En terme de santé pure, oui, elles sont préférables parce qu’elles permettent d’éliminer très rapidement un maximum de bactéries des mains lavées.

Mais elles ne sont pas sans inconvénients par ailleurs : plus polluantes, elles exigent aussi des efforts pour s’en débarrasser – et si on ne le fait pas, les poubelles qui débordent deviennent des nids à bactéries ! Et ce qu’il faut éviter à tout prix, c’est sûr, c’est l’essuie-main unique (serviette à disposition), lavable (mais pas forcément lavé !), laissé dans les toilettes à disposition de tous les clients. Surtout à ne pas utiliser !

Mieux vaut encore vous essuyer sur vos vêtements, ou dans un de vos mouchoirs en papier !

Et chez vous aussi, pensez à laver régulièrement les essuie-mains…

Article publié par Marion Garteiser, journaliste santé

Sources : Huang, C. et al., Mayo Clin Proc. Aug 2012; 87(8): 791–798. doi:  10.1016/j.mayocp.2012.02.019.

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