Mur


Des murs invisibles entre pays, entre amis, entre gens d’une même famille, je pense que notre époque à créer des gens plus seuls que jamais.
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Mur

 

« Les gens se sentent seuls parce qu’ils construisent des murs au lieu de ponts. »

Joseph Fort Newton

Transformer son chat en insecte ou en dragon : la nouvelle mode russe


Un client trouvait son chien ennuyeux alors pourquoi pas un nouveau look. Non mais, quoi? encore ? On veut un animal pour ce qu’il est et non pour un accessoire de fantaisie. C’est une horreur de faire cela aux animaux …
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Transformer son chat en insecte ou en dragon : la nouvelle mode russe

 

Un chat qui se mue en dragon, ou un chien transformé en bourdon : non il ne s’agit pas de science-fiction. C’est ce que propose un salon de toilettage russe spécialisé dans la métamorphose des matous en toutes sortes d’animaux et insectes.

Daria Gotz, la propriétaire de cet établissement situé à Ekaterinbourg, la troisième plus grande ville de Russie assure que les animaux sont ravis lorsqu’ils sortent de son salon.

S’il est permis d’en douter, une chose est sûre, les clients de Daria, eux, sont vraiment enchantés.

« Il était ennuyeux, alors nous avons décidé de rendre notre chien lumineux, estival, adorable, en le colorant comme une abeille » confie Ekaterina Aidimirova, la maîtresse de Bettie, la petite chienne-abeille.

Une pratique dangereuse pour les animaux ?

 

La jeune femme affirme que les produits qu’elle utilise pour colorer la fourrure des chats et des chiens sont totalement inoffensifs. Elle explique à Liveleak.com qu’ils sont fabriqués à partir d’extraits naturels de plantes venus de Corée et va jusqu’à prétendre qu’ils sont bons pour le pelage des animaux.


Mais ces colorants sont-ils réellement sans danger ? Non, alerte la RSPCA. Interrogé par le Mail Online, un porte-parole met en garde les propriétaires d’animaux tentés de colorer le pelage de leurs compagnons à 4 pattes.

« Cela pourrait avoir des conséquences potentiellement fatales »clare-t-il.

En faisant leur minutieuse toilette, les chats risquent d’ingérer la substance colorante. Mais il ne s’agit pas là du seul danger engendré par de tels toilettages. C’est le statut même des animaux qui est menacé selon l’association.

« Nos amis les animaux sont des créatures vivantes et les teindre de cette façon envoie un message extrêmement préoccupant selon lequel ils pourraient être considérés comme des accessoires fantaisie plutôt que des animaux vivants et intelligents ».

http://wamiz.com/

Le Saviez-Vous ► La plus vieille ampoule du monde brille depuis 113 ans


Voilà une ampoule qui a une bonne leçon à donner aux ampoules d’aujourd’hui. Alors que certaines nous promettent d’éclairer pendant 10 ans, alors que cette vieille ampoule qui a presque toujours été allumée brille depuis plus d’un siècle
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La plus vieille ampoule du monde brille depuis 113 ans

 

Baptisée Centennial Light depuis 2001, l’ampoule de Livermore est la plus vieille encore en fonctionnement dans le monde. Dotée d’une puissance de quatre watts, elle brillerait maintenant depuis 1901 dans une caserne de pompiers située à Livermore (Californie).

Alors que les ampoules basse consommation sont depuis longtemps critiquée pour leur inefficacité et leur non-sens en matière d’écologie, une vieille ampoule dotée d’un filament de carbone enfonce le clou et montre à quel point les vieilles ampoules pouvaient parfois s’avérer rentable. Installée en 1901 dans une caserne de pompiers, elle brillerait maintenant depuis 113 ans et n’aurait presque jamais été éteinte.

Son impressionnante longévité en fait un parfait contre-exemple de l’obsolescence programmée et lui vaut même d’être inscrite dans le livre Guinness des records. Sa durée de vie exceptionnelle s’expliquerait par une augmentation de la résistance du filament en carbone. L’ampoule aurait été conçue pour fonctionner avec une puissance de 60W, or, elle n’en consomme plus que 4W aujourd’hui. En diminuant son intensité, on diminue la chaleur et le rendement de l’éclairage – on peut voir distinctement que le filament est orange vif et pas blanc – ce qui accroît la durée de vie de l’ampoule.

Désormais, l’ampoule de Livermore ne produirait plus que « 0,3% de sa luminosité originelle pour 7 % de sa puissance originelle » explique le Dr Goulu qui a analysé la question.

Si son rendement a considérablement diminué, la Centennial Light pourrait continuer à briller de cette manière pendant des milliers, voir des millions d’années.

Ci-dessous, la Webcam qui retransmet en direct les images de l’ampoule :

Pour en savoir plus, vous pouvez consulter le site dédié http://www.centennialbulb.org/

http://citizenpost.fr

Du mal à trouver le sommeil ? Regardez la lune !


Ce serait une observation intéressante les jours ou il est plus difficile à s’endormir si c’est un jour de pleine lune
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Du mal à trouver le sommeil ? Regardez la lune !

 

 

Des scientifiques canadiens prouvent que les nuits de pleine lune, on met deux fois plus de temps à s’endormir.

Certains y croient, d’autres pas du tout. Les scientifiques, eux, continuent d’étudier les effets de la lune sur la santé. La dernière recherche en date a été menée par l’Université de Toronto au Canada. Ses résultats montrent que les nuits de pleine lune, le temps pour s’endormir est deux fois plus long. Précisément, les femmes ayant participé aux recherches ont mis en moyenne 52 minutes pour trouver le sommeil contre 25 à 30 minutes quand ce n’était pas la pleine lune. Pour les hommes, les chiffres étaient respectivement de 60 minutes et 30 minutes.

Mais, malgré les nombreuses recherches sur le sujet, les scientifiques ont du mal à expliquer de tels effets. Une hypothèse est émise sur un lien entre la façon dont la lune réfléchit la lumière du soleil et l’activité du cerveau. A suivre.

Source : Dailymail.

http://www.medisite.fr/

http://www.medisite.fr/

Supprimer vos données personnelles avant de donner ou recycler un ordi


Quand on veut donner un ordinateur ou l’envoyer au recyclage, il serait judicieux par contre de nettoyer et supprimer des données personnelles au cas que cela tombera sur des mauvaises mains
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Supprimer vos données personnelles avant de donner ou recycler un ordi 

 

L’achat d’un nouvel ordinateur ne signifie pas nécessairement qu’on envoie son vieil ordi au recyclage, souvent, il peut encore servir à quelqu’un d’autre.

Mais avant de le refiler à un nouvel utilisateur ou de le donner à un organisme qui le reconditionnera ou en disposera de manière responsable, il est préférable de faire un petit ménage de son contenu par mesure de sécurité.

Le ménage en question consiste à supprimer ses données personnelles du disque dur pour ne pas que quelqu’un d’autre puisse y accéder.

Voici un petit guide expliquant ce que vous devriez faire avant de donner un vieil ordinateur, que ce soit à votre petit neveu que vous connaissez ou à un organisme.

Avant de procéder, lisez cette chronique jusqu’à la fin, car il y a quand même plusieurs petites choses à savoir et plusieurs options s’offrent à vous.

Et autre petit détail: si l’ordi fonctionne toujours, ne le donnez pas aux programmes de recyclage qui le détruieront, faites-en don à un organisme qui les reconditionne; le réemploi est une solution plus verte que le recyclage!

Les données personnelles sur un ordinateur

Pour éviter que quelqu’un puisse accéder à vos données personnelles, il est important de faire certaines opérations.

Avant toute chose, il faut savoir que la seule manière de supprimer définitivement les données d’un disque dur est de le reformater à l’aide d’un logiciel approprié.

Mais si vous prévoyez donner votre ordi à quelqu’un que vous connaissez, ce n’est peut-être pas nécessaire de vous rendre jusque-là. C’est à vous de juger… On vous en dit plus long au sujet du reformatage un peu plus bas.

De plus, certains organismes comme Insertech Angus ont une politique très stricte en ce qui concerne la confidentialité et la suppression sécuritaire des données.

On vous en parle à la fin de cette chronique.

Mais d’abord, voici ce qu’il faut faire avant de se départir de son ordi.

1- Désactiver les points de restauration

D’abord, désactiver la fonction permettant de restaurer votre système. Cette option de Windows permet de remettre un ordi dans l’état où il était à une date précise et donc, de restaurer les fichiers, logiciels et données que vous aurez supprimés.

Pour désactiver le point de restauration dans Windows Vista et Windows 7:

– Cliquez sur le menu Démarrer, allez à la section Ordinateur et cliquez sur la touche de droite de la souris. Dans la liste de choix, sélectionnez Propriétés.

Ordinateur propriétés

– Dans la fenêtre qui s’affiche, sélectionnez Protection du système dans la liste de gauche, et cliquez sur Configurer.

Protection système configurer

Dans Windows 7:

– Pour supprimer les points de restauration de votre système, cochez la case Désactiver la protection du système. Tous les points de restauration existants seront supprimés.

Dans Windows Vista:

– Pour supprimer les points de restauration de votre système, décochez la case du disque visé (Disque local (C:) et cliquez sur Désactiver la restauration du système dans la fenêtre qui s’ouvre.

Désactiver restauration système

2- Stocker ses fichiers sur un autre support et les supprimer de l’ordi

Pour ne pas qu’on accède à vos documents, votre musique, vos photos et autres fichiers stockés dans votre appareil, il faudra les supprimer, MAIS AVANT, il faut les enregistrer sur un autre support pour ne pas les perdre…

Plusieurs options sont possibles: une clé USB, un disque dur externe, un service de nuage, etc. Assurez-vous de disposer d’assez d’espace sur le support choisi pour pouvoir enregistrer tous vos fichiers.

Par exemple, avec une clé USB ayant une capacité de 8Go, vous ne pourrez pas enregistrer une bibliothèque musicale de 12Go… Il vous faudra alors plusieurs clés!

Même chose pour le nuage, plusieurs services offrent un espace de stockage gratuit, mais limité. Il faut s’abonner pour profiter de plus d’espace, ou utiliser plusieurs nuages différents, ce qui peut complexifier la récupération de ces fichiers qui seront alors éparpillés dans différents services. Aussi, attention à la consommation de bande passante si vous utilisez cette méthode!

http://www.francoischarron.com/

Sucre, sel et gras : pourquoi sommes-nous accros ?


Une recherche faite par un journaliste de New-York sur l’industrie agroalimentaire qui cause l’addiction du sucre, sel et matière grasse est très intéressante. Un petit aperçu qui mérite un regard sur la consommation des aliments qui nous rend malades. Bref, difficile de changer les choses dans l’alimentation, mais je pense que si le consommateur fait ses changements de ses habitudes alimentaires, cela ferait réagir l’industrie alimentaire
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Sucre, sel et gras : pourquoi sommes-nous accros ?

 

Micheal Moss, journaliste au New York Times et prix Pulitzer en 2010 pour son enquête sur la viande contaminée sort encore ses griffes sur l’industrie alimentaire avec «Sucre, sel et matières grasses, comment les industriels nous rendent accros ». Dans ce nouvel ouvrage, Michael Moss pointe du doigt les industries agroalimentaires qui saturent les produits de sucres, de sel et de matières grasses pour nous rendre dépendants dès le plus jeune âge. Cette lutte entre l’intérêt du consommateur et celui de l’ industriel persiste aujourd’hui alors que l’obésité est devenue un problème de santé publique.

Notre corps est programmé pour aimer le sucre, les industriels le savent !

« La bouche entière, y compris le palais, raffole du sucre. Des récepteurs spéciaux sont présents dans les 10 000 papilles de la bouche et ils sont tous relié aux parties du cerveau responsables du plaisir » rappelle Micheal Moss.

Mais en réalité c’est notre corps tout entier qui est sensible à cette denrée alimentaire. L’œsophage, l’estomac et le pancréas ont des récepteurs gustatifs qui réagissent au sucre et modifient notre faim.

Les sociétés alimentaires l’ont bien compris et le sucre est devenu un des aliments phares de la nourriture industrielle.

« Les humains aiment le sucré. Et pour tous les ingrédients, il existe une concentration optimum qui assure un plaisir maximal. Ce niveau est le point de félicité» explique Michael Moss.

Le défi des entreprises est de le trouver pour chaque produit et de créer insidieusement des compositions qui rendent accro les consommateurs. Le point de félicité est suivi d’un point de rupture. Si on ajoute, par exemple trop de sucre, on réduit l’attrait du produit.

« En moyenne les Américains consomment 22 cuillères à sucre par jour et 35% d’entre eux sont cliniquement obèses » affirme l’auteur.

Mais attention, la surconsommation de sucre et l’obésité est aussi un problème français. Dans un récent rapport, l’Organisation Mondiale de la Santé indique que les Européens deviennent de plus en plus gros : 27% des adolescents de 13 ans et 33% des enfants de onze ans sont en surpoids. L’obésité deviendrait même la nouvelle norme de poids dans une majorité de pays du vieux continent.

Le sel enlève le mauvais goût et rend accro les consommateurs

Les industriels utilisent le sel pour faire des économies et donner du goût à leurs produits trop fades. Grâce au sel, ils ne sont pas obligés d’utiliser d’autres ingrédients coûteux et meilleurs pour la santé comme les herbes ou les épices.

« Le sel couvre un mauvais goût caractéristique, inévitable dans les plats transformés, notamment avec la viande précuite puis réchauffée chez vous. Pareil pour les céréales à l’air inoffensif comme les corn flakes. Enlevez le sel, elles auront un goût de métal » rappelle Michael Moss.

Mais les sociétés agroalimentaires « n’ont pas ajouté une pincée de sel dans leurs produits, elles en versaient des sacs entiers » affirme Michael Moss.

A tel point que le sodium présent dans les aliments et provenant de la salière ne représente que 1/5 de la consommation global des américains.

Or, le sel, comme le sucre et les matières grasses a des propriétés addictives. Ce qu’ont bien compris les industriels. Le sel sert donc aussi à augmenter la vente des produits.

Contrairement au sucre, le sel n’a aucune valeur calorique mais sa consommation en excès est dangereuse pour la santé.

L’excès de sel entraine des risques accrus de maladies cardiovasculaires et tue prématurément environ 1,65 millions de personnes chaque année dans le monde. Ces décès sont dus à une consommation quotidienne de sel au-dessus du niveau conseillé, de 2 g par jour pour l’Organisation mondiale de la santé.

Les matières grasses sont sournoises

Les matières grasses sont devenues un composant essentiel de la nourriture industrielle. Elles donnent une texture plus ferme aux aliments, elles intensifient la couleur, et masquent et renforcent simultanément le goût des aliments et elles ne coûtent rien. Mais, elles sont plus sournoises que le sucre et le sel, car elles ont un goût plus diffus.

« Elles transforment des chips molles en merveilles croustillantes, du pain desséché en en une douce miche et de la viande fade en délicieuse charcuterie» se moque Michael Moss.

Si le gras a une mauvaise image de marques auprès des consommateurs qui courent après les produits allégés, elle reste un atout pour les industriels.

En effet, l’auteur dévoile aussi que si notre corps est capable d’envoyer un signal de « trop c’est trop » pour le sucre et le sel, il est impuissant contre gras. En effet dans son ouvrage, Michael Moss raconte une expérience aux résultats effrayants.

Des chercheurs ont « fait manger » à 16 volontaires, des mélanges de plus en plus gras. Au cours de l’étude, aucun des participants ne refusa un plat. Il n’existe pas de point de félicité, ni point de rupture pour le gras. « Plus c’est gras, plus c’est bon ».

Un processus difficile à enrayer

Un cercle vicieux s’est mis en place. Le palais des consommateurs s’est modifié et il veut de plus en plus de sucre, de sel et de matières grasses. Quand les industriels veulent modifier la composition de leurs produits pour diminuer la dose de ces trois composants toxiques, ils perdent des parts de marché et sont mis sous pression par Wall Street.

Comme les enjeux sont gigantesques, «aux États-Unis, la production d’aliments transformés (sodas, chips, plats préparés, surgelés…) emploie 1,4 million de personnes, soit 12 % de la main-d’œuvre du secteur secondaire » rappelle Michael Moss, le Congrès ne s’attaque pas à ces géants.

Pour découvrir toutes les sources et les toutes les références de cette enquête édifiante sur l’industrie alimentaire, dégustez les pages non toxiques de «Sucre, sel et matières grasses, comment les industriels nous rendent accros » Michael Moss aux Editions Calman-Levy. 19.90 euros.

http://www.topsante.com/

Avoir des vers ou pas : une question d’hygiène ?


Quand on était petit, si on bougeait trop, on nous soupçonnait d’avoir des vers solitaires. En fait, il n’en était rien. Cependant, l’infection aux vers solitaires est réelle et peuvent provenir de notre environnement, de ce que nous mangeons et aussi d’un manque d’hygiène
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Avoir des vers ou pas : une question d’hygiène ?

 

    Les vers intestinaux sont des parasites qui s’installent et vivent dans notre système digestif au dépend de notre organisme.

    Quels sont les vers intestinaux les plus fréquents ?

    Comment est-on contaminé(e) ?

    Pourquoi l’hygiène est un point primordial pour ne pas attraper de vers mais aussi ne pas contaminer les autres, quand on en a…

    Quels sont les différents types de vers intestinaux et à quoi ressemblent-ils ?

    Il existe différents types de vers intestinaux, plus ou moins fréquents en France et susceptibles d’entraîner plus ou moins de complications.

    Chaque type de vers a ses particularités. Par exemple, pour les plus connus :

    • Les oxyures

      Ce sont les plus fréquents chez les enfants, et entraînent des démangeaisons anales.

      Ce sont des vers ronds qui mesurent jusqu’à 10 mm de long.

    • Les ascaris

      Ils sont aussi des longs vers ronds et blancs et peuvent mesurer jusqu’à 35 cm.

      Ils sont surtout présents dans les pays tropicaux, mais on peut aussi en attrapper en Europe.

    • Le ténia ou ver solitaire (du porc ou du bœuf)

      Ce vers touche chaque année 100.000 Français, peut atteindre plusieurs mètres de longueur (jusqu’à 10m).

      Il est de forme plate.

      Ses anneaux, qui contiennent les œufs, se retrouvent régulièrement dans les selles.

      Comment est-on contaminé(e) par des vers intestinaux ?

      Les vers instestinaux colonisent l’intestin, et se retrouvent donc dans les selles (les vers ou leurs oeufs).

      Toute personne en contact avec des souillures de selles humaines ou animales est donc susceptible d’être contaminée par les vers qu’elles contiennent. Ainsi, les bacs à sable sont souvent montrés du doigt quand ils ne sont pas entourés de barrières car les enfants touchant à tout et portant souvent leurs mains à la bouche sont souvent contaminées malgré la surveillance de leurs parents. Il ne faut donc jamais écarter ces parasitoses au prétexte d’une hygiène importante : tout est vraiment possible.

      Cette connaissance de la contamination par souillure explique l’importance de quelques mesures d’hygiène classiques comme d’enlever ses chaussures et de se laver les mains en rentrant à la maison, de se laver les mains après être allé(e) aux toilettes ou encore de se laver les mains avant de manger. Il est aussi important de bien laver les fruits et légumes avec de l’eau mais aussi un peu de vinaigre d’alcool.

      Restent les contaminations par les viandes mal cuites, surtout de porc pour les vers solitaires.

      Comment savoir si l’on a des vers intestinaux ?

      Selon le ver présent, les symptômes peuvent varier, mais globalement, voici les signes qui mettent sur la piste de la présence de vers intestinaux :

    • Démangeaisons anales.

    • Présence de vers dans les selles ou sur les vêtements (petits segments blancs en mouvement).

    • Douleurs abdominales.

    • Amaigrissement sans raison apparente.

    • Vomissements.

    • Diarrhées.

    • Fièvre et jaunisse.

    • Irritabilité, agitation.

    • Toux.

    • Fatigue.

    • Réaction allergique.

    • Douleur sous les côtes. 

      Tous ces symptômes ne sont pas présents en même temps et certains sont par exemple plus évocateurs d’oxyures (démangeaisons anales) ou d’un ténia (perte de poids).

      Une analyse des selles avec identification des œufs permet de poser le diagnostic et de déterminer le type de vers en cause.

      Contre les vers intestinaux : une hygiène rigoureuse !

      Comme expliqué précédemment, les vers intestinaux pondent des œufs qui se retrouvent au niveau de l’anus et dans les selles.

      Des règles d’hygiène permettent d’éviter de se contaminer avec les œufs ou de se recontaminer :

    • Dans le cas des oxyures, il ne faut surtout pas se gratter en cas de démangeaisons anales car lorsque les mains finissent à la bouche, les œufs contaminent à nouveau. 

    • Cette contamination est fréquente chez les enfants qui n’ont pas adopté des règles d’hygiène suffisantes.

    • On peut également facilement contaminer sa nourriture si on ne se lave pas les mains.

    • Ces œufs évacués avec les selles peuvent aussi contaminer d’autres animaux (poissons, bœufs, cochons), qui ensuite mangés par l’homme le contaminent notamment via des viandes insuffisamment cuites (les œufs vont se loger dans les muscles des animaux).

    • Les œufs peuvent aussi contaminer l’eau et donc les légumes notamment et bien sûr la terre.

    • Se laver les mains avant de toucher de la nourriture (préparation des repas, avant de passer à table…).

    • Bien se laver les mains après passage aux toilettes, ou après grattage de la zone anale.

    • Se couper les ongles courts.

    • Cuir à cœur les aliments.

    • Laver soigneusement les légumes et les fruits.

    • Enlever ses chaussures en rentrant à la maison.

    • Ne pas s’échanger les serviettes.

    • Laver le linge à 60°C.

    Comment traite-t-on les vers intestinaux ?

    Pour ne pas risquer de complications en plus des symptômes (les vers peuvent se loger dans d’autres organes : foie, cerveau, poumon…), un traitement adapté s’impose. Il repose sur des vermifuges.

    Si l’on détecte des vers dans les selles ou sur les vêtements, sans autres symptômes, on peut recourir à l’automédication (certains vermifuges sont disponibles sans ordonnance). Mais sinon, il faut consulter son médecin afin de porter le diagnostic et d’identifier le ver en cause.

    Et en plus du traitement :

    – Traiter toute la famille.

    – Redoubler d’hygiène.

    – Laver le linge de la personne atteinte séparément

     

    Dr Philippe Presles
    Créé initialement par Isabelle Eustache

    Sources : Encyclopédie médicale Vulgaris, www.vulgaris-medical.com

    http://www.e-sante.fr/

    Comment nous stressons nos chats en les prenant pour des chiens


    Avoir un chat, ce n’est vraiment pas la même chose qu’avec un chien. Le chat est beaucoup plus indépendant. Un bon maître attendra que le chat vienne chercher des câlins et soit à l’écoute de l’animal
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    Comment nous stressons nos chats en les prenant pour des chiens

     

    Par Sophie Le Roux Crédits photo : Ana Fuentes – Flickr

    Le mode de vie que nous leur imposons et la façon dont nous les traitons sont-ils stressants pour nos chats ?

    C’est ce qu’affirme John Bradshaw, un anthrozoologue britannique reconnu spécialiste de la communication féline. Pour lui, les chats souffrent parce que nous attendons d’eux qu’ils se comportent comme des chiens. Ce qu’ils ne sont pas et ne seront jamais !

    Les chats ne font pas des chiens !

    Les gens rêvent d’un chat bien domestiqué, sociable, adorant les caresses et papouilles, et ne comprennent pas que couvrir son chat de câlins et d’attention ne le rendra pas forcément plus heureux. Bien au contraire.

    « Si les propriétaires de chats comprenaient mieux leurs animaux, ils reconnaîtraient que ce que nous leur demandons et la façon dont nous le faisons influe sur leur santé physique et mentale » explique le chercheur interrogé par Radio Times.

    Et de rappeler que les chats sont bien loin d’avoir atteint le même niveau de domestication que leurs meilleurs ennemis les chiens.

    « Le chat est à mi-chemin entre un animal domestique et un animal sauvage »

    « Contrairement aux chiens, le chat est encore à mi-chemin entre un animal domestique et un animal sauvage » rappelle-t-il. « Les gens pensent que les chats sont comme des chiens mais en moins exigeants. (…) Les chiens étaient sociables avant d’être domestiqués, et nous les avons domestiqués afin qu’ils comprennent ce que nous voulions d’eux. Avec les chats, tout ce que nous voulions, c’était débarrasser nos maisons, fermes et magasins d’alimentation des rats et des souris. C’est seulement au cours des dernières décennies que nous avons voulu qu’ils soient autre chose » souligne John Bradshaw.

    Pour lui, la proximité avec d’autres chats que nous leur imposons est l’une des causes principales de stress chez les chats.

    « Les gens veulent avoir deux ou trois chats au lieu d’un, mais ce n’est pas parce que deux chats sont détenus par la même personne qu’ils vont bien s’entendre ».

    Et s’ils ne supportent pas la présence de ce congénère, ils n’ont pas d’autre choix que de la subir malgré tout.

    « Ils ne peuvent tout simplement se tailler la maison, et vivre dans le même bâtiment, mais pas dans le même espace ».

    Un mal-être qui nuit à leur santé

    De plus en plus de chats souffrant de dermatite et cystite, deux maladies communes chez le chat très souvent engendrées par le stress, affluent chez les vétérinaires. Pour le Dr Bradshaw, cette augmentation est très certainement liée au mode de vie que nous leur offrons.

    « Les chats sont territoriaux. Deux des principales raisons pour lesquelles ils sont emmenés chez le vétérinaire sont la dermatite et la cystite, et il y a de plus en plus de preuves que ces maladies sont portées par les chats vivant près d’un autre félin qui les terrifient » explique anthrozoologue britannique.

    Et de recommander de laisser nos chats vivre librement dans nos maisons sans trop les solliciter. Si le chat du voisin dérange le vôtre, garder votre félin chez vous pour lui éviter un stress supplémentaire,

    conseille-t-il.

    Comportementaliste du chat, Marie-Hélène Bonnet

    http://wamiz.com