Avoir un but


Cela parait peut-être simple dit comme cela, mais avoir un but, c’est ce qui nous aide à avancer, a supporter des jours plus difficiles, mais aussi a bouger et faire quelque chose de notre personne. C’est d’autant plus vrai quand une personne est limitée soit par l’âge et ou, la santé
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Avoir un but

 

L’important, c’est d’avoir un but ; n’importe lequel, même ridicule, même futile, mais d’en avoir un.

Gérard Bessette

LAZARUS #8 : Un joli hoax en photo


Nombres d’arnaques circulent sur le web et des gens se font prendre. Le truc des anciennes photos d’ou on peut croire que des gens de notre époque peuvent avoir voyagé dans le temps surtout si on nous assure que les photos n’ont pas été retouchées. Alors qu’en est-il vraiment ?
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LAZARUS #8 : Un joli hoax en photo

 

Le Saviez-Vous ►Nos deux oreilles n’entendent pas de la même façon !


Pour ceux qui ont une difficulté d’audition d’une oreille, vont comprendre pourquoi certains sons sont plus difficile à entendre
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Nos deux oreilles n’entendent pas de la même façon !

 

Notre cerveau sépare en deux le traitement des sons, l’hémisphère droit traite la musique et l’hémisphère gauche traite la parole, cela se fait parce que nos oreilles n’entendent pas les sons de la même manière.

En effet, selon une étude réalisée par les scientifiques de l’université d’Arizona et de Californie, notre oreille droite amplifie d’avantage la musique tandis que notre oreille gauche est plus efficace pour l’amplification des sons provenant de la parole.

Cela explique pourquoi les enfants ayant un défaut d’audition à l’oreille gauche ont plus de difficultés et de troubles d’apprentissage que ceux qui ont une déficience auditive à l’oreille droite.

http://fr.w3streams.com

Windsor Le virus EV-D68 aurait franchi la frontière canadienne


Un virus qui cause des troubles respiratoires qui semblent viser surtout les enfants, mais n’importe qui peut en être atteint. Cela prendra quelques jours avant de confirmer ou infirmer que ce mystérieux virus a traversé les frontières canadiennes
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Windsor

Le virus EV-D68 aurait franchi la frontière canadienne

 

La propagation du virus aux États-Unis. (CNN)

Agence QMI

Un virus respiratoire qui s’est rapidement propagé aux États-Unis, rendant les enfants très malades, pourrait maintenant être au Canada.

Un hôpital à Windsor, en Ontario, a rapporté une hausse soudaine d’admissions en pédiatrie à son urgence pour des troubles respiratoires, au cours de la fin de semaine.

«Bien qu’il n’y ait encore aucune confirmation localement, il y a eu une augmentation de cas d’EV-D68 (Entérovirus D68) dans les États du Mid-Ouest et dans quelques provinces canadiennes », a indiqué l’hôpital régional de Windsor, dans un communiqué.

Des échantillons prélevés chez des patients à Windsor ont été envoyés dans des laboratoires provinciaux pour analyses. Il pourrait s’écouler jusqu’à deux semaines avant de connaître les résultats et de confirmer s’il s’agit bel et bien du virus EV-D68.

L’hôpital régional de Windsor. (archives, Agence QMI)

Des centaines d’enfants dans plusieurs États américains, dont le Colorado, l’Illinois, l’Iowa, le Kansas, le Kentucky et le Missouri sont tombés malades après avoir contracté le virus EV-D68, depuis la mi-août. Des enfants de six semaines à 16 ans ont été affectés.

Il n’existe aucun médicament spécifique contre le virus.

http://tvanouvelles.ca

Voici ce que vous devez savoir en tant que parent:

Quels sont les symptômes?

Le virus commence généralement comme le rhume; les symptômes comprennent éternuements, le nez qui coule et une toux. C’est tout ce qui se passe pour la plupart des gens qui attrapent un entérovirus.

Mais certains patients attraperont une toux sévère et auront de la difficulté à respirer et/ou peuvent avoir des éruptions cutanées. EV-D68 est parfois accompagnée d’une fièvre ou d’une respiration sifflante.

Alors, quand devez-vous commencer s’inquiéter?

Malheureusement au début, il est difficile – voire impossible – de faire la différence entre un rhume ordinaire et ce type de virus. Mais il ya des symptômes, vous devriez être à l’affût si votre enfant tombe malade.

Aller chez le médecin si il ou elle a de la fièvre ou une éruption cutanée, ou si votre enfant a de la difficulté à respirer. Les enfants souffrant d’asthme ou qui ont des antécédents de problèmes respiratoires sont particulièrement sensibles aux symptômes graves.

Pourquoi les enfants hospitalisés?

N’importe qui peut être infecté par des entérovirus, selon les CDC, mais les nourrissons, les enfants et les adolescents sont plus susceptibles de devenir malades parce qu’ils n’ont pas encore mis en place l’immunité provenant de précédentes expositions aux virus.

Comment puis-je protéger mes enfants?

La maladie respiratoire se propage par contact étroit, comme le rhume. Vous pouvez également être infecté par contact avec des objets ou des surfaces qui ont le virus, lorsque vous touchez votre visage après.

Il n’y a pas grand chose que vous pouvez faire, mise `part utiliser votre bon sens pour réduire le risque.

Lavez-vous les mains à l’eau et au savon pendant 20 secondes – en particulier après être allé aux toilettes et avoir changé les couches.

Nettoyer et désinfecter les surfaces qui sont régulièrement touchés par des personnes différentes, tels que les jouets et les poignées de porte.

Évitez de serrer les mains,les embrassades et le partage des tasses ou des ustensiles avec des gens qui sont malades. Et rester à la maison en cas de malaise.

http://www.tvqc.com

Le pilote se sacrifie pour éviter des habitations : un «réflexe militaire»


Cet homme était bénévole pour larguer des parachutistes. Même si cela serait un réflexe militaire, face à une mort certaine, les gens ne réagissent pas nécessairement de cette manière aussi héroïque.
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Le pilote se sacrifie pour éviter des habitations : un «réflexe militaire»

 

Plutôt que de s’éjecter de l’appareil, le pilote a délibérément choisi de rester à bord pour éviter que l’avion ne s’écrase sur des habitations. Crédits photo : LOIC VENANCE/AFP

INFOGRAPHIE – Un père de famille de 47 ans aurait pu s’éjecter de son Cessna qui partait en vrille, mais a préféré garder le contrôle de l’avion jusqu’au crash. Un geste héroïque qui relèverait du «réflexe militaire».

Eric Fradin, 47 ans, a perdu la vie samedi lors du crash de son avion à proximité de Tarbes. Un accident qui aurait pu faire beaucoup plus de victimes si le pilote n’avait pas eu un geste héroïque: plutôt que de s’éjecter de l’appareil, il a délibérément choisi de rester à bord pour éviter que l’avion ne s’écrase sur des habitations.

Sans doute à cause d’un défaut mécanique -le gouvernail a été retrouvé à 500 mètres du crash-, le largueur est parti en vrille lors d’un vol à 3000 mètres. Les trois parachutistes qui restaient à bord se sont éjectés d’urgence, mais le pilote s’est, lui, sacrifié. L’avion de tourisme, un Cessna 206, s’est écrasé dans un champ, entre l’autoroute et les habitations, sans faire d’autre victime.

Des témoins, cités par La Dépêche , confirment: «Nous, du sol, on a vu qu’il a tout fait, qu’il était au manche pour rattraper l’avion et éviter les habitations.» «La maison la plus proche était à 30 mètres», précise Geoffroy Lagarde, président du Club para de Tarbes, ajoutant que la manœuvre, relevant d’un sang-froid exceptionnel, n’était pas «le fait de n’importe qui».

Il souligne l’adresse et le professionnalisme du pilote: «Il a mis tout en œuvre pour que l’avion ne prenne pas feu, puis il a coupé les magnétos et tiré sur le manche pour faire vriller l’avion vers les champs.»

Une pratique qui relève du libre arbitre

 

Instructeur en mécanique chez Airbus, habitant la région toulousaine, Eric Fradin est décrit comme quelqu’un de «très professionnel», mais aussi «disponible et jovial». Il était marié et père d’un petit garçon.

Il venait de l’aéronavale et larguait à titre bénévole des parachutistes civils à l’aérodrome de Tarbes. Le président du Club discerne dans le geste héroïque du pilote un «réflexe militaire», une pratique qu’il aurait selon lui apprise lorsqu’il était à l’armée de l’air et qui n’aurait pas pu être le fait de n’importe quel pilote amateur.

Une responsable de l’armée de l’air confirme qu’il s’agit d’une règle cardinale en cas de crash aérien:

«Le pilote a pour consigne de ne s’éjecter que si l’avion s’écrase sur une zone non habitée, sinon il doit tout faire pour garder le contrôle de l’appareil.»

Si les pilotes sont formés pour éviter au maximum les crashs en zones habitées, elle ajoute que l’armée ne demande pas le «sacrifice obligatoire des individus», laissant cette décision «au libre arbitre de chacun».

Crash avion Tarn

http://www.lefigaro.fr/

Chine : des pistes réservées aux piétons utilisateurs de smartphones


Prévention ou stupidité ? Une manière de déresponsabiliser les personnes qui utilisent les téléphones intelligents qui ne se préoccupent pas de l’environnement dans lequel ils circulent ?
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Chine : des pistes réservées aux piétons utilisateurs de smartphones

 

INSOLITE – Une bande de trottoir pour les piétons, une autre pour les… piétons distraits par leurs téléphones. C’est la signalétique adoptée récemment dans le quartier touristique d’une ville chinoise.

 

On connaissait les pistes cyclables en bordure des routes, il y a désormais les couloirs réservés aux utilisateurs de smartphones. Cette signalétique au sol, montrant d’un côté un logo de téléphone et de l’autre, ce même logo barré, peut être observée sur un trottoir de Chongqing, en Chine, dans un quartier très touristique.

D’après une responsable de l’urbanisme, cité dans plusieurs médias américains, cette signalétique a pour objectif d’éviter les collisions entre les touristes flânant en prenant des photos ou les locaux absorbés par leur téléphone, et les personnes fragiles comme les seniors et les enfants.

Se moquer des accros au téléphone mobile

Un moyen de rappeler les dangers de l’utilisation du smartphone en se déplaçant, tout en se moquant des personnes ciblées. Effet collatéral de cette étonnante initiative, de nombreux piétons se sont récemment arrêtés pour photographier la signalisation… sans pour autant la respecter.

La ville de Chongqing s’est inspirée d’une expérience menée plus tôt cet été par National Geographic aux États-Unis. La chaîne télé avait créé cette signalétique éphémère dans une rue de Washington DC afin de filmer les réactions des passants, pour une série documentaire sur les manières de modifier le comportement des individus au sein de groupes.

http://www.metronews.fr/

Comment reconnaître une relation toxique ?


Vivre a deux, permet semble-t-il, de vivre plus longtemps, cependant, certains couples n’ont pas  une belle relation. Quand on vit une relation néfaste, on ne le voit pas vraiment, mais vue de l’extérieur, c’est évident
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Comment reconnaître une relation toxique ?

 

Comment reconnaître une relation toxique ?

© Digital vision

On a beau connaître cette personne et la fréquenter depuis une dizaine d’années, on ressent comme un malaise auprès d’elle. Il arrive que l’on s’entoure sans le savoir de relations négatives qui nous empoisonnent la vie à petit feu. Peur de l’échec, d’être rejeté, jugé. Les raisons sous-jacentes à cette « mauvaise fréquentation » sont multiples et souvent inconscientes. Apprendre à identifier cette relation toxique peut nous épargner du stress inutile. On fait le test !

Cette personne est-elle bienveillante envers moi ? Me fait-elle du bien ou au contraire nuit-elle à mon équilibre ? Pour le savoir, faites le bilan de toxicité relationnelle en répondant aux questions qui suivent. Si vous répondez oui à au moins un tiers d’entre elles, c’est que vous êtes probablement prisonnière d’une relation toxique. Vous savez alors ce qu’il vous reste à faire : fuir gentiment !

1. Est-ce que la personne vous critique et vous dévalorise en permanence ?

2. Est-ce que la personne vous agresse régulièrement physiquement et verbalement ?

3. Est-ce que cette personne est alcoolique ou droguée et vous met dans des situations où vous vous sentez mal à l’aise, où vous avez peur ou honte ?

4. Est-ce que cette personne est très déprimée et vous met systématiquement à contribution ? Vous sentez-vous responsable ? Vous vous sentez obligé de prendre soin d’elle ?

5. Avez-vous peur que cette personne vous rejette si vous ne faites pas comme elle veut ? Si vous exprimez vos sentiments ?

6. Trouvez-vous que cette relation est abusive et destructive ?

7. Avez-vous peur de blesser cette personne si vous affirmez votre choix de vie ?

8. Avez-vous peur que si cette personne vous connaissait vraiment elle arrêterait de vous aimer ?

9. Avez-vous honte de réussir vis-à-vis de cette personne ?

10. Etes-vous perfectionniste à outrance ?

11. Est-il difficile pour vous de vous détendre ou de passer un bon moment avec cette personne ?

12. Avez-vous des réactions émotionnelles ou physiques intense après avoir passé ou anticipé de passer du temps avec cette personne ?

13. Avez-vous peur d’être en désaccord avec cette personne ?

14. Cette personne utilise-t-elle le chantage affectif et la culpabilité pour vous manipuler ?

15. Cette personne se sert-elle de l’argent pour vous manipuler ?

16. Vous sentez-vous responsable des états d’âme de cette personne ? Si elle ne va pas bien, pensez-vous que c’est de votre faute ?

17. Avez-vous l’impression que, quoi que vous fassiez, ce n’est jamais assez bien pour cette personne ?

18. Entretenez-vous l’espoir qu’un jour cette personne change ?

Retrouvez plus de tests et d’exercices dans « Je dis enfin stop à la pression », d’Audrey Akoun et Isabelle Pailleau, aux éditions Eyrolles.

http://www.topsante.com

Après avoir pollué ses plages, l’algue pourrait devenir l’or vert de la Bretagne


Faire face à la pollution liée aux algues, il semble que la Bretagne prend les choses d’une façon très positive en voulant lancer des recherches pour l’utilisation des algues en alimentation, médication, et autres usages
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Après avoir pollué ses plages, l’algue pourrait devenir l’or vert de la Bretagne

 

La Bretagne, première victime des pollutions d'algues vertes dopées aux... (Photo Fred Tanneau, archives AFP)

Photo Fred Tanneau, archives AFP

Hervé GAVARD
Agence France-Presse
NANTES

La Bretagne, première victime des pollutions d’algues vertes dopées aux nitrates sur ses plages, veut pourtant se positionner comme acteur majeur de la recherche et de l’exploitation des nombreuses espèces d’algues qui ouvrent des perspectives tant médicales qu’alimentaires, sources de développement économique et d’emploi.

Quelque 500 personnes, chercheurs, scientifiques, dirigeants d’entreprises de 25 nationalités sont attendues à partir de dimanche à Nantes à un colloque consacré aux algues et plus particulièrement à leurs applications dans le domaine de la santé et de la nutrition.

La seconde édition de ce «Breizh Algae Tour» aura pour thème

«les avancées scientifiques dans les domaines de la nutrition et de la santé au profit de toute la chaîne alimentaire».

Avec une question en filigrane pointent ses organisateurs: comment les extraits d’algues peuvent avoir une influence sur le fonctionnement de l’organisme.

Les algues, qui contiennent des nutriments – protéines, sucres, minéraux et matières grasses – et de très nombreux composés biologiquement actifs présents uniquement dans les végétaux marins, se révèlent aujourd’hui comme une source d’approvisionnement incontournable, argumentent-ils.

Le colloque sera aussi de l’occasion de promouvoir un fonds d’investissement, le Breizh Algae Invest, destiné à accompagner le développement et la compétitivité de cette filière.

«L’idée est de faire appel à des investisseurs locaux», indique Hervé Balusson, qui préside ce fond et est à la tête d’Olmix, une entreprise de centre-Bretagne qui travaille depuis une quinzaine d’années sur la valorisation des algues, et par ailleurs président de Breizh Algae Invest.

«Si on arrive à lever 20 à 50 millions d’euros, on arrivera à financer des bateaux, des usines, la recherche, des chercheurs», estime-t-il.

Il y a de nombreux marchés à conquérir: l’algue peut avoir des applications dans l’alimentation humaine, animale, mais aussi dans la santé, la médecine, la cosmétique, la pharmacie, voire certains usages industriels…

Économie bleue

Et la Bretagne a une carte à jouer dans cette économie bleue avec ses «quelque 700 espèces d’algues», la qualité de ses eaux, sa sécurité sanitaire mais aussi ses 1500 chercheurs, souligne Hervé Balusson.

«La filière des algues, c’est aujourd’hui une centaine d’entreprises et 4 à 5000 emplois» en Bretagne. «Mais ça peut représenter demain des milliers d’emplois» supplémentaires, affirme Hervé Balusson selon lequel ces nouveaux marchés représentent des milliards d’euros.

C’est le cas du marché des médicaments. «Il est estimé aujourd’hui à 700 milliards d’euros et il est prévu qu’il dépasse les 1000 milliards dans les 10-20 ans», explique Maryvonne Hiance, la directrice d’Effimune, une entreprise nantaise qui s’est spécialisée dans le développement de nouvelles molécules pour réguler le système immunitaire dans le domaine de la transplantation, des maladies auto-immunes et certains cancers.

Selon Mme Hiance, le marché des médicaments issus de la biotechnologie représente déjà 23 % du marché total des médicaments, et «on estime qu’il pourrait passer à 50 %».

Ce marché des biomédicaments connaît un fort développement, parce que ce sont des médicaments plus ciblés, pour éviter les effets secondaires, souligne la dirigeante.

Chez Effimune, «jusqu’à présent, nous n’avons pas de médicaments issus de l’algue», précise Maryvonne Hiance. «Mais notre rencontre avec Olmix nous a permis de nous dire: « pourquoi ne pas tester cette nouvelle matière pour développer un nouveau médicament, pour réguler le système immunitaire dans certains cancers »».

«Car certaines algues, en particulier les algues vertes, contiennent des molécules susceptibles d’agir sur le système immunitaire et augmenter son action», ajoute Maryvonne Hiance.

«On va mettre notre savoir-faire dans le développement de médicaments au service de cette matière première», assure-t-elle.

Des applications seraient possibles dans le domaine du système nerveux central ou dans celui des anti-inflammatoires.

Toutes les nouvelles filières liées à l’algue «sont les filières de demain», soulignent les organisateurs du Breizh Algae Tour: il faut que l’ouest en tire profit, «c’est une des rares filières émergentes dans un territoire en difficulté».

http://www.lapresse.ca/