Mauvaise habitude


Il y a effectivement des gens qui ne veulent pas voir le bon côté des choses, ils ne profitent pas pleinement des beaux moments qui arrivent … et c’est bien dommage
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Mauvaise habitude

 

On prend parfois comme une mauvaise habitude d’être malheureux.

Georges Eliot

Marnie, une chienne à croquer et une nouvelle star du web


Un petit chien abandonné qui a été recueilli et mit sur pied par un refuge, Il a une malformation qui lui donne un petit air enjôleur
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Marnie, une chienne à croquer et une nouvelle star du web

Par Sophie Le Roux

Crédits photo : Facebook – Marnie the dog

Nous le savons, il suffit de peu de choses pour qu’un chat ou un chien devienne une star du web et fasse fondre le coeur de milliers de personnes à travers le monde. La bouille renfrognée de Grumpy Cat a fait de lui le matou le plus célèbre d’Internet, les malformations dont souffre Lil Bub lui ont valu le titre de chat le plus mignon du monde, et la langue bien pendue du Marnie est en train de faire de lui l’un des toutous les plus aimés du web.

Des dizaines de milliers d’admirateurs

Si Marnie affiche aujourd’hui un air ravi et coule des jours heureux auprès de sa maîtresse gaga, sa vie n’a pas toujours été aussi belle, loin de là. La petite chienne a été trouvée dans la rue, dans le Connecticut aux Etats-Unis, et au vu de son triste état, elle errait depuis un long moment. Marnie était maigre, sale, ses dents étaient dans un état déplorable, elle ne voyait que d’un oeil et une malformation au niveau du cou le contraignait à pencher sans arrêt la tête.

4 mois plus tard, après avoir été soignée et remise sur pattes dans un refuge, Marnie – surnommée Stinky (puant) par les employés du refuge – était adoptée par Shirley et entamait sa nouvelle vie faite de câlins, d’amour, et de notoriété !

De si charmants défauts

La petite chienne a dû se faire retirer 14 dents, et sa tête restera toujours penchée car elle souffre d’un problème vestibulaire qui ne peut pas être guéri mais ne lui cause aucune douleur et ne met pas sa santé en danger.

Mais ces petits défauts font tout son charme ! La boule de poils compte quelque 130 000 followers sur Instagram et ses fans peuvent aussi la suivre sur Facebook, Twitter et Youtube

Entrez la légende de la vidéo ici

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Le Saviez-Vous ► Un mystère de l’océan résolu


Une sculpture de sable dans l’océan qui laisse perplexe par sa forme et sa symétrie parfaite. Des extraterrestres ? Et bien non ?
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Un mystère de l’océan résolu

 

Les plongeurs locaux ont baptisé ces sculptures les cercles mystérieux. (Photo: Yoji Ookata)

Un mystère de l’océan qui perdurait depuis 1995 a été résolu au large du Japon.

Les scientifiques se demandaient ce qui pouvait bien être à l’origine d’une forme très structurée, baptisée les cercles mystérieux par des plongeurs locaux.

Il s’agit en fait de l’œuvre d’une espèce de poissons dont les mâles exécutent ce genre de sculptures pour attirer les femelles. Un mâle peut passer une dizaine de jours pour terminer son œuvre.

Les poissons construisent cette forme méticuleusement jusqu’à ce qu’une femelle accepte son invitation et y ponde ses œufs. Une fois la ponte terminée et les œufs éclos, la forme qui est en fait un site de nidification est abandonnée.

Les poissons construisent cette forme méticuleusement jusqu’à ce qu’une femelle accepte son invitation et y ponde ses œufs. (Photo: Yoji Ookata)

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Une véritable photo du monstre du Loch Ness dévoilée ?


Hum !! Moi, je suis septique ! Même si on prétend que la photo n’a pas été retouchée ce qui est possible, mais, il est plus que probable que l’animal soit un montage
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Une véritable photo du monstre du Loch Ness dévoilée ?

 

Le Loch Ness ? - Twitter @Matt Chorley

Le Loch Ness ? Twitter @Matt Chorley

Le monstre du Loch Ness a-t-il enfin été réellement pris en photo ? C’est ce qu’affirme une photographe qui aurait immortalisé « Nessie » … dans un lac anglais, le Lake Windermere, situé à quelques centaines de km du Loch Ness. D’après des spécialistes de la firme Autographer, le cliché n’aurait pas été retouché.

Certains suspicieux ont toutefois trouvé étrange que cette photo paraisse à une semaine du vote pour l’indépendance de l’Ecosse. Les médias britanniques s’en sont amusés et beaucoup ont titré :

« Le Loch Ness dit non à l’indépendance ».

Alors, vrai monstre ou habile manoeuvre politique ?

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Peut-on cultiver des plantes sur Mars et sur la Lune ?


Même si je trouve que coloniser la Lune ou Mars est une perte de temps et d’argent avec tout ce qu’on peut et ont doit améliorer les conditions sur Terre, je trouve cette étude sur la culture des plantes avec une simulation des sols de la lune et de Mars intéressante, car je crois que cela pourrait être utile avec le sol pauvre de certaines régions de la planète bleue
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Peut-on cultiver des plantes sur Mars et sur la Lune ?

 

Il est des moments jubilatoires dans la science, quand les chercheurs rattrapent la science-fiction et tentent de voir si elle peut s’accorder avec la réalité.

C’est un peu ce qui se passe dans une étude néerlandaise publiée le 27 août par PLoS ONE. Dans son cas, la science-fiction, ce sont ces récits qui mettent en scène la colonisation de la Lune et de Mars. Et pour ce qui est de la science, les premières phrases du résumé de l’article annoncent clairement la couleur :

« Quand les humains s’installeront sur la Lune ou sur Mars, il faudra qu’ils y mangent. La nourriture pourrait y être envoyée. Une autre solution consisterait à cultiver des plantes sur place, de préférence sur les sols de là-bas. »

Après tout, le colon doit savoir gagner son indépendance, au moins alimentaire, non ? Ces chercheurs néerlandais ont donc voulu déterminer si l’on pourrait faire pousser quelque chose sur la Planète rouge et sur notre satellite. Pour ce faire, ils ont entrepris la première culture à grande échelle de végétaux sur des reconstitutions de sols martien et lunaire.

Grâce aux missions Apollo et aux rovers qui se promènent depuis des années à la surface de Mars, nous connaissons assez bien les caractéristiques de ces substrats auxquels certains puristes refusent de donner le nom de « sol » car celui-ci implique un enrichissement en matière organique par des êtres vivants. Ils parlent plus volontiers de « régolite » pour désigner cette couche superficielle formée par la dégradation de la roche sous l’effet de facteurs divers suivant qu’on est sur la Lune ou sur Mars (impacts de météorites ou de micrométéorites, influence du vent solaire, érosion éolienne sur Mars, etc.).

Les auteurs de cette étude se sont procuré des sols reconstitués – préparés par la NASA – et ont décidé d’y semer des graines pour savoir si elles pourraient germer et passer les étapes du développement végétal. Même si l’on imagine qu’ils cultiveront sous serre et dans un air à la composition identique à celle que nous connaissons sur notre planète, la difficulté principale qu’auront à surmonter les futurs Martiens ou Sélénites sera l’extrême pauvreté de ces sols extraterrestres en composés azotés. Or, pour fabriquer leurs protéines, les végétaux ont besoin d’azote, mais celui que l’on trouve en grande quantité dans l’air n’est pas exploitable par les plantes à l’exception des légumineuses, qui y parviennent grâce à leur collaboration avec des bactéries. L’idée serait donc, pour le premier stade de la colonisation, de commencer par faire pousser ce type de plantes puis de les incorporer à la « terre » afin de l’enrichir en azote, en vue des cultures suivantes.

C’est pour cette raison que les chercheurs néerlandais ont, en plus des semences de tomates, de seigle, de carottes et de cresson, testé des graines de quatre légumineuses, la vesce commune, le lupin, le mélilot officinal et le lotier des marais. Pour compléter leur panel végétal, ils ont ajouté six plantes sauvages, comme l’arnica ou la moutarde des champs. Les chercheurs ont sélectionné à dessein des espèces à petites graines afin que le stock nutritif qu’elles contiennent soit rapidement épuisé et que les végétaux dépendent totalement des sols pour pousser.

Puis ils ont semé. Dans du pseudo-sol martien, du pseudo-sol lunaire et, pour avoir des échantillons témoins, dans un sol terrestre grossier et très pauvre, une sorte de terrain sablonneux complètement lessivé trouvé au fond du Rhin. Vingt pots par espèce et par type de sol, soit un total de 840 pots. La photo ci-dessus donne un aperçu du dispositif expérimental. Les pots ont été disposés de manière aléatoire dans une serre aux conditions de température et de luminosité contrôlées. Les chercheurs ont arrosé régulièrement leurs plantations avec de l’eau déminéralisée et… ils ont attendu. En notant si les végétaux passaient ou pas les étapes de leur développement (germination, première feuille, floraison, production de graines). Au bout de cinquante jours, ils ont récupéré le contenu de chaque pot, l’ont nettoyé, séché en le mettant vingt-quatre heures dans un four à 70 °C et pesé, en séparant la partie aérienne de la plante de sa partie souterraine.

Les résultats montrent que la partie est loin d’être gagnée pour les futurs paysans de l’espace.

 En moyenne, le substrat martien a été le plus performant des trois sols testés, et le régolite lunaire le plus ingrat.

Au terme des cinquante jours d’expérience, 60 % des plantes semées étaient encore en vie dans le premier cas, contre 20 % seulement dans le deuxième (dans le sable du Rhin, un végétal sur deux avait survécu). Mais survivre est une chose, prospérer en est une autre. Sur les quatorze espèces testées, seules trois sont allées jusqu’au stade de la floraison – le seigle, le cresson et la moutarde des champs – et sur ces trois-là seules les deux dernières ont donné des graines.

Pour les chercheurs, cette expérience avait pour objectif, sans mauvais jeu de mots, de défricher le terrain, d’identifier les questions à explorer et les moyens de surmonter les problèmes. Ils se demandent par exemple à quel point les mauvaises performances du sol lunaire sont dues au fait qu’il s’assèche plus vite et que son pH est élevé. Ils jugent donc nécessaire d’approfondir les caractéristiques physiques de ces sols, de réfléchir à la meilleure manière de les irriguer mais aussi de les engraisser. Pour ce dernier point, on a très envie de leur rappeler que qui dit cultivateurs (de Mars, de la Lune ou d’ailleurs) dit humains… et excréments. Je ne peux résister à l’envie de citer ce passage marquant de La Terre d’Emile Zola :

« Vous la connaissez, la mère Caca, votre voisine ? Eh bien ! elle seule est dans le vrai, le chou au pied duquel elle a vidé son pot est le roi des choux, et comme grosseur, et comme saveur. Il n’y a pas à dire, tout sort de là. (…) Quand on pense que la vidange seule de Paris pourrait fertiliser trente mille hectares ! » 

Sans doute les astronautes, déjà habitués à boire l’eau extraite de leur urine recyclée, ne seront-ils pas rebutés par cette solution.

Pierre Barthélémy

http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr

Inde La police porte des accusations contre un bébé


 

En Inde, les policiers ne se servent pas beaucoup de leur tête et surtout en période d’élection. Et depuis quand, qu’on fait des accusations sans preuves n’ayant que des rumeurs ?? Et la stupidité au maximum quand c’est un bébé qui est l’accusé
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Inde : La police porte des accusations contre un bébé

 

Photo Reuters

En Inde, deux policiers ont été suspendus après avoir porté des accusations contre un bébé d’un an pour «intimidation et contrainte», à l’approche d’une élection partielle dans l’État de l’Uttar Pradesh.

La police a déclaré que le petit Nazim, un garçon d’environ un an et son père Yasin pouvaient troubler la paix publique avant les élections, a rapporté la BBC.

Selon Gulab Singh, un représentant de la police, il semble que les agents aient rempli le constat d’infraction sur la foi de rumeurs.

Il n’est pas rare, selon la BBC, que des agents identifient et fassent des listes de trouble-fête potentiels à l’approche des élections.

Et ce n’est pas la première fois que la police dépose des accusations contre un enfant, malgré un article de loi qui précise que les agents ne peuvent déposer d’accusations criminelles envers une personne de moins de sept ans.

En 2011, un garçon de cinq ans a été accusé d’avoir troublé la paix avant les élections au conseil d’un village dans l’État du Bihar, mais la police a reconnu qu’il s’agissait d’une erreur sur la personne.

En 2006, une fillette de six ans a été accusée de complicité dans l’évasion de son père, placé en détention.

 

http://www.journaldequebec.com

Une chienne meurt électrocutée pour sauver 6 personnes


Une chienne, à probablement senti le danger a voulu semble-t-il avertir du danger un groupe de personnes. A-t-elle sauté consciemment pour mieux se faire comprendre ? A-t-elle compris qu’elle se mettait elle-même en danger en laissant derrière elle des orphelins ?
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Une chienne meurt électrocutée pour sauver 6 personnes

 

 

Pour éviter à 6 personnes de mourir électrocuté, une chienne s’est sacrifiée. Photo : AFP/ Illustration

Damien Pirot

 

INDE – Alors que 6 personnes marchaient dans la rue près de Gummidipoondi (Inde), une chienne s’est mise à aboyer avant de sauter dans une flaque d’eau. Elle est morte électrocutée à cause d’un fil électrique en contact avec la marre. Mais elle a sauvé la vie des six passants.

Elle a donné sa vie pour sauver celles de six autres personnes. Arrivées à la gare de Gummidipoondi en Inde  le 3 septembre dernier, six personnes ont voulu rejoindre une correspondance. Mais lorsqu’elles sont sorties dans la rue encore humide après de nombreuses averses,  une chienne s’est brusquement approchée, raconte le Time of India.

La chienne meurt en laissant 6 chiots

Très excitée, la chienne s’est mise à aboyer de plus en plus fort avant de sauter dans une flaque d’eau. Et de mourir électrocutée. Les 6 passants, qui n’ont pas su interpréter le comportement de la chienne, se sont approchés pour comprendre. Ils ont découvert qu’un fil électrique d’un poteau, probablement tombé à cause de l’orage, était en contact avec l’eau.

Alertés par de nombreux témoins, les fonctionnaires de la gare ont rapidement bouclé la zone et ont découvert en plus du cadavre… une portée de chiots. Ces animaux orphelins, tous vivants, ont été accueillis dans un refuge avant d’être adoptés. L’histoire a en effet ému la population et de nombreuses personnes ont voulu les récupérer. Si deux des six chiots sont morts (peut-être à cause de la disparition de leur mère), les autres se portent bien et le refuge reçoit encore des appels de personnes souhaitant les accueillir.

« Quand nous nous sommes rendus au refuge pour adopter un chien, des personnes nous ont raconté l’histoire des chiots et de leur mère morte sacrifiée. Nous avons immédiatement adopté deux chiots », a témoigné une Indienne touchée par cet acte de bravoure.

http://www.metronews.fr/

Un « pacemaker pour le cerveau » contre les maladies neurologiques


Un progrès pour améliorer l’état de certaines maladies comme le Parkinson. Probablement que l’avenir pour ces personnes souffrant de maladie neurologique du mouvement pourront enfin avoir un traitement adapté pour eux
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Un « pacemaker pour le cerveau » contre les maladies neurologiques

 

Alim Louis Benabid (à gauche) et l’Amércain Mahlon DeLong, coloréats du prix de la fondation | AP/uncredited

Distingué, lundi 8 septembre, par un prestigieux prix de la Fondation Lasker (le « prix Nobel américain »), le neurochirurgien français Alim-Louis Benabid est récompensé avec le neurologue américain Mahlon DeLong pour leur mise au point de la technique dite de « stimulation cérébrale profonde » (SCP).

Ce procédé neurochirurgical a été appliqué pour la première fois sur un patient atteint de la maladie de Parkinson en 1993 au CHU de Grenoble par le professeur Benabid.

L’intervention vise à moduler grâce à un courant électrique à haute fréquence l’activité des circuits neuronaux dont le fonctionnement est perturbé par une maladie. L’hyperactivité pathologie de la région ciblée est en quelque sorte « brouillée ».

Pour cela, les neurochirurgiens implantent directement dans le cerveau de fines électrodes qui délivrent un courant électrique continu à des structures cérébrales profondes, en l’occurrence les noyaux gris centraux pour les malades parkinsoniens.

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UNE APPLICATION POUR LA MALADIE DE PARKINSON

Le dispositif entièrement sous-cutané comprend une électrode, une extension et un neurostimulateur, équivalent neurologique du pacemaker cardiaque.

Reliant l’électrode au neurostimulateur, l’extension est implantée sous la peau et chemine sous le cuir chevelu, descend le long du cou, puis jusqu’au thorax ou l’abdomen, selon le site choisi pour implanter le stimulateur. Ce dernier est programmable par radiofréquences à travers la peau. Cela permet au médecin de régler de manière non invasive les paramètres de la stimulation électrique.

Lire aussi l’entretien avec le professeur Pierre Pollak, chef de service de neurologie à Genève et président du comité scientifique de l’association France Parkinson :  « Il reste beaucoup à faire » pour la maladie de Parkinson

Les bénéfices de la SCP se font généralement sentir en quelques semaines. Une nouvelle génération de neurostimulateurs est développée qui seront capable d’enregistrer l’activité électrique du cerveau et d’adapter en conséquence la stimulation électrique.

La technique de la SCP a d’abord été appliquée avec succès au traitement des manifestations de la maladie de Parkinson, puis à d’autres pathologies du mouvement. En variant les sites d’implantation des électrodes, elle a ensuite été étendue avec plus ou moins de succès à la dépression sévère aux troubles obsessionnels compulsifs (TOC), à la maladie de Gilles de la Tourette.

D’autres pathologies neuropsychiatriques sont envisagées, mais soulèvent des questionnements éthiques en particulier lorsque certains médecins envisagent de l’appliquer à l’anorexie mentale ou à l’agressivité dirigée contre les autres.

http://www.lemonde.fr/

Dépression : hommes et femmes ne sont pas égaux face à la maladie


Personne n’est à l’abri de la dépression, mais elle se présente différemment entre femme et homme. Et c’est chez les hommes qu’il est plus difficile à diagnostiquer
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Dépression : hommes et femmes ne sont pas égaux face à la maladie

 

Hommes et femmes peuvent souffrir de dépression de différentes manières. Mêmes si certains symptômes sont communs, ils n’ont pas la même vulnérabilité face aux troubles de l’humeur.

Les femmes sont plus susceptibles de ruminer

 

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Ressasser les sentiments négatifs, s’attarder sur ce qui nous fait broyer de noir : ces deux attitudes sont rencontrées plus fréquemment chez les femmes que chez les hommes qui souffrent de dépression. Contrairement aux femmes, les hommes arrivent plus facilement à se laisser distraire de leurs pensées négatives tandis que les femmes ont plus tendance à ruminer, à se blâmer, et à souffrir d’une mésestime de soi.

Les femmes sont également plus susceptibles de souffrir de dépression en réponse à un événement stressant comme un décès dans la famille, un divorce ou la perte d’un emploi.

Les hommes sont plus susceptibles de boire

 

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C’est même un signe qui devrait mettre la puce à l’oreille de leur entourage. Les hommes qui souffrent de dépression ont en effet tendance à boire et à se tourner vers les drogues illicites pour tenter d’apaiser leur mal-être. Pour masquer leur tristesse, ils peuvent également se lancer à fond dans le travail ou pratiquer un sport de manière excessive.

Les hommes sont également plus susceptibles de tenter de se suicider et ont plus de chance de réussir leur tentative que les femmes.

Les femmes ont plus de risque de souffrir d’un trouble de l’alimentation

 

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La dépression et les troubles du comportement alimentaire comme l’anorexie ou la boulimie vont souvent de pair chez les femmes. Les difficultés psychologiques ou la difficulté à faire face à certaines situations difficiles se traduisent souvent, chez les femmes, par des crises ou des accès boulimiques, des compulsions alimentaires ou, à l’inverse, un refus de manger.

Ces symptômes sont liés à la situation de mal-être et de mésestime de soi qui accompagnent la dépression chez les femmes.

Les symptômes sont plus difficiles à reconnaître chez les hommes

 

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En raison de l’interaction des hormones, les femmes sont souvent touchées plus durement par la dépression que les hommes. Les symptômes apparaissent donc de manière plus marquée chez les femmes.

En cas de dépression, les femmes internalisent leurs troubles anxieux tandis que les hommes les externalisent. Certains deviennent plus agressifs, d’autres se lancent dans des comportements à risque comme le jeu, le tabagisme, ou les rapports sexuels non protégés. Des « symptômes » que l’on met du temps à mettre sur le compte de la dépression. Du coup, beaucoup d’hommes souffrent de dépression sévère lorsqu’ils sont enfin diagnostiqués.

Hommes et femmes réagissent différemment aux antidépresseurs

 

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C’est un nouveau domaine de recherches sur lequel, pour l’instant, peu d’études ont été publiées, mais il semble qu’il existe des différences dans la façon dont hommes et femmes métabolisent les antidépresseurs. L’origine la plus probable de ce déséquilibre entre les sexes semble de nature hormonale.

On sait, par exemple, que les hormones utilisées pour la contraception orale augmentent le taux sanguin des antidépresseurs. En utilisant les mêmes doses de médicament pour une femme que pour un homme, celle-ci risque d’avoir un taux excessif dans le sang et de voir augmenter les effets indésirables.

http://www.topsante.com