Tueur de neurones


Malgré ce noir tableau de cette citation de notre société, il y a quand même des gens qui font la différence, qui savent donner, partager, écouter.
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Tueur de neurones et de la tolérance

 

Aujourd’hui l’amour n’est plus au premier plan. L’argent l’a dépassé depuis longtemps, il engendre la jalousie, la haine et les conflits… Il tue tous les neurones de l’intelligence et de la tolérance, ne laissant que ceux du profit…

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Truc Express ► Désodoriser un animal éclaboussé par une mouffette


Quand j’avais mon chat roux Virgule, il avait un jour, rencontrer une moufette. Heureusement, il évité l’arrosage intégral, mais assez pour que cette odeur soit désagréable dans mon appartement.
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Désodoriser un animal éclaboussé par une mouffette

 

L’antidote usuel recommandé, le jus de tomate, ne débarrasse pas toujours l’animal des odeurs repoussantes de la mouffette. De plus, son acidité peut irriter la peau de l’animal.

Dans un contenant ouvert, mélanger:

1 pinte (500 mL) de peroxyde d’hydrogène 3%
1/4 tasse (4 c.à soupe; environ 60 g) de bicarbonate de soude (la petite vache)
1 C.à thé (5 mL) de savon liquide

Laver l’animal dans la solution (attention aux yeux) et appliquer un rinçage abondant au robinet. L’odeur disparaîtra immédiatement de façon suffisante pour que l’animal puisse coucher dans la maison le même jour.

Le succès de la recette provient de la réaction avec les thiols, les produits chimiques donnant l’odeur puante au jet de la moufette. Le remède prescrit neutralise ces thiols en les enjoignant à se combiner avec l’oxygène, fourni par le peroxyde d’hydrogène.

Ne pas essayer de préparer d’avance la potion puisqu’il n’y a pas de façon de l’entreposer chez soi en toute sécurité. En effet, prenez garde car si vous essayez de mettre les ingrédients mélangés dans un contenant fermé, celui-ci risque d’exploser!

Cette recette a évité à mon chien d’être banni à l’extérieur l’automne dernier.

http://www.coupdepouce.com

De l’avion à la salle d’opération: un médecin veut des boîtes noires à l’hôpital


Une boite noire dans les salles d’opération, pas bête comme idée. Cela n’est pas pour les épier, mais pour mieux analyser les gestes des jeunes chirurgiens pour mieux performer.
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De l’avion à la salle d’opération: un médecin veut des boîtes noires à l’hôpital

 

TORONTO – Un chirurgien de Toronto cherchant à adapter la technologie des boîtes noires à bord des avions pour surveiller les opérations et améliorer les résultats pour les patients soutient que les résultats préliminaires sont encourageants.

Dans la salle d’opération du Dr Teodor Grantcharov, «toute la pièce est connectée». Des caméras et des micros captent les gestes et les conversations, et les données du patient, comme son rythme cardiaque et sa pression sanguine, sont enregistrées automatiquement par un appareil similaire à ceux utilisés à bord des avions.

Ce nouvel appareil chirurgical, qui est en fait bleu, doit changer la culture et la pratique médicales, soutient le Dr Grantcharov, un chirurgien à l’hôpital St. Michael et un professeur de l’Université de Toronto.

Une fois que les chirurgiens complètent leur formation et pratiquent de façon indépendante, «personne ne nous surveille, personne ne nous forme, et personne ne fait de commentaires», dit-il.

Cette absence de suivi, ainsi que la pression, pour les chirurgiens, d’avoir l’air de ne jamais se tromper, n’aide pas la communauté médicale, poursuit le médecin.

«Changer la culture commence avec le fait d’admettre ou d’être honnête à propos de nos limites.»

Inspiré par la volonté des transporteurs aériens de reconnaître l’erreur humaine et de reconstruire les accidents afin d’en tirer des leçons, il a commencé à développer la technologie il y a quelques années, et est en consultations avec Air Canada depuis six mois. Un projet pilote est en place à St. Michael depuis avril, et le médecin soutient que les patients désirent participer.

Le Dr Grantcharov précise que les données recueillies ce printemps et cet été doivent encore être analysées, mais que les résultats préliminaires démontrent que de petits obstacles dans la salle d’opération peuvent entraîner d’énormes différences.

Le médecin et son équipe sont aussi en contact avec Google pour une éventuelle utilisation des lunettes Glass afin d’offrir de la rétroaction aux docteurs, leur permettant de modifier leurs gestes en temps réel.

Ces genres de partenariat sont essentiels pour faire progresser la médecine, affirme Joshua Liu, un médecin devenu entrepreneur et fondateur de la PME médicale SeamlessMD.

«Il y a un rôle de plus en plus important pour les analystes de données, les programmeurs et les technologues pour aider l’hôpital à s’orienter dans le domaine des technologies les plus récentes, et les rendre utiles dans un contexte médical, qui est un système très complexe.»

«Ce qui est clair, désormais, c’est que vous avez besoin d’équipes interprofessionnelles pour travailler sur ces problèmes, puisqu’ils sont complexes., a-t-il, avant d’ajouter que l’hôpital de l’avenir abritera des professionnels de la santé, mais aussi des spécialistes technologiques, des programmeurs et des concepteurs.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Le mystère des pierres mouvantes de la vallée de la mort a été résolu


Pour un profane en science, l’explication est très simple et semble même très logique pour que des pierres, dont certaines sont assez pesantes puissent bouger et laisser derrière eux, avec le temps, un long sillage
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Le mystère des pierres mouvantes de la vallée de la mort a été résolu

 

La vallée de la Mort en juin 2007 (Jon Sullivan).

Il s’agit d’un phénomène provoqué par la glace, la température et le vent.

Depuis la fin du XXe siècle, un curieux phénomène se produit dans l’ancien lit d’un lac de la vallée de la Mort. Des pierres (certaines faisant plus de 300 kg) se déplacent mystérieusement dans le «Racetrack Playa» en laissant derrière elles une trace dans le sable. Personne ne les avait encore vu bouger.

Selon PetaPixel, une installation en time lapse aurait permis à deux scientifiques, Richard et Jim Norris (respectivement océanographe et ingénieur), d’enfin percer le secret.

 

«La science, c’est parfois de la chance, raconte Richard Norris dans un écrit. Nous nous attendions à patienter cinq ou dix ans sans que rien ne bouge, mais seulement deux ans après le début du projet, il est arrivé que nous soyons là au bon moment pour le voir [le phénomène] en personne.»

Les pierres ne seraient pas poussées uniquement par le vent, comme des scientifiques l’ont d’abord pensé: il s’agit en fait d’un phénomène appellé «poussée de glace». PetaPixel explique: 

«Des objets peuvent se déplacer sur une surface quand le vent et les changements de température provoquent des calottes glacières temporaires capables de bouger de gros objets.»

Pour cela, il faut que l’eau présente dans le lit atteigne un niveau suffisamment profond sans pour autant recouvrir les pierres. Lorsque la nuit, les températures baissent assez pour que l’eau gèle légérement, la base des pierres se retrouve entourée par une sorte de «vitre» de glace. Le lendemain, lorsque les températures remontent, la glace se divise en plaques qui, quand le vent se met à souffler, font glisser les pierres par à-coups. 

Dans la vidéo suivante, Richard Norris explique en détails ses arguments.

Fanny Arlandis

http://www.slate.fr

Coincée sous un tramway, les passagers se réunissent pour lui sauver la vie


Une jeune fille bien chanceuse de ne pas avoir subit trop de conséquences de l’inattention d’avoir eu des écouteurs. et que la solidarité est encore présente a nos jours pour ce sortir de cette situation
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Coincée sous un tramway, les passagers se réunissent pour lui sauver la vie

 

Le tramway de Bordeaux (photo d'illustration)

Le tramway de Bordeaux (photo d’illustration)

Vidéo – Une étudiante de Dublin, en Irlande, a frôlé la mort ce mardi. Coincée sous un tramway de la ville, les autres passagers ont dû soulever la rame pour la sauver, a rapporté le Daily Mail.

La jeune fille de 16 ans, originaire de Pologne, n’a pas vu le tram arriver et s’est retrouvée coincée sous les rails en essayant de monter sur le quai.

« J’avais mes écouteurs et je ne l’ai pas entendu venir. (…) J’ai paniqué et ma jambe a glissé » a expliqué la lycéenne sur son compte Facebook.

La solidarité des passagers

Une trentaine de passagers s’est alors réunie pour aider la jeune fille et soulever l’engin afin de pouvoir dégager la jambe de l’étudiante. Cette scène, filmée par l’un des sauveteurs, a ensuite été mise en ligne sur YouTube. On y voit l’adolescente légèrement blessée.

« Je n’arrive pas à croire que je sois vivante, j’aurais pu mourir aujourd’hui, c’est un miracle que je n’aie pas perdu ma jambe. (…) Je n’ai pas de mots pour décrire combien je suis reconnaissante envers les gens qui ont poussé le tram et m’ont sortie de là » a écrit la jeune fille sur Facebook. 

http://www.ladepeche.fr

L’ADN raconte l’histoire des Paléoesquimaux


Un peuple qui a jadis existé il y a quelques milliers d’années dans l’Arctique, le Nord Canadien n’a pas voulu se mêler à d’autres cultures comme les Inuits. Ils se sont isolés pour s’éteindre, il y a quelques centaines d’années
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L’ADN raconte l’histoire des Paléoesquimaux

 

Photo :  NSA

Les Paléoesquimaux qui ont peuplé l’Arctique nord-américain pendant plus de 4000 ans, avant de disparaître il y a 700 ans, représentaient une seule migration de Sibérie, distincte des autres vagues migratoires vers le Nouveau Monde, révèle une étude internationale menée par une cinquantaine de chercheurs.

Ces paléontologues ont collecté des fragments d’ADN provenant de restes humains anciens dans le nord du Canada, au Groenland et en Sibérie afin de percer le mystère des Paléoesquimaux représentants de la culture Dorset, disparus soudainement sans laisser de trace.

Les résultats montrent que :

 les ancêtres des Amérindiens avaient traversé le détroit de Béring beaucoup plus tôt, tandis que les Inuits, qui sont aussi venus de Sibérie, sont arrivés plusieurs milliers d’années après les Paléoesquimaux;

 les Paléoesquimaux sont restés génétiquement isolés pendant des milliers d’années et la culture Dorset n’a pas disparu par un processus d’assimilation avec d’autres peuples;

 les Inuits modernes ne descendent pas directement des Paléoesquimaux, mais de la culture de Thulé, un autre peuple préhistorique de l’Arctique;

 les Paléoesquimaux constituaient un seul groupe dans l’Arctique et ont survécu sans contact extérieur pendant plus de 4000 ans.

Cette dernière information a surpris les chercheurs, puisque chaque fois qu’un peuple en rencontre un autre dans l’histoire, il y a toujours des indications de relations sexuelles entre leurs membres respectifs.

« Nous sommes ici en présence d’une situation unique, où malgré le fait d’avoir eu des contacts avec leurs voisins dont on a trouvé des traces, les Paléoesquimaux ont choisi de vivre isolés. » Eske Willerslev Université de Copenhague au Danemark

Les analyses de l’ADN mitochondrial, transmis par la mère et qui permet de retracer la lignée matriarcale, laissent à penser que les relations consanguines étaient très répandues parmi les Paléoesquimaux, ce qui a pu les affaiblir et contribuer à leur extinction.

Un changement climatique dans l’Arctique aurait également pu rendre les conditions de vie beaucoup plus difficiles pour plusieurs générations de Paléoesquimaux.

En effet, même de faibles variations de température dans l’Arctique peuvent avoir des effets dévastateurs sur la faune marine, réduisant fortement des sources vitales d’alimentation.

Ces travaux, dont le détail est publié dans la revue Science, permettent donc d’exclure l’hypothèse d’une intégration de la culture Dorset dans le peuple Inuit moderne. Cependant, le mystère de la disparition des Paléoesquimaux reste entier. Les chercheurs veulent maintenant examiner plus de restes humains anciens afin de résoudre ce mystère.

http://ici.radio-canada.ca

Les vétérinaires mettent les propriétaires d’animaux en garde contre Internet


Tout comme chez l’être humain, les sites, forums, blogs, réseaux sociaux ne peuvent pas faire de tests et d’examens d’un animal pour poser une diagnostique. Internet peut être un outil, mais, il ne remplace pas un vétérinaire
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Les vétérinaires mettent les propriétaires d’animaux en garde contre Internet

 

Par Sophie Le Roux

Crédits photo : Vincent Garcia – Flickr

Bien trop de propriétaires d’animaux tentent de diagnostiquer eux-mêmes les maladies dont souffrent leurs compagnons, en faisant appel au fameux Dr Google. Résultat ? Ces animaux sont emmenés trop tard chez le vétérinaire, et pour certains, les conséquences sont très graves voire fatales. C’est ce que révèle la dernière enquête menée par la British veterinary association (BVA).

Les vétérinaires britanniques mettent alors en garde ces personnes tentées de soigner elles-mêmes leurs compagnons à 4 pattes grâce aux conseils glanés sur Internet.

Ils s’inquiètent également de voir trop de propriétaires d’animaux donnant leurs propres médicaments à leurs chiens, chats et Nacs, ou des traitements achetés en ligne afin de faire des économies.

Croire le Dr Google plutôt que son vétérinaire

Certains n’hésitent pas non plus à contredire leur vétérinaire ou refuser ses propositions de traitements en raison de ce qu’ils ont pu lire sur le web.

Un vétérinaire raconte avoir eu affaire à une personne ayant refusé une opération sur son chien, avant de « revenir quelques minutes chien plus tard totalement paniquée parce que Internet avait confirmé (son) conseil ».

Les problèmes dermatologiques et digestifs arrivent en tête des motifs de consultation, indique l’étude menée auprès des vétérinaires britanniques. Et 80% d’entre eux déplorent de voir les animaux concernés dans leur cabinet plus tard qu’il ne l’aurait fallu. Plus vite la maladie est traitée, plus grandes sont les chances de rétablissement, rappellent-ils.

Gare à l’auto-diagnostic !

Robin Hargreaves, le président de la BVA affirme que si certains sites sont réellement utiles et donnent de bons conseils, de nombreuses maladies ont des symptômes semblables et sont donc quasiment impossibles à diagnostiquer sans qu’aucun test ne soit réalisé sur l’animal.

« Souvent, les symptômes que les gens reconnaissent sont assez génériques », explique-t-il. « Si vous les entrez dans un moteur de recherche, vous pouvez obtenir toutes sortes de choses, dont certaines sans gravité et d’autres qui peuvent être très graves ». 

En bref, si tous les conseils en ligne ne sont pas bons à jeter, l’auto-diagnostic, lui, qu’on le pratique sur un humain ou un animal, est toujours à proscrire !

http://wamiz.com