Prochain Chapitre


La vie, c’est comme un livre qu’on écrit au jour le jour. Il n’y a pas de page blanche, seulement des pages qui ne trouve pas le moyen de continuer son histoire, car l’auteur ne fait que de retourner les pages déjà écrites
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Prochain Chapitre

 

« Tu ne peux commencer le prochain chapitre de ta vie
si tu relis sans cesse le dernier. »

Auteur inconnu

Oscar, le chien qui ne veut pas se réveiller


Dure dure, la vie de chien ! Non, mais c’est quoi l’idée de mettre un réveil-matin, alors qu’il est si bon de dormir. Ils sont bizarres les humains
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Oscar, le chien qui ne veut pas se réveiller

 

Par Sophie Le Roux Crédits photo : Youtube – Oscar Vizsla

Oscar, c’est le nom d’un toutou, un Braque hongrois à poil court, qui vous fera certainement penser à vous, ce matin, lorsque la si cruelle sonnerie de votre réveil s’est mise à retentir. Car pour les chiens aussi, ce moment est une terrible épreuve !

Blotti sous la couette, bien au chaud, Oscar n’a aucune envie de s’extraire de son nid douillet. Non, Oscar veut faire la grasse matinée, et on le comprend aisément.

Alors quand le réveil se met à sonner, il fait bien comprendre à ses maîtres qu’ils feraient mieux de l’éteindre et de le laisser roupiller quelques minutes voire quelques heures de plus. Le chien hurle, d’abord doucement puis de plus en plus fort, jusqu’à ce que cet insupportable bruit cesse.

Et dès que le réveil se tait enfin, Oscar replonge sous la couette pour se rendormir paisiblement.

http://wamiz.com

Le Saviez-Vous ► Comment le cerveau gère-t-il ses besoins énergétiques ?


Notre cerveau est beaucoup moins énergivore que les supers ordinateurs, et pourtant le cerveau traitent beaucoup plus d’informations Alors oui, nous sommes une lumière dans tous les sens du terme
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« Comment le cerveau gère-t-il ses besoins énergétiques ? »

 

Le cerveau consomme plus de 20% de l’énergie totale de notre organisme.

Coûteux direz-vous, mais en fait il consomme seulement 20 watts, soit l’équivalent d’une ampoule électrique, pour traiter la masse impressionante d’information dont nous avons besoin chaque jour. Par comparaison

les plus puissants ordinateurs, qui sont loin d’avoir les mêmes performances que notre cerveau, consomment un milliard de fois plus d’énergie. L’étude du métabolisme cérébral est donc importante pour nous aider à mieux comprendre cette remarquable efficacité.

http://www.lasemaineducerveau.ch/

Un femelle panda feint une grossesse pour être choyée


Pour qu’un panda puisse stimuler une grossesse fantôme, dans le but d’avoir un traitement de faveur, montre bien que ces ours très mignons sont très intelligents.
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Un femelle panda feint une grossesse pour être choyée

 

Ai Hin dans son enclos le 17 juillet 2014.

Ai Hin dans son enclos le 17 juillet 2014. [STR / AFP]

 

En Chine, une femelle panda présentant tous les signes d’une gestation recevait toute l’attention de ses soigneurs. Mais, l’animal aurait tout simulé afin d’obtenir un traitement de faveur et des rations supplémentaires de nourriture.

Ai Hin, une femelle panda âgée de six ans, a présenté les premiers symptômes d’une gestation le mois dernier. Hébergée au Centre de reproduction de pandas géants de Chengdu (sud-ouest de la Chine), elle devait mettre bas sous l’oeil des caméras pour la diffusion en direct inédite d’un tel événement.

Elle affichait entre autres une perte d’appétit et de mobilité, ainsi qu’une forte hausse de ses sécrétions hormonales.

Seulement, Ai Hin a expérimenté “une gestation fantôme”, a rapporté l’agence Chine nouvelle, citant des experts. Ces derniers jours, le comportement et les “indicateurs physiologiques” de l’animal sont revenus à la normale.

Reproduction en captivité difficile

Les pandas connaissant une extrême difficulté à se reproduire en captivité, la réserve offre un traitement privilégié aux femelles en gestation. Elles sont ainsi isolées dans des pièces confortables avec air conditionné et soins permanents.

“Elle reçoivent des rations supplémentaires de petits pains briochés; de fruits et de bambou. Donc, certains pandas très intelligents utilisent parfois cette situation à leur avantage en vue d’améliorer leur qualité de vie”, a expliqué Wu Kongju, un expert de la réserve.

D’après Chine nouvelle, les “gestations fantômes” sont courantes chez les espèces menacées.

http://www.directmatin.fr/

Plus dangereux, inédit, visible: le «toujours plus» des sports extrêmes


Avec les réseaux sociaux, les vidéos, le sport extrême a pris une ampleur démesurée. Risquer sa vie pour se sentir plus vivant. Mais aussi, c’est regarder moi, je suis bon, j’affronte la mort face à face. Malheureusement, ce genre d’activités dangereuses rencontre quelques fois la mort et ce même avec des sportifs expérimentés
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Plus dangereux, inédit, visible: le «toujours plus» des sports extrêmes

 

Base jump, Parkour, High, sauts en wingsuit, une... (Photo PHILIPPE DESMAZES, AFP)

Base jump, Parkour, High, sauts en wingsuit, une combinaison ailée… L’inventivité humaine semble n’avoir point de limite en matière de disciplines toujours plus extraordinaires, plus risquées, plus photo et télégéniques aussi.

Photo PHILIPPE DESMAZES, AFP

 

Françoise CHAPTAL
Agence France-Presse
PARIS

Ils glissent comme des oiseaux entre des parois rocheuses portés par une combinaison ailée, font le poirier sur le rebord d’un toit ou se jettent d’une falaise: les adeptes de sports extrêmes, autrefois circonscrits à une poignée d’initiés, sont de plus en plus nombreux.

Et leurs exploits plus visibles, filmés et diffusés sur l’internet, comme un défi à une société de plus en plus averse au risque.

Base jump (saut en parachute d’un promontoire naturel comme une falaise ou artificiel comme un pont), Parkour (acrobaties urbaines, de toits en balcons, murs, édifices), High ou skylining (funambulisme en milieu urbain ou naturel), sauts en wingsuit, (une combinaison ailée…) L’inventivité humaine semble n’avoir point de limite en matière de disciplines toujours plus extraordinaires, plus risquées, plus photo et télégéniques aussi.

Et plus mortelles aussi: quatre base-jumpers se sont écrasés dans les Alpes et Pyrénées françaises en août après s’être jetés dans le vide depuis un sommet. Le base jump et le wingsuit coûtent la vie à une vingtaine de personnes chaque année en moyenne. En mars, la communauté des amateurs d’adrénaline avait été choquée par la mort de trois sportifs expérimentés et réputés, dans les Alpes suisses, le Néo-Zélandais Dan Vicary, l’Américain Brian Drake et le Français Ludovic Woerth.

C’est dans les années 2000, coïncidant avec l’essor des réseaux sociaux et du partage de vidéos sur l’internet, que ces sports ont fait irruption ou sont sortis de l’ombre, ringardisant le parachutisme, le deltaplane ou le saut à l’élastique, considérés autrefois, dans l’imaginaire collectif, comme le summum des sports à risques.

«Aujourd’hui, beaucoup de pratiquants de ces sports se mettent en scène dans des vidéos et cela change la donne», note Nicolas Cazenave, maître de conférence en psychologie clinique et de la santé à l’université de Toulouse-Jean-Jaurès. «Il y a un côté narcissique qui n’existait pas par le passé, quand ces pratiques étaient confidentielles.»

«Inventivité galopante»

Il suffit en effet de passer un moment sur un site de vidéos, comme Epic TV, pour être abreuvé d’images plus spectaculaires les unes que les autres.

«On s’affronte par vidéo interposée, donc on augmente les risques, parce qu’une fois que tout le monde a réalisé un exploit, il faut passer à quelque chose de plus risqué», poursuit Nicolas Cazenave, lui-même ancien snowboarder.

D’autant que les technologies en terme de matériel sont de plus en plus accessibles. Le wingsuit, cette combinaison ailée qui se gonfle et permet de voler, a été «démocratisée» après le saut dans l’espace de l’Autrichien Felix Baumgartner, orchestré par la marque autrichienne de boissons énergétiques Red Bull.

Aujourd’hui, sauter en wingsuit est devenu tellement «banal» qu’un Italo-Norvégien de 27 ans, Alexander Polli, a cru bon, pour se démarquer, de passer à 250 km/h dans un trou à peine plus large que son envergure, creusé par l’érosion dans une falaise de Catalogne, après avoir sauté, équipé de son wingsuit, depuis un hélicoptère!

«Il y a clairement une inventivité galopante», reprend Nicolas Cazenave. «Parce que les nouvelles technologies le permettent, sont plus accessibles. Et aussi parce que notre société tend à mettre de plus en plus de freins, de protections physiques, de limitations de vitesse, dans la vie de tous les jours et dans le sport. Les sportifs de l’extrême recherchent les niches.»

«Testostérone et dopamine»

Chercheuse en psychologie sociale à l’institut des sciences du mouvement d’Aix-Marseille, spécialiste des prises de risque dans le sport, Cécile Martha a suivi pendant un an et demi une quarantaine d’adeptes du Base jump (sur 200 recensés en France), sorte de parachutisme dont les adeptes se jettent d’un pont ou d’une falaise plutôt que d’un avion.

Elle a dressé un portrait-robot de ces athlètes de l’extrême:

«Un homme, pour l’écrasante majorité (pour des raisons d’abord hormonales liées au mélange détonant de la testostérone, hormone masculine, et de la dopamine, celle du plaisir, dans des situations extrêmes) éprouvant un besoin de sensations fortes supérieur à la moyenne».

«En revanche, ce ne sont pas des impulsifs», poursuit-elle. Ils abordent leur sport de manière très méticuleuse et ceux qui ont le plus d’accidents sont justement les impulsifs». Leur vie est à la merci des reliefs ou d’un coup de vent imprévu.

«Le quotidien ne leur donne pas de sensations fortes, d’émotions. Ce n’est pas se confronter à la mort qui les stimule, mais plutôt le désir de se sentir extrêmement vivants. Pour cela, ils ont besoin de se mettre en danger», explique Nicolas Cazenave.

«L’équitation, le ski, la gymnastique, la F1, la voile, la moto… comportent à priori un risque mortel», explique Jean Griffet, sociologue spécialiste des sports aquatiques extrêmes comme la plongée en apnée.

Mais le danger y est réduit par des dispositifs (glissières de sécurité, tapis de mousse…) et un apprentissage progressif.

«Le sport extrême ne permet pas cet apprentissage. Lorsque vous sautez pour la première fois en Base jump, c’est déjà une activité létale, définie par la loi du tout ou rien.»

http://www.lapresse.ca/

Un étudiant met au point des béquilles mains libres


Nos jeunes ont des idées pour améliorer le quotidien des gens. Quelques fois, ils réussissent même a changer un objet connu pour quelque chose de mieux
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Un étudiant met au point des béquilles mains libres

 

Comment ouvrir une porte, ne pas faire tomber son sac et garder l’équilibre avec des béquilles ? Impossible ! Sauf avec ce nouveau projet innovant réalisé par un jeune étudiant américain et récompensé par un Dyson Award.

Behzad Rashidizadeh, étudiant en design industriel au College for Creative Studies aux Etats-Unis a imaginé lors d’un projet de création personnelle un nouveau type de béquille, les Sit & Stand.

Cette béquille Sit & Stand enveloppe le haut de la cuisse, ainsi que la fesse de la jambe fracturée et fait office de « nouvelle jambe ». Comme elle allège le poids reporté sur la jambe saine, l’utilisateur peut donc marcher de façon plus naturelle qu’avec des béquilles classiques. Pour plus de confort, la partie soutenant le haut de la cuisse est rembourrée de mousse.

Sit & Stand est un nouveau type de béquilles très novatrices. Ce nouvel outil est un dispositif d’assistance « mains libres » pour les personnes qui ont temporairement une cheville ou une jambe cassée. Transformables, ces béquilles peuvent aussi se moduler et devenir un siège qui permet à l’utilisateur de se reposer et se détendre au besoin.

« Dans le cadre de ce projet de classe, j’ai passé en revue l’évolution de béquilles à travers le temps. J’ai interviewé des gens qui avaient dû utiliser des béquilles. Les résultats de ces entretiens et l’expérience ont montré que le principal problème des utilisateurs est lié à la limitation de l’usage de leurs mains ».

Une solution innovante

 

« Donc, mon nouveau défi était de concevoir une béquille qui fonctionne mieux que l’avant-bras traditionnel et qui libèrerait les mains, tout en assurant un équilibre parfait » explique Behzad Rashidizadeh.

Grâce à cette solution, les personnes utilisant des béquilles retrouvent une certaine autonomie.

Ils peuvent à nouveau ouvrir des portes, marcher, monter des escaliers et transporter des objets légers. Et se reposer à n’importe quel moment, car ce support peut devenir un siège.

Un projet récompensé

 

Si l’étudiant n’a pu aujourd’hui, faute de moyen, uniquement réaliser que des maquettes en bois et en mousse, il a été récompensé pour cette solution innovante par un Dyson Award. Le Prix James Dyson est un prix international de design qui célèbre, encourage et inspire la prochaine génération d’ingénieurs de conception. Le prix est ouvert aux étudiants et est géré par la Fondation James Dyson.

http://www.topsante.com

Tasmanie Un mouton jamais tondu?


Il semble important de tondre les moutons, car un mouton, se retrouverait enveloppé d’un cocon de laine feutrée, sale, humide et moisie. La tonte est un acte d’hygiène qui évite l’apparition de parasites externes. Ce mouton, va sûrement se sentir mieux, alors qu’il n’aura plus un lourd poids à porter
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Tasmanie

Un mouton jamais tondu?

 

(capture d’écran, Australian Broadcasting Corporation)

Agence QMI

Un couple d’Australiens pense avoir trouvé le mouton avec le plus de laine au monde en Tasmanie. L’animal portait environ 20 kg de laine sur le corps.

L’histoire a été rapportée par l’Australian Broadcasting Corporation. Netty et Peter Hazell ont aperçu le mouton errant dans leur ferme, dimanche, et n’ont pas eu de mal à l’attraper en raison de la laine qui recouvrait ses yeux. Ils l’ont surnommé Shaun.

«Il ne pouvait pas voir grand-chose alors je me suis faufilé derrière lui et je l’ai saisi», a raconté Peter Hazell au réseau de télévision.

Le fermier croit que le mouton n’a jamais été tondu et pense y remédier dès cette semaine, espérant que Shaun pourrait battre un record officiel.

Mais un expert local en la matière, Ray Peters, pense que c’est peine perdue.

Le record du monde du mouton le plus laineux serait en effet détenu par un bélier néo-zélandais nommé Shrek. Il avait été découvert avec 27 kg de laine sur le dos.

http://tvanouvelles.ca/

Anosmie : « Je ne sens rien… »


J’ai un ami qui souffre anosmie. Le jour où j’ai pu vraiment comprendre que l’odorat était important, c’est qu’il m’avait téléphoné après une panne de quelques heures en été, pour savoir comment savoir si son foie de veau était encore bon … Par réflexe, je réponds bien commence par le sentir. Oups. Bon, il reste la couleur, mais au pire mieux ne vaut pas prendre de chance. Il y a aussi d’autres raisons que c’est important pour sentir le danger comme le feu
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Anosmie : « Je ne sens rien… »

 

En cuisine, l’anosmique ne sent pas l’odeur des plats mijotés ni celles de… gaz, ce qui peut s’avérer dangereux. ©Phovoir

Vous vous extasiez devant l’odeur du café au petit matin ou celle de la rose ? L’anosmique lui, n’en a cure. Et pour cause, il est dépourvu partiellement ou totalement d’odorat. Les causes sont potentiellement nombreuses.

L’anosmie fait donc partie des troubles de l’odorat, au même titre que l’hyperosmie qui est une sensibilité accrue aux odeurs ou l’hyposmie, caractérisée par un odorat diminué. Celle-ci peut aussi être appelée « anosmie partielle ». Il existe encore la phantosmie, c’est-à-dire, la perception d’une odeur qui n’existe pas réellement. Il s’agit en quelque sorte d’une hallucination olfactive.

D’une manière générale, l’absence d’odorat est diagnostiquée par IRM. Dans de rares cas, cette anosmie peut être congénitale. Elle est alors due à un problème de développement des bulbes olfactifs ou au remplacement de l’épithélium olfactif par de l’épithélium respiratoire.

Au-delà de cet aspect congénital, certaines affections peuvent être à l’origine d’une anosmie partielle. C’est le cas de rhinites ou de sinusites aiguës ou de la présence de polypes ou niveau des fosses nasales qui empêchent la transmission des odeurs.

Pas d’odorat, ni de goût…

Saviez-vous également qu’une grossesse pouvait altérer leur perception ? Certaines femmes vont en effet présenter des hyperosmies et/ou ce que les ORL appellent des « troubles de l’olfaction à type de déplacement de sensibilité ». Autrement dit, elles vont prendre une odeur pour une autre.

Dans de rares cas, des médicaments (méthotrexate, codéine, morphine…) peuvent aussi être en cause, au même titre bien sûr que des atteintes neurologiques consécutives par exemple à un accident vasculaire cérébral (AVC).

En 2012, une équipe française de l’INSERM a également suggéré que les dépressifs distinguaient moins bien les différents niveaux d’intensité des odeurs. Il est enfin bien connu que le tabagisme altère également l’odorat mais aussi le goût. Ces deux sens sont d’ailleurs très liés. A tel point qu’une large majorité des anosmiques souffre aussi d’agueusie. Non seulement, elles ne sentent pas l’odeur d’un bon petit plat, mais en plus elles n’en connaissent pas le goût…

Dans tous les cas, à la moindre question, concernant notamment les prises en charge éventuelles, interrogez votre ORL.

https://destinationsante.com