Une attitude que nous devrions avoir pour être bien dans sa peau
Nuage
Être soi-même
« Tout le monde veut devenir quelqu’un, moi j’essaie d’être moi-même. »
Mino
Une attitude que nous devrions avoir pour être bien dans sa peau
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Être soi-même
« Tout le monde veut devenir quelqu’un, moi j’essaie d’être moi-même. »
Mino
Quand on est un sans-abri, un café est très précieux,et voir son breuvage dans les mains d’un jeune homme est inquiétant. Pourtant, cet homme a eu sa journée inondée de soleil malgré la perte de son breuvage.
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Voir en noir et blanc, sans jamais admirer les couchers de soleil dans toute sa splendeur, les fleurs aux mille teintes, ces oiseaux colorés. Voir le jour serait difficile pour les yeux, alors que la nuit, la vision est à son meilleur. Beaucoup d’habitant quelque part sur une atoll dans le Pacifique vivent en noir et blanc.
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Christelle Henault
C’est un atoll paradisiaque du bout du monde, avec ses plages de sable fin bordées de cocotiers, son lagon aux mille nuances de bleu et ses couchers de soleil flamboyants. Mais beaucoup des 250 habitants de Pingelap n’en percevront jamais le festival de couleurs. Sur cette petite île de l’archipel des îles Carolines (Etats fédérés de Micronésie), en plein Pacifique, près d’un individu sur dix vit sa vie en noir et blanc.
Ils sont atteints d’achromatopsie – en langue locale le maskun, la maladie des yeux éteints. Dans le reste du monde, cette affection congénitale touche 1 individu sur 50 000. A Pingelap, elle menace toutes les familles.
Au-delà de leur aveuglement aux couleurs et de leur faible acuité visuelle, les achromates sont surtout gênés par leur sensibilité extrême à la lumière. Le jour, ils fuient les rayons du soleil ou plissent les yeux pour tenter de s’en protéger. Seules la pénombre ou la tombée de la nuit les soulagent.
UNE MEILLEURE VUE DE NUIT
A mesure que l’obscurité croît, les achromates se déplacent avec plus d’aisance, raconte ainsi l’anthropo-neurologue américain Oliver Sacks dans L’Ile en noir et blanc (Seuil, 1997), récit de son voyage dans l’atoll micronésien.
« Chacun sait à Pingelap que ceux qui ont le maskun se débrouillent mieux lorsque la vision scotopique est requise – à l’aube, au crépuscule et au clair de lune –, c’est pourquoi les achromates travaillent souvent comme pêcheurs la nuit. Ils sont insurpassables dans cette tâche. »
Il n’en a pas toujours été ainsi sur l’atoll. Les premiers cas de cette étrange épidémie sont apparus vers 1820, puis ils se sont multipliés de génération en génération, suscitant de nombreuses légendes.
Oliver Sacks a ainsi entendu que « le maskun provenait d’une femme enceinte qui avait marché le long la plage en plein milieu du jour : le soleil ardent, estimait-on, pouvant en partie aveugler l’enfant dans la matrice ». Il y avait aussi, poursuit-il, « des préjugés tenaces, comme toujours avec les maladies, selon lesquels le maskun venait de l’étranger ».
Le mal aurait été ramené par des Pingelapiens qui avaient été contraints de travailler pour des Allemands dans les mines de phosphate de l’île de Nauru.
LÉGENDES POPULAIRES
Mais la plupart des mythes sont intimement liés à l’histoire de l’atoll de Pingelap et de son roi Mwahuele, survivant d’une terrible catastrophe naturelle.
En 1775, cette île, dont l’altitude ne dépasse guère les 3 mètres, est dévastée par un typhon. La grande majorité de ses 1 000 habitants périssent dans les vagues, ou succombent à la famine qui s’ensuit. Une vingtaine d’entre eux en réchappent, parmi lesquels de rares hommes, dont le roi Mwahuele. Sa vigueur et la bonne fécondité des femmes permettent de repeupler l’île rapidement… dans la consanguinité. Ce qui va faire son malheur à partir de la cinquième génération.
Les généticiens Irene Hussels et Newton Morton, de l’université d’Hawaï, qui ont séjourné à plusieurs reprises sur l’atoll pour reconstituer la chronologie des événements, ont montré à quel point les légendes populaires concordent avec l’arbre généalogique de ce qui est en fait une maladie génétique. Les premiers cas sont apparus chez deux des six enfants qu’a eus le roi Okonomwaun – un des descendants de Mwahuele qui a régné de 1822 à 1870 – avec sa femme Dokas.
UNIONS CONSANGUINES
Selon Hussels et Morton, dans un article paru dans l’American Journal of Human Genetics en 1972 :
« Le mythe veut qu’un dieu, Isoahpahu, tombé amoureux de Dokas, enjoignit au roi de la lui réserver. De temps en temps, Isoahpahu apparaissait sous les traits d’Okonomwaun et avait des relations sexuelles avec Dokas, engendrant des bébés atteints ; alors que les enfants normaux provenaient d’Okonomwaun. »
D’après les deux chercheurs, le roi Mwahuele, porteur sain de l’anomalie génétique de l’achromatopsie, a procréé avec trois femmes, elles aussi porteuses de la mutation. Cela a permis à cette pathologie rare d’émerger en quelques générations, et de prospérer au gré d’unions consanguines.
UN DEUXIÈME FOYER A ÉMERGÉ
Dans de telles maladies à hérédité autosomique récessive, deux parents porteurs d’une copie du « mauvais gène » ont un risque sur quatre de donner naissance à un enfant malade (porteur des deux copies du gène muté), et un sur deux d’engendrer un porteur sain comme eux. Aujourd’hui, parmi les 250 résidents de Pingelap, 5 % à 10 % sont achromates, et 30 % sont porteurs – des chiffres qui en font de loin le record mondial. Un deuxième foyer a émergé dans la vallée de Mand, sur la grande île voisine de Pohnpei, où des Pingelapiens ont émigré dans les années 1950.
Au fil du temps, plusieurs équipes médicales sont venues étudier cette concentration inédite de cas, d’abord sur le plan clinique puis génétique. En 1999, des chercheurs ont ainsi identifié la mutation en cause dans le gène CNGB3, déjà connu pour donner la maladie dans d’autres populations.
VERRES FILTRANTS
L’achromatopsie est due à une atteinte des cônes, l’un des deux types de photorécepteurs rétiniens. Principalement concentrées au centre de la rétine, ces cellules ultra-spécialisées assurent la vision des couleurs et l’acuité visuelle. Les autres photorécepteurs, les bâtonnets, sont quant à eux impliqués dans la vision crépusculaire.
Dans les pays développés, ces malades portent des verres filtrants et des dispositifs de grossissement, explique le professeur Christian Hamel, ophtalmologiste (Institut des neurosciences de Montpellier). Il précise par ailleurs que la perte de la vision des couleurs est rarement totale. Les familles peuvent aussi bénéficier d’un diagnostic prénatal. A Pingelap et dans la vallée de Mand, rien de tout cela. Comme le montre un reportage diffusé en 2008 dans l’émission télévisée « Thalassa », le maskun y est toujours perçu comme une fatalité. Depuis le départ des Américains, il y a une dizaine d’années, les enfants achromates ne portent même plus de lunettes.
Un autre cas de cruautés animales aussi pire que celui au Québec, mais cette fois-ci, c’est aux États-Unis. Je ne peux pas croire qu’une personne saine d’esprit puisse agir de la sorte a moins d’être sadique au plus haut point. Mais, je trouve curieux que les voisins ne sont pas plaints avant
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Photo : Capture d’écran
INSOLITE – Chiens, chats, poules, tortues, lapins, paons, serpents… un américain a été arrêté après que les autorités aient découvert près de 2 000 animaux, vivants et morts dans sa maison.
Une découverte ahurissante. Au sens propre, quoique, ce n’est pas vraiment l’adjectif qui sied le mieux à cet Américain de la Paroisse de St Landry en Louisiane. Chiens, chats, poules, tortues, lapins, paons, serpents… L’arche de Noé manquait un peu de propreté. La puanteur des lieux envahissant même la rue, a rapporté le site klfy.com.
Au milieu des excréments
« Il y avait des chiens, des chats, des oies, des poulets, des faisans, un peu de tout. Et même des serpents », a déclaré le directeur de la Paroisse Jessie Bellard. Près de 2 000 animaux s’entassaient dans la maison de cet homme, arrêté pour cruauté animale.
« L’odeur était affreuse, » a poursuivi M. Bellard. « Les poulets étaient dans de petites cages et ils vivaient dans leurs excréments. Ils s’entassaient tellement qu’ils leur étaient faciles de sauter de la cage ».
Les autorités ont recensé près de 2 000 animaux, vivants et morts, de toutes espèces, agglutinés dans une maison et un jardin écœurants de saleté.
Un homme étonné
Une centaine de poulets erraient à l’intérieur et une vingtaine de chiens vivaient dans des caisses. Certaines étaient si petites qu’ils pouvaient à peine se déplacer. Jessie Bellard a dû mobiliser toutes ses équipes pour rassembler les animaux encore en vie et dégager les carcasses de poulets… dont se nourrissaient les animaux encore vivants. Mais ce n’est pas ce qui a le plus choqué le directeur. La réaction du propriétaire des lieux l’a littéralement médusé.
« Il a été très étonné que nous lui enlevions ses animaux. Il ne pensait pas faire quoi que ce soit de mal. »
Las, certains des animaux sont dans un tel état de santé qu’ils devront être euthanasiés. D’autres, pris en charge par des vétérinaires, ont de l’espoir. Les miraculés devraient eux être adoptés. L’homme, lui, est en cage jusqu’à son procès.
La communication est importante autant pour l’homme que pour l’animal. Pour l’animal c’est une question de survie et de protection, Chez le cheval, la position de l’oreille permet de se guider par rapport à un autre cheval
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Les chevaux utiliseraient différents signaux visuels : l’orientation de la tête, les yeux, mais aussi les oreilles. © Malene Thyssen, Wikimedia Commons, cc by sa 3.0
Par Marie-Céline Jacquier
Animaux sociaux, les chevaux communiquant grâce à leur face. L’orientation de la tête, les yeux, mais aussi les oreilles sont des signaux importants, comme le montre une nouvelle étude.
Chez les animaux sociaux, il est important de porter de l’attention aux expressions des autres individus, par exemple pour identifier des prédateurs ou des sources de nourriture. Les chevaux, comme les humains ou les chimpanzés, ont une organisation sociale complexe nécessitant une communication entre individus.
Mais, contrairement à l’Homme, les chevaux possèdent des oreilles mobiles et leurs yeux sont placés latéralement. Ces caractéristiques influencent-elles leur communication visuelle ?
Deux chercheuses britanniques se sont intéressées à cette question dans une recherche parue dans Current Biology. D’après Jennifer Wathan, principale auteure de l’article, « notre étude est la première à examiner un signal potentiel que n’ont pas les humains pour diriger l’attention : les oreilles ».
Les chercheuses ont pris des photographies de chevaux qui portaient une attention particulière à quelque chose. Ces photographies reproduites à taille réelle ont servi à une expérience : elles étaient présentées à des chevaux qui devaient choisir entre deux seaux de nourriture. À chaque fois, le cheval de la photo prêtait attention à l’un des seaux et non l’autre. Résultats : dans 75 % des cas, les chevaux se nourrissaient dans le seau qui attirait l’attention du cheval en photo. Les chevaux peuvent donc se fier à l’orientation de la tête d’un autre cheval pour trouver de la nourriture.
Les photographies du haut ont été reproduites à taille réelle pour que les chevaux choisissent un seau de nourriture. WG est le cheval de gauche et MC celui de droite. © Wattan et McComb, Current Biology 2014
Les yeux et les oreilles fournissent une information visuelle
Puis les chercheuses ont modifié les photos pour enlever les informations provenant de certaines parties du visage, à savoir les yeux et les oreilles. En effet, dans un environnement domestique, les chevaux ont souvent des parties de leur visage recouvertes par un équipement d’équitation ou des masques anti-mouches.
Lorsque les yeux étaient cachés, les chevaux choisissaient le bon seau dans 58 % des cas ; quand les oreilles étaient masquées, le choix se faisait au hasard : le cheval prenait le bon seau dans 50 % des cas.
D’où la conclusion de Jennifer Wathan : « les chevaux ont besoin de voir les caractéristiques faciales détaillées des deux yeux et des deux oreilles avant d’utiliser la direction de la tête d’un autre cheval pour les guider ».
Les animaux ayant de grandes oreilles mobiles peuvent donc s’en servir pour capter l’attention. Les yeux fournissent eux aussi une information, même s’ils sont placés latéralement. D’autres signaux comme la dilatation de la pupille et les mouvements des muscles de la face autour de l’œil pourraient fournir un message sur l’état d’attention de l’animal.
Enfin, les chercheuses ont montré que les résultats dépendaient aussi du cheval en photo : le fait de couvrir les yeux avait moins d’influence lorsque les chevaux regardaient le cheval appelé « MC » que lorsqu’ils regardaient le cheval « WG ». Des différences dans les caractéristiques du visage pourraient donc jouer un rôle.
En conclusion, ces résultats indiquent qu’une combinaison entre l’orientation de la tête, l’expression faciale, les yeux et les oreilles, est nécessaire pour communiquer une attention chez le cheval.
Une envie irrésistible de manger de la malbouffe, des aliments salés, sucrés, ou autre, il semble que nous serions manipulés par des bactéries, mais il est aussi possible de manipuler nos bactéries qui sont essentielles dans notre organisme
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Résistez au joug de vos bactéries! par insatiablemunchies | FlickR licence cc by
«Tu sais, moi, je suis un ventre!» Ils sont nombreux, et vous en faites peut-être partie, les amateurs de bonne chère, à avoir prononcé cette phrase auprès de leur entourage -histoire notamment de préparer psychologiquement le dit entourage au terrible moment où ils auront effectivement faim.
Il se trouve que ces personnes, qui semblent totalement dépendantes de leurs variations stomacales, sont peut-être bel et bien manipulées par leur ventre. Ou du moins, par les bactéries qui s’y trouvent.
A en croire Carlo Maley, co-auteur d’une étude américaine tout juste publiée dans la revue BioEssays,
«les bactéries présentes dans les intestins peuvent être manipulatrices.»
Et le site Science Daily, qui relaie ses conclusions, de poursuivre:
«Les microbes influencent le comportement alimentaire et les choix diététiques des humains dans le but de favoriser la consommation des nutriments permettant pour eux une meilleure croissance au lieu de simplement vivre de manière passive des nutriments qui se trouvent sur leur chemin.»
Vous ne le savez peut-être pas, mais tout un tas de bactéries batifolent dans votre ventre: «les intestins à eux seuls contiennent 1014 bactéries», peut-on lire dans une étude publiée en 2005. Si cette présence vous donne des haut-le-coeur, dites vous que sans ces micro-organismes, vous seriez certainement bien mal en point, dans la mesure où ils contribuent activement à notre survie.
Ces bactéries forment ce qu’on appelle un microbiome, et ont chacune des besoins spécifiques, comme le précise Science Daily:
«Certaines préfèrent le gras, d’autres le sucre, par exemple.»
D’autres encore adorent les algues: c’est le cas de bactéries identifiées dans le ventre des Japonais en 2010!
Ces organismes s’arrangeraient donc pour nous faire savoir leurs préférences, en secrétant certaines molécules dans nos intestins, eux-mêmes reliés «aux systèmes immunitaire, endocrinien et nerveux», explique le site I Fucking Love Science.
De telle façon que les désidérata microbiens se retrouvent dûment expédiés au cerveau, estiment les chercheurs à l’origine de l’étude, cerveau qui passe ensuite la commande. Ce qui pourrait en partie expliquer certaines habitues alimentaires, ou envies, irrépressibles.
Fort heureusement, précisent les chercheurs, le mécanisme marche dans les deux sens. De la même manière que les bactéries nous dictent quoi manger, nous pouvons en dégager certaines en changeant de régime alimentaire.
«C’est un écosystème complet, qui évolue à l’échelle de quelques minutes, poursuit Carlo Maley. […] En altérant délibérément ce que nous ingérons, il est possible de mesurer des changements dans le microbiome dans les 24 heures.»
Des observations que les scientifiques espèrent depuis longtemps pouvoir utiliser pour aider à lutter contre les problèmes d’obésité. Pour pourquoi pas, à terme, envisager un cocktail de bactéries personnalisé. Comme nous l’écrivions déjà en 2012:
«Chacun, en fonction de la nature et de la composition de son microbiote, se verrait alors conseiller un régime adéquat pour garder la ligne et se maintenir en bonne santé.»
Une observation qui a été remarquée en Australie, mais il serait logique de penser que les araignées vivant dans les villes à travers le monde sont aussi devenues plus grosse. Faut croire qu’elles sont bien nourries avec tous les insectes qui aiment aussi la vie en milieu urbain
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Nephila par Donald Hobern | FlickR licence cc by
Voilà une nouvelle qui devrait ravir tous ceux, et ils sont nombreux, à qui la seule perspective de croiser des araignées provoque des sueurs froides. A en croire les travaux d’une scientifique australienne, les villes rendraient les charmantes bêtes bien plus grosses.
New Scientist raconte ainsi comment Elizabeth Lowe, de l’université de Sydney, s’est rendue compte de cet impact inattendu de l’urbanisation sur les araignées, en étudiant plus de 200 femelles des espèces dite Nephila, a priori inoffensives, ajoute le site. Et le résultat est saisissant:
«Lowe explique que les araignées [issues] du bush du Parc national de Brisbane Water, au nord de Sydney, ont une masse moyenne de 0,5 grammes. Mais celles venant d’un parc de la ville, près de Bondi Beach, pèsent en moyenne 1,6 grammes.»
Un phénomène que la scientifique interprète comme la conséquence de «l’effet d’ilot thermique urbain», ou autrement dit le fait que les centres villes sont plus chauds que les alentours du fait du manque de végétation et des revêtements, précise le site I Fucking Love Science.
Elizabeth Lowe ajoute qu’en raison notamment des néons, qui attirent les insectes, les araignées disposent en plus facilement de proies en centre ville.
Si ses recherches se limitent au périmètre australien, elle envisage que le phénomène soit observable partout dans le monde et sur d’autres espèces d’araignées, telles que les redoutables redbacks, espèce la plus dangereuse d’Australie.
Que les arachnophobes se rassurent néanmoins, on ne s’apprête pas à affronter un scénario de série Z avec en guest, des araignées géantes dévoreuses d’hommes. Comme nous l’expliquions récemment, ces bestioles (tout comme leurs petits potes les vers, les mouches, etc.) ne peuvent pas non plus devenir monstrueuses, du fait d’une subtile combinaison hormonale. Ouf!
Par ailleurs, le New Scientist précise qu’un excès de chaleur peut être fatal aux araignées. Comme l’explique ainsi Elizabeth Lowe:
«L’été dernier, l’été était très chaud et la plupart des araignées sont mortes à Sydney.»
Et s’il vous faut un dernier argument pour achever de vous convaincre que les araignées ne sont pas tant à craindre, la scientifique rappelle qu’elle sont en fait très utiles aux villes, dans la mesure où elles mangent les insectes, nourrissent les oiseaux et restent le plus souvent inoffensives!
Un record certes, mais un record glauque. Les grossesses ne se passent pas toujours comme on le voudrait et certains bébés, ne verront jamais le jour, mais quand il ne reste qu’un squelette après tant d’années c’est un phénomène très rare
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Crédit photo : archives, Reuters
Une femme en Inde qui éprouvait d’importantes douleurs dans le bas de l’abdomen a été opérée par des médecins qui ont fait une rare découverte médicale: elle avait dans son ventre le squelette d’un foetus depuis 38 ans.
Le quotidien britannique le Daily Mail rapporte que Jyoti Kumar est tombée enceinte en 1976 alors qu’elle avait 24 ans. Dès le début de sa grossesse, les médecins lui ont expliqué que son bébé ne se trouvait pas dans son utérus et qu’il avait peu de chance de survivre.
Effrayée à l’idée de se faire opérer, la femme a plutôt décidé d’attendre et de traiter les douleurs que causait sa grossesse ectopique. Les douleurs se sont finalement estompées et la femme a continué de vivre sa vie.
Toutefois, à 62 ans, elle a eu de nouvelles douleurs au ventre, mais surtout une bosse s’était formée.
«Elle a dit qu’elle avait une douleur constante depuis deux mois. Nous avons trouvé une masse du côté droit de son abdomen. Nous avons craint que ce soit un cancer», a expliqué le chirurgien qui a pratiqué la délicate opération, le Dr Mohammad Yunus Shah.
L’équipe du Dr Yunus Shah a cherché des cas similaires, dont celui d’une femme de Belgique qui a porté le squelette de son foetus pendant 18 ans, il s’agissait alors de la plus longue période recensée. Le cas de Jyoti deviendrait alors le nouveau record.