Le temps


Que faisons-nous de notre temps ? Elle passe s’en jamais revenir ! Le temps vaut plus que tout l’or que ce monde peut en contenir.
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Le temps

 

 

« Le Temps est le bien le plus rare parce que c’est le seul bien qu’on ne puisse ni produire, ni donner, ni échanger, ni vendre. »

Jacques Attali

Un Homme Découvre Une Baleine Et Alors Qu’il S’approche D’elle, Il Va Faire Une Découverte Choquante


Malgré les risques que cela pouvait occasionner, ces hommes n’ont pas hésité d’aider une baleine en péril. Elle semble avoir compris qu’ils étaient là pour l’aider qu’elle leur a offert un spectacle mémorable
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Un Homme Découvre Une Baleine Et Alors Qu’il S’approche D’elle, Il Va Faire Une Découverte Choquante

 

 

Une baleine à bosse a été sauvé d’une mort certaine par trois hommes au large de la côte Californienne et a remercié ses sauveteurs en effectuant une série de sauts extraordinaires. Lorsque le bateau est tombé sur la baleine, sa queue et ses nageoires étaient désespérément empêtrées dans un filet de pêche.

Les observateurs sur le bateau ont d’abord pensés qu’elle était morte, car elle flottait au-dessus de l’eau. C’est alors que la baleine laissa échapper un souffle puissant de son évent. Michael Fishbach décida alors que la meilleure chose à faire était d’entrer dans l’eau pour voir ce qui n’allait pas avec cette baleine. Il vit qu’elle était totalement emprisonnée dans un filet. Michael est donc revenu sur le bateau pour essayer de le couper avec un petit couteau.

Après environ une heure de travail, l’équipage du bateau a réussit à libérer la baleine. Ils ont tiré ce qui restait du filet sur le bateau et ont observé la baleine donner un spectacle merveilleux de liberté et de remerciement. Puis pendant une heure, ils ont profité de la voir libre. La baleine a sauté environ 40 fois, en plongeant et en agitant sa queue hors de l’eau.

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Le Saviez-Vous ► L’empreinte de la langue est unique


Pour identifier une personne, il y a les empreintes digitales qui sont bien connues, mais aussi d’autres parties du corps qui sont uniques comme celle de la langue
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L’empreinte de la langue est unique

La langue dispose d’une empreinte unique à chaque être humain, en effet, cet organe multifonctionnel, impliqué principalement dans l’alimentation et la parole, présente à la fois des informations de forme géométrique et des informations de texture physiologique qui sont uniques et potentiellement utiles dans les applications d’identification.

Malgré ces avantages évidents pour la biométrie, peu de travaux ont jusqu’ici été faits à ​​ce sujet.

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Quand les hommes sont violés


Une féministe américaine qui se bat en autre contre les mythes du viol comme par exemple que les femmes violées l’ont fait exprès, s’est intéressée sur le viol des hommes qui à cause l’étonnement, de la perception face aux victimes des viols chez les hommes, les statistiques sont faussées. Car en parler, c’est démontrer sa faiblesse, et afficher sa honte devant tous. Le viol qu’il soit sur une femme ou un homme est inadmissible
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Quand les hommes sont violés

 

REUTERS/Pilar Olivares

Une nouvelle étude révèle qu’aux Etats-Unis les hommes sont souvent victimes d’agressions sexuelles, et que les femmes en sont souvent coupables.

L’an dernier, une surprenante statistique ressortait du National Crime Victimization Survey [enquête nationale sur les victimes de la criminalité]. Après avoir interrogé 40.000 foyers sur le viol et la violence sexuelle, l’enquête trouvait que 38% des victimes déclarées étaient des hommes.

Un chiffre tellement élevé qu’il avait poussé la chercheuse Lara Stemple à appeler le bureau des statistiques du ministère américain de la Justice (le BJS) pour voir s’il n’y avait pas eu erreur ou si la terminologie n’avait pas changé. Après tout, selon d’autres enquêtes antérieures, le pourcentage d’hommes victimes de viols et de violences sexuelles oscillait entre 5% et 14%. Mais non, se vit-elle répondre, ce n’était pas une erreur, même si les fonctionnaires furent bien incapables d’expliquer une telle augmentation, à part en imaginant un lien avec le scandale Jerry Sandusky, ancien entraîneur de football de l’université de Penn State, reconnu coupable d’abus sexuels sur de jeunes garçons.

La définition du viol ne doit pas se limiter aux femmes

 

Lara Stemple, qui travaille avec le Health and Human Rights Project [projet sur la santé et les droits de l’homme], au sein de l’UCLA, s’est souvent demandé si les violences sexuelles perpétrées sur des hommes n’étaient pas sous-déclarées.

La réforme pénitentiaire ayant été l’un de ses sujets de recherche, elle sait que si de telles violences sexuelles sont fréquentes en prison, elles ne sont pas incluses dans les statistiques nationales et générales sur le sujet. Lara Stemple a donc commencé à creuser les données issues d’enquêtes existantes, pour trouver que son intuition était bien justifiée.

Nous devons repenser nos positions sur la victimisation sexuelle

Lara Stemple

Le vécu des hommes et des femmes est «largement plus semblable que ce qu’on pourrait imaginer», explique-t-elle. Pour certains types de violences, hommes et femmes sont globalement à égalité.

Et Lara Stemple d’en conclure que nous devons «complètement repenser nos positions sur la victimisation sexuelle», notamment un schéma central voulant que les hommes soient toujours les coupables, et les femmes toujours les victimes.

L’agression sexuelle est un terme traversant le prisme des guerres culturelles, comme l’a déjà expliqué sur Slate Emily Bazelon, dans un article portant sur la terminologie du viol.

Des féministes avancent que la formule plus légaliste d’agression sexuelle place directement le phénomène dans le camp de la criminalité violente. Selon Emily Bazelon, il faut pourtant lui préférer le terme de viol, avec sa consonance définitivement plus brutale et le choc immédiat que provoque sa non-technicité. Mais elle admet aussi que le viol ne nous permet pas de concevoir des crimes dépassant le cadre étroit de notre imagination, en particulier quand des hommes en sont victimes. Elle cite ainsi un douloureux passage d’une tribune rédigée par le romancier et scénariste Rafael Yglesias et concernant, justement, le type de crime qui, selon les préoccupations de Lara Stemple, est par trop étranger et inconfortable pour être envisagé:

«Ce que je disais, quand une partie de moi-même éprouvait encore la honte de ce qui m’avait été infligé, c’est que j’avais été “violenté”, parce que l’homme qui s’était habilement amusé avec mon pénis de garçon de huit ans, qui l’avait mis dans sa bouche, qui avait pressé ses lèvres contre la mienne et essayé d’y enfoncer le plus profondément possible sa langue, ne m’avait pas analement violé. (…) Au lieu de définir précisément ce qu’il m’avait fait, je préférais parler de “violences”, espérant ainsi traduire ce qui m’était arrivé.

Evidemment, cela ne suffit pas.

Pour que les gens conçoivent et comprennent ce que j’avais enduré, il me fallait prendre le risque qu’ils en aient la nausée ou préfèrent partir en courant. Je devais être spécifique, précis, détaillé pour qu’en disant que j’avais été violé, les gens saisissent réellement ce que je voulais dire.»

Pendant des années et à des fins de collecte statistique, le FBI a défini le viol comme

«la connaissance charnelle d’une femme commise par la force et contre sa volonté».

Mais des instances locales se sont progressivement érigées contre cette définition genrée; en 2010, Chicago rapportait ainsi 86.767 cas de viol, en utilisant sa propre définition, plus générale, ce qui eut comme conséquence l’exclusion de ses statistiques par le FBI. En 2012, le FBI a finalement revu sa définition pour l’axer sur la pénétration, sans mention de femme (ou de force).

Un homme qui a une érection est-il forcément consentant?

 

Si l’on prend en compte la «contrainte à pénétrer», le nombre de victimes féminines et masculines est équivalent

Si le calcul des données actuelles n’est pas encore adapté à cette nouvelle définition, Lara Stemple décortique d’autres enquêtes nationales dans son dernier article, «La victimisation sexuelle des hommes aux Etats-Unis: quand de nouvelles données contrarient d’anciennes hypothèses», écrit en collaboration avec Ilan Meyer et publié dans l’édition du 17 avril de l’American Journal of Public Health.

L’une de ces enquêtes est la National Intimate Partner and Sexual Violence Survey de 2010, pour laquelle les CDC avaient inventé une nouvelle catégorie de violence sexuelle, la «contrainte à pénétrer». Cette définition inclut des victimes ayant été forcées à pénétrer quelqu’un avec des parties de leur propre corps, par la force physique ou la contrainte, ou quand la victime était ivre, droguée, ou autrement incapable d’exprimer son consentement.

Quand de tels cas sont pris en compte, les chiffres relevant de contacts sexuels non consentis sont fondamentalement équivalents entre les sexes, avec 1,270 million de femmes et 1,267 million d’hommes déclarant avoir été victimes de violences sexuelles.

La «contrainte à pénétrer» est une formule bizarre et qui n’évoque rien. Ce n’est pas non plus quelque chose que nous associons instinctivement aux agressions sexuelles.

Et si nos instincts nous trompaient? Nous pourrions penser, par exemple, que si un homme a une érection, c’est qu’il veut avoir un rapport sexuel, notamment parce que nous concevons les hommes comme des êtres sexuellement insatiables.

Mais imaginons qu’une telle logique soit aussi appliquée aux femmes… La simple présence de symptômes physiologiques associés à l’excitation n’indique pas, de fait, une véritable excitation, et encore moins une participation consentie. Ce que confirme le taux élevé de dépression et autres dysfonctionnements parmi les victimes masculines d’abus sexuels. A minima, cette formule corrige une évidente injustice.

Avec l’ancienne définition du FBI, ce qui est arrivé à Rafael Yglesias n’aurait été répertorié comme viol que s’il avait été une petite fille de 8 ans. Utiliser le terme de «contrainte à pénétrer» nous aide à comprendre l’hétérogénéité des traumatismes.

Les femmes violent aussi

Mais alors, qu’est-ce qui peut donc pousser les hommes à se déclarer subitement victimes de violences sexuelles? Le moindre acteur a une blague sur le viol en prison et les procès de crimes sexuels perpétrés contre des hommes sont encore rares. Mais les normes genrées sont en train de se distendre et cette évolution permet aux hommes d’admettre –si les termes de l’enquête sont suffisamment subtils et spécifiques– leur vulnérabilité.

Une récente analyse des données du BJS, par exemple, montre que 46% des victimes masculines l’ont été d’une personne de sexe féminin.

Le dernier élément scandaleux de l’article de Stemple et Meyer concerne les détenus, qui n’entrent pas du tout dans les statistiques générales. Ces dernières années, le BJS a commandité deux études portant sur les prisons pour adultes, les centres de détention et les établissements pénitentiaires réservés aux mineurs. Des enquêtes méthodologiquement excellentes parce qu’elles respectaient l’anonymat des participants au sein des établissements, tout en posant des questions très précises et explicites («Est-ce qu’un détenu vous a physiquement forcé à lui faire ou à vous faire une fellation?»). Les résultats de ces enquêtes vont à l’encontre de nos a priori. Ici, les femmes sont plus susceptibles d’être agressées par d’autres détenues, et les hommes par des gardiens, dont beaucoup de gardiennes.

Par exemple, dans les centres pour mineurs et pour les abus perpétrés par des membres du personnel pénitentiaire, 89% des cas concernent des garçons abusés par une femme. Au total, le nombre d’abus perpétrés sur des détenus est astronomique: 900.000 cas déclarés

La compassion n’a rien d’une ressource limitée

Lara Stemple

La question qui se pose désormais, dans un climat où les politiques et les médias tournent enfin les yeux vers les agressions sexuelles commises dans l’armée et sur les campus universitaires, est la suivante: ces nouveaux chiffres doivent-ils modifier nos débats nationaux sur le viol?

Lara Stemple est une féministe de longue date et sait parfaitement que les hommes se sont historiquement servis de la violence sexuelle pour dominer les femmes, ce qu’ils font d’ailleurs toujours dans la plupart des pays.

Dans cette perspective, son féminisme se bat depuis longtemps contre les mythes du viol –l’idée que si une femme est violée, c’est quelque part sa faute, ou qu’elle l’a cherché, d’une façon ou d’une autre. Mais cette logique doit aussi s’appliquer aux hommes. En faisant de la violence sexuelle touchant les hommes quelque chose d’aberrant, nous entravons la justice et nous alimentons la honte. De même, le débat sur les victimes masculines ne doit pas fermer celui sur les victimes féminines.

«La compassion», dit Lara Stemple, «n’a rien d’une ressource limitée».

Hanna Rosin

http://www.slate.fr

Nouilles instantanées: pas bonnes pour le coeur


Les nouilles instantanées que l’on ajoute de l’eau à même le bol. C’est rapide, très salée, mais aussi néfaste pour la santé autant son contenu que son contenant.
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Nouilles instantanées: pas bonnes pour le coeur

 

Photo Fotolia

Les nouilles instantanées de type «Ramen» augmentent le risque de maladies cardiaques, notamment chez les femmes.

Hyun Joon Shin chercheur de l’étude a décidé d’analyser plus en profondeur le lien entre la grande consommation de nouilles instantanées et le risque de syndrome cardiométabolique. Il s’agit d’une agglomération d’anomalies métaboliques qui augmente le risque de maladies cardiaques, d’accidents vasculaires cérébraux et de diabète.

Sa recherche s’est avérée concluante. Manger plus de deux fois par semaine des nouilles de type «Ramen» a de réelles conséquences. Or, les risques étaient plus marqués chez les femmes.

Le bisphénol A (BPA), produit chimique utilisé pour le conditionnement des pâtes dans des contenants en mousse de polystyrène, pourrait être l’un des responsables de cette différence entre les sexes.

Selon des travaux antérieurs, le BPA affecte la manière dont les hormones (surtout l’œstrogène) envoient des signaux à travers le corps, mentionne Science World Report.

Cette nouvelle étude parue dans le Journal of Nutrition s’est penchée sur les habitudes alimentaires des habitants de la Corée du Sud. Ce peuple est réputé pour être le plus grand consommateur de nouilles instantanées dans le monde.

http://fr.canoe.ca/

Un nouveau tatouage? Attention aux infections


Ceux qui veulent se faire tatouer devraient d’abord être avisé des risques et de choisir un salon de tatouage qualifié alors, oublier les copains qui ont un attirail maison. Mais, encore là, rien n’est garanti, car l’encre elle-même semble être responsable d’infections du a une contamination lors de sa fabrication.
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Un nouveau tatouage? Attention aux infections

Il est bien connu qu’une hygiène irréprochable est nécessaire lors d’un tatouage et que le salon doit être choisi avec soin. En effet, des pratiques inadéquates telles que la réutilisation des aiguilles souillées ou le non-usage de gants jetables peuvent favoriser la transmission de nombreuses maladies dont certaines peuvent être très difficiles à traiter. C’est pourquoi des normes de sécurité ont été mises en place au Canada et que les salons de tatouage doivent être inspectés une fois par année.

Or, des éclosions répétées d’infections rares associées à de l’encre contaminée sont survenues aux États-Unis au cours des derniers mois. Après une enquête à laquelle tant les autorités locales que fédérales ont participé, ces dernières ont conclu que plusieurs éclosions avaient eu lieu à la grandeur du pays impliquant différentes marques d’encre et différentes espèces de bactéries, notamment des mycobactéries.

Lors des éclosions précédentes, on avait attribué la contamination à l’eau utilisée par les tatoueurs pour diluer l’encre. Les infections qui se sont déclarées cette année laissent néanmoins croire que l’encre aurait été était contaminée avant même sa distribution, soit au cours de sa fabrication.

Comme elles sont difficiles à diagnostiquer et à traiter, il est important que les clients et les professionnels du tatouage soient plus conscients du risque d’infection à mycobactérie afin d’en reconnaître les symptômes, et donc de les traiter, rapidement.

Le symptôme le plus courant d’une telle infection est l’apparition de papules rouges uniquement là où l’encre a été appliquée. L’ennui, c’est que d’autres problèmes comme une réaction allergique peuvent produire les mêmes symptômes. Se débarrasser d’une mycobactérie n’est pas aisé, car le diagnostic approprié nécessite souvent une biopsie de la peau et une culture spéciale qui peut prendre jusqu’à six semaines. Le traitement consiste à prendre des antibiotiques, mais encore faut-il avoir un diagnostic approprié pour sélectionner celui qui sera efficace.

Même en faisant faire leur tatouage dans un salon appliquant des standards d’hygiène très élevés, les personnes qui se font tatouées doivent savoir qu’il y aura toujours un risque d’infection, notamment si l’encre a été contaminée durant sa fabrication. Ces personnes devraient consulter un médecin rapidement si elles développent des lésions persistantes formées de papules rouges ou de taches rougeâtres diffuses, surtout si elles sont dans le tatouage.

http://www.familiprix.com

Un soin du visage aux fientes de pigeons, ça vous dit ?


Je ne suis pas à jour dans les cosmétiques et j’en suis bien contente, imaginé qu’on utilise des placentas de mouton, litière de chat, et maintenant des fientes de pigeon, c’est vraiment répugnant
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Un soin du visage aux fientes de pigeons, ça vous dit ?

 

Après le lifting vampire, les soins au placenta de mouton ou encore les masques à la litière pour chat, place au soin du visage à base de fientes de pigeons. Oui, oui, des excréments d’oiseaux sur le visage.

Seriez-vous prêtes à tenter l’expérience pour une peau plus belle et plus lumineuse ?

Les pigeons sont généralement les ennemis jurés des fashionistas et des beautystas.

Une seule fiente de pigeon suffit à ruiner une tenue, un maquillage, une coiffure, pour ne pas dire une journée entière.

Mais ça, c’était avant. Aujourd’hui les fientes de pigeons valent de l’or. On leur a découvert des propriétés extraordinaires pour la peau, du coup les soins du visage à base d’excréments de pigeons sont plus tendances que jamais.

Pour preuve, les instituts de beauté les plus huppés du monde s’y sont mis. Pour un soin du visage aux fientes de pigeons comptez au minimum 200 euros.

On vous rassure, lors du soin pratiqué en institut, on ne vous apposera pas un oiseau au-dessus du visage en attendant qu’il fasse ses besoins.

En réalité, les esthéticiennes travaillent avec une poudre de fiente de pigeons qu’elles mélangeront à une eau parfumée comme l’eau de rose pour former une pâte qu’elles vous appliqueront ensuite sur le visage.

Ce soin promet de ralentir et effacer les signes de l’âge mais aussi d’illuminer et d’hydrater la peau.

Surprise, surprise, Victoria Beckham ferait partie des adeptes.

N’espérez pas faire fortune en revendant des fientes de pigeons sur eBay. En effet, les fientes utilisées pour ce soin du visage si particulier sont celles d’un oiseau Japonais particulier.

Le soin du visage aux fientes de pigeons fait aujourd’hui le buzz mais il n’est pas nouveau. Loin de là.

Les Coréens ont découvert les propriétés des fientes de pigeons il y a déjà 1 000 ans de cela.

Si l’on sait de quand date le soin aux fientes de pigeon, la façon dont ses propriétés ont été découvertes demeure toutefois un mystère…

La technique a ensuite été adoptée par les Geishas avant de s’exporter aujourd’hui jusqu’à nous.

http://www.aufeminin.com

Une dame de 99 ans bat un record à la course du 100 mètres


Il n’y a pas d’âge pour se mettre en forme et cette dame nous donne une belle leçon de ténacité
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Une dame de 99 ans bat un record à la course du 100 mètres

 

 

Vincent Duquette

 

Pour la première fois dans l’histoire, une personne a participé à une course du 100 mètres dans la catégorie des 95 à 99 ans. Ida Keeling, 99 ans, a «couru» le 100 mètres en 59,8 secondes aux Gay Games qui avaient lieu à Akron en Ohio.

Cette arrière-arrière-grand-mère était non seulement la participante la plus âgée, mais également la plus petite à 4’6 » et 83 livres.

«Je cours même si je suis vieille et que je souffre d’arthrite», a confié la dame originaire de New York au site Ohio.com.

Keeling a commencé à s’entraîner à l’âge de 67 ans pour se remettre de la mort de ses deux fils. Courir est devenu sa thérapie, rapporte le site américain.

«J’étais tellement découragée et m’a fille a décidé de m’amener courir. Après la course, j’étais beaucoup plus zen et je me sentais libérée».

La carrière de «sprinteuse» de Keeling n’est peut-être pas terminée puisque le titre dans la catégorie des 100 à 104 ans est toujours vacant.

http://www.journaldequebec.com