Cet éléphant savoure vraiment la douche que lui offrent des pompiers


On voit bien le plaisir que ce pauvre éléphant a pu savourer de cette douche à la manière des pompiers. A voir son petit bonheur, ce genre d’activité devrait être plus souvent, ce serait la moindre des choses à leur donner vu qu’on leur interdit la liberté dans leur environnement
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Cet éléphant savoure vraiment la douche que lui offrent des pompiers

 

 

C’est un petit morceau de bonheur, offert à un éléphant d’Asie par des pompiers de la caserne de Phoenix, en Arizona, en juillet dernier. Reba – c’est son petit nom – apprécie visiblement énormément cette sorte de thalassothérapie improvisée au Zoo de la ville

L’animal barrit de plaisir, lève les jambes pour que toutes les parties de son corps en profitent, boit un peau d’eau au passage, lève la trompe, se penche pour exposer l’arrête de son dos au jet de bien-être : toute une petite chorégraphie effectuée avec joie, délectation et même une certaine sensualité.

Comme l’explique le zoo sur son compte YouTube, les éléphants ont une peau très épaisse, et “le jet du tuyau d’arrosage leur fait l’effet d’un massage”.

Ces gentilles bestioles reçoivent tous les jours une douche, mais avec de simple tuyaux, et ce n’est qu’une fois par an que les pompiers se déplacent pour leur procurer des ablutions dignes de ce nom. Un vrai bonheur pour les spectateurs également !

http://www.metronews.fr/

Truc Express : Pour Retirer Facilement une Écharde.


Quand la tête d’une écharde est rentrée dans la peau, il est souvent difficile de l’enlever, et cela est dérangeant et l’endroit peut être sensible. Voilà un petit truc facile et à la porter de tous
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Pour Retirer Facilement une Écharde.

 

Une petite écharde bien enfoncée sous la peau, c’est très dur à enlever. Pour la retirer facilement, l’astuce est d’appliquer une pâte de bicarbonate. Celle-ci va faire sortir l’écharde de sous la peau. Il ne vous restera plus qu’à l’enlever avec une pince à épiler.

1. Mélangez 1/4 de cuillère de bicarbonate avec de l’eau pour en faire une pâte

2. Appliquez la pâte sur la zone où se trouve l’écharde

3. Couvrez avec un pansement pendant 24h pour faire sortir l’écharde toute seule

4. Enlevez le pansement et retirez l’écharde avec une pince à épiler.

 http://www.comment-economiser.fr

 

Portrait de ces virus émergents qui nous menacent


Les maladies comme le Sida, le SRAS, Ebola et autre ont des points communs pour leur progression d’un endroit isolée a une épidémie voir une pandémie
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Portrait de ces virus émergents qui nous menacent

 

Le virux Ebola a fait plus de 1000 morts en Afrique de l’Ouest.

Photo Reuters

PARIS – Sida, SRAS, H1N1, Ebola: régulièrement surgit la menace d’un nouveau virus, favorisé par la pression démographique, l’évolution des modes de vie ou le réchauffement climatique.

«Les maladies virales émergentes sont en augmentation, essentiellement en raison de la densité et de la mobilité des populations», résume Arnaud Fontanet, responsable de l’unité d’Epidémiologie des maladies émergentes à l’Institut Pasteur à Paris.

Même constat pour le Pr Jean-François Delfraissy, directeur de l’Agence française de recherche sur le sida qui souligne que les virus émergents «arrivent essentiellement des pays du sud soit d’Asie, soit d’Afrique» et que leur propagation dans le reste du monde est grandement facilitée par les voyages en avion.

Selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS), 154 nouvelles maladies virales ont été découvertes entre 1940 et 2004 dont les trois-quarts sont des infections transmises de l’animal à l’homme (ou zoonoses) comme dans le cas du virus du sida: transmis à l’homme au début du 20e siècle par des chimpanzés en Afrique, il a été à l’origine de l’une des épidémies les plus meurtrières des cinquante dernières années, avec près de 40 millions de morts.

Les maladies émergentes peuvent également être causées par des «mutations ou des recombinaisons virales» observées notamment dans les virus de la grippe.

Un virus peut enfin «émerger» dans une région où il était jusque là totalement absent, parce que des malades ou des animaux ont traversé des frontières et touché des populations non immunisées, devenant du même coup plus virulent: le meilleur exemple reste celui du virus du Nil occidental, transmis par des moustiques.

Isolé en 1937 en Ouganda, puis signalé au Moyen Orient dans les années 50, il a été introduit en 1999 en Amérique du nord où il s’est rapidement propagé et a fait des centaines de victimes, généralement des suites d’une méningite ou d’une encéphalite.

Mais avant de s’attaquer à l’homme, les virus peuvent rester très longtemps confinés dans un réservoir animal, en général des oiseaux sauvages ou des chauves-souris, relève le Dr Fontanet.

Pour aller au delà, ils ont besoin d’«hôtes intermédiaires» plus proches de l’homme comme le porc, la volaille ou des moustiques, et de conditions favorables.

La grippe aviaire H5N1 est ainsi apparue dans le sud de la Chine, dans des zones fortement peuplées et à forte densité d’élevage de poulets.

Le coronavirus à l’origine du SRAS (ou syndrome respiratoire aigu sévère) qui a provoqué une grave crise sanitaire mondiale en 2003 et fait près de 800 morts principalement en Asie, a pu migrer de la chauve-souris vers l’homme grâce à des civettes sauvages élevées pour fournir des restaurants de Canton.

Réchauffement climatique

La déforestation conduit à rapprocher les animaux sauvages des zones habitées tandis que le réchauffement climatique favorise la multiplication des moustiques dans des régions où ils étaient inconnus jusqu’alors.

C’est notamment le cas des virus de la dengue et du chikungunya véhiculés par deux moustiques, dont le moustique-tigre (ou Aedus albopictus), longtemps cantonné à l’Asie du sud-est, mais qui est désormais implanté sur le continent américain et dans une partie de l’Europe.

Pour le Dr Fontanet, toutes les conditions sont réunies pour le chikungunya, un virus apparu d’abord en Afrique de l’Est et en Inde, et qui frappe désormais les Caraïbes, se propage à l’avenir dans tout le continent américain.

Quant au virus Ebola, découvert en 1976 lors de deux flambées simultanées au Soudan et en République démocratique du Congo (ex-Zaire), il n’inquiétait pas exagérément les spécialistes jusqu’à l’épidémie actuelle.

«Autrefois, l’infection était limitée à quelques villages et il y avait une telle mortalité que le virus s’épuisait et que l’épidémie s’arrêtait d’elle-même», rappelle le Pr Delfraissy.

En touchant les villes de plusieurs pays de l’Ouest de l’Afrique, le virus est devenu une menace pour les populations concernées, confrontés à des systèmes de santé très défaillants, alors même qu’il ne se transmet que par contact direct avec des personnes infectées et non par voie respiratoire, comme ce fut le cas pour le SRAS.

Selon les experts, Ebola a de ce fait peu de chances de s’étendre facilement à d’autres régions du monde.

«En y mettant les moyens et notamment en isolant les malades, l’épidémie devrait pouvoir être contenue dans les 3 à 6 mois», estime le Dr Fontanet.

http://fr.canoe.ca/

Des minirobots qui agissent comme des fourmis


Je ne sais pas trop ce pourquoi de ces minirobots, mais cela est quand même impressionnant de voir comment ces petites choses se comportent pour réaliser une forme précise
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Des minirobots qui agissent comme des fourmis

 

Photo :  Science/Mike Rubenstein

Plus d’un millier de minirobots inspirés des abeilles et des fourmis, capables de s’auto-organiser, ont été créés par des chercheurs américains de l’Institut Wyss de l’Université Harvard.

Des mini-robots  

Photo :  Science/Mike Rubenstein

Les minuscules engins sont capables de communiquer entre eux et de se rassembler pour créer des formes particulières, comme des étoiles de mer (voir photo).

Baptisés Kilobots, ils possèdent de petits moteurs à vibrations qui leur permettent de se déplacer en glissant, ainsi que d’un système de communication à infrarouge.

Ils ont été créés par le Pr Radhika Nagpal et son équipe et sont l’objet d’un article publié dans la revue Science.

C’est à l’aide d’un programme informatique, qui simule trois comportements collectifs de base, que les 1024 Kilobots sont capables d’interagir avec leurs voisins en s’informant de leur mouvement.

Des lettres formées par des mini-robots Photo :  Science/Mike Rubenstein

Un début

Quelques erreurs peuvent encore être commises lorsqu’ils se rassemblent pour donner naissance à des formes comme des lettres, mais ils ne renoncent jamais à accomplir leur mission.

En outre, l’amélioration des programmes pourrait permettre à ces essaims de se réorganiser en cas de déformation d’un objet qu’ils doivent présenter. Ils pourraient ainsi former des ponts, à l’instar des fourmis.

« Nous nous inspirons surtout de systèmes dans lesquels les individus sont capables de s’auto-assembler pour régler des problèmes. »  Radhika Nagpal

Le saviez-vous?

En février, la même équipe avait présenté des robots bâtisseurs capables de fonctionner de façon autonome et de réaliser des constructions complexes qui s’inspirent des termites.

Comme les insectes, ces engins peuvent transporter des briques, construire des escaliers avant de les gravir pour ajouter des éléments de construction à une structure. Ils réagissent à des instructions de base simples pour exécuter une construction, exactement comme les termites.

http://ici.radio-canada.ca

Les 3 étapes avant de pouvoir mettre le pied sur Mars


La Nasa travaille encore pour son projet de son voyage vers la planète Mars, mais il n’est pas au bout de ses peines, Que ce soit physiologie, psychologique des volontaires et sans parler du côté mécanique du voyage, il reste beaucoup à faire. Mais, je ne comprends toujours pas pourquoi ce besoin d’aller a des années-lumières alors que sur Terre, il y a tant à faire
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Les 3 étapes avant de pouvoir mettre le pied sur Mars

 

 

Les 3 étapes avant de pouvoir mettre le pied sur Mars

La planète Mars.Photo AFP / NASA

Guy Doyen

 

Pourquoi ne peut-on pas nous rendre sur Mars aujourd’hui, en 2014? Ou, pour poser la question différemment: quelles sont les étapes à franchir avant d’être capables de nous y rendre?

Tout le monde ne s’en rend pas forcément compte, mais une mission habitée vers Mars nécessite de maitriser énormément de domaines différents.

Les technologies qui nous emmèneront là-bas doivent encore être testées et validées, et nos connaissances scientifiques sur les risques physiologiques et psychologiques liés aux trajets vers l’Espace lointain ne sont pas suffisantes pour garantir la bonne santé des astronautes lors de longs voyages.

Tester et valider les véhicules spatiaux

Avant d’envoyer qui que ce soit dans l’Espace lointain, il faut s’assurer que les engins destinés à transporter un équipage seront fiables. Les premiers tests de vol commenceront seulement fin 2014 et les premières missions sont prévues dans les années 2020.

Le premier vol de test de la fusée SLS (Space Launch System), qui a été conçue pour les missions au-delà de l’Espace lointain, est prévu pour 2017. La première mission habitée (capsule Orion), quant à elle, est prévue pour 2021 (photo du bas).

Le premier vol d’essai de la capsule Orion est prévu pour le 4 décembre prochain et le premier vol spatial habité pour 2021. La mission, qui consistera à capturer un astéroïde, servira entre autres à valider les technologies nécessaires (incluant la propulsion électrique solaire avancée) pour atteindre Mars dans les années 2030.

Il faut savoir que la capsule Orion, seule, ne permettra pas de nous emmener sur Mars, car elle ne peut faire subsister qu’un équipage de 4 personnes pendant 21 jours: elle fera donc partie d’un véhicule spatial plus grand qui inclura des modules d’habitation et de propulsion supplémentaires.

L’image ci-dessous montre les étapes technologiques à respecter avant de pouvoir nous rendre sur Mars. Nous devrons tout d’abord maitriser les fondamentaux, grâce aux expériences menées à bord de la SSI.

Les sociétés privées doivent se charger des allers-retours pour des missions de 6 à 12 mois. Il faudra ensuite valider les technologies envisagées pour l’exploration de Mars grâce à des missions de 1 mois à un an qui nous feront visiter des astéroïdes.

L’étape suivante consiste en des missions de 2 à 3 ans vers Mars et d’autres destinations de l’Espace lointain.

 

Les 3 étapes avant les premiers pas sur Mars (2/3)

Détail de la planète rouge.Photo NASA

Régler les problèmes physiologiques d’un voyage spatial de longue durée

 

De nombreux problèmes physiologiques peuvent survenir lorsqu’il s’agit de séjours de longue durée dans l’Espace. Mais, malgré toutes les expériences faites par le passé, nous manquons encore de données pour pouvoir assurer une protection optimale de nos astronautes.

Les êtres humains sont physiologiquement adaptés à la vie sur Terre ce qui fait que les séjours dans l’Espace ont des effets négatifs sur le corps. Les effets les plus significatifs de l’apesanteur sur le corps humain sont l’atrophie musculaire et la détérioration du squelette. On sait aussi que le système immunitaire change dans l’Espace: il n’est plus aussi performant que sur Terre.

On a récemment découvert que le coeur des astronautes s’arrondissait lors de leur passage sur la Station Spatiale Internationale, ce qui pourrait entrainer des problèmes de santé.

Une autre étude montre que les astronautes ont des difficultés à trouver le sommeil (ils ne dorment que 6 heures par «nuit» en moyenne) et ont beaucoup trop recours aux somnifères, ce qui pourrait nuire à leur capacité de réaction en cas de danger.

Pour améliorer nos connaissances sur les effets de séjours longue durée, la NASA a prévu une mission avec des jumeaux astronautes. Cette expérience débutera en mars 2015. Pendant que l’astronaute américain Scott Kelly (ainsi que le russe Mikhail Kornienko) passera un an à bord de la Station Spatiale Internationale, son frère Mark Kelly (astronaute maintenant à la retraite) continuera sa vie sur Terre.

Les jumeaux seront inspectés avant, pendant et après cette mission de un an. Cette mission, visant à étudier les effets d’un vol spatial longue durée sur le corps humain, nous aidera à déterminer et à valider les mesures de réduction de risque des effets d’une vie en environnement de faible gravité.

Seulement 4 êtres humains sont restés plus d’un an dans l’Espace au cours d’une même mission, et toutes ces missions se sont déroulées sur l’ancienne Station spatiale russe Mir. C’est le cosmonaute Valery Polyakov qui détient le record de temps passé dans l’Espace, totalisant 438 jours entre janvier 1994 et Mars 1995.

À cela s’ajoutent les problèmes de protection des astronautes pendant le voyage. Le danger en question ne doit pas être pris à la légère: il s’agit des rayons cosmiques de haute énergie. En prenant en compte le rayonnement calculé lors du voyage de la sonde MSL (Curiosity) vers Mars, un aller-retour exposerait les astronautes à une dose de 0,66 sievert. Pour vous faire une idée, la limite imposée par la NASA pour l’intégralité de la carrière de ses astronautes est de 1 sievert.

Nous n’avons pas encore accumulé suffisamment de connaissances dans ces domaines pour risquer un voyage vers Mars. Il est donc urgent d’attendre.

Ci-dessous, une photo des astronautes jumeaux Scott Kelly (à gauche) et Mark Kelly (à droite) lors de la préparation du vol STS-124.

Les 3 étapes avant les premiers pas sur Mars (3/3)

Dessin de Tony Auth pour NewsWorks.Photo Tony Auth

Tenir compte des problèmes sociologiques et psychologiques pouvant survenir

 

La distance entre la Terre et Mars varie de 55,7 millions de km au plus proche (périgée) et 401,3 millions de km au plus éloigné (apogée). Attendre la meilleure configuration Terre-Mars pour que le voyage soit le moins long possible signifie tout de même avoir à vivre en espace confiné pendant un trajet de plus de 6 mois.

Les effets psychologiques d’un tel confinement et d’une telle isolation par rapport à la Terre doivent être pris sérieusement en compte. Et pour être pris en compte, ils doivent être étudiés progressivement dans des conditions réelles.

Certains projets (comme Mars500) qui consistaient à isoler des personnes pour simuler un voyage vers Mars sont loin d’avoir le même impact, car les personnes savent qu’elles sont sur Terre et qu’elles peuvent être évacuées en cas d’urgence, ce qui ne sera pas le cas lors du véritable voyage.

Au fur et à mesure du trajet, les temps de communication vont s’accroitre pour atteindre jusqu’à plusieurs minutes lors de l’arrivée sur Mars. L’impossibilité d’une communication en temps réel avec la Terre peut être une grande source de stress pour des êtres humains habitués à des communications en temps réel.

Pour vous faire une idée, les communications mettent 3 minutes-lumière pour arriver lorsque Mars est au plus près de la Terre, et 22 minutes-lumière lorsque la planète rouge est au plus loin. Ça n’est pas tout à fait la même chose que lorsqu’on est à bord de la SSI à 400 km de la Terre…

La Lune quant à elle est à 363 100 km (1,21 seconde-lumière) de la Terre au plus près et à 405 700 km (1,35 seconde-lumière) au plus loin.

En prenant tous ces éléments en compte, il n’est pas difficile de comprendre qu’un retour vers la Lune, qui est beaucoup plus proche et qui permet une communication quasiment en temps réel, avec une possibilité de rapatriement en quelques jours, serait une étape plus prudente et tout aussi importante pour tester les futures technologies d’exploration spatiale et les conditions de vie lors de longs séjours dans des environnements hostiles.

La Lune comme principale base d’exploration spatiale de l’humanité? C’est une idée à évaluer sérieusement.

http://fr.canoe.ca/

Aliments crus ? Vos animaux n’aiment pas


Beaucoup d’animaux aiment la viande crue, mais c’est aussi un bon moyen pour une intoxication alimentaire. Pour éviter ce genre de problème, si vous donner autre chose que des produits commerciaux, mieux vaut de donner des aliments cuits .. viande et légumes
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Aliments crus ? Vos animaux n’aiment pas

 

©Phovoir

©Phovoir

En guise de friandise, vous donnez souvent un morceau de viande crue à votre chien ? Mauvaise idée. En effet, il risque, tout comme les humains, une intoxication alimentaire. Si vous souhaitez tout de même lui en donner, comme pour le tartare de bœuf, soyez tout particulièrement attentifs à l’hygiène dans la préparation.

Explications.

Salmonella et Listeria Monocytogenes sont deux bactéries à l’origine d’intoxications alimentaires chez l’humain et… chez l’animal. En tout cas chez nos compagnons à quatre pattes. C’est pourquoi, la Food and Drug Administration (FDA) américaine recommande de les nourrir avec des aliments cuits.

En effet, c’est dans la viande et les légumes crus que ces bactéries se développent le plus volontiers. De plus, « les aliments crus peuvent aussi vous rendre malade si vous ne les manipulez pas correctement », ajoute William J. Burkholder de la FDA.

La cuisson tue les bactéries que l’on trouve communément dans la viande et la volaille crue, mais aussi dans les fruits et légumes. D’autre part, Listeria Monocytogenes supporte parfaitement le froid. Ce qui signifie qu’elle peut se développer dans votre réfrigérateur.

Contamination des humains

Le risque ? Fièvre, vomissements, diarrhée, douleurs abdominales… Pour vous comme pour votre chien ou votre chat. Pour éviter ces manifestations désagréables et parfois graves, évitez donc de lui donner des aliments crus, en particulier la viande. Si vous souhaitez tout de même l’en nourrir, prenez les précautions suivantes :

  • Lavez-vous bien les mains au savon et à l’eau avant et après avoir manipulé la viande, pendant au moins 20 secondes ;
  • Lavez bien toutes les surfaces et les ustensiles qui auraient été en contact avec celle-ci.

Enfin, sachez qu’en mangeant de la viande crue, votre animal, même s’il ne présente aucun symptôme, peut être porteur de la bactérie. Ainsi, il la disséminera dans son environnement, risquant de vous contaminer à votre tour.

Source : FDA, juin 2014

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Découverte de fossiles d’une espèce de reptiles volants inconnue


Ils ont trouvé plusieurs ossement d’un nouveau genre de ptérosaures. Ces animaux du passé ont peut-être été des victimes d’une sécheresse ou d’une grosse tempête de sable et qu’ils sont mort en groupe
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Découverte de fossiles d’une espèce de reptiles volants inconnue

 

L'analyse de ces ossements fossilisés suggère que ces... (Photo: Reuters)

L’analyse de ces ossements fossilisés suggère que ces ptérosaures vivaient en groupe autour d’un lac situé dans un désert.

Photo: Reuters

Agence France-Presse
Washington

Des paléontologues ont découvert au Brésil des ossements fossilisés d’au moins 47 Ptérosaures d’une nouvelle espèce, des reptiles volants contemporains des dinosaures.

Baptisés «Caiuajara dobruskii», ces ptérosaures vivaient dans ce qui est aujourd’hui le sud du Brésil à l’époque du crétacé (-145 à -65,5 millions d’années), précisent ces scientifiques dont la découverte est publiée mercredi dans la revue scientifique américaine PLOS ONE.

Ces ptérosaures comptaient des individus jeunes et adultes avec une envergure d’ailes allant de 65 centimètres à 2,35 mètres. Cela a permis aux scientifiques de déterminer qu’il s’agissait d’une nouvelle espèce dans ce groupe d’animaux préhistoriques, mais aussi de voir comment ils se développaient.

Ces chercheurs, menés par Paulo Manzig de l’Université de Contestado au Brésil, ont notamment constaté que plusieurs caractéristiques de la tête du «Caiuajara dobruskii» différaient de tous les autres membres du groupe des ptérosaures. Ils mentionnent entre autres la présence d’une importante protubérance osseuse sur le crâne au niveau des yeux.

Les jeunes et les reptiles plus vieux se distinguaient surtout par la taille et l’angle de leur crête osseuse sur le dessus de leur tête.

Cette crête était petite et inclinée chez les individus jeunes et développée et droite chez les adultes.

L’analyse de ces ossements fossilisés suggère que ces ptérosaures vivaient en groupe autour d’un lac situé dans un désert. Ces reptiles pourraient aussi avoir été capables de voler très jeunes.

Tous les os formant un squelette ont été retrouvés et ces chercheurs estiment ainsi que le site contient au moins 47 de ces reptiles mais il pourrait y en avoir plusieurs centaines vu la masse d’ossements fossilisés présents.

Les causes de la mort de ces ptérosaures n’ont pas pu être déterminées bien qu’il semblerait y avoir de grandes similarités avec la mortalité de certains dinosaures ayant résulté de la sécheresse, expliquent ces paléontologues.

Il est toutefois possible que des tempêtes de sable dans le désert près duquel ils vivaient pourraient leur avoir été fatales, notent-ils.

Différents des dinosaures, les ptérosaures sont considérés comme les premiers vertébrés volants.

http://www.lapresse.ca