L’injustice


Il est vrai qu’il y a des épreuves difficiles, mais les injustices de toutes sortes sont pires car les forces sont inégales
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L’injustice

 

N’oubliez jamais cette vérité absolue: ce qu’il y a de pire dans ce monde, ce ne sont pas les épreuves, ce sont les injustices.

Gilles Legardinier

Une meute de chiens à la poursuite d’une voiture téléguidée


Les animaux ont besoin d’exercices, mais certains, ont besoin de dépenser plus d’énergie que d’autres. Et quand il faut faire courir une meute de chiens, un peu d’imagination ne fait pas de tort
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Une meute de chiens à la poursuite d’une voiture téléguidée

 

Par Charlotte Grenier

Crédits photo : The Red Krawler – Youtube

Les Beagles font sans aucun doute partie des plus adorables chiens de chasse. Courts sur pattes, ils n’en sont pas moins vifs et dynamiques. C’est pourquoi ils ont un immense besoin de se dépenser, qu’il est parfois difficile de combler.

Alors quand ce n’est pas un Beagle qu’il faut faire courir, mais toute une meute, mieux vaut faire preuve d’imagination et de ressources ! C’est le cas de The Red Krawler, un australien auteur d’une vidéo en passe de devenir virale sur le net. On peut y voir ses chiens, Sally, Leia, Abby, Keeper, Bolty et Flo, tous des Beagles, courir à toute vitesse après une voiture téléguidée !

Ce « Beagle Derby » comme il l’appelle a l’air de particulièrement divertir les chiens, qui n’en finissent plus de pourchasser la voiture. Galopant de gauche à droite, bondissant et aboyant comme en pleine chasse, les braves toutous semblent pourtant ne jamais vouloir réellement attraper la voiture. Peut-être parce qu’ils savent que cela signifierait la fin du jeu ! Une chose est sûre, leur maître est assuré de les voir dormir pendant quelques heures après tant d’exercice !

http://wamiz.com/

Le Saviez-Vous ► Incroyable : ce que cachent nos larmes


Croyez-vous que vos larmes que ce soit de joie, de douleurs où causer par les ognons sont tous pareils ? En fait, les larmes, dépendantes de la situation a son propre paysage, sa propre topographie qui donne des photos vraiment extraordinaires
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Incroyable : ce que cachent nos larmes

 

En 2010, la photographe Rose-Lynn Fisher a publié un livre remarquable où elle a publié ses clichés d’abeilles étudiées au microscope à balayage électronique grossies plusieurs milliers de fois. De nouvelles formes abstraites étaient alors révélées par ces images extraordinaires et invisibles à l’oeil nu.

Aujourd’hui, dans le cadre d’une nouvelle étude appelée « La Topographie des Larmes », elle a publié des images époustouflantes qui apportent un regard nouveau sur la constitution de nos larmes dans les contextes de vie différents.

« Des larmes de réunion intemporelle »

"Des larmes de réunion intemporelle"

Des vues exceptionnelles et surtout une découverte capitale : nos émotions influent sur la structure moléculaire de nos larmes.

« Les larmes du changement »

"Les larmes du changement"

Elle a commencé a attraper ses propres larmes sur une plaquette en verre qu’elle fit sécher pour ensuite l’observer au microscope.

« C’était vraiment intéressant », raconte-t-elle, « cela ressemblait à une vue aérienne, comme si on regardait un paysage vu d’un avion. J’ai commencé à me demander si une larme de chagrin serait différente d’une larme de joie et comment je pourrais les comparer à des larmes à l’oignon. »

Cette réflexion a été le départ d’une expérience qui allait durer plusieurs années où Fisher a collecté, répertorié et examiné les clichés de plus de cent larmes lui appartenant, mais aussi celles d’autres bénévoles dont un nouveau né.

« Les larmes de la fin et du commencement »

"Les larmes de la fin et du commencement"

Scientifiquement, les larmes sont divisées en trois types selon le contexte de leurs origines.

Les larmes de douleur et de joie sont des larmes de type « psychiques », déclenchées par des émotions extrêmes, qu’elles soient positives ou négatives.

Les larmes dites « basales » sont secrétées en petites quantités de façon continue afin de protéger et lubrifier la cornée.

Les larmes « réflexes » sont secrétées en réponse à un irritant comme la poussière, les vapeurs d’oignons ou du gaz lacrymogène.

Toutes les larmes contiennent une variété de substances biologiques (comme des huiles, des enzymes, des anticorps,…) en suspension dans une eau salée.

Cependant la photographe a constaté que chacune de ces larmes contiennent des molécules bien distinctes. Les « larmes émotionelles » par exemple, contiennent des hormones à base de protéines et d’enképhaline (une endorphine naturelle secrétée par une catégorie de neurotransmetteurs libéré par les neurones lors d’une sensation douloureuse trop intense ou un stress insuportable).

Les larmes d’oignon

Les larmes d'oignon

Parce que les structures observées sous microscope sont principalement formées par du sel cristalisé, le contexte dans lequel les larmes sèchent peut créer des formes radicalement différentes. Ainsi, deux larmes psychiques de même composition chimique peuvent, de très près, être différentes.

La photographe explique : « il y a tellement de variables dont nous devions tenir compte : il y a la chimie, la viscosité, le taux d’évaporation et les réglages du microscope ».

Les larmes de chagrin

Les larmes de chagrin

Au fil des clichés, Fisher appellait ces « paysages » les « vues aériennes des émotions ».

« C’est incroyable de constater que les formes de la nature sont similaires, quelles que soient les échelles », continue-t-elle. « Vous pouvez observer les types d’érosions qui ont marqué la terre depuis des milliers d’années et d’une façon ou d’une autre ils ressemblent aux modèles cristalins ramifiés d’une larme sèche qui a pris moins d’un instant pour se former ».

Larme basale

Larme basale

Cette étude démontre qu’une larme est bien plus qu’un liquide salé. Plus qu’un lagage primitif, elles sont l’expression de nos émotions les plus profondes dont les molécules en sont les traducteurs.

Au fond, tout notre être n’est que la reproduction de ce que nous observons dans l’univers, dans l’immensément grand comme dans l’immensément microscopique… Nous ne sommes qu’une partie de cet immensément grand vivant tous ensemble une expérience humaine collective. Nous ne sommes qu’une goutte au milieu d’un océan, mais cette goutte est tellement importante !

Larme du rire

Larme du rire

Article inspiré du site original : http://www.smithsonianmag.com/

Photos © Rose-Lynn Fisher, courtesy of the artist and Craig Krull Gallery, Santa Monica, CA

http://www.sourcedoptimisme.com

Un Brésilien achète tous les vinyles du monde


À part qu’il doit engager quelques personnes pour classé tous ces disques de vinyle, c’est un vrai gaspillage d’argent. Je peux comprendre que certaines personnes aiment la musique sur ce genre de support, mais delà à vouloir acquérir une telle collection, cela fait partie des addictions bizarres
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Un Brésilien achète tous les vinyles du monde

 

Image d'illustration / Un Brésilien a acheté trois millions de vinyles à un revendeur américain Image d’illustration / Un Brésilien a acheté trois millions de vinyles à un revendeur américain © Leon Neal / AFP

Un magnat du bus brésilien vient d’acquérir trois millions de disques à un revendeur américain. Son rêve : acheter tous les disques vinyles au monde.

La musique est plus qu’une passion pour Zero Freitas. C’est une véritable obsession. A l’âge de 62 ans, le Brésilien et homme d’affaires possède une collection de vinyles impressionnante. Sa dernière acquisition donne le tournis : trois millions de disques qui rejoignent désormais son entrepôt de quelques 2500 m², raconte le NY Times.

Il a racheté le trésor musical à un revendeur de Pittsburg, Paul Mawhinney. Ce dernier a lui aussi consacré sa vie à amasser des vinyles. Mais depuis quelques années déjà, il cherchait à revendre sa collection. En 1997, il a même reçu une offre de 28,5 millions de dollars de la part de CD Now, une compagnie spécialisée dans la vente en ligne. L’entreprise a fait faillite juste avant que la vente ne se concrétise.

Ce n’est que l’année dernière qu’il tombe sur une annonce, dans le Billboard magazine :

« Nous achetons toutes les collections de disques. Tous les styles de musique. Nous sommes prêts à payer plus cher que quiconque ».

Derrière ce message se cache Zero Freitas. A l’aide de huit semi-remorques, les vinyles traversent les frontières, direction: le Brésil.

Des millions d’albums

Au total, Zero Freitas possède plusieurs millions de disques mais reste incapable de chiffrer précisément son butin. Le tout est entreposé dans un hangar, à Sao Paulo. Pourtant, le Brésilien ne répond pas au cliché du grand collectionneur de vinyles. Il n’est pas disquaire. Non, Zero Freitas est un magnat du bus brésilien. Un homme d’affaires qui a fait fortune avec sa ligne de bus qui dessert la banlieue de Sao Paulo. Mais alors d’où vient cette obsession ?

Tout commence à l’âge de douze ans, quand il achète son premier disque. A trente ans, il en collectionne déjà 30 000. Mais c’est après son divorce que le rythme de ses achats explose.

 » Peut-être car je suis seul « , confie-t-il au NYtimes.

Depuis plus de quarante ans, le Brésilien cherche à savoir d’où vient cette obsession. En vain. C’est donc pour donner un sens à cette quête, que l’homme souhaite désormais créer une bibliothèque d’archives qu’il pourrait partager avec le public et intitulée « Emporium musicale ». Mais avec un tel stock, le projet lui demande une sacrée organisation. Il a donc embauché une équipe de stagiaires chargés de répertorier et d’archiver ses albums.

http://www.lepoint.fr

Des selfies capables de détecter l’anémie


Les selfie liés à une application au service de la santé. L’application pour diagnostiquer une anémie n’est pas encore disponible mais bientôt … Il semble que cela n’est pas la seule application qui existe pour des problèmes de santé, mais il ne faudrait pas négligé pour autant les visites médicales
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Des selfies capables de détecter l’anémie

 

L’application Eyenaemia permet de diagnostiquer l’anémie depuis un téléphone.

Photo Fotolia

Développée par une équipe australienne d’étudiants en médecine et déjà lauréate d’un prix international, l’application Eyenaemia permet de diagnostiquer l’anémie depuis un téléphone intelligent.

D’habitude, les symptômes de l’anémie sont évalués par un médecin. Celui-ci observera notamment la couleur de certaines zones du corps qui sont particulièrement gorgées de sang, comme la peau sous les ongles ou l’intérieur de la paupière.

Mais pour épargner au patient un passage au cabinet, ou dans les cas où une telle visite n’est pas possible, on peut se tourner vers la méthode Eyenaemia. Il s’agit de se prendre en photo avec une carte couleur tout en tirant sur la paupière inférieure. La membrane ainsi exposée doit avoir une couleur bien rouge.

L’application traite ce selfie peu flatteur et, à partir du rapport entre la couleur de la conjonctive et de la carte, évalue le niveau d’hémoglobine du patient, qui reçoit ensuite des informations sur comment il doit procéder.

Pas encore disponible en téléchargement, l’appli devrait l’être bientôt pour les appareils Microsoft, puisqu’elle vient de remporter le prestigieux 2014 Imagine World Cup de l’éditeur de logiciels. En attendant, un portail informatif est déjà disponible sur le site d’Eyenaemia.

Selon les données de l’Organisation mondiale de la santé (OMS), ce sont les enfants en âge préscolaire et les femmes enceintes qui présentent le plus grand risque d’anémie, et les régions ayant la plus grande prévalence de la maladie sont l’Afrique (67,6 pour cent) et l’Asie du Sud-Est (65,5 pour cent).

Des applications qui facilitent le diagnostic de certaines affections de la peau ne sont pas inédites: il en existe déjà plusieurs qui proposent aux patients inquiets d’obtenir l’appréciation d’un médecin sur des photos de leurs grains de beauté.

Un exemple notoire est STD Triage, qui permet d’envoyer en tout anonymat des photos de problèmes alarmantes ou embarrassantes pour évaluation médicale.

L’application, dont le nom reflète le terme anglophone pour MST, est disponible en téléchargement sous iOS et Android.

http://fr.canoe.ca/

Record mondial de couvaison pour une maman pieuvre


C’est tout un record de couvaison de nourrir et protéger ses oeufs pendant près de 4 ans. Il semble que les animaux marins vivant aux profondeurs des mers prennent plus de temps pour la préparation des nouveaux bébés. Alors qu’en est-il des animaux marins vivant encore plus creux dans des eaux plus froides ?
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Record mondial de couvaison pour une maman pieuvre

 

Il est courant, chez ce céphalopode, d’avoir des durées de couvaison de un à trois mois. Crédits photo : Andreas Gradin/Andreas Gradin – Fotolia

Un poulpe s’est occupé de ses œufs durant quatre ans et demi avant leur éclosion.

Aussi incroyable que cela puisse paraître, il semble bien que ce soit vrai: une maman pieuvre (les chercheurs qui l’ont suivie pendant tout ce temps l’avaient baptisée «Octomom») a «couvé» sa progéniture pendant cinquante-trois mois, soit presque quatre ans et demi. C’est ce que soutiennent, preuve à l’appui, des chercheurs américains de l’Institut de recherche du Monterey Bay Aquarium dans des travaux publiés dans Plos One. Ce qui fait de cette mère poulpe la détentrice du record toutes catégories de durée de couvaison du règne animal.

L’histoire commence en avril 2007. L’équipe de recherche, sous la direction de Bruce Robison, dispose d’un bateau et d’un sous-marin télécommandé, guidé à distance par un fil, équipé de caméras, de bras articulés, de tuyaux de succion, etc. Dans le cadre de ses missions de surveillance et d’exploration, elle lui fait effectuer une plongée dans le Pacifique non loin de ses laboratoires, vers une vallée sous-marine s’enfonçant à 1397 mètres de profondeur. Ils savent que c’est un endroit où les pieuvres des profondeurs aiment à se reproduire. Et effectivement, ils en trouvent une, solitaire, de l’espèce Graneledone boreopacifica. Ils la prennent en photo.

Trente-huit jours plus tard, en mai 2007, ils replongent au même endroit. La pieuvre, aisément identifiable aux taches et cicatrices qu’elle porte, est encore là, sur un piton rocheux. Et est «accompagnée» d’un couvain de plus d’une centaine d’œufs qui mesurent 1,5 cm de long et 0,5 cm de large. Dans les quatre ans et demi qui vont suivre, les scientifiques retourneront dix-huit fois sur le site. Et retrouveront à chaque fois la même pieuvre, baptisée très vite «Octomom», et ses rejetons encapsulés.

  • Les pieuvres ne se reproduisent qu’une seule fois. Après la fécondation par un mâle, la femelle couve ses œufs et meurt après leur éclosion.

Il est courant, chez ces céphalopodes, d’avoir des durées de couvaison de un à trois mois, pendant laquelle la mère veille sur les œufs, les nettoie, les oxygène et les nourrit. Mais on ne connaît que très mal ce qu’il se passe chez ceux qui vivent en grande profondeur. Là, il ne fait que quelque 3°. Le développement des bébés pieuvres dans leur enveloppe est donc plus lent que pour des pieuvres vivant plus près de la surface. La dernière fois que les chercheurs ont vu les œufs, ils mesuraient 3,5 cm de long pour 1,5 cm de large.

Parallèlement, la maman poulpe qui, au départ, a une «robe violet pâle, très texturée» va voir celle-ci, au fil des mois, devenir blanche. Et son corps va se ratatiner progressivement, sa peau se plisse, ses yeux deviennent vitreux et ses tentacules se décolorent. Des transformations dues au fait qu’elle nourrit ses bébés avec ses propres réserves. Les chercheurs n’ont pas vu la femelle bouger ni se nourrir pendant leurs visites. Des bouts de crabe présentés à la pieuvre par le bras articulé du sous-marin ont été ignorés.

Si elle s’est nourrie, c’est de manière extrêmement frugale. Le fait qu’elle ne bouge pas fait que son métabolisme très bas ne doit pas consommer beaucoup d’énergie. En quelques occasions, les chercheurs ont pu noter un léger changement de position de la maman pieuvre, l’un ou l’autre de ses tentacules ayant légèrement bougé, sans cesser de protéger les œufs. Mais ni les vibrations occasionnées par les rotors du sous-marin (ils ne s’en sont rapprochés très près que rarement) ni les lumières des projecteurs ne l’ont fait bouger ou fuir.

En septembre 2011, elle est toujours là. Mais à la plongée suivante, en octobre de la même année, elle a disparu et il ne reste que quelque 160 enveloppes d’œufs vides. La mère pieuvre est vraisemblablement morte car il est de «tradition» qu’elle meure lors de l’éclosion.

Les annales avaient déjà enregistré le cas d’une pieuvre en captivité, vivant à 7 °C, qui avait couvé quatorze mois. Chez les poissons, le record d’incubation est de quatre à cinq mois pour une espèce vivant en Antarctique. Le manchot empereur couve sans interruption pendant deux mois. Et l’on dit que la salamandre alpine a une période de gestation interne de quarante-huit mois. Il sera pourtant désormais difficile de déloger Mme la Pieuvre de la plus haute marche de ce podium.

http://www.lefigaro.fr/

Les personnes contre-indiquées à l’usage des huiles essentielles


Les huiles essentielles sont utilisées pour parfumer, pour la détente et même pour soignés, mais il faut quand même faire attention à leur utilisation, car ils peuvent occasionner de graves problèmes de santé.
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Les personnes contre-indiquées à l’usage des huiles essentielles

 

 

Article co-rédigé par Stéphanie Monnatte-Lassus Aromatologue, Reflexologue plantaire et Relaxologue et Joëlle le Guehennec, présidente de l’EAI, Ecole française d’Aromathérapie Intégrative.

 

    Les femmes enceintes (de moins de 3 à 5 mois) ou allaitantes et enfants (de moins de 6 ans) doivent par principe, prendre la précaution de s’adresser à un professionnel. Certaines huiles essentielles sont abortives, utéro-toniques ou toxiques pour les bébés.

    Les personnes souffrant de certaines pathologies doivent être très vigilantes quant à l’utilisation d’une huile essentielle et demander conseil à un professionnel :

  • Allergies respiratoires et asthme

  • Allergie au : camphre, à la cortisone, à l’aspirine

  • Cancer hormono-dépendant

  • Epilepsie ou terrain épileptique

  • Hyper-oestrogénie

  • Hypertension ou hypotension

  • Hyperthyroïdie ou hypothyroïdie

  • Insuffisance hépatique

  • Insuffisance rénale

  • Mastose (= affection du sein)

  • Phlébite

  • Préciser lorsqu’un traitement anticoagulant ou hormonal est en cours

    En outre, certaines huiles essentielles doivent solliciter la vigilance par leur éventuelle toxicité. En effet, les effets indésirables potentiels sont nombreux :

  • Abortif

  • Hépatotoxique

  • Irritant

  • Néphrotoxique (= toxicité des reins)

  • Neurotoxique

  • Peau et muqueuses : dermotoxicité, allergies, hypersensibilité, irritations, photosensibilisation…

  • Stupéfiant à hautes doses

  • Tachycardie

  • Vomissements, etc..

La toxicité d’une huile essentielle peut se révéler quelques minutes après son usage (toxicité aigue), après quelques mois d’utilisation, et parfois au bout d’une ou plusieurs années (par effets cumulatifs).

http://www.passeportsante.net

Floride : Une dent d’alligator dans son dos!


Une bien grosse épreuve pour un petit garçon de 9 ans très courageux. Il a en effet réagit pour se dégager de son prédateur, et en gardera un souvenir pour le restant de ses jours
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Floride

Une dent d’alligator dans son dos!

 


(Crédit photo: capture d’écran, CNN)

TVA Nouvelles d’après CNN

Un jeune garçon de la Floride qui a survécu à l’attaque d’un alligator de plus de 2,5 mètres s’est retrouvé avec tout un cadeau laissé par son assaillant: une dent de la bête dans son dos.

Quelques jours seulement après s’être fait mordre par le reptile, le jeune James Barney, 9 ans, a raconté comment il a réussi à se sortir de la mâchoire de l’alligator.

«C’était vraiment une grosse dent, ils ont dit que l’alligator faisait 2,7 mètres», raconte le jeune homme sur son lit d’hôpital.

Le garçon venait de sauter dans un lac pour se rafraîchir quand il s’est fait surprendre par l’animal.


(Crédit photo: capture d’écran, CNN)

«J’ai senti sa mâchoire, j’ai senti ses dents. Je ne savais pas quoi faire, alors j’ai immédiatement réagi, et je l’ai frappé quelques fois. Il a commencé à lâcher prise et j’ai eu assez de force pour ouvrir sa mâchoire un petit peu», ajoute James.

Au moment où le jeune homme est arrivé aux urgences, les médecins lui ont commencé à soigner ses plaies, mais ce n’est qu’en nettoyant profondément qu’ils ont sorti la dent.

«Ils se demandaient ce que c’était et ils ont sorti la dent et me l’ont montré. J’ai dit « Oh! Je veux la mettre sur un collier! »» poursuit le petit.

À savoir si James retournerait un jour se baigner dans ce lac, il a été on ne peut plus clair: «Jamais», a-t-il simplement répondu.

Pour l’instant, les spécialistes n’ont pas retrouvé l’alligator. Ils ont gardé la dent a attendant pour s’assurer qu’il s’agit bien du bon reptile, s’ils le capturent.

http://tvanouvelles.ca