Le Pouvoir


Avec l’actualité des conflits, des gouvernements et bien d’autres, on ne peut qu’être en accord et pourtant il est possible d’avoir le pouvoir et de bien l’utiliser, juste à penser a Gandhi
Nuage

 

Le Pouvoir

 

« Plus grand est le pouvoir, plus dangereux est l’abus. »

Edmund Burke

Des enfants confrontés à la machine à écrire


Il est toujours intéressant de voir les jeunes réagir face à des objets qui hier étaient indispensables dans nos vies. Face à la technologie qui évolue à pas de géant, on peut avoir l’impression de venir tout droit de la préhistoire
Nuage

 

Des enfants confrontés à la machine à écrire

 

 

Laurent LaSalle

Soit, l’utilisation de la Remington Quiet-Riter paraît plus évidente à leurs yeux que lorsque ceux-ci ont été confrontés au Walkman. Sans surprise, les préadolescents qui figurent dans la vidéo sont beaucoup plus à l’aise avec l’appareil – c’est le cas notamment de Troy, 13 ans, qui démontre qu’il connaît grosso modo le fonctionnement d’un dactylo.

Evan, 7 ans, parvient tout de même à bien résumer la bête :

«C’est essentiellement un ordinateur, excepté qu’il n’y a pas d’écran et qu’on ne fait que taper des messages.»

Pour sa part, Emma adore l’appareil et aimerait le conserver après le tournage. Pourquoi?

«C’est mieux qu’un ordinateur. Les ordinateurs ont des piles, des trucs électriques. [Tandis qu’une machine à écrire] n’a pas besoin d’électricité», remarque la fillette de 8 ans, avant de conclure : «Ne gaspillez pas l’électricité!»

L’enthousiasme général s’estompe toutefois lorsque les cobayes apprennent qu’ils devront utiliser du liquide correcteur si jamais ils commettent une faute d’orthographe.

«Plus personne n’utilise du liquide correcteur de nos jours», s’exclame Elle, 12 ans.

En voyant la réaction de ces enfants face à une pièce de technologie qui était autrefois un incontournable dans le secteur de l’édition, nous sommes en droit de nous demander comment les futures générations réagiront devant un téléphone Android ou un iPhone… en attendant la mise à marché du Qwerkywriter.

http://branchez-vous.com

Le Saviez-Vous ► Top 10 des tortionnaires méconnus de l’Histoire, ceux qui sont plus cruels que célèbres


L’Histoire des hommes a fait naitre en son sein des tortionnaires, des sadiques qui ont gouverné sous la terreur pour mieux régner. Nous connaissons l’histoire de certains, mais d’autres, pour la plus part d’entre nous, sont complétement inconnu
Nuage

 

Top 10 des tortionnaires méconnus de l’Histoire, ceux qui sont plus cruels que célèbres

Ah ça on nous rebat les oreilles avec Hitler, Staline,  etc. …  On vous parle de tortionnaires de seconde zone, de médecin taré japonais, de tyran médiéval, du lourd, du sale, bonne lecture les petits.

Léopold II de Belgique : le bourreau du Congo

Léopold II de Belgique est moins connu qu’Hitler et Staline mais il a sa place au rang des crapules meurtrières les plus sales de l’Histoire. Ce souverain décida à partir de 1855 de faire du Congo une extension du plat pays en y installant des comptoirs et en pillant ses richesses. Viols, meurtres, enlèvement, régime de terreur, les exactions sont impunies et le peuple congolais douille salement. On estime aujourd’hui à 10 millions le nombre de victimes de Léopold et de ses sbires.

 

Phalaris d’Agrigente : le taureau d’airain

2

Crédits photo (creative commons) : Pierre Woeiriot

Agrigente est une ville qui doit énormément à ses tyrans et notamment à Phalaris, qui, chargé de construire un temple pour Zeus dans ce coin de Sicile décidé d’en devenir le chef, tout simplement. S’il a amené richesse et prospérité à la région, il le fit au prix de nombreuses cruautés dont le cannibalisme et la torture. La plus connue étant celle où il enfermait la victime dans une statue creuse de taureau en airain puis les faisait lentement cuir au dessus d’un feu. Les hurlements des suppliciés lui rappelait le cri du taureau et il aimait bien ça, Phalaris.

 

Ryoichi Naito : docteur maboule

3

Source photo (creative commons) : Wikipédia

Naito était un lieutenant colonel au sein de la fameuse unité japonaise Unit 731 qui pendant 10 ans, de 1935 à 1945, s’amusa à faire pas mal de petites expériences médicales très sympas sur ses prisonniers chinois. Au menu : test de grenades, de lances-flammes et de bombes diverses, ablation d’organes, infections intentionnelles, amputations. . Mais allons plus loin, Naito expérimente aussi sur la résistance au froid, à la faim, à la soif, à la pression (on enferme des prisonniers dans des caissons hyperbares et augmente la pression jusqu’à ce qu’ils meurent), au feu, aux radiations etc. Et s’il vous en faut plus, les victimes se sont aussi vues injecter du sang animal et même des bulles d’air dans les veines pour générer des crises cardiaques. Tout ça grâce aux bonnes idées de Naito et ses potes.

 

Rafael Trujillo : général Alcazar

4

Source photo (creative commons) : Wikipédia

Pas facile de sortir du lot des dictateurs sanglants d’Amérique Latine et Trujillo est trop souvent oublié. Pourtant, ce tyran de République Dominicaine soutenu par la CIA est responsable de plus de 50 000 morts. Arrivé aux affaires en 1930, il tînt le pays d’une main de fer en éliminant toute opposition. Lors d’une crise diplomatique avec Haïti, il ordonna l’exécution de milliers d’Haïtiens vivant en République Dominicaine. Parce qu’on ne rigole pas avec Rafael. Digne d’un Alcazar de Tintin, il rebaptisa la capitale Ciudad Trujillo et la plus haute montagne Pico Trujillo. Parce qu’il le pouvait.

 

Thomas Thistlewood : 12 years a slaver

5

Source photo : beinecke.library.yale.edu

Thomas Thislewood était un esclavagiste britannique basé en Jamaïque. Bon, l’esclavage était une horreur et a priori Thislewood n’était pas pire que les autres. A l’exception qu’en Jamaïque, les blancs étaient en infériorité numérique à 1 contre 16 et que pour pas se faire défoncer il fallait faire régner la terreur dans les rangs. Dans son journal intime de 14 000 pages, il raconte dans le détail les violences et tortures diverses qu’il faisait subir à ses esclaves, semblant même y trouver du plaisir. Son fait d’arme, l’invention de la « Derby’s Dose », un supplice lors duquel un esclave se faisait déféquer dans la bouche puis bâillonner pendant de longues heures.

 

Qin Shi Huang : Zinzin 1er

6

Source photo (creative commons) : i-china

Qin Shi Huang, empereur chinois parano, complètement violent, cruel et, finalement, pas très fréquentable. De 221 à 210 avant JC, il déplaça des milliers de familles, fit brûler la plupart des écrits et livres de l’époque en zigouillant au passage la moitié des intellectuels de la région. C’est sûr que niveau infrastructures ça a vite avancé vu qu’il forçait ses sujets à construire des routes jusqu’à l’épuisement. Quand les scientifiques de sa cour ne parvinrent pas à trouver une potion d’immortalité, il les enterra vivants. (Ils étaient 480.)

 

L’impératrice Wu : Zinzinette

7

Source photo : gbtimes

L’impératrice Wu est arrivée au pouvoir en octobre 690 jusqu’en février 705 et elle peut se targuer d’avoir été la seule femme à tenir la baraque chinoise. Le problème c’est que son bilan est un peu mitigé : cruelle et sadique, elle ne supportait pas vraiment qu’on la contredise et zigouillait à tour de bras. Tout le monde y passe, sa nièce, ses neveux, sa fille de quelques jours à peine, poussant aussi l’un de ses fils au suicide. Quant à son peuple, elle lui a fait subir toutes sortes de tortures, ébouillantant même quelques clodos. Une crème.

 

Talaat Pacha : le vilain vizir

8

Crédits photo (creative commons) : Wikipédia

Le nom de Talaat Pacha n’est pas très connu du grand public pourtant ce vilain moustachu ministre de l’intérieur ottoman est un des principaux responsables du génocide arménien à partir de 1915. Fouet, torture, vols, viols, meurtres, l’impunité était totale pour les troupes ottomanes qui déporta en masse les populations arméniennes. On estime qu’entre 1 et 1,5 millions d’Arméniens furent tués sous ses ordres, sur une population totale de 2 millions de personnes. Talaat fut abattu par un commando d’assassins arméniens en 1921, d’aucuns diront qu’il ne l’avait pas volé.

 

Tomas de Torquemada : No one expects the Spanish Inquisition

9

Crédits photo (creative commons) : resources

Les amateurs de stoner-doom ou d’histoires un peu glauques connaissent sûrement le nom de Torquemada mais ce salaud hors-norme mérite clairement une reconnaissance internationale. Grand Inquisiteur d’Espagne de 1483 à 1498, il a passé sa vie à pourchasser l’hérétique et le juif, encourageant l’espionnage, la dénonciation et bien évidemment : LA. TORTURE. La liste est longue, vu qu’il a fait subir à peu près tout aux suppliciés, mais notez tout de même qu’il aimait cramer la plante des pieds et suffoquer ses victimes, arracher leurs membres, les forcer à boire plein d’eau, les écraser avec des gros cailloux, bref, vous avez saisi.

 

Basile II : le tueur de Bulgares

10

Source photo (creative commons) : Wikipédia

Basile II dit le Bulgaroctone fut l’empereur byzantin de 976 à 1025. Contrairement à l’impératrice Wu en Chine, Basile a fait du bon boulot pour son pays, le problème étant qu’en plus d’être efficace, il était cruel et sans pitié. Après la victorieuse bataille de Kleidon contre les Bulgares, il en tua 15 000 et fit autant de prisonniers, qu’il laissa partir non sans leur avoir à tous crevé ou brûlé les yeux. Un homme sur cent était épargné (on leur laissait un oeil valide) pour pouvoir ramener les soldats chez eux. Une technique très chouette qu’il utilisa à plusieurs reprises en n’épargnant ni les femmes ni les enfants.

Source : http://listverse.com/2012/05/30/top-10-evil-people-from-ancient-times/

http://www.topito.com

Intitulé BombGaza Google choque avec un jeu vidéo sur Gaza


Il y a des jours qu’on peut se demander à quoi pensent les concepteurs de jeux quand ils s’inspirent des pires moments de l’actualité et qu’en plus emploient les pays présentement en conflits dont tant de morts civils sont parmi les plus grands nombres de victimes
Nuage

Mise a jour 5/08/2014  ► Disponible sur la plateforme Google Play, l’application a été retirée lundi soir de la boutique en ligne de Google. « Nous retirons de Google Play les applications qui enfreignent notre politique », a déclaré un porte-parole de la firme californienne. Les conditions de Google Play interdisent en effet tout contenu incitant à la haine ou à la violence et les utilisateurs sont invités à signaler un contenu abusif, comme le rappelle Le Figaro.

Intitulé BombGaza

Google choque avec un jeu vidéo sur Gaza

 

Google choque avec un jeu vidéo sur Gaza

Crédit photo : Capture d’écran TVA Nouvelles

Google a été vertement critiqué pour avoir récupéré le conflit israélo-palestinien en offrant sur Play Store un nouveau jeu en ligne intitulé : BombGaza.

Le jeu a depuis été retiré.

Selon la description du jeu et une série de captures d’écran, les utilisateurs gagnent des points en contrôlant des avions de chasse identifiés par le drapeau d’Israël alors qu’ils larguent des bombes sur les militants du Hamas, selon le The Independent.

Le développeur de cette application est PLAYFTW et les mots «largue des bombes et évite de tuer des civils» apparaissent au bas de la capture d’écran.

Le jeu est coté 4.1 étoiles depuis qu’il est disponible, vendredi.

Dans la section évaluation, Khadeja Khatun a écrit le commentaire suivant :

«Il est dégoûtant qu’une personne crée un jeu comme celui-là lorsqu’il y a des êtres humains qui meurent! Est-ce que ce jeu est une sorte de blague de mauvais goût?»

«Gaza Assault Code Red» est un autre jeu qui fait l’objet de critiques.

Il est disponible sur Google Play et demande aux joueurs de «prendre le contrôle d’un drone israélien équipé d’armes puissantes pour sécuriser la région!»

Le mois dernier, The Times d’Israël a rapporté que les utilisateurs de Google Glass qui voulaient être à jour au sujet des attaques aux missiles contre Israël pouvaient télécharger une application qui transmet un avis d’attaque, tel qu’il est émis par les responsables de la sécurité en Israël.

http://tvanouvelles.ca

Cancer: l’écriture favoriserait la guérison des survivantes


L’écriture est libératrice, le fait de prendre un crayon et papier et d’écrire nos émotions peut s’avérer salutaire. D’ailleurs lors de traitements contre le cancer, cela peut aider à combattre la maladie
Nuage

 

Cancer: l’écriture favoriserait la guérison des survivantes

 

Écrire sur ses émotions peut améliorer la santé des survivantes du cancer du sein.

Photo Fotolia

HOUSTON, Texas – Écrire sur ses émotions et sur les bénéfices d’un traitement de cancer peut améliorer la santé des survivantes du cancer du sein, selon une nouvelle étude.

La recherche a été menée par la professeure Qian Lu, de l’Université de Houston, au Texas, auprès de patientes d’origine asiatique. Le but de l’étude était de réduire le fardeau psychologique de la maladie sur les patientes provenant de minorités ethniques, particulièrement chez les survivantes du cancer du sein.

«Dans mon étude, j’ai découvert que les conditions physiques et la santé mentale des patientes s’améliorent lorsqu’elles expriment par écrit leurs peurs les plus profondes et décrivent les avantages du diagnostic de cancer», a dit Mme Lu, dans un communiqué.

Selon Mme Lu, écrire sur les épreuves de la vie, même si ce n’est que pour des périodes de 20 ou 30 minutes pendant trois ou quatre jours, peut renforcer le système immunitaire du corps. La détente engendrée par l’écriture aurait un impact direct sur la capacité du corps à résister au stress et à combattre l’infection.

L’équipe de la chercheuse a fait remplir un questionnaire standard de santé aux participantes et leur a demandé d’écrire 20 minutes par semaine pendant trois semaines.

«L’étude révèle que les participantes ont trouvé le devoir d’écriture facile et qu’il leur a permis d’extérioriser leurs émotions comme elles ne l’avaient jamais fait auparavant, a expliqué la scientifique. Elles disent avoir écrit sans se censurer sur ce qu’elles pensaient et ressentaient. Elles indiquent aussi que l’intervention médicale a été appropriée et indispensable.»

Selon l’auteur, l’exercice d’écriture, après six mois, a permis de réduire la fatigue, l’anxiété et le stress post-traumatique.

L’étude a été publiée dans le journal médical Health Psychology.

http://fr.canoe.ca

Un avion peut-être piraté par l’Internet sans fil, dit un chercheur


Les avions de ligne sont à la page de la technologie, mais qui dit technologie, Internet, dit aussi pirate informatique. Voyager en avion sera-t-il aussi un risque d’être en plein milieu d’un événement de piratage ? Les risques sont-ils réels ?
Nuage

 

Un avion peut-être piraté par l’Internet sans fil, dit un chercheur

 

Un homme utilise son ordinateur à bord d’un avion. Photo :  ? Lucas Jackson / Reuters

Le chercheur en cybersécurité Ruben Santamarta affirme qu’il a réussi à trouver un moyen de pirater les équipements servant aux communications satellites à bord d’un avion de ligne, en passant notamment par le réseau sans fil de l’aéronef.

Si sa recherche est confirmée par la communauté scientifique, elle pourrait soulever des questions importantes au sujet de la sécurité aérienne.

« Ces dispositifs sont complètement ouverts », se désole M. Santamarta, qui travaille pour la firme IOActive.

Le consultant en cybersécurité doit présenter les détails techniques de sa recherche cette semaine dans le cadre d’un congrès à Las Vegas. Le congrès annuel attire chaque année des pirates informatiques et des experts en sécurité informatique, afin de discuter des nouvelles formes de menaces. Les observateurs estiment que la présentation de M. Santamarta ne manquera pas d’attirer l’attention des participants, jeudi.

Le chercheur estime que le réseau d’Internet sans fil et les dispositifs permettant aux passagers de regarder des films à partir de leur siège dans l’avion ne sont pas sécurisés.

« Le but de cette discussion, c’est d’aider à faire changer la situation. » — Ruben Santamarta, chercheur en cybersécurité

En théorie, un pirate informatique pourrait utiliser les systèmes d’Internet sans fil et de divertissement, afin de prendre le contrôle des appareils électroniques de l’avion et modifier les communications satellites de l’avion.

La recherche permettant de déceler les vulnérabilités soulevées par M. Santamarta a été effectuée dans un environnement contrôlé et il pourrait s’avérer difficile de la reproduire dans le monde réel.

M. Santamarta a indiqué que les appareils des avions fabriqués notamment par les compagnies Cobham, Harris, Hughes et Iridium présentent des failles de sécurité. Les représentants de ces compagnies ont confirmé plusieurs des découvertes du chercheur, mais ont minimisé les risques.

Dans le cas de Cobham, dont le système de communications satellites Aviation 700 a été au centre de la recherche de M. Santamarta, l’entreprise indique que les pirates ne peuvent pas utiliser l’Internet sans fil de l’avion pour avoir accès aux équipements de navigation et aux systèmes de sécurité. Le porte-parole de la firme Harris, Jim Burke, indique que sa compagnie a pris connaissance de l’analyse de M. Santamarta.

« Nous avons conclu que le risque de compromis est très minime », dit-il à Reuters.

De son côté, Iridium indique aussi que le risque est minime, mais que des mesures ont été prises pour protéger les utilisateurs, à titre préventif. Un des problèmes soulevés par M. Santamarta dans sa recherche est que les techniciens qui effectuent l’entretien des appareils fabriqués par ces compagnies utilisent souvent les mêmes mots de passe. Mais les pirates peuvent retrouver ces mots de passe en s’introduisant dans les systèmes informatiques des entreprises, selon le chercheur.

Un porte-parole de la compagnie Hughes a indiqué que l’utilisation de mots de passe identiques était nécessaire pour permettre aux techniciens d’assurer le service à la clientèle et que les pirates informatiques ne pouvaient, dans les faits, prendre le contrôle des appareils de l’avion.

http://ici.radio-canada.ca

Pourquoi on arrive à sentir le danger


L’habenula est situé dans notre cerveau et il est minuscule mais, il est essentiel pour lancer des signes d’alarme quand nous sentons le danger ou semble-t-il s’active quand une personne se critique lui-même au lendemain de la veille d’une soirée trop bien arrosée
Nuage

Pourquoi on arrive à sentir le danger

 

Pourquoi on arrive à sentir le danger

© hemera

 

On pense avoir du flair pour anticiper les situations dangereuses ou négatives. En fait ce serait une région de notre cerveau qui nous servirait de sonnette d’alarme selon une étude.

Elle fait la taille d’un petit pois (moins de 33mm de diamètre) et pourtant cette chose minuscule arrive à nous faire sentir quand quelque chose ne va pas. Des scientifiques de l’University College de Londres ont réussi à mettre la main sur l’habenula, la région du cerveau qui joue un rôle dans la façon dont l’humain prévoit, apprend et réagit aux expériences négatives.

Dans la revue scientifique Proceedings of The National Academy of Sciences, les auteurs expliquent que l’étude de cette structure cérébrale pourrait être la clé pour comprendre certaines personnes qui souffrent de dépression. L’hyperativité de l’habenula pourrait en effet jouer un rôle dans cette pathologie.

 

Avant d’émettre cette hypothèse, les scientifiques ont soumis à l’IRM (imagerie par résonance magnétique) 23 patients pour mesurer leur activité cérébrale.

On a montré aux participants une sélection d’images. Certaines étaient liées à la punition (choc électrique), d’autres à la récompense. D’autres encore étaient tout à fait neutres.

A la suite de ces images, les volontaires pouvaient recevoir au hasard un cadeau ou une « sanction ». Résultat, à la vue d’images choquantes, l’habenula s’est activée. Et plus les participants anticipaient un événement négatif, plus l’activité de cette zone cérébrale augmentait.

Un lanceur d’alertes

Les scientifiques suggèrent que l’habenula aide les personnes à apprendre à fuir une situation associée au danger. Cette zone enverrait aussi un signal pour permettre d’anticiper un événement négatif.

Ce n’est pas la première fois que l’on parle de l’habenula. Récemment des chercheurs de l’université d’Utah nous ont révélé que c’était cette zone qui se chargeait de nous « sermonner » après une gueule de bois.

http://www.topsante.com/

Transit, ballonnements et constipation : 10 règles d’hygiène de vie


Ballonnements, constipations, sont des maux qui ne sont pas agréables et qui peuvent être évités en prenant de bonnes habitudes
Nuage

 

Transit, ballonnements et constipation : 10 règles d’hygiène de vie

 

Digestion et transit sont pour tous des préoccupations quotidiennes.

Comment améliorer sa digestion et son transit ?

Voici 10 règles d’hygiène de vie à suivre pour réduire les troubles digestifs : ballonnements, constipation.

1. Contre la constipation, mieux vaut éviter les repas à table ? C’est faux !

Les déjeuners sur le pouce et les diners expédiés à toute vitesse ne sont pas favorables au transit intestinal. Il est important de prendre son temps, de s’asseoir et de transformer les repas en moments privilégiés.

2. Pour améliorer le transit intestinal, il faut boire beaucoup :

De l’eau uniquement, voire des infusions.

Effectivement, la quantité compte, il est important de boire un litre et demi par jour. Mais il est conseillé de toujours privilégier l’eau et de limiter les boissons sucrées, et l’alcool bien sûr. A noter que les infusions peuvent être bénéfiques, certaines plantes ayant des qualités digestives.

3. La constipation peut être liée au stress.

Le stress est un facteur qui contribue aux troubles digestifs. C’est pourquoi il est recommandé aux personnes menant une vie stressante de s’investir dans une activité de loisirs type relaxation ou yoga pour faire baisser la tension et aider le transit intestinal.

4. Les fibres alimentaires augmentent le volume des selles.

En retenant l’eau, elles augmentent le volume des selles et accélèrent ainsi le transit.

5. L’activité physique est recommandée car elle muscle le ventre.

Le manque d’activité physique entraîne un relâchement des muscles abdominaux, ce qui contribue à ralentir le transit. Un peu de marche tous les jours au minimum est recommandée.

6. Les graisses n’améliorent pas le transit.

Les graisses saturées (plats cuisinés, sauces, fritures, viennoiseries…) ralentissent l’assimilation des aliments et donc le transit.

7. Fruits et légumes cuits ou crus, c’est pas pareil.

Il est bénéfique d’augmenter la part des fruits et des légumes car ces aliments contiennent beaucoup d’eau, ce qui est favorable au transit. Mais il faut savoir que lorsqu’ils sont crus, leur digestion entraîne une fermentation intestinale, ce qui peut accentuer les ballonnements. Il faut donc bien doser et privilégier les versions cuites en cas de ballonnements.

8. Les céréales, moins elles sont raffinées, plus elles accélèrent le transit.

Il faut systématiquement privilégier les aliments complets, type pain complet, riz complet.

9. Mieux vaut faire plusieurs petits repas.

Les repas copieux, et encore plus s’ils sont gras, ralentissent le travail des intestins.

10. Une cure de produits laitiers durant 2-3 jours n’élimine pas les flatulences et ballonnements.

Les produits laitiers consommés en grandes quantités sur de courtes périodes font partie des principaux aliments responsables des ballonnements et des flatulences.

par Isabelle Eustache

http://www.e-sante.fr