Jugement faussé


Généralement, on juge très vite les gens par leurs actes, pourtant, nous n’avons pas des détails de leur vie qui pourrait changer, si on le savait, notre perception. Il faut toujours avoir un doute avant de condamner.
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Jugement faussé

 

« On n’a pas le droit de juger une personne sans connaître toute sa vie; ce qui signifie que tes jugements sont toujours faussés par une connaissance partielle de la personne!
Aime les autres comme ils sont et respectés les »

Henri Bartholin

Trois étudiants font une magnifique surprise à un SDF, la vidéo émouvante buzz sur YouTube


Une vidéo qui fait le tour des réseaux sociaux qui démontre que le sens du partage est encore possible, et ce sont des étudiants qui nous donnent une belle leçon de vie. C’est le visage de l’homme sans abris qui est de toute beauté a voir
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Trois étudiants font une magnifique surprise à un SDF, la vidéo émouvante buzz sur YouTube

 

 

 Trois étudiants Allemands ont décidé de venir en aide à un SDF d’une manière très particulière. Une chose est sûre, il ne va pas l’oublier !

Alors que le SDF est en train de faire la manche sans vraiment de résultat, un des jeunes s’approche de lui et lui demande d’emprunter son sceau.

Ni une ni deux, il entame un rythme en tapant sur le sceau. Très vite, un autre étudiant arrive avec sa guitare, commence à jouer et à chanter. Une troisième étudiante débarque et chante également. Une chanson pleine de tolérance qui a permis au SDF de récolter un bon nombre de pièces. Une belle initiative qui a rempli de joie cet homme et ému le web

http://www.meltybuzz.fr

Le Saviez-Vous ► Le cyanure présent dans les pépins de pomme


Les pépins et certains fruits a noyaux contiennent naturellement du cyanure, un poison puissant mais qui en infirme quantité n’est pas dommageable à l’être humain .. Si vous manger par exemple les amendes des pêches ce n’est pas grave à la condition de ne pas en faire excès.
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Le cyanure présent dans les pépins de pomme

 

Le cyanure présent dans les pépins de pomme

Le cyanure présent dans les pépins de pomme

Le cyanure est présent dans les pépins de pomme, mais en très petite quantité. Si vous décidez un jour de relever un défi fou, celui de manger un bol de pépins de pomme, alors vous risquerez d’avoir de sérieux problèmes de santé.

Le cyanure est connu pour être un puissant et dangereux poison qui peut facilement priver votre corps d’oxygène et nuire considérablement à vos principaux organes. Lorsqu’une personne mange ou mâche des pépins de pomme, le corps sera bel et bien exposé, mais la dose ingurgitée est tellement petite que le corps peut facilement désintoxiquer.

Les noyaux de fruits comme ceux des cerises, des pêches et des abricots contiennent également des substances chimiques toxiques dont le cyanure. Elles sont très toxiques pour certains animaux, mais en très petite quantité, elles ne le sont pas pour l’homme. Manger par exemple une cinquantaine d’amandes amères peut être fatal à un homme.

Marie Catherine

http://www.journalducanada.com

Pour protéger les avions des lasers


Il a des imbéciles qui s’amusent à pointer des lasers aux avions. Alors, des recherches sont faites pour éviter que des drames arrivent a cause de ces personnes sans cervelles. Pour le moment c’est au stade expérimentale, mais espérons que l’invention pourra servir a l’aviation en général
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Pour protéger les avions des lasers

 

Le professeur Pandurang Ashrit montre un échantillon du produit développé par son équipe. Photo :  Guy R. LeBlanc/Radio-Canad

Une équipe de chercheurs de l’Université de Moncton présente une solution possible pour protéger les pilotes des lasers que des gens pointent sur le cockpit d’avions en vol.

Pandurang Ashrit, professeur au Département de physique et d’astronomie de l’Université de Moncton, a présenté mardi matin ce projet. L’idée est d’installer une pellicule ultra mince réfléchissante sur les vitres des cockpits afin de dévier les rayons laser.

L’équipe du professeur Ashrit doit encore effectuer des tests avant de lancer le produit.

« Jusqu’à maintenant, on a développé ça dans les laboratoires, et dans la prochaine phase on va travailler sur deux différentes choses. Premièrement, comment est-ce qu’on peut appliquer ces couches minces sur une grande surface? Et l’autre chose qu’on va faire est de tester la dureté de ces couches », précise M. Ashrit.

Le projet réjouit le député de Moncton-Riverview-Dieppe, Robert Goguen.

« Ce qui est intrigant, c’est que c’est une découverte qui a été faite ici à Moncton, une petite université. Alors, ceci c’est une découverte qui a non seulement des retombées au niveau canadien, ce sont des retombées au niveau international », dit-il.

Le Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada accorde 200 000 $ aux chercheurs afin de poursuivre le projet. Selon le recteur Raymond Théberge, cet argent arrive au bon moment.

« C’est quand même excitant que l’Université de Moncton reçoive ce type de fond qui va nous permettre de continuer à être très productifs dans le domaine de la recherche », souligne-t-il.

Utilisation dangereuse de rayons laser

Il y aurait de plus en plus de gens qui s’amusent à braquer des rayons laser sur le cockpit des avions en vol, ce qui est très dangereux. Le laser peut aveugler le pilote pendant quelques secondes, ce qui peut devenir critique lors d’un décollage ou d’un atterrissage.

Selon des chiffres obtenus par Radio-Canada, il y aurait eu 411 incidents du genre signalés au pays au cours des 11 premiers mois de 2013, soit deux fois plus qu’en 2010.

http://ici.radio-canada.ca

Quand l’architecte de l’hôtel installe les toilettes derrière des baies vitrées


Voilà un architecte qui n’aura sans doute plus de gros contrats. L’erreur est humaine soit ! Mais comment se fait-il que les travailleurs n’ont pas signalé l’énorme bourde. Cependant, je ne trouve pas très brillant non plus comment les responsables de l’hôtel solutionnent le problème. Franchement ! Si on ne veut pas faire de mur alors les rideaux seraient une alternative judicieuse non ?
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Quand l’architecte de l’hôtel installe les toilettes derrière des baies vitrées

Photo d’illustration. [CC / Dirtyboxface]

Suite à une erreur de conception, l’hôtel « 25 hours Hotel Bikini Berlin » situé dans la capitale allemande impose à ses clients d’être exposés à la vue de  tous aux toilettes. Face à ce manque d’intimité élémentaire, la direction de l’hôtel recommande simplement la plus grande vigilance…

Pour une raison inconnue, l’architecte à l’origine de la construction de l’hôtel « 25 hours Hotel Bikini Berlin » situé à proximité du zoo de Berlin a placé les toilettes près des énormes baies vitrées porter à la vue de tous, comme l’a rapporté Metro.

Certains passant n’ont pas hésité à prendre des photos des toilettes en question. Face à cette situation gênante, la direction de l’hôtel s’est vue imposer de mettre un panneau signalant cette exposition publique. Celle-ci a simplement indiqué :

« S’il vous plait soyez prudent, il n’y a pas que les singes qui regardent. »

http://www.directmatin.fr

Épidémie d’Ebola: «On est devant l’inconnu total»


Un virus démocratique !!! Le virus Ébola ne fait pas de distinction entre les l’âge et le sexe des gens. Mais, dans les pays en voie de développement, il est difficile de sensibiliser les gens pour mieux cerner ce virus. Il faut dire que Médecins sans Frontières fait un travail remarquable, et ce, malgré toutes les précautions peuvent aussi être contaminés
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Épidémie d’Ebola: «On est devant l’inconnu total»

 

Devant l'ampleur de l'épidémie d'Ebola, Médecins sans frontières... (PHOTO SAMUEL ARANDA, THE NEW YORK TIMES)

Devant l’ampleur de l’épidémie d’Ebola, Médecins sans frontières a lancé des appels à l’aide au cours des dernières semaines.

PHOTO SAMUEL ARANDA, THE NEW YORK TIMES

Ariane Lacoursière
La Presse

Le Dr Marc Forget est revenu, la semaine dernière, d’un séjour de sept semaines en Guinée, où il a soigné des patients atteints du virus Ebola avec des équipes de Médecins sans frontières. Plongé au coeur de «la plus grosse épidémie d’Ebola de l’histoire», qui a fait 670 morts jusqu’à maintenant, le médecin affirme que «nul ne sait quand tout va s’arrêter».

«On est devant l’inconnu total. L’épidémie est d’une telle magnitude qu’on ne sait pas ce qui va se passer.»

Le médecin Marc Forget, qui travaille normalement dans le Grand Nord québécois et pour plusieurs projets humanitaires, a affronté pour la première fois le virus Ebola sur le terrain au cours des dernières semaines. En Guinée, il a constaté l’ampleur de l’épidémie. En plus de ce pays, le Liberia et la Sierra Leone sont touchés. Un cas a même été enregistré en fin de semaine à Lagos, au Nigeria, ce qui fait craindre une recrudescence. Un médecin du Liberia est mort dimanche, et un médecin et une infirmière américains ont contracté la maladie.

Devant l’ampleur de l’épidémie, Médecins sans frontières a lancé des appels à l’aide au cours des dernières semaines.

«On aimerait que d’autres organisations viennent nous aider sur le terrain. Après le tsunami en Indonésie, 3000 ONG s’étaient déplacées. Mais là, on est pas mal seuls sur le terrain», note le Dr Forget.

Il reconnaît toutefois que le virus Ebola «fait peur», ce qui pourrait expliquer la frilosité des organisations d’aide.

Premier contact

«Au départ, la maladie est non spécifique. Elle ressemble à une grippe. Puis, le virus se multiplie. Tellement que plusieurs patients ont des atteintes neurologiques. Ils deviennent confus. La plupart meurent d’un choc ou d’une atteinte neurologique sévère», explique-t-il.

Marc Forget... (Image tirée d'une vidéo de Médecins Sans frontières) - image 2.0

Marc Forget

Image tirée d’une vidéo de Médecins Sans frontières

Il n’existe pas de traitement pour la maladie.

«On donne des antibiotiques, des vitamines, des solutés, en espérant que le système immunitaire du patient finira par prendre le dessus», affirme le Dr Forget.

Il mentionne également que le virus est «démocratique» et touche autant les jeunes que les vieux, les hommes que les femmes.

«Le virus génère beaucoup d’insécurité et de peur. Où j’étais, en Guinée, il y a plusieurs villages de 150 habitants qui sont tous isolés. Chaque fois qu’on arrivait dans un village, il fallait expliquer ce que l’on faisait et sensibiliser la population. On perdait beaucoup de temps. Il y a un réel besoin de sensibilisation de masse», note-t-il.

Mais comme l’explique le Dr Forget, l’épidémie touche des pays pauvres, aux ressources limitées, qui ne peuvent mettre en place des systèmes d’information efficaces en peu de temps.

Durant son séjour en Guinée, le Dr Forget reconnaît qu’il a eu peur. Surtout cette journée où il a commencé à se sentir malade.

«J’espérais que je ne l’avais pas. Mais j’ai toujours suivi les protocoles. On a une façon de s’habiller. Une façon de se déshabiller. On se fait tellement asperger de chlore à longueur de journée qu’on finit par sentir la piscine. J’étais bien protégé.»

Le Dr Forget prévoit une autre mission avec Médecins sans frontières à l’automne, vraisemblablement encore auprès de patients atteints de l’Ebola.

Danger pour le Canada?

 

Le printemps dernier, le cas d’un voyageur arrivé en Saskatchewan et qu’on croyait atteint de l’Ebola a fait la manchette au Canada. Ce cas s’est finalement avéré négatif.

Questionné à savoir si le virus pourrait apparaître ici, le Dr Marc Forget se fait rassurant.

« Avec les transports aujourd’hui, il y a bien entendu des risques de voir arriver un voyageur infecté. Mais la qualité des services de santé publique canadiens mettrait rapidement fin à la maladie. Le virus ne saute pas sur les gens. Il faut être en contact avec des fluides corporels. La population pourrait être sensibilisée rapidement et les gens infectés, rapidement isolés. »

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Arctique: un village inuit veut bloquer la prospection pétrolière


J’espère que les Inuits seront assez forts pour lutter contre les grandes pétrolières car l’environnement Arctique est trop fragile pour risquer un tel projet. Les gens qui vivent là-bas ont besoin de leur faune polaire, car la vie dans le Grand Nord n’est pas vraiment facile. Si leur environnement subi des dommages que deviendront-ils ?
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Arctique: un village inuit veut bloquer la prospection pétrolière

 

Cela «viole les droits fondamentaux des habitants du... (Photo: Martin Chamberland, archives La Presse)

Cela «viole les droits fondamentaux des habitants du Nunavut», ce territoire autonome inuit du Grand Nord canadien, a affirmé l’avocat représentant Clyde River (photo).

Photo: Martin Chamberland, archives La Presse

Agence France-Presse
Montréal

Un petit village inuit de l’Arctique canadien a saisi lundi la justice afin de bloquer la prospection pétrolière qui doit être menée à coups de relevés sismiques au large de ses côtes, y voyant une menace pour la faune polaire.

Située sur la côte orientale de l’Île de Baffin, face au Groenland et à 2000 km du Pôle Nord, la localité de Clyde River doit assister au débarquement de navires de prospection pétrolière dès l’année prochaine grâce au feu vert accordé fin juin par l’Office national de l’Énergie du Canada(ONÉ).

Lors de consultations publiques préalables, les Inuits s’étaient inquiétés des dangers que feraient peser sur l’environnement ces relevés sismiques réalisés à coups de canons à air comprimés et, le cas échéant, la production pétrolière elle-même.

L’ONÉ, un organisme fédéral, avait d’ailleurs notamment reconnu l’année dernière que ces tests très bruyants devant permettre de cartographier en deux dimensions le sous-sol océanique «pourraient avoir des répercussions sur la baleine boréale».

Cela n’a toutefois pas suffi pour bloquer la demande de relevés sismiques déposée par trois sociétés: TGS-NOPEC Geophysical Company ASA (TGS), Petroleum GeoServices (PGS) et Multi Klient Invest AS (MKI).

Cela «viole les droits fondamentaux des habitants du Nunavut», ce territoire autonome inuit du Grand Nord canadien, a estimé dans un communiqué Nader Hasan, l’avocat représentant Clyde River.

«Étant donné que des relevés sismiques peu réglementés pourraient avoir des conséquences catastrophiques sur les communautés inuits, le village de Clyde River, l’association Nammautaq des trappeurs et chasseurs de Clyde River et le maire de Clyde River, Jerry Natanine, ont demandé à la cour d’appel fédérale de réviser la décision de l’ONÉ», est-il indiqué.

Les eaux convoitées par les groupes pétroliers sont riches en narvals, baleines boréales, morses et phoques, des mammifères marins qui «sont la base de l’alimentation et la culture inuit», écrivent les autochtones, jugeant que «les tests sismiques peuvent être fatals», notamment en «perturbant le chemins de migration» de ces animaux.

«Si les compagnies pétrolières nous enlèvent ça, il ne nous restera plus rien», a plaidé le maire de la petite localité polaire, Jerry Natanine.

L’Arctique contiendrait 22% des réserves d’hydrocarbures restant à découvrir sur la planète selon des estimations américaines datant de 2008, mais les promesses énergétiques nées du recul de la banquise tardent à se concrétiser: le géant norvégien Statoil a notamment renoncé à deux forages dans le Grand Nord depuis juin, car pas assez viables commercialement.

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Japon: «Je voulais tuer quelqu’un… pour voir», confie une étudiante assassine


C’est clair que cette étudiante a un sérieux problème de comportement et probablement anti-social. Le pire, c’est que cela avait été reconnu avant, mais elle n’a pas été prise en charge et le pire, c’est que malgré son jeune âge, elle vivait seule. Mais, cela devient inquiétant que de plus dans plus on voit des jeunes porter des gestes qui ont de graves conséquences
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Japon: «Je voulais tuer quelqu’un… pour voir», confie une étudiante assassine

 

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Photo AFP

TOKYO – «Je voulais tuer et disséquer quelqu’un… pour voir» ce que ça faisait, a déclaré la jeune Japonaise qui a étranglé puis décapité une camarade de classe le week-end dernier.

C’est l’incroyable confession que l’étudiante de 16 ans a faite aux enquêteurs très calmement et sans exprimer le moindre regret, d’après des sources policières citées mardi par des médias japonais.

Les faits se sont déroulés samedi soir dans la ville de Sasebo dans la préfecture de Nagasaki (sud-ouest). Étrangement, une affaire similaire avait eu lieu il y a 10 ans dans cette même cité: une écolière en classe primaire avait alors poignardé à mort une camarade de classe.

Samedi dernier, ce sont les parents d’Aiwa Matsuo qui, inquiets de ne pas la voir rentrer à la maison, ont prévenu la police.

Et, dimanche matin, la police a fait la découverte macabre du corps de la jeune fille chez sa meurtrière qui, elle, malgré son jeune âge, vivait seule, dans la même ville que sa famille.

Peu après son arrestation à proximité de son appartement, la jeune fille de 16 ans, dont l’identité n’a pas été révélée, car elle est mineure, a commencé par nier en bloc, affirmant qu’elle avait quitté son amie vers 18h30 samedi soir.

Mais elle a finalement avoué froidement le meurtre sauvage de sa camarade une fois qu’elle a su que le corps avait été découvert à son domicile. La mort remontait à samedi soir entre 20h et 22h locales selon les médecins légistes.

Un enquêteur de la police a confirmé mardi à l’AFP que la jeune fille avait confessé avoir étranglé et frappé son amie avec un objet contondant avant de la décapiter et de lui couper la main gauche «avec des outils et une espèce de cordon».

L’abdomen de la victime était aussi largement ouvert, selon des sources citées par divers médias.

Selon le grand quotidien Yomiuri, la police a d’ailleurs retrouvé plusieurs outils au domicile de la criminelle, dont des marteaux et une scie, renforçant la thèse de la préméditation.

«J’ai acheté tout ça moi-même, je voulais tuer quelqu’un», aurait-elle déclaré, toujours selon ce journal.

Messages troublants

La police a par ailleurs découvert quatre messages troublants postés sur un forum internet avec, entre autres, des photos d’une main ensanglantée. Ces images avaient été mises en ligne deux heures environ après l’heure estimée de la fin tragique de l’étudiante.

La meurtrière, qui devrait subir rapidement des examens psychiatriques, avait déjà donné des signes inquiétants de dérangement quelques années auparavant, selon des médias locaux.

Très bonne en classe et également forte en sport, elle n’avait pas hésité quand elle était au primaire à verser de l’eau de javel dans le repas de deux autres élèves.

«J’étais énervée contre elles, car elles me méprisaient, se moquaient de moi en classe», avait-elle déclaré à son institutrice qui l’interrogeait sur son geste, poursuit le Yomiuri Shimbun.

Elle avait aussi disséqué un ou plusieurs animaux, selon d’autres informations de presse.

Selon des témoignages recueillis par les médias japonais, notamment dans l’encadrement de son école, la jeune fille aurait pu être perturbée par la mort l’an dernier de sa mère, décédée des suites d’un cancer, et le remariage de son père peu après.

http://www.journaldequebec.com