10 trucs pour réussir la photo parfaite de son animal


Nous aimons prendre en photo notre animal de compagnie, mais encore faut-il qu’il se prête au jeu. Une activité qui n’est pas toujours aisée surtout si c’est un chat, car le chien, c’est un peu plus facile.
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10 trucs pour réussir la photo parfaite de son animal

 

10 trucs pour réussir la photo parfaite de son animal

© shutterstock

Marie-Hélène Goulet

 

Vos animaux vous font parfois le plus mignon des minois, mais vous êtes incapables de les immortaliser sous leur meilleur profil? La photographe animalière Louise Chevalier vous dévoile comment y arriver grâce à quelques trucs simples et, surtout, beaucoup de patience!

Conseil #1

« Un décor soigné »

Avant de prendre Fido en photo, assurez-vous que rien ne détonne dans le cadre (chaussette oubliée, coin de la poubelle, etc.). Parfois, un simple pas de côté ou un changement d’angle arrive à tout cacher.

Conseil #2

Profitez de la lumière naturelle

L’utilisation d’un flash est particulièrement compliquée avec les animaux. En réfléchissant la lumière, leurs yeux prennent souvent un petit air «extraterrestre» bien rigolo, mais pas toujours bienvenu… Il est donc préférable de photographier vos copains à quatre pattes dehors ou très près d’une fenêtre bien ensoleillée.

CONSEIL ÉCLAIR…

…. Prenez garde à votre ombre ou à votre reflet dans la fenêtre!

Conseil #3

Respectez les limites de l’animal

De longues séances lui demandant de rester immobile mettront la patience de votre animal à rude épreuve. Prévoyez donc plusieurs courtes séances, entre lesquelles vous le laisserez s’étirer, se délier les pattes et dépenser un peu son énergie; il sera ainsi plus enclin à reprendre la séance après cette courte pause.

CONSEIL ÉCLAIR…

… Rappelez-vous qu’un chiot n’aura pas autant de patience et un chien âgé pas autant d’énergie qu’un chien adulte et respectez les limites personnelles de votre animal.

Conseil #4

Servez-vous d’un téléobjectif

La plupart des appareils photo possèdent un téléobjectif ou un petit zoom, qu’ils soient de grande qualité ou non. Mettez-les à profit pour vous éloigner le plus possible de l’animal et ainsi ne pas entrer dans sa bulle personnelle. Il finira par vous oublier et vous obtiendrez des poses plus naturelles.

CONSEIL ÉCLAIR…

… N’hésitez pas à vous coucher sur le sol ou à prendre une position en hauteur afin de créer différents angles de caméra; le résultat vous surprendra!

Conseil #5

Accroupissez-vous !

Il n’y a rien de pire en photo qu’une personne debout aux côtés de son animal assis. Pour avoir une belle photo d’un animal avec un humain, il faut que les deux sujets soient à la même hauteur, et ce, même si la personne photographiée risque quelques bisous baveux!

CONSEIL ÉCLAIR…

… Encouragez vos sujets à jouer ensemble, à s’asseoir, à se coucher, etc. Ils seront ainsi plus détendus et naturels, et vos photos prises sur le vif seront vos meilleures!

Conseil #6

Choisissez une vitesse d’obturation rapide

Comme les animaux sont imprévisibles et qu’ils bougent subitement, utilisez une vitesse d’obturation rapide pour ne pas avoir de photos floues. Afin d’y arriver avec votre caméra personnelle, il s’agit généralement d’activer le mode «sport» ou «animaux»

Conseil #7

Attention à la température!

Comme les plus belles photos animalières se prennent à l’extérieur, il faut savoir travailler avec la température. À plus de 25 °C, votre chien tirera rapidement la langue, ce qui peut être un peu moins élégant. Planifiez donc vos séances avant ou après les heures de grande chaleur, au moment où la lumière naturelle est la plus flatteuse.

Conseil #8

Demandez l’aide d’un assistant

Vous voulez que votre animal regarde la caméra au moment opportun? Difficile parfois d’attirer son attention… Demandez à un ami de se poster derrière vous avec un jouet sonore; à votre signal, ce dernier attirera l’attention du chien qui regardera directement l’objectif durant quelques précieuses secondes. Vous pouvez répéter le manège quelques fois afin d’obtenir la photo parfaite!

CONSEIL ÉCLAIR…

… Il faut éviter d’activer le jouet sonore en continu à chaque fois; un seul son court («couic») suffit. En effet, utiliser l’effet sonore à outrance pourrait rapidement désensibiliser le chien qui ne réagirait plus au bout de quelques essais.

Conseil #9

N’abusez pas des récompenses

Une récompense, ça se mérite. N’en utilisez pas dès le départ, sinon votre animal portera son attention seulement sur la personne qui distribue les gâteries et ne fixera plus rien d’autre. En plus, manger lui donnera soif et, par conséquent, l’envie d’étirer sa langue. Récompensez-le toutefois à la fin de la séance pour en faire une expérience positive à laquelle il voudra bien se prêter de nouveau!

Conseil #10

Les chats, des p’tites bêtes à capter sur le vif !

Les chats peuvent être bien plus difficiles à prendre en photo que les chiens, et se montrent souvent bien moins coopératifs. Pour mettre toutes les chances de votre côté, il faudra donc que vous vous adaptiez à votre chat plutôt que l’inverse. Ne le sortez pas de son environnement et ne le mettez pas dans une position peu familière. Attrapez plutôt son image furtivement, sur le vif, comme lors d’un safari-photo!

Conseils en extra!

Truc de cinéma

Pour encourager vos deux chiens à interagir et à prendre une pause «mignonne», servez-vous d’un bon vieux truc de cinéma: le beurre d’arachide! Appliquez-en une petite quantité derrière l’oreille d’un des deux chiens, et vous aurez une séance de «bisous» assurée!

Ne pas oublier !

Pas toujours facile de faire disparaître un rond de bave ou des yeux qui coulent avec un logiciel de retouche d’images après coup… Durant la séance photo, corrigez ces petites «erreurs» immédiatement avec une guenille que vous aurez sous la main.

http://fr.canoe.ca

Plus de 300 chats trouvent refuge à Hawaï dans un incroyable sanctuaire


Pour sauver autant de chats, je trouve que c’est une belle idée de rendre un refuge accessible aux touristes. De plus, les chats ne sont pas entassés dans des cages et peuvent vivre en plein air
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Plus de 300 chats trouvent refuge à Hawaï dans un incroyable sanctuaire

 

Par Charlotte Grenier

Crédits photo : OhanaFilmsMaui – youtube

Hawaï est une destination de rêve : sable chaud, mer turquoise, paysages paradisiaques… mais on y trouve surtout un incroyable sanctuaire pour chats, où les félins évoluent librement dans des enclos en plein air ! Ouvert au public, les touristes sont même vivement invités à le visiter pour tenir compagnie quelques heures aux adorables matous sans foyer qui s’y baladent en semi-liberté.

Devenu le second lieu le plus visité de l’île Lanai où il a été construit, le Lanai Animal Rescue Center (LARC) gagne chaque année en popularité auprès des vacanciers. Un succès et une réussite qui doit beaucoup à l’activité touristique de la région.

Contrôler la population

Créé en 2008, le refuge LARC compte aujourd’hui près de 340 chats vivant en plein air. Car sur l’ïle, ils sont les seuls prédateurs, et se sont reproduits à grande vitesse ces dernières années, causant un réel problème de surpopulation. Certaines espèces animales, des oiseaux en particulier, souffraient énormément de ce grand nombre de chats, si bien que la création du refuge LARC bénéficie autant aux félins qu’aux autres animaux de Lanai.

A l’origine de ce large sanctuaire se trouve Kathy Carroll, un Américaine venue de Chicago pour faire du volontariat avec son mari Mike. Un ami lui apporta un jour un chaton, ne sachant pas quoi faire du petit animal qu’il avait trouvé en piteux état (puces, maigreur, blessure à la patte…). Kathy Carroll, très sensible à la cause animale, se dit alors « Il faudrait que quelqu’un fasse quelque chose ». Et réalisant que n’importe qui, même elle, pouvait être ce « quelqu’un », elle décida de s’investir dans la cause des chats errants de Lanai.

Un projet de grande envergure

Dans un premier temps, Kathy Carroll s’est rapprochée de l’association Feline Fondation of Maui (Maui étant la deuxième plus grande île d’Hawaï), qui lui a proposé de lancer une opération dite TNR (« Trap-Neuter-Return », qui signifie « Attraper-Stériliser-Relâcher »). Mais bien vite il s’avéra nécessaire de ne pas relâcher les chats pour préserver la faune locale, et un premier refuge de fortune fut créé, dans un ancien enclos pour chevaux.

Mais avec le nombre croissant d’animaux pris en charge, il a fallu construire quelque chose de plus large. Et après avoir considéré pendant un temps un bâtiment de brique et de ciment, Kathy Carroll se rendit compte qu’à Hawaï, pour des chats habitués à vivre dehors, il n’y avait rien de mieux qu’un refuge en plein air pour les matous abandonnés.

Le LARC s’étend aujourd’hui sur près de 14 000 m², et compte des zones d’abri, d’autres pour les repas et d’autres encore conçues pour que les chats puissent grimper et escalader à volonté. Chaque mois, un vétérinaire vient passer tous les animaux en revue pour les soigner et s’assurer que tout va bien, et Kathy Carroll peut compter sur quelques employés pour l’aider à entretenir le sanctuaire au quotidien. Mais elle reste consciente de l’importance des touristes, qui en visitant le centre permettent d’aider à socialiser les chats. Sans compter que parfois, ils se laissent séduire par un adorable minou et repartent avec !

http://wamiz.com

Lucy : le cerveau humain et le mythe du 10%


Nous voyons des publicités sur le film de science-fiction Lucy qui suggère que nous n’utilisons que 10 % du cerveau. C’est un mythe qui dure depuis très longtemps et qu’encore aujourd’hui certains y croient encore.
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Lucy : le cerveau humain et le mythe du 10%

 

Science-fiction

 

– Catherine Gendreau

La sortie imminente du film Lucy ravive les débats de salon entourant l’idée reçue selon laquelle nous n’utiliserions que 10% de notre cerveau.

Alors que Lucy (Scarlett Johansson) est contrainte de passer de la drogue à la frontière, les substances expérimentales insérées provisoirement dans son corps se libèrent et s’implantent dans son système. Lucy voit progressivement ses capacités physiques et mentales décupler, lui permettant d’utiliser (enfin!) la totalité de son cerveau, dont elle fera bon usage en faisant notamment revoler des voitures. C’est du Luc Besson, hein.

Mais qu’en est-il de la réalité, utilisons-nous vraiment uniquement 10% de notre cerveau? Après tout, près de la moitié des enseignants britanniques et néerlandais en sont convaincus… Même son de cloche chez le deux tiers des Américains sondés par la Michael J. Fox Foundation for Parkinson’s Research l’an dernier.

N’en déplaise au personnage de neuroscientifique joué par Morgan Freeman dans Lucy, l’imagerie cérébrale permet de prouver qu’il y a de l’activité dans chacune des parties de notre cerveau, même durant le sommeil. Les seules régions inactives seraient celles présentant de graves lésions. Donc, à moins d’avoir eu comme idole de jeunesse Eric Lindros et d’avoir subi autant de commotions cérébrales que lui, le risque que votre cerveau stagne à 10% est nul.

Pour de plus amples informations sur le sujet, je vous invite à regarder cette vidéo produite par TED.

 

Comme toute légende urbaine, le mythe du 10% perdure parce qu’il profite à certains, notamment les compagnies qui veulent nous vendre des produits pour améliorer nos capacités intellectuelles et «développer notre plein potentiel cérébral».

Ne délaissez pas vos mots-croisés, sudoku et autres jeux d’entraînement intellectuel pour autant, c’est déjà du temps que vous ne perdez pas sur Facebook ou Candy Crush…

Si la prémisse de Lucy ne vous donne pas des boutons, vous apprécierez peut-être également Limitless, un thriller américain de 2011 basé sensiblement sur la même idée.

http://branchez-vous.com

Le plus gros insecte aquatique du monde découvert en Chine


Ce n’est pas le genre d’insecte qu’on voit chez-nous. Déjà qu’il y a des personnes qui ont peur des petites bibites alors imaginez les grosses
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Le plus gros insecte aquatique du monde découvert en Chine

 

 Son envergure est de 21 centimètres et ses mandibules sont impressionnantes. Cet insecte, découvert dans les montagnes chinoises de Chengdu dans la province de Sichuan, est reconnu comme le plus gros insecte aquatique.
China News Service/ Zhong

Les biologistes ont découvert un nouveau spécimen d’insecte à l’envergure record dans les montagnes chinoises. A découvrir en images.

Alors que le capricorne asiatique s’attaque aux arbres urbains en Suisse, les biologistes ont découvert un nouvel insecte, à la taille surprenante, dans les montagnes chinoises.

Cette espèce, identifiée dans l’ordre des mégalopètres, a une envergure de 21 centimètres, ce qui en fait le plus grand insecte aquatique. Il se sert de ses énormes mandibules pour attirer les femelles et les maintenir immobile au moment de l’accouplement, explique ce blog de Scientific American

Une espérance de vie très courte

Ce spécimen se développe dans l’eau sous forme de larve avant d’émerger à la surface à l’âge adulte; on peut croiser son chemin aussi bien dans les eaux claires que dans les lieux plus boueux. Une capacité d’adaptation qui rend sa localisation difficile pour les scientifiques. Son espérance de vie très courte rend également son étude compliquée.

S’il détient les records pour les insectes aquatiques, il est largement battu par d’autres espèces terrestres: le Weta géant pèse trois fois le poids d’une souris alors que le Phobaeticus chani est considéré comme l’insecte le plus long du monde.

(s.v/Newsnet)

http://www.tdg.ch

Des dommages sur un vaste territoire s’il y avait déversement en Arctique


Est-ce que cela vaut vraiment le risque d’aller chercher du pétrole en Arctique, alors que le déversement ou explosion d’un pétrolière serait catastrophique pour cet environnement fragile ?
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Des dommages sur un vaste territoire s’il y avait déversement en Arctique

 

Si un déversement majeur de pétrole devait se produire dans l'ouest de l'océan... (Archives La Presse Canadienne)

 

Archives La Presse Canadienne

La Presse Canadienne
Edmonton

Si un déversement majeur de pétrole devait se produire dans l’ouest de l’océan Arctique au Canada, les répercussions environnementales pourraient se manifester jusqu’en Russie, selon une nouvelle étude.

Ces conclusions sont émises par le World Wildlife Fund-Canada (WWF) alors que l’Office national de l’énergie se prépare à étudier des scénarios préventionnistes pour deux projets distincts d’exploration de pétrole dans la mer de Beaufort menés par la Pétrolière impériale et Chevron.

Les auteurs de la recherche ont établi 22 situations différentes en cas de déversement majeur dans cette région maritime située au nord des Territoires du Nord-Ouest. Dans chacune des situations, le risque que le pétrole gagne les côtes de l’Alaska est évalué à au moins 50 %.

Dans le cas d’une explosion d’une installation pétrolière, le risque que le pétrole atteigne la Russie serait d’une chance sur quatre.

Les règles actuelles stipulent que chaque exploitation en mer prévoie un second lieu de forage afin d’amoindrir la pression en cas d’explosion. Cela permettrait de mieux colmater la fuite, si elle se produisait.

L’Office national de l’énergie a accepté d’entendre des propositions des deux compagnies pétrolières qui, disent-elles, seraient efficaces et moins dispendieuses.

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Trouver des extraterrestres en examinant la pollution des autres planètes


Il y a-t-il de la vie ailleurs que sur Terre ? S’il y a de l’eau, de la glace sur des planètes, il y a sûrement des micro-organismes. Mais une vie intelligente ? Peut-être ! Et si oui, sommes-nous rendus assez avancées sur Terre pour prouver qu’ils existent ?
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Trouver des extraterrestres en examinant la pollution des autres planètes

 

Les scientifiques peuvent déjà étudier les atmosphères de... (Photo archives AFP)

Les scientifiques peuvent déjà étudier les atmosphères de planètes en dehors du système solaire pour y détecter la présence d’oxygène ou de méthane, qui peuvent être produits par des formes de vie intelligentes ou des microbes.

Photo archives AFP

Agence France-Presse

Examiner les éventuelles traces de pollution sur de lointaines planètes pourrait permettre de trouver des traces de vie ou même des extraterrestres, estime une étude publiée mercredi.

Sous certaines conditions, les astronomes pourraient ainsi arriver à détecter dans la décennie à venir la présence de sociétés extraterrestres industrialisées, estime une étude du Centre d’astrophysique Harvard-Smithsonian.

Les scientifiques peuvent déjà étudier les atmosphères de planètes en dehors du système solaire pour y détecter la présence d’oxygène ou de méthane, qui peuvent être produits par des formes de vie intelligentes ou des microbes.

Mais une civilisation extraterrestre peut aussi rejeter d’autres gaz, par exemple des chlorofluorocarbones (CFC), comme nous le faisons sur la Terre, ajoute l’étude.

Ainsi, des astronomes pourraient être en mesure de détecter la présence de tels gaz sur des planètes éloignées grâce au prochain télescope spatial James Webb, que la Nasa prévoit de lancer en 2018, un projet d’un coût total de 8,7 milliards de dollars.

Ce télescope sera de 10 à 100 fois plus puissant que son prédécesseur Hubble, selon l’agence spatiale américaine.

Cependant, il y a des limites à ce que ce puissant appareil pourra voir. Ainsi, il faudra par exemple des niveaux de CFC dix fois plus importants que ceux que nous avons sur Terre pour que le télescope puisse les détecter.

Autre condition, il faudra que les planètes observées soient en orbite autour d’un type particulier d’étoile (naines blanches).

Les auteurs de l’étude notent que cette méthode de recherche pourrait permettre de trouver des formes de vie intelligentes, mais pourrait aussi faire découvrir les traces de civilisations extraterrestres qui se sont auto-détruites.

Certains polluants peuvent rester dans l’atmosphère terrestre durant 50 000 ans, quand d’autres disparaissent au bout de 10 ans. L’absence de ces derniers suggérerait une source de vie disparue.

«On peut spéculer sur le fait que les extraterrestres ont été sages et ont réussi à vivre proprement. Mais dans un scénario plus noir, nous pourrions découvrir des choses qui seraient un rappel à l’ordre des dangers que représente le fait de ne pas être des occupants raisonnables de notre propre planète», conclut Avi Loeb, l’un des coauteurs de cette recherche.

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Des geckos à la dérive dans l’espace dans leur satellite russe


Mais qu’est-ce que cela peut nous amener que les geckos aient ou non une activité sexuelle dans l’espace. Si ce satellite est à perdre perdu, ces animaux mourront probablement de faim pour une expérience qui aurait couté surement très cher
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Des geckos à la dérive dans l’espace dans leur satellite russe

 

Des geckos.... (PHOTO DOUG FINGER, ASSOCIATED PRESS)

Des geckos.

PHOTO DOUG FINGER, ASSOCIATED PRESS

Agence France-Presse
Moscou

Plusieurs geckos soumis à des expériences scientifiques sur leur vie sexuelle risquent de ne jamais revenir sur Terre, la Russie ayant perdu contact jeudi avec le satellite les accueillant.

Le satellite Foton M-4, lancé le 19 juillet, ne répond plus à la salle de contrôle qui lui a ordonné d’allumer son moteur et de monter à une altitude plus élevée, a indiqué l’entreprise spatiale russe TsSKB-Progress, responsable du satellite.

À son bord se déroulent plusieurs expériences, dont l’une porte sur les effets de la microgravité sur les organismes et le comportement sexuel des geckos.

Malgré la perte de contact avec le satellite, son système de bord fonctionne normalement et les informations concernant les expériences scientifiques sont transmises correctement, a affirmé TsSKB-Progress.

«Les appareils, qui fonctionnent en mode automatique, en particulier pour l’expérience des geckos, suivent le programme», a confirmé Oleg Volochine, porte-parole de l’institut médico-biologique qui dirige les expériences.

Le satellite peut «fonctionner en mode automatique pendant un long moment», selon TsSKB-Progress, et même dériver pendant trois ou quatre mois, affirme un expert à l’agence de presse russe Interfax.

La perte de contact avec le satellite Foton M-4 constitue un nouveau revers pour le domaine spatial russe, qui a connu une série d’échecs ces dernières années.

Début juillet, le décollage d’une fusée de nouvelle génération Angara a été annulé et reporté au dernier moment. En mai, c’est une fusée Proton qui avait échoué à mettre en orbite un satellite de télécommunication, lequel avait brûlé dans l’atmosphère.

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