Le bonheur


Une belle métaphore pour le bonheur, l’attendre ou le provoquer, le bonheur se fait silence, alors qu’il préfère venir sans tambour, ni trompette
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Le bonheur

 

 

« Le bonheur, c’est comme un chat, si vous essayer de le cajoler, il vous fuit, si vous ne vous occupez pas de lui, il vient se frotter contre vos jambes et saute sur vos genoux. »

Robertson Davies

Maintenant les pères aussi peuvent sentir le bébé bouger dans leur ventre pendant la grossesse (Vidéo)


Une bonne publicité pour les couches Huggies, mais l’idée est extraordinaire pour les papas qui aimeraient bien sentir, ce que ressentent les mamans quand leur bébé bouge dans leur ventre. C’est même, une expérience très émouvante pour eux
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Maintenant les pères aussi peuvent sentir le bébé bouger dans leur ventre pendant la grossesse (Vidéo)

 

On ne s’imagine pas à quel point il peut être frustrant pour un futur papa de ne pas sentir son enfant bouger dans le ventre de sa compagne autrement que par les mains, comme tout le monde. Une marque a donc décidé d’inventer une ceinture empathique pour qu’ils ne manquent plus le moindre petit coup de pied.

Si les hommes peuvent s’estimer heureux de ne pas connaître les douleurs de l’accouchement et certains inconvénients de la grossesse, même s’ils la vivent également à fond, nombreux sont ceux qui aimeraient en ressentir davantage les effets, notamment les mouvements du bébé dans le ventre. Vous savez, ces petits coups dont on s’extasie (lorsqu’ils ne sont pas trop violents) et que l’on essaye toujours de faire sentir (trop tard) à nos proches en posant leur main sur notre bidon tout rond. Alors pour réparer cette injustice et permettre au couple de vivre véritablement à deux le miracle de la vie, la célèbre marque de couche Huggies a conçu une ceinture « empathique » permettant aux papas de ressentir en vrai et en temps réel le moindre mouvement de leur bébé.

Révélée l’année dernière à l’occasion de la fête des pères, après des années de recherches, et testée en Argentine, ce dispositif révolutionnaire est composé de deux ceintures, l’une destinée à la maman, l’autre au papa, couvertes de capteurs réagissant en temps réel aux mouvements de Bébé et permettant d’en faire directement écho sur celle portée par le père grâce à des billes intégrées qui reproduisent les coups. Pour présenter son invention, une vidéo émouvante avait été réalisée. Intitulée « enceints », on y voit un couple assis sur un canapé.

La jeune femme, très enceinte, touche béatement son ventre tandis que son compagnon touche le sien d’un air déçu. Soudain, la future maman s’écrie « il a bougée ! » et pose immédiatement la main du papa sur son ventre. « Tu ne le sens pas ? » demande-t-elle alors. « Non, je ne sens rien », répond-il alors, encore plus déçu et triste.

« Parce que la grossesse a toujours été pour elles, Huggies souhaite aussi récompenser tous les papas avec un cadeau très spécial. Pour qu’eux aussi soient enceints« .

Elle met ensuite en scène les heureux premiers cobayes qui, vu leur réaction très émue, ont plus qu’apprécié ce cadeau. Regardez plutôt.

http://www.aufeminin.com

Le Saviez-Vous ►Pendant la Guerre Froide, les Etats-Unis ont planifié de bombarder la Lune


Ce que peut faire l’humiliation envers un pays en cas d’échec. Imaginez si le plan d’envoyer un missile sur la lune dans le but de montrer sa supériorité aurait pu devenir une réalité ? C’est à se demander si un jour, il y aurait un fou qui pèserait sur le bouton rouge et provoquerait un désastre sans précédent qui affecterait le monde entier
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Pendant la Guerre Froide, les Etats-Unis ont planifié de bombarder la Lune

 

« Voyage dans la Lune », de Méliès, 1902 (capture d’écran)

En 1957, en pleine Guerre Froide, l’URSS a un coup d’avance sur les Etats-Unis dans la conquête de l’espace. Elle vient d’envoyer le premier satellite en orbite autour de la Terre, le fameux Spoutnik. Blessés dans leur orgueil et inquiets de perdre cette course de vitesse, les Etats-Unis adoptent en 1958 la loi qui met sur pieds la NASA, l’agence spatiale civile américaine.

Cette époque où la conquête de l’espace faisait fantasmer coïncide avec l’âge atomique. Mais le discours gouvernementale des Etats-Unis est à l’apaisement en la matière. Hiroshima étant passé par-là, le nucléaire n’est plus considéré pour sa force de frappe, mais pour la formidable source d’énergie qu’il pourrait constituer.

Pourtant, dès 1958, le gouvernement américain lance un plan top secret pour bombarder la Lune. L’objectif, d’après Priceonomics, qui relate cette histoire, était de provoquer une explosion tellement considérable qu’elle serait visible de la Terre. Cela devait permettre de redonner confiance dans leur gouvernement aux citoyens Américains minés par le succès de Spoutnik, et d’impressionner les Soviétiques.

Le physicien Léonard Reiffel, qui était en charge de ce projet (nom de code: A-119), a été interrogé en 2012 par CNN, alors qu’il avait 85 ans. Il explique ainsi le contexte dans lequel a été élaborée cette mission:

«Les gens étaient très inquiets à cause de Spoutnik et des très remarquables exploits de l’Union Soviétique à cette époque, et en comparaison, les Etats-Unis craignaient d’avoir l’air minables. C’était donc un concept qui visait en quelque sorte à convaincre les gens que les Etats-Unis étaient capables de maintenir un effet dissuasif mutuel, et d’éviter ainsi une énorme déflagration sur Terre».

D’après lui, il y avait également des raisons «militaires et politiques» à ce projet:

«il y avaient des discussions pour faire de la Lune un champ de bataille en surplomb», depuis lequel les Etats-Unis pourraient envoyer des missiles, a-t-il déclaré à CNN.

Un plan précis, qui semble tout droit sorti de l’imaginaire de Méliès, croisé avec le pessimisme nucléaire de Stanley Kubrick, est échafaudé: les scientifiques prévoient de viser la face cachée de la Lune, pour que la poussière projetée par la détonation soit éclairée par le soleil, et gagne ainsi en visibilité depuis la Terre, en créant un contraste.

Finalement, le plan des chercheurs et du gouvernement fut abandonné en janvier 1959. Les risques estimés sur l’effet d’une telle initiative sur la population (allait-elle l’approuver ou non?), et les doutes sur les capacités du missile à réellement atteindre sa cible (n’aillait-il pas retomber sur Terre en cas d’échec?), en ont finalement eu raison. De plus, Leonard Reiffel plaçait de grands espoirs dans la colonisation de la Lune, et craignait que la radioactivité à sa surface ne complique la tâche. Jacques Cheminade, qui prévoyait pendant la campagne présidentielle de 2012 l’industrialisation de la Lune, peut lui être redevable.

http://www.slate.fr

Quels sont les symptômes d’une insolation ?


L’été est agréable quand nous pouvons profiter de la belle température, mais quand il fait trop chaud, cela peut devenir un ennemi pour notre santé. Il est important de se prémunir de la chaleur extrême pour éviter les insolations
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Quels sont les symptômes d’une insolation ?

 

    L’insolation, ou le coup de chaleur provoqué par une exposition trop longue au soleil, peut être grave, voire mortelle.

    Il ne faut donc pas hésiter à contacter un médecin ou les urgences au moindre doute.

    Quels sont les symptômes qui doivent inquiéter ?

    Les symptômes de l’insolation

    • La température du corps est anormalement élevée.

    • La personne se déshydrate, avec parfois une forte sensation de soif.

    • La transpiration s’arrête et ne joue plus son rôle de régulateur.

    • La peau devient sèche, chaude, avec des rougeurs et une forte sensation de chaleur notamment au niveau du visage.

      Les lèvres et la langue sont également sèches.

        A savoir : une peau trop sèche reste plissée un certain temps après l’avoir pincée. Pour savoir si une personne est déshydratée, pincez sa peau.

        • Apparition de nausées, vomissements.

        • Crampes et douleurs musculaires (jambes, bras, fessiers, ventre).

        • Fatigue, faiblesse, état de somnolence.

        • La respiration devient rapide et saccadée.

        • Accélération du rythme cardiaque.

        • Chute de la tension artérielle.

        • Sensation d’oppression.

        • Difficultés à parler, une confusion.

        • Etourdissements, vertiges, bourdonnements dans les oreilles.

            Bien évidemment, dès que l’on ressent les tout premiers signes de l’insolation : chaleur au niveau du visage, sensation de malaise et maux de tête, il faut vite se mettre à l’ombre et idéalement dans un endroit frais.

            Insolation : que se passe-t-il exactement ?

            L’organisme n’arrive plus à réguler sa température interne et celle-ci augmente, c’est l’hyperthermie.

            Cette chaleur corporelle trop élevée est à l’origine de nombreux symptômes, lesquels sont d’autant plus marqués que la température corporelle est importante. En l’absence de prise en charge rapide, il existe un risque d’atteintes neurologiques, des reins et du cœur, voire un risque de coma.

            Dans tous les cas, au-delà de 40,5°C, l’insolation est mortelle. L’insolation est donc une urgence vitale !

            Quand et qui ?

            L’insolation survient surtout en cas d’exposition excessive au soleil, mais aussi lorsqu’il fait très chaud, en cas de canicule ou dans une voiture fermée restée en plein soleil, ou encore lors d’un effort physique intense avec des pertes hydriques non compensées.

            Les personnes les plus à risque sont les personnes âgées en raison de leur faible sensibilité à la soif, les jeunes enfants qui se déshydratent très vite et dont le système de régulation thermique est encore immature, et les sportifs. Mais nous pouvons tous être victimes d’une insolation en exposant trop longtemps notre tête à un fort soleil.

            L’alcool, en perturbant la régulation de la température, et certains médicaments comme les vasoconstricteurs, augmentent le risque d’insolation.

            Les bons réflexes en cas d’insolation

            Il est primordial de faire baisser le plus rapidement possible la température de la victime :

            • L’installer à l’ombre ou encore mieux dans un endroit frais et ventilé, équipé d’un ventilateur ou d’un climatiseur.

            • La rafraîchir en l’aspergeant d’eau, avec des linges mouillés, à l’aide d’un brumisateur, voire en lui donnant une douche tiède ou un bain.

            • La réhydrater en lui donnant de l’eau à boire par petites gorgées.

                Au moindre doute, s’il s’agit d’une personne âgée ou d’un jeune enfant, contacter un médecin ou les urgences

                Les urgences doivent être contactées immédiatement en cas d’insolation grave : les yeux enfoncés, la langue et les lèvres sèches, confusion, et bien entendu en cas d’absence ou de perte de connaissance.

                Conseils de bon sens pour se prémunir d’une insolation

                • Ne pas s’exposer longtemps au soleil ni aux heures les plus chaudes.

                • S’hydrater très régulièrement, même si l’on n’a pas soif.

                • Se mettre dans un endroit frais dès que l’on ressent une forte sensation de chaleur corporelle.

                • Ne jamais laisser un enfant, une personne âgée ou qui que ce soit en plein soleil ou dans une voiture en plein soleil.

                • En cas de canicule : ventiler les pièces, utiliser un climatiseur, un ventilateur, un brumisateur, porter des vêtements amples, légers et de couleur claire, éviter les activités physiques.

                • Sportifs : porter des vêtements adaptés qui ne retiennent pas la chaleur, respecter ses limites (dictées par l’entraînement régulier), éviter les stimulants… 

                par Isabelle Eustache

                Sources : Ministère de la Santé, « Canicule : recommandations pour la population », http://www.sante.gouv.fr/canicule-recommandations-pour-la-population.html, mai 2014. Institut national de prévention et d’éducation pour la santé (Inpes), « Canicule et fortes chaleurs : comprendre les risques ».

                http://www.e-sante.fr

                Un château du Moyen Âge en construction en France


                Si, un jour, je vais en France, j’irais certainement visiter ce château en construction comme au temps du Moyen-âge. Voir la cuisinière et sa coquine en action ainsi que le talemelier comme s’ils étaient au temps médiéval
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                Un château du Moyen Âge en construction en France

                 

                Un château du Moyen Âge en construction en France

                Les outils et techniques de l’époque sont utilisés dans la construction.  Photo AFP

                Marjorie Boyet

                 

                TREIGNY – Le pain au levain cuit dans le four et les premières peintures murales ornent les murs: la vie de château s’organise à Guédelon, au centre de la France, seize ans après le début des travaux de construction de ce château fort du XIIIe siècle.

                Cette aventure pharaonique a germé en 1997 dans la tête de Michel Guyot, propriétaire du château de Saint-Fargeau, qui sous son enveloppe de briques roses cachait une ancienne enceinte médiévale, à une quinzaine de kilomètres de là. Un an plus tard, il décidait de lancer la mise en chantier d’un château respectant les techniques du Moyen Âge à Guédelon, en collaboration avec Maryline Martin, l’actuelle directrice du site.

                Pas de recettes

                Aujourd’hui, dans le four de la cuisine de Guédelon, le feu de bois crépite, tandis que la cuisinière Françoise de Montmollin et sa «coquine» – son aide de cuisine – préparent une arboulastre, une tarte aux herbes typiquement médiévale.

                «Il ne pouvait pas y avoir de recettes à l’époque car seuls les moines écrivaient», relate Mme de Montmollin, 66 ans, dans sa longue robe violette, les cheveux couverts d’une coiffe blanche.

                Grâce à des «testaments de paysans du XIIIe siècle» où «poulets, cochons, brebis» étaient légués en abondance, cette architecte de formation a déduit que la population de l’époque mangeait «beaucoup de viande».

                «Ce n’est pas vrai dans tout le Moyen Âge; au XIVe siècle, on va mourir de faim», rappelle-t-elle.

                «Je suis dans une cuisine XIIIe, avec des ingrédients XIIIe, des outils de cuisine XIIIe et ça ressemble aux enluminures; vous dire si c’est exactement le goût, je ne sais pas», nuance-t-elle.

                Dans un coin de la cuisine, Max, le boulanger ou plutôt le «talemelier», travaille la farine fournie depuis deux mois par le moulin à eau de Guédelon, construit au coeur de la forêt à partir de vestiges du XIIe siècle découverts dans le Jura.

                «On est certain que dans le pain médiéval, il devait y avoir un peu de sable», déclare l’homme jovial de 68 ans, «et beaucoup de gens mouraient d’empoisonnement du sang à cause des abcès».

                À l’intérieur du logis, les murs d’une chambre se sont parés d’un sous-bassement ocre jaune et de végétaux stylisés dans des tons orangés.

                «Raffinement»

                 

                La peintre, Valérie, 45 ans, s’est inspirée des fresques du XIIe siècle de l’église de Moutiers à 4 kilomètres de Guédelon.

                Façade, mobilier, charpente, «tout était peint à l’époque, c’était une période très colorée avec des teintes très vives, très soutenues, mais on n’est pas parti dans l’idée de peindre tout comme à l’époque parce que ce serait peut-être un peu trop pour nos yeux maintenant», dit cette ancienne décoratrice sur céramique.

                De l’extérieur, le logis et deux des six tours du château, dont la tour de la chapelle, ont pris forme. Les tailleurs de pierre s’activent au côté des maçons, qui montent les éléments de construction en haut des tours grâce à des «cages à écureuil», ancêtres de la grue.

                «Ça devient un chantier un peu moins « bâtiment, pierre », on attaque la phase décoration», se félicite Maryline Martin.

                Validé scientifiquement

                Considéré comme un laboratoire à ciel ouvert, le chantier pédagogique, où travaillent 70 salariés et une vingtaine de bénévoles, attire 300 000 visiteurs par an, dont les entrées financent l’essentiel du coût des travaux.

                Les artisans, forgerons, cordiers, vanniers, portent les vêtements de l’époque du règne de Saint-Louis, excepté les chaussures de sécurité, législation du XXIe siècle oblige.

                Depuis l’origine de Guédelon, un comité scientifique valide chaque étape du chantier.

                Pour l’aménagement des pièces du château, comme les peintures murales, Mme Martin n’est pas «encore 100 % sûre de (leur) proposition». «Si il faut, on refera, on rebadigeonnera», précise-t-elle.

                Pour elle, «le château en devenir, un peu comme certaines pièces de Versailles qui n’ont jamais été terminées, pousse à la réflexion permanente».

                Et cela pourrait durer «encore au moins quinze ans», selon elle.

                http://fr.canoe.ca

                Crash avion Malaysia Airlines : Il échappe à la mort deux fois


                Un homme a échappé deux catastrophes aériennes de la Malaysia Airlines en quelques mois. Quand ce n’est pas ton heure, il y a des événements qui arrivent sans que l’on comprend pourquoi. Ce n’était pas sa destinée de mourir à ces deux avions
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                Crash avion Malaysia Airlines : Il échappe à la mort deux fois

                Il échappe aux deux crashs de la Malaysia Airlines

                Le site du crash du vol MH17 et le miraculé Maarten de Jonge.

                Photo : NEWSCOM/SIPA

                MIRACULÉ – Un Néerlandais a frôlé la mort à deux reprises en cinq mois. Il aurait dû prendre place dans les deux avions de la Malaysia Airlines qui se sont crashés en Ukraine et dans l’Océan Indien. Mais des échanges de billets de dernière minute lui ont sauvé la vie.

                Maarten de Jonge est un cycliste professionnel au palmarès modeste. Mais face à la mort, ce Néerlandais de 29 ans mène deux victoires à rien. Il a en effet la particularité d’avoir échappé aux deux catastrophes aériennes qui ont récemment frappé la Malaysia Airlines : le crash du vol MH17 en Ukraine jeudi, et la disparition du vol MH370, en mars dernier dans l’Océan indien.

                La semaine dernière, ce coureur de l’équipe malaisienne Terengganu Cycling Team devait embarquer à bord du Boeing 777 reliant Amsterdam à Kuala Lumpur, afin de rejoindre le continent asiatique où il dispute la grande majorité de ses compétitions. Mais jeudi, au dernier moment, Marteen décide de bouleverser ses plans pour des raisons financières.

                « J’ai préféré prendre un vol le dimanche car il était 300 euros moins cher. Il ne restait qu’une seule place… », confie le chanceux dans les médias néerlandais.

                Une volte-face salutaire puisque l’avion s’écrasera quelques heures plus tard au milieu d’un champ ukrainien, abattu par un missile probablement tiré par les séparatistes pro russes. Une tragédie dans laquelle 298 passagers et membres d’équipage, dont au moins 189 citoyens néerlandais, ont trouvé la mort.

                Il frôle la mort cinq mois plus tôt

                Mais ce qui rend l’histoire de ce Néerlandais encore plus incroyable, c’est cet autre revirement de dernière minute qui lui avait déjà sauvé la vie en mars dernier. A l’époque, il devait se rendre à Pékin depuis la capitale malaisienne. Une fois de plus, l’homme échange son billet « afin de prendre un avion 50 minutes plus tôt ». Le vol MH377 décollera donc sans lui et disparaîtra des écrans radars, au large du Vietnam, deux heures plus tard avec 239 personnes à bord. Près de cinq mois plus tard, le mystère reste entier.

                Si son histoire passionne les médias de son pays, Maarten de Jonge aimerait aujourd’hui retrouver l’anonymat.

                 Dans un communiqué publié sur son site officiel, le cycliste explique ne plus vouloir « répondre aux très nombreuses sollicitations des radios et des télévisions ».

                « Ce qui s’est passé est terrible. Par respect pour les victimes et leurs familles, je ne pense pas qu’il soit approprié de s’attarder sur mon histoire », écrit-il.

                Et quand on lui demande s’il serait prêt à remonter à bord d’un avion de la Malaysia Airlines, le miraculé répond par l’affirmative :

                « J’ai eu de la chance deux fois, pourquoi pas une troisième… »

                http://www.meltybuzz.fr

                5 maladies qui n’aiment pas toujours le soleil


                Règle générale, nous devons profiter du soleil, mais avec modération, cependant certaines personnes ayant des problèmes de peau, devront être encore plus vigilantes
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                5 maladies qui n’aiment pas toujours le soleil

                 

                5 maladies qui n'aiment pas toujours le soleil

                On pense souvent que le soleil fait du bien à la peau. A tort parfois car les UV peuvent également être responsables de poussées inflammatoires ou de désordre de la mélanine sur les zones les plus exposées du corps. Le conseil universel : ne sortez jamais sans votre crème solaire.

                L’eczéma

                Les rayons du soleil sont souvent les bienvenus pour soulager l’eczéma (également appelé dermatite atopique) car les rayons UV ont un effet anti-inflammatoire et calment les poussées. Mais si l’on n’y prend garde, le soleil peut se révéler un faux ami car il favorise aussi la perte en eau et accentue la sensation de peau sèche et de tiraillement. Aussi, il est important de prévenir la déshydratation à grand renfort de crèmes hydratantes et en buvant beaucoup.

                Le lentigo (ou taches de vieillesse)

                Les taches de vieillesse, également appelés lentigo, sont les taches brunes, plus ou moins grandes, qui apparaissent généralement après 40 ans sur les zones les plus exposées du corps : le dos des mains, le décolleté ou le visage. Elles correspondent à une réorganisation locale de la mélanine (le pigment responsable de la couleur cutanée) dans la peau lors des expositions au soleil. Pour éviter leur apparition trop précoce, puis leur multiplication, il n’y a pas d’autre moyen que se cacher du soleil ! Restez à l’ombre le plus possible et ne sortez jamais sans vous être tartinée de crème solaire.

                L’herpès labial

                Après une poussée d’herpès, le virus reste comme endormi dans un ganglion. Mais sous l’effet des UV, le virus va se réveiller, longer le nerf sensitif et faire apparaître de nouvelles lésions sur la peau ou la muqueuse.

                Un conseil : pour éviter de voir apparaître un disgracieux bouton de fièvre, appliquez systématiquement un baume protecteur sur vos lèvres (indice 15 ou plus). Il est particulièrement important de bien hydrater vos lèvres car, quand elles sont sèches, les risques de poussées sont multipliés.

                La rosacée

                La rosacée touche environ 10% de la population. Cette dermatose se manifeste initialement le plus souvent chez les femmes de 30 à 40 ans à la peau et aux yeux clairs. Elle se manifeste sous forme de crises ou  » flushs  » : des bouffées vasomotrices surviennent de façon soudaine avec des rougeurs sur la peau du visage et le cou.

                Le stress est souvent le principal facteur déclenchant mais les UV jouent aussi un rôle important dans le déclenchement de la maladie ou des poussées. La photoprotection est donc indispensable : peu de soleil, beaucoup d’ombre une crème solaire à indice élevé sont indispensables en été.

                Le chloasma (ou masque de grossesse)

                Enceinte, votre corps fabrique encore plus d’hormones, entraînant une augmentation de la synthèse de la mélanine. Dès que l’on s’expose au soleil, ces pigments responsables du bronzage, perturbés par les hormones, montent dans le plus grand désordre depuis les couches profondes de la peau jusqu’à la surface de l’épiderme. C’est ainsi que le fameux « masque de grossesse » peut apparaître sur le visage. Il se manifeste par des petites taches de couleur marron, de forme plus ou moins régulière mais bien délimitées. Réparties en général sur le front, les pommettes, les joues et le dessus des lèvres.

                En été, ne sortez donc jamais sans avoir le visage protégé par une crème solaire à fort indice de protection et sans un chapeau de paille à large bord.

                http://www.topsante.com

                La médecine douce ou alternative réservée aux médecins vétérinaires


                Comme chez l’être humain, les animaux aussi peuvent avoir des traitements alternatifs, cependant, il est important que le vétérinaire soit au courant pour mieux guider vers cette voie et évité que ces traitements puissent mettre l’animal en danger
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                La médecine douce ou alternative réservée aux médecins vétérinaires

                 

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                Annie Ross

                 

                Avez-vous déjà utilisé les services d’un ostéopathe, d’un chiropraticien ou d’un acupuncteur pour votre propre santé? Et pour celle de vos animaux?

                Un avis public a été émis par l’Ordre des Médecins vétérinaires du Québec concernant la pratique des médecines dites complémentaires ou alternatives chez les animaux. Saviez-vous que celles-ci relèvent de la médecine vétérinaire?

                Conformément à la loi, aux réglementations et aux décisions judiciaires rendues dans le passé, l’Ordre des Médecins vétérinaires du Québec (OMVQ) a clairement indiqué que l’utilisation de toute thérapie complémentaire (alternative) dans le but de traiter un animal fait partie de l’exercice de la médecine vétérinaire au même titre que l’utilisation des thérapies et des traitements plus conventionnels.

                Selon l’article 7 de la Loi sur les médecins vétérinaires, le vétérinaire est le seul professionnel à pouvoir examiner, diagnostiquer puis commencer ou recommander un traitement chez un animal.

                Qu’est-ce qu’une thérapie complémentaire?

                Ici, on parle de toutes les méthodes de diagnostic, de traitement ou de prévention qui sont fondés sur des philosophies et des techniques autres que celles utilisées en médecine vétérinaire conventionnelle. Des exemples sont faciles à trouver et de plus en plus à la mode: acupuncture, ostéopathie, naturopathie, massothérapie, physiothérapie, chiropratique, homéopathie, etc.

                Toutes ces médecines dites alternatives peuvent apporter de bonnes choses aux animaux et même contribuer à leur santé ou à leur bien-être, mais encore faut-il s’assurer que ces services soient prodigués par des gens compétents et dûment formés et que ces soins soient justifiés pour l’animal et de qualité!

                Plusieurs cas hors norme

                Depuis quelques années, l’OMVQ aurait été confronté à plusieurs cas de traitements prodigués à des animaux par des personnes qui n’avaient pas la formation ni les compétences nécessaires. Les traitements ont donc été réalisés sans un diagnostic préalable d’un médecin vétérinaire et ils auraient causé des torts à la santé des animaux impliqués, et ce, sans parler du fait de laisser ensuite les propriétaires sans aucun recours.

                Voici un exemple pour vous éclairer: un chat «soigné» en acupuncture pour des douleurs meurt en fait d’un blocage urinaire non diagnostiqué et, donc, non résolu par le soignant. Voilà un cas précis où la condition est rarissime chez l’humain, mais fréquente chez le chat et dont la guérison nécessite plus que des aiguilles d’acupuncture… Il s’agit d’une urgence vétérinaire!

                Pratique illégale

                Ainsi, pour éviter ce genre de situations, tel que cité dans l’avis de l’OMVQ:

                «La pratique des thérapies complémentaires par des personnes qui ne sont pas membres actifs de l’Ordre des médecins vétérinaires du Québec, autrement qu’étant habilitées par une loi ou un règlement, constitue l’exercice illégal de la médecine vétérinaire et est passible des sanctions prévues par la loi.»

                L’OMVQ nous invite à signaler tout cas de pratique illégale au Bureau du syndic de l’Ordre (www.omvq.qc.ca). De mon côté, je vous invite à la prudence dans le choix d’un «thérapeute» pour votre animal: assurez-vous donc qu’il soit vétérinaire et membre actif de l’Ordre!

                Un bémol…

                Évidemment, certaines personnes autres que des médecins vétérinaires peuvent détenir une formation certaine dans un domaine ou dans un autre. Je pense, par exemple, aux physiothérapeutes accrédités ou à la formation en massothérapie équine donnée à l’ITA de La Pocatière. L’OMVQ permet à des thérapeutes adéquatement formés d’appliquer leurs techniques, mais ceci, pour autant que la démarche soit supervisée par un médecin vétérinaire.

                Un extrait de l’article 7 de la Loi sur les médecins vétérinaires:

                «Constitue l’exercice de la médecine vétérinaire tout acte qui a pour objet de donner des consultations vétérinaires…, d’établir des diagnostics vétérinaires…, de traiter des affections médicales vétérinaires en faisant usage de procédés mécaniques, physiques…»

                www.journaldequebec.com