Parole d’enfant ► Des petits chemins


C’est une belle métaphore pour décrire des rides sur un visage d’une personne âgées. N’est-ce pas la vie marque sa route sur notre visage au fil des ans
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Des petits chemins

 

 

Un homme âgé vient chez moi, Sam 4 ans lui dit :

 »Qu »est-ce que tu as dans le visage, on dirait tout plein de petits chemins »

Samuel 6 ans

Les erreurs des autres : une vidéo percutante


On voit ce genre de publicités-chocs sur nos écrans, sur les médias. Et, il faut avouer que cette pub est très bien faite. Elles sont nécessaires, selon moi, sauf que malheureusement, beaucoup croient que cela arrive qu’aux autres. Il est pourtant important de limiter la vitesse sur les routes pour protéger ceux que nous aimons.
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Les erreurs des autres : une vidéo percutante

 

Par Catherine Bergeron

Vous l’avez peut-être déjà vue cette vidéo réalisée par l’Agence de transport de la Nouvelle-Zélande. Un membre de ma famille l’a publiée sur Facebook et je n’ai pu m’empêcher de vous l’a partager à mon tour.

«Je suis désolé, je croyais avoir le temps!»

«Il est trop tard. Je ne pourrai jamais m’arrêter.»

«Mais voyons, c’était une simple erreur. S’il vous plait… mon fils assis derrière.»

«Je vais beaucoup trop vite! Je suis désolé…»

Une publicité belle, triste, incroyablement percutante.

En cette période de vacances où les road trips et la famille sont à l’honneur, ce genre de vidéo vous fait-il réfléchir?

http://www.coupdepouce.com

Le Saviez-Vous ► Pourquoi piquent-ils certaines personnes plus que d’autres ?


Dans un de mes billets, une amie me fait part qu’elle est du groupe sanguin O, ce qui attire les moustiques. Curieuse, j’ai cherché ce qui peut en plus du groupe sanguin permet d’attirer les moustiques qui peut gâcher nos activités extérieures
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Pourquoi piquent-ils certaines personnes plus que d’autres ?

Une question banale, mais qui mérite d’être posée : pourquoi les moustiques piquent-ils ? Et surtout, pourquoi certaines personnes sont épargnées par le diptère quand d’autres se grattent à s’en arracher la peau ? Le Smithsonian magazine pourrait avoir trouvé la réponse. Il a en effet relevé plusieurs facteurs qui expliqueraient l’appétit, parfois féroce, des moustiques.

C’est l’ennemi numéro un de nos étés. Une fois la chaleur bien installée, il se tient prêt à attaquer… et à piquer. On parle bien sûr du moustique. Pourquoi pique-t-il ? Et pourquoi certaines personnes sont plus sujettes que d’autres aux piqûres ? La réponse le Smithsonian magazine pourrait l’avoir trouvée. Il avance en effet plusieurs raisons qui pourraient expliquer comment le diptère choisit sa proie.

Le groupe sanguin

Les moustiques seraient plus friands de certains groupes sanguins que d’autres. Ainsi, les personnes du groupe O sont les cibles préférées des suceurs de sang, qui les piquent deux fois plus souvent que celles du groupe A. Au milieu, on retrouve les personnes du groupe B.

Le dioxyde de carbone

Plus une personne expire du dioxyde de carbone, et plus elle a de chances d’attirer les moustiques. En effet, grâce à leur « palpe maxillaire », les diptères peuvent repérer le rejet de CO2 à près de 50 mètres.

L’exercice physique et le métabolisme

Mauvaise nouvelle pour les plus sportifs, ils ont plus de chances d’attirer la gourmandise des moustiques. Ces derniers sont attirés par la sueur, et plus particulièrement par l’odeur de certaines substances qu’elle renferme, à savoir l’acide lactique, l’acide urique ou encore l’ammoniaque. La chaleur du corps augmente avec l’effort, et ça, les moustiques en raffolent.

Les bactéries de la peau

Une étude menée en 2011, révèle que la présence en grande quantité d’un petit nombre de types de bactéries de la peau appelle davantage les moustiques. C’est pourquoi ils plébiscitent nos pieds et nos chevilles, car les bactéries y sont plus nombreuses que sur d’autres parties du corps.

La bière

Si l’on ne connaît pas encore la raison exacte, une étude publiée en 2011 a toutefois montré que le fait de boire une bière déclenche l’appétit des moustiques.

La grossesse

Les femmes enceintes se font piquer deux fois plus que les autres. La raison ? Elles expirent 21% de dioxyde de carbone en plus et leur température corporelle est plus chaude.

Les vêtements colorés

Les vêtements de couleur noir, bleu foncé ou rouge, permettrait aux moustiques de mieux repérer leur proie, selon James Day, un entomologiste médical à l’Université de Floride.

La génétique

La génétique compte pour 85% de notre attractivité sur les moustiques.

Les répulsifs naturels

Les scientifiques de laboratoire de Rothamsted Research du Royaume-Uni ont découvert que les personnes qui n’attiraient pas les moustiques dégageaient des répulsifs naturels, c’est-à-dire qu’elles ont tendance à excréter des substances naturelles qui ne plaisent pas aux diptères. En intégrant ces molécules dans un insectifuge, il deviendrait alors possible de les éloigner définitivement. Des recherches sont en cours, pour ainsi développer un jour des produits répulsifs plus efficaces.

Elodie Cohen Solal

http://www.terrafemina.com

Les dernières aventures du pied gauche de Joe Un futur amputé voit la vie du bon côté!


Voilà une preuve que malgré les difficultés que l’on peut vivre, il est toujours possible de prendre les choses avec humour et gaieté, car de toute manière, il n’est pas possible de changer les évènements.
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Les dernières aventures du pied gauche de Joe

 

Un futur amputé voit la vie du bon côté!

 

Un futur amputé voit la vie du bon côté!

Crédit photo : Gracieuseté imgur

Joe Pleban et sa sœur Kaley Pleban

TVA Nouvelles

Une galerie photo mise en ligne sur reddit et imgur fait fureur depuis une semaine. C’est l’histoire de Joe ou plutôt, du pied de Joe et de ses derniers moments avant l’amputation.

Aucun doute, cet Américain de 23 ans a beaucoup d’autodérision, mais surtout une façon des plus positives de voir la vie. Atteint de synovite villonodulaire pigmentée, une maladie chronique qui le faisait souffrir depuis six ans, selon plusieurs médias, Joe Pleban a tout essayé pour calmer la tumeur bénigne logée dans son pied gauche. Sans succès.

(Crédit photo: gracieuseté imgur)

Ne voyant plus de médication assez forte pour combattre la douleur, son médecin lui a conseillé l’amputation. Et contre toute attente, Joe a décidé d’accueillir la décision avec humour.

Avant de subir la délicate chirurgie, le jeune homme a voulu faire vivre à son pied des derniers moments bien occupés, croqués par la caméra de sa sœur, Kaley.

(Crédit photo: gracieuseté imgur)

Ainsi, une galerie de photos intitulée The Last Adventures of Joe’s Left Foot (Les dernières aventures du pied gauche de Joe), mise ligne le 7 juillet par cette dernière, montre ledit pied dans un festival, entouré d’amis, etc. Joe a également mis en scène plusieurs façons de se débarrasser de l’indésirable à orteils : la scie, la scie à chaines ou encore le fusil de paintball. Il s’est même fait tatouer un pointillé avec des ciseaux, au-dessous de l’inscription «Please cut here» (s’il vous plaît, couper ici).

Joe Pleban a finalement subi l’amputation de son pied gauche, mais n’a pas perdu son sens de l’humour. Selon sa sœur, chaque fois que les infirmières venaient dans sa chambre, il mettait une longue barbe grise et disait: «Qu’est-ce qui vous a pris tout ce temps? J’attends ici depuis des lunes!».

En moins d’une semaine, la galerie photo avait été vue près de 400 000 fois sur imgur.

Joe Pleban en compagnie de son chirurgien (Crédit photo: gracieuseté imgur)

http://tvanouvelles.ca

Une manifestation contre la discrimination des pitbulls


Avant j’avais moi-même des préjugés contre les pitbulls, mais ma mentalité a commencé à changer graduellement et complétement conquise quand mon fils a adopté un pitbull qui a été sauvé d’une grosse usine a chien, et qu’elle avait été enfermée 3 ans sans sortir pour ne faire que des bébés. Il a réussi à l’éduquer pour la rendre docile et tellement douce, que même ma petite fille a pu se coller contre elle.
Mais, le gros problème ce n’est donc pas le chien, mais le maitre qui ne lui donne pas ce que nécessite un chien ou l’éduque pour être agressif, et qu’en plus, ce ne sont pas ces chiens qui font le plus d’attaque
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Une manifestation contre la discrimination des pitbulls

 

Une manifestation contre la discrimination des pitbulls

Plusieurs propriétaires de pitbulls se sont rassemblés au parc La Fontaine,à Montréal.  Photo Joel Lemay / Agence QMI

Caroline Pailliez

 

MONTRÉAL – Une trentaine de propriétaires de pitbulls ont pris les rues de Montréal samedi pour manifester contre la discrimination qu’entretiennent certaines villes au Québec l’égard de leurs animaux.

Le débat sur les molosses a refait surface au cours des dernières semaines lorsqu’une fillette de 14 mois a été sévèrement mordue par un pitbull à Ottawa. À Montréal, une jeune femme avait, elle aussi, été attaquée le 6 juillet dernier par un pitbull et un berger allemand qui avaient voulu s’en prendre à son Jack Russell.

Pour empêcher que de tels accidents ne se produisent sur leur territoire, une soixantaine de villes au Québec interdisent les pitbulls. C’est le cas notamment de Drummondville, Joliette, Terrebonne, Mascouche, et Shawinigan selon le site Pit Stop Mtl.

Pour les propriétaires de ces animaux, ces mesures sont extrêmes.

«Ce n’est pas normal, indique Manon Pelchat, qui a organisé l’événement, samedi. On veut que la discrimination arrête. Si le maître éduque son chien correctement, il n’y aura jamais de problèmes. Les pitbulls ne sont pas méchants de nature. S’ils sont agressifs, c’est que le maître les rendus comme ça.»

Les vétérinaires pour les pitbulls

Même son de cloche du côté de l’Ordre des médecins vétérinaires du Québec qui s’oppose au bannissement d’une race spécifique.

«Ce ne sont pas les pitbulls qui mordent le plus, selon certaines statistiques. Mais quand ils mordent, ça frappe l’imaginaire, parce qu’ils ont beaucoup de puissance. Ils peuvent faire beaucoup de dégâts», explique le Dr Joël Bergeron, le président de l’Ordre.

Le vétérinaire estime qu’interdire les pitbulls ne représente pas une solution viable.

«Pour vraiment protéger la population, il faut légiférer sur les chiens qui présentent des comportements dangereux, peu importe la race.»

Ainsi, il recommande de faire examiner l’animal dès qu’il présente des comportements agressifs par des médecins vétérinaires. Ces derniers décideront par la suite si le chien doit porter une muselière ou dans le pire des cas s’il doit être euthanasié. C’est l’approche qu’ont adoptée certains arrondissements de la Ville de Montréal.

«Un gros bébé»

Michèle Leduc, 33 ans, qui possède un pitbull de un an et neuf mois, comprend que ces animaux demandent une attention toute particulière.

«Ce sont des chiens qui sont très musclés et donc même quand ils jouent, ils peuvent faire plus de dégâts que les autres. C’est pour ça qu’il faut bien les éduquer. Mais j’ai vu des petits chiens être bien plus agressifs que le mien.»

Mais, même si elle a une entière confiance dans son Tizou, qu’elle qualifie de «gros bébé», la jeune femme ne le laisserait jamais sans surveillance avec des enfants.

«Un enfant peut lui tirer la queue, lui toucher l’œil. Si jamais ça l’embête, la seule façon que le chien aura pour s’exprimer, c’est de grogner. J’explique donc aux enfants comment approcher mon chien. C’est aussi comme ça qu’on évite les accidents.»

http://fr.canoe.ca

New York | Funérailles : Des funérailles où le mort a l’air bien vivant


Une autre affaire glauque ! Avons-nous si peur de la mort que nous refusons de la voir en face quand elel frappe une personne aimée. Comment peut-on faire son deuil en montrant un mort, qui semble être vivant. Bon, je peux comprendre la tristesse, le désarroi de perdre un être cher, mais pourtant … Je pense alors qu’il est mieux de ne pas exposé du tout le défunt et garder nos souvenirs intacts
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New York | Funérailles

Des funérailles où le mort a l’air bien vivant

 

Des funérailles où le mort a l’air bien vivant

Photo Reuters

Marie-Joëlle Parent

NEW YORK | Une tendance étrange émerge de la Louisiane. De plus en plus de salons funéraires exposent le corps des défunts non pas couché dans un cercueil, mais assis ou debout dans des situations de la vie quotidienne.

Cette tendance hétérodoxe trouverait son origine à Porto Rico, mais elle gagne en popularité à La Nouvelle-Orléans.

«Nous sommes déjà connus pour avoir des funérailles très colorées et musicales, à La Nouvelle-Orléans, explique Louis Charbonnet, directeur du salon funéraire Charbonnet-Labat. C’est une façon de rendre le processus de deuil moins lourd.»

Plus tôt ce mois-ci, son salon a organisé les funérailles de Miriam Burbank, morte à l’âge de 53 ans. On a assis la femme à une table de salon avec ses lunettes de soleil et une cigarette au menthol entre les doigts. Sur la table, on a installé des objets chers à la défunte. C’était une demande de sa famille.

Depuis, le salon funéraire est inondé de demandes pour ces funérailles non traditionnelles.

«Certaines personnes ont demandé à être exposées chez un fleuriste, devant un étang en train de pêcher ou en train de cuisiner devant un four», dit M. Charbonnet.

Critiques

En 2012, il a exposé le corps embaumé du musicien Lionel Batiste, une vedette locale, debout comme s’il se trouvait à un coin de rue, appuyé sur sa canne.

M. Charbonnet dit avoir reçu quelques plaintes d’autres directeurs de salons funéraires mécontents de cette pratique peu orthodoxe.

«On n’enfreint aucune loi. Ce genre de rituel existe déjà dans des tribus d’Afrique et je ne suis pas le premier à le faire aux États-Unis», dit M. Charbonnet, ajoutant avoir reçu l’approbation du prêtre de sa paroisse.

http://www.journaldequebec.com

Etats-Unis : Elle raconte son viol et devient la risée du Web


On se dit civiliser et c’est comme cela qu’on se comporte devant le malheur d’une jeune fille. C’est un des pires côtés d’internet. Des personnes sans aucune valeur morales, en plus de violer, ils vont mettre des photos sur Internet, et que dire des commentaires déplacés que certaines peuvent écrire. Heureusement, que d’autres manifestent pour dénoncer autant le viol que ce genre dégradation d’une réputation d’une personne
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Etats-Unis : Elle raconte son viol et devient la risée du Web

 

© capture d’écran KHOU 11 News

Une adolescente américaine a raconté sont viol à la télévision et est devenue la cible des blagues cruelles sur les réseaux sociaux.

Jada, une adolescente de 16 ans vivant au Texas, a évoqué il y a quelques jours à la télé le viol dont elle avait été victime lors d’une soirée dans la maison « d’un ami d’un ami ». La jeune femme a expliqué qu’elle avait accepté un verre de puch, apparemment drogué, se serait endormie et aurait été victime d’abus sexuels pendant qu’elle était inconsciente.

« Je n’avais aucun contrôle. Je n’ai jamais dit à qui que ce soit de me déshabiller et de faire ce qu’ils ont fait », a-t-elle raconté au la chaîne locale KHOU 11 News.

Mais, outre cet événement traumatisant dont elle n’a pas vraiment de souvenirs (l’enquête sur cette agression est en cours, ndlr), Jada a vu une photo d’elle inconsciente et à moitié nue faire rapidement le tour de la Toile. Un cliché qui a donné l’idée plus que douteuse à certains d’imiter la pose de la jeune femme et de poster ces détournements accompagné du hashtag #jadapose. Une humiliation pour l’adolescente « en colère » face à ces moqueries cruelles.

Cependant ce hashtag a bien vite été transformé par d’autres internautes indignés, devenant #jadacounterpose. Posant avec des pancarte qui rappellent que « le viol n’est pas drôle », ces internautes dénoncent la culture du viol. D’autres ont préféré reprendre le tag original pour faire part de leur soutien à la jeune femme et sa famille et de leur révolte face à ces moqueries.

http://www.aufeminin.com

Intoxication alimentaire: comment la traiter au plus vite


La seule fois que j’ai fait une intoxication alimentaire, ce fut dans un restaurant de fruits de mer pendant mon voyage de noces … Ha ! Ha! Ha  !!!! La coupable, une pétoncle que j’avais pourtant trouvé un drôle de goût.
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Intoxication alimentaire: comment la traiter au plus vite

 

Favorisées par la chaleur, les intoxications surviennent le plus souvent après avoir consommé des œufs, des produits laitiers ou de la viande. Nos conseils pour les traiter sans attendre et préparer des assiettes saines.

Quels sont les signes qui doivent alerter ?

Selon le germe responsable, les symptômes surviennent quelques heures après l’ingestion du plat contaminé ou deux jours plus tard. Une intoxication alimentaire peut entraîner nausées, vomissements, diarrhée, douleurs abdominales, fièvre et déshydratation. Mais tout le monde ne réagit pas de la même façon : certains n’ont qu’un ou deux signes, parfois très discrets, alors que d’autres sont atteints de façon plus brutale. L’intensité du malaise varie selon le germe et la fragilité de chacun.

Que faire quand la diarrhée commence ?

D’abord, mettre l’intestin au repos : ne pas consommer d’aliments solides pendant quelques heures, voire une journée. Ensuite, se réhydrater en buvant beaucoup. Enfin, se reposer si possible durant quelques jours. La plupart du temps, on se remet en deux ou trois jours. Cependant, l’intoxication alimentaire peut se révéler plus grave pour les personnes à risque (enfants, personnes âgées, femmes enceintes, malades atteints de cancer). Elle peut aussi entraîner des complications, rendant le côlon irritable pendant plusieurs mois.

Que peut-on manger ?

En cas de diarrhée, grignoter des biscuits salés, type apéritif, limite la déshydratation. Il faut privilégier les aliments sans résidus ni fibres (riz, pommes de terre, poisson, poulet…) et supprimer les autres (fruits, céréales complètes, légumes secs…). Mieux vaut éliminer le café, les boissons froides et les produits laitiers qui accélèrent le transit, ainsi que les friandises et les gâteaux. Quand ça va mieux, on réintroduit les légumes et les fruits, d’abord cuits pendant quarante-huit heures, avant de les consommer à nouveau crus.

Comment se réhydrater ?

L’eau, c’est bien, en particulier les eaux minérales salées, comme l’eau de Vichy, mais ça ne suffit pas. Elle doit être enrichie en sel et en sucre, afin d’assurer une bonne hydratation. Bouillons de légumes salés et tisanes au miel « passent » plutôt bien. Si les nausées sont très fortes, il est préférable de boire à petites gorgées, à intervalles réguliers.

Faut-il prendre des médicaments ?

Pas forcément : il suffit parfois de se mettre à la diète et de bien se réhydrater. Quelques médicaments peuvent toutefois aider. Les pansements digestifs à base d’argile ou de charbon absorbent les éventuelles toxines et aident à diminuer la diarrhée : prendre jusqu’à six sachets de Smecta® par jour le premier jour, puis trois les jours suivants. Sans oublier les probiotiques : Lactéol® (matin, midi et soir), Ergyphylus® (deux fois par jour) ou Lactibiane® voyage (une fois par jour). En revanche, les médicaments antidiarrhéiques, comme l’Imodium®, ont tendance à bloquer le transit et à prolonger la durée de l’infection.

En cas de nausées ou de vomissements, on peut prendre du ­Vogalib® une à quatre fois par jour (comprimé à glisser sous la langue). Les solutions de réhydratation, en vente libre en pharmacie, sont utiles : un sachet d’Adiaril® à diluer dans 200 ml d’eau minérale (autant de fois que vous le voulez).

Quand doit-on consulter ?

Les enfants de moins de 2 ans et les personnes âgées doivent voir un médecin. Idem s’il existe une diarrhée abondante ou sanglante, de la fièvre et des douleurs abdominales importantes. Méfiance aussi si les symptômes durent plus de quarante-huit heures. Le recours aux antibiotiques ou l’hospitalisation sont parfois nécessaires, comme cela vient de se produire pour les enfants de la colonie de vacances en Ariège. Raison de plus pour bien respecter les mesures d’hygiène.

http://www.topsante.com