Parole d’enfant ► Le menu


Une phrase bien connu qui a reçu une réponse tout à fait étonnante
Voilà un papa qui viens de recevoir une belle leçon sur la fidélité envers la maman de son fils
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Le menu

 

Je conduisais en compagnie de mon fils qui était en école primaire à l’époque. A un moment, je lui ai fait remarquer une femme particulièrement séduisante et il m’a rappelé que j’étais marié.

Je lui ai répondu que ce n’est pas parce-que j’ai commandé que je ne peux plus regarder le menu. Il a pris le temps de réfléchir à cette logique et, après un moment, a répliqué:

« Papa, une fois que tu as commandé, ils reprennent le menu. »

http://www.out-the-box.fr

Ce chiot veut TELLEMENT voir le nouveau-né de la famille


Je me souviens quand Archi, le chien a mon plus jeune fils a fait la connaissance de Jézabelle. C’était beau a voir, a la différence du petit chien sur la vidéo, lui a pu rencontrer Mlle de près
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Ce chiot veut TELLEMENT voir le nouveau-né de la famille

 

A la naissance d’Isabelle, il n’y a pas que la grand-mère, l’oncle et les cousines qui voulaient absolument voir le bébé. Le petit chien de la famille aussi.

 

Le jeune chien Billy tient absolument à faire connaissance avec Isabelle. Mais il n’arrive pas à monter sur le lit… Photo : Capture d’écran de YouTube

Chienne de vie, le lit est trop haut. Pour ce petit chien tout jeune et tout fou, prénommé Billy, l’arrivée d’un bébé dans la maison signifie des heures de jeu en perspective. S’il faudra quand même patienter quelques mois pour qu’Isabelle apprenne à lancer la baballe correctement, Billy est tout excité à l’idée de faire sa connaissance pour la première fois.

Seulement voilà : Isabelle est sur le lit des parents. Et visiblement, il est hors de portée des bonds répétés de Billy qui y met pourtant toute son énergie pour monter sur le matelas. Aller Billy, encore un petit effort et ce sera bon(d) !

 

En bonus, une petit compilation de chiens et de chats qui voient le nouveau-né de la famille pour la toute première fois

http://www.metronews.fr/

Le Saviez-Vous ► Le Daily Mirror a publié en une au lendemain de la tragédie : “Naufrage du Titanic – aucune victime”.


À l’époque du Titanic, les journaux pouvaient aussi faire des grossières erreurs. Des erreurs dans la transmission des informations auraient quand même dû questionner les journalistes, un naufrage sans noyés d’un gros bateau, surtout à cette époque auraient été inusité
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Le Daily Mirror a publié en une au lendemain de la tragédie : “Naufrage du Titanic – aucune victime”.

Détails :

Le journal britannique écrivait le 16 avril 1912 :

“Disaster to the Titanic, world’s largest ship collides with an iceberg in the Atlantic during her maiden voyage1 et un peu plus loin “Everyone safe – Passengers taken off”2.

Le Daily Mail n’était pas mieux informé : “No lives lost”, écrivait-il.

Aucun complot là dessous : il s’agissait d’une erreur dans la transmission des informations, facilitée par la réputation d’insubmersibilité du Titanic. On a même rapporté qu’il se faisait tracter jusqu’au port par un remorqueur.

Bien entendu, les jours suivants, la catastrophe ayant coûté la vie à plus de 1500 personnes a bien été annoncée, et les premières informations démenties.

1 Catastrophe pour le Titanic, le plus grand navire du monde heurte un iceberg dans l’Atlantique lors de son voyage d’inauguration

2 Tous saufs – les passagers ont été évacués

Sources :

Journalisme.co.uk – How Titanic disaster was reported [en]
NMNI.com – Daily Mirror reports [en]

http://fr.spontex.org/le_saviez_vous/

Écouteurs: une distraction mortelle sur les routes


Je ne comprends pas pourquoi que des jeunes, et même des plus vieux se coupent de leur environnement quand il marche, font du vélo ou autre avec des écouteurs aux oreilles. La concentration est pourtant importante quand on se déplace en dehors. Tant de vies de gâcher pour une chanson, une musique à tue-tête dans les oreilles
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Écouteurs: une distraction mortelle sur les routes

 

MONTRÉAL – De plus en plus d’adolescents et de jeunes adultes sont victimes de graves accidents, happés par des automobiles et des trains, parce qu’ils ont été distraits en écoutant de la musique avec leurs écouteurs, selon des chiffres obtenus du Bureau du coroner par TVA Nouvelles.

Chantal Blouin, une mère de famille qui a perdu sa fille de 18 ans de cette façon veut sensibiliser les autres jeunes à ce danger.

Kassandra Blouin-De Santis traversait la rue à pied le 5 février dernier. Elle n’a pas vu ni entendu un véhicule qui roulait à environ 50 kilomètres à l’heure. Elle était distraite et utilisait des écouteurs avec son lecteur de musique.

«Semblerait qu’elle aurait traversé la rue sur la lumière rouge, en courant, a raconté Chantal Blouin. Ils nous ont dit qu’elle avait ses écouteurs avec son capuchon. Connaissant Kassandra, je sais qu’elle écoutait la musique très forte.»

Victime d’un grave traumatisme crânien, elle n’a jamais repris connaissance et est morte un mois plus tard à l’Hôpital du Sacré-Coeur.

Critique d’un coroner

Le coroner Jean-Luc Malouin a récemment rendu public son rapport d’enquête sur la mort d’une autre adolescente, Marianne Brisebois, frappée par un train de banlieue, alors qu’elle se baladait en bordure de la voie ferrée en juillet 2012 à Sainte-Thérèse.

Elle n’aurait pas entendu le sifflet du train utilisé à cinq reprises parce qu’elle écoutait de la musique à un niveau sonore très élevé avec son iPod.

Dans son rapport, le coroner écrit que «le nombre d’accidents graves chez des piétons qui se déplacent avec des écouteurs ou casques aux oreilles a triplé en six ans, selon une étude américaine publiée dans la revue spécialisée Injury Prevention. Les victimes sont principalement des adolescents et de jeunes adultes».

En tout, 70 % des 116 accidents qui ont pu être répertoriés entre 2004 et 2011 ont été mortels. Au Québec, la SAAQ et la police n’ont pas encore de statistiques sur le sujet.

http://fr.canoe.ca

Il traverse la Méditerranée en pédalo pour un pari


Il y en a qui ont de bien drôle d’idée, mais bon, au moins il ne sera pas, tout seul, vue qu’un voilier va le suivre. C’est la moindre des choses, avec son embarcation qui est quand même précaire
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Il traverse la Méditerranée en pédalo pour un pari

 

Stéphane Eon à bord de son Vélonautic qui ne dépasse pas les 5km/h. Photo : DR

Eric Miguet

EXPLOIT – A 43 ans, Stéphane Eon, coach sportif, s’apprête lundi à partir de Palavas-les-Flots pour entamer une traversée de la Méditerranée en Vélonautic. Une sorte de pédalo qui doit l’amener en Corse en un peu moins d’un mois.

 

Ne comptez pas sur Stéphane Eon pour lâcher l’affaire. Un problème technique sur le bateau d’assistance ?

« Je pars quand même », répond ce sportif aguerri de 43 ans.

Un avis de fort mistral en Méditerranée ?

« On ne peut pas tout prévoir », réplique-t-il à la veille d’un défi pour le moins original.

A bord de son Vélonautic, une sorte de pédalo pour cycliste, le Montpelliérain, s’apprête lundi à passer près d’un mois en mer pour rejoindre le port de Calvi en Corse.

Défi à but humanitaire ? Pour un sponsor ? Pas du tout. Tout est parti d’un pari avec sa belle-sœur.

« Je n’ai rien à gagner, mais je lui ai promis que je le ferai », glisse-t-il, sûr de son fait.

Il faut dire que l’homme n’en est pas à son premier exploit. La Méditerranée, il l’a déjà traversée en kite-surf ou en planche à voile. Mais là, la partie s’annonce un peu plus lente.

« Le Vélonautic ne dépasse pas les 5 km/h. Il va falloir de la patience. Ça sera surtout mental… », s’amuse-t-il.

Un véritable effort

Point de départ de cette traversée un peu folle : Palavas-les-Flots. Après un crochet par Marseille, il rejoindra Fréjus pour tracer tout droit vers la Corse, aidé d’un voilier d’assistance

« pour me réfugier en cas de grosse tempête ».

Autre crainte, les navires en pleine mer.

« Parfois, ils ne nous voient pas, il faut rester attentif », précise-t-il.

À raison de 10 heures de vélo sur mer, le coach sportif dans le civil s’accordera quand même des temps pause « pour tenir le rythme ».

Sur son embarcation, Stéphane Eon n’a prévu que le minimum nécessaire. Des compléments alimentaires, de l’eau, de la crème solaire et des vêtements pour se protéger des intempéries. Mais de pas de rasoir.

« Je pense qu’à la fin, j’aurai une longue barbe ».

En espérant que sa belle-sœur puisse le reconnaître à son arrivée… Histoire de valider son défi en Méditerranée.

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Sexe et grandes chaleurs


Ne pas se méprendre sur le titre du billet ! Ici, il est question des changements climatiques et des effets sur la fécondations des parasites …
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Sexe et grandes chaleurs

 

(Agence Science-Presse) Les changements climatiques ne bouleversent pas seulement l’arrivée de la belle saison, ils influencent aussi la lutte biologique. Les grandes variations de température modifient en effet les rapports entre les ravageurs et leurs ennemis naturels de toujours, les parasites.

Titre: Aphidius

Pour en savoir plus:

Le rapport d’Ouranos sur l’Impact du réchauffement climatique sur le synchronisme entre les ravageurs et leurs ennemis naturels : conséquence sur la lutte biologique en milieu agricole du Québec auquel ont contribué les chercheurs de l’IRBV.

Par exemple, la petite guêpe parasite Trichogramma euproctidis qui pond ses œufs à l’intérieur de ceux de la pyrale, un papillon nocturne ravageur de nombreuses cultures, dont celle du maïs.

«Lorsqu’il fait très chaud, cette petite bestiole, capable de choisir le sexe de sa descendance, produira moins de femelles», explique le postdoctorant de l’Institut de recherche en biologie végétale (IRBV), Joffrey Moiroux.

En réduisant ainsi sa production de reproductrices au dépend des mâles, la petite guêpe pondeuse perd des points dans son bras de fer avec ses compétitrices. Et cette situation avantage le ravageur indésirable de nombreux champs québécois, la pyrale.

Comme les abeilles, les fourmis ou bien d’autres guêpes, les trichogrammes possèdent en effet un système de détermination sexuelle haplodiploïde. La reproductrice possède une spermathèque, où elle conserve la semence issue de l’accouplement, et décide au moment de la ponte de féconder ou non l’œuf à naître.

Ainsi, de l’œuf fécondé, jaillira une femelle et de l’œuf non fécondé, un mâle. En mesurant simplement le temps de ponte, les chercheurs seraient même capables de prédire le sexe à venir dans 98% des cas.

«Elle prend plus de temps pour faire ses “filles” que pour produire des mâles», précise le jeune chercheur.

Les variations de température affectent le développement et la fécondation de différentes autres espèces. Dans certains «couples», le parasite et le ravageur suivent la même courbe de développement. Dans ces cas, la situation reste inchangée. Pour d’autres, les hausses de température profitent à l’un ou l’autre. «Il est difficile de généraliser, mais pour bons nombres de prédateurs, une génération se perdra s’ils ne peuvent pas pondre leur descendance dans leur victime de prédilection.»

Les chercheurs de l’IRBV avaient déjà mis à jour qu’un climat plus chaud influence le comportement des insectes. Par exemple, avec la hausse des températures, les pucerons deviennent aussi plus agressifs lorsqu’ils se sentent attaqués. Le minuscule hyménoptère Aphidius ervi a donc plus de difficulté à les parasiter.

http://www.sciencepresse.qc.ca

Atteinte d’un syndrome rare, elle sent le poisson !


Cette jeune femme a réussi a faire une carrière artistique, malgré un trouble métabolique. Une maladie rare qui ne doit pas être agréable et qui demande une grande force de caractère pour vivre avec ce syndrome
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Atteinte d’un syndrome rare, elle sent le poisson !

 

A cause d’un trouble métabolique rare, la chanteuse Cassie Graves dégage une forte odeur de poisson

« L’odeur sort de ma peau, de mes cheveux. Peu importe le nombre de douches que je prends, je ne peux pas m’en débarrasser. »

A 22 ans, la chanteuse anglaise Cassie Graves souffre d’un désordre métabolique grave qui fait qu’elle ne décompose pas la triméthylamine, substance dérivée de l’ammoniac qui se trouve dans certains aliments dont le poisson.

A cause de ce dysfonctionnement, la triméthylamine s’accumule dans l’organisme puis est libérée par la sueur, l’urine et la transpiration.

Le hic : l’odeur dégagée s’apparente à celle du poisson en décomposition.

« Il y avait des moments où je me sentais si mal que ma mère ne me laissait pas aller à l’école parce qu’elle ne voulait pas que je subisse les moqueries des autres enfants » raconte la jeune femme au site britannique Dailymail.

Ce qui est d’autant plus difficile pour elle c’est qu’elle ne se rend pas compte de l’odeur nauséabonde qu’elle peut dégager.

« C’est la chose la plus frustrante de la maladie, ça vous rend paranoiaque » poursuit Cassie.

La jeune femme doit suivre un régime alimentaire restreint pour éliminer autant que possible les aliments contenant de la triméthylamine.

Encore sous-diagnostiqué, ce syndrome appelé « triméthylaminurie » laisse souvent les patients dans un grand désarroi.

http://www.medisite.fr

Si un chimpanzé mange des feuilles par petites bouchées, c’est qu’il flirte


Les singes communiquent entre eux et ils ont même un comportement codé pour se faire comprendre par d’autres singes. C’est une communication de base, mais qui montre que le langage n’est pas juste chez les humains
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Si un chimpanzé mange des feuilles par petites bouchées, c’est qu’il flirte

 

Juvenile Chimpanzee / William Warby via Flickr licence by

Des chercheurs ont traduit quelques gestes faits par les chimpanzés pour communiquer entre eux.

Une équipe de scientifiques a suivi et filmé des communautés de chimpanzés en Ouganda. Ils ont passé en revue plus de 5.000 événements au cours desquels les singes ont communiqué. Les résultats ont été publiés dans Current Biology.

D’après Catherine Hobaiter, de l’université St Andrews, qui a dirigé cette étude, les chimpanzés sont les seuls animaux en dehors de l’être humain à pouvoir transmettre délibérément un message à un autre individu.

«C’est ce qui est incroyable dans les gestes des chimpanzés.  A cet égard, ce sont les seuls qui s’apparentent au langage humain», a-t-elle déclaré à la BBC.

L’étude a répertorié 66 gestes, et a distingué 19 messages spécifiques non ambigus, c’est-à-dire utilisés de manière répétitive pour signifier la même chose.

Par exemple, un chimpanzé qui découpe des feuilles, en en prenant de manière ostentatoire de petites bouchées, fait des avances sexuelles. Un mouvement vif signifie «arrête», ou «pousses-toi». Tendre la patte à sa progéniture est une invitation à ce qu’elle lui grimpe sur le dos. Les messages ne sont certes pas très subtiles, mais la volonté de transmettre est bien là.

«Le grand message [de cette étude] c’est qu’il y a une autre espèce juste là qui est très sensée dans sa communication, et que ce n’est donc pas un don propre aux être humains», explique Catherine Hobaiter. «Les chimpanzés sont plus proches de nous qu’ils ne le sont du reste des grands singes, il est donc logique que nous soyons incroyablement ressemblants sur de nombreux points», ajoute-t-elle.

Pour  Susanne Shult, biologiste de l’évolution à l’université de Manchester, interrogée par la BBC, cette étude a le mérite de chercher à combler un point aveugle dans notre connaissance sur l’évolution du langage humain. Mais elle estime que les résultats sont décevants:

«L’imprécision quant au sens de ces gestes signifie soit que les chimpanzés ont peu à communiquer, soit qu’il nous manque encore beaucoup d’information contenue dans leurs gestes et actions.»

http://www.slate.fr