Voici le chien le plus moche du monde


C’est probablement le seul concours (qu’il soit animal ou humaine) que je trouve que c’est une bonne idée. C’est autre chose que la beauté, c’est l’acceptation des différences et comme pour ce chien des conséquences de maltraitance. Ce qui en plus leur apparence n’enlève en rien à leur besoin d’attachement a leur maitre. Ceux qui trouve ce chien laid, alors l’apparence est plus importante que ce que sa personnalité
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Voici le chien le plus moche du monde

 

Le petit Peanut avait de sacrés atouts à faire valoir pour le concours… Photo : Sipa

INSOLITE – Comme chaque année, le concours du « chien le plus moche du monde » a été organisé en Californie, vendredi dernier. Mais au-delà de sa laideur, le gagnant de cette année a un message à faire passer…

 

Qui a dit que notre monde ne valorisait que la beauté ? Peanut, petit cabot âgé de deux ans, peut témoigner du contraire. Ce chien au faciès pour le moins ingrat a connu vendredi son heure de gloire en montant sur la première place du podium d’un concours canin : celui du chien… le plus laid.


Peanut est moche mais attachant

C’était cette année la 26e édition de ce concours du « chien le plus moche du monde« , organisé en Californie (ouest des Etats-Unis). Les critères des 3 jurés prennent en compte des particularités atypiques de l’animal, mais aussi sa personnalité et, bien sûr, sa laideur naturelle. Sous leurs yeux, comme chaque année ont donc défilé des chiens tous plus affreux les uns que les autres. La médaille d’argent est d’ailleurs revenue à un canidé baptisé – ça ne s’invente pas – Quasimodo.

Quant au gagnant, Peanut, ABC News nous apprend que derrière sa crinière en bataille, ses yeux globuleux et sa mâchoire prognathe, se cache une douce et énergique personnalité. Mais si le petit animal est aujourd’hui aussi laid, ce n’est pas uniquement dû aux manquements de dame Nature. Quand il n’était encore qu’un chiot, Peanut a en effet subi de sévères brûlures, qui lui ont laissé de vilaines plaques sans poils sur tout le corps. Au-delà du message de tolérance véhiculé par le concours auquel il a participé, le propriétaire de Peanut espère donc que sa victoire aidera à éveiller les consciences sur la maltraitance animale. Quand au chèque de 1500 dollars, il servira aux frais vétérinaires de Peanut. 

En 2011, Yoda la victoire raflé a. Photo : AFP

En 2009, Miss Ellie avait su séduire le jury. Photo : Sipa

En 2008, le gagnant s’appelait Gus. Photo : Sipa

En 2007, le gagnant se prénommait Elwood. Photo : Sipa

http://www.metronews.fr

Le saviez-vous ? Les roux ressentent plus la douleur


Les roux sont plus sensibles à la douleur, et répondent moins aux anesthésies, tout cela a cause d’une mutation d’un gène
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Les roux ressentent plus la douleur

© Rebecca Hale, rédaction du NGM

© Rebecca Hale, rédaction du NGM

Eve Conant

La plupart des roux ne ressentent pas la douleur comme le reste de la population. La couleur de leurs cheveux est due à une mutation du gène MC1R (récepteur de la mélanocortine de type 1) de leur peau.

Lequel pourrait « activer par inadvertance » dans le cerveau des récepteurs similaires, eux- mêmes responsables de l’anxiété et de la douleur, précise Anthony G. Doufas, de l’Outcomes Research Consortium (OR), une organisation de recherche sur l’anesthésie.

Témoignages et observations cliniques ont depuis longtemps montré que les roux sont plus difficiles à anesthésier : il leur faut 19 % de gaz en plus pour une anesthésie générale, selon l’OR.

Ils sont également plus sensibles à la douleur thermique et plus résistants aux anesthésies locales. Pas étonnant, comme le relate le Journal of the American Dental Association, que les roux évitent le fauteuil du dentiste dans une proportion « plus de deux fois supérieure » à celle du reste de la population.

http://www.nationalgeographic.fr/

Sommes nous seuls dans l’univers?


C’est une question que je crois, nous posons tous un jour ou l’autre en regardant l’immensité du ciel quand la nuit est étoilée. Souvent, on nous parle des OVNI qui seraient aperçues ici et là. Alors on parle souvent à tort d’extraterrestres alors qu’en fait se sont des objets volants non identifiés (OVNI) Bref, cela ne veut pas dire qu’il n’y a pas quelque part dans cette immensité de l’Univers, quelque part des êtres vivants doués d’intelligences. Mais, il reste de le prouver
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Sommes nous seuls dans l’univers?

 

Star Trek Into Darkness

Si des civilisations très développées existent dans l’univers, pourquoi n’avons nous aucun contact avec elles?

Nous éprouvons tous un sentiment particulier quand dans une nuit profonde et noire, nous contemplons un ciel constellé d’étoiles. L’immensité de l’univers donne le vertige et souvent la même question se pose : sommes-nous seuls? Une question éternelle que se pose à son tour le Huffington Post américain.

Mais si nous ne sommes pas seuls, «Où sont-ils?» s’interrogeait il y 70 ans Enrico Fermi l’un des plus grands physiciens de l’histoire et l’un des inventeurs de la bombe atomique. Il est l’auteur du paradoxe qui porte son nom, le paradoxe de Fermi, sur la vie extraterrestre. Il s’énonce de la façon suivante: la vie a évolué vite et irrésistiblement sur terre. Il y a plus de 100 milliards d’étoiles dans notre galaxie la Voie Lactée. La vie doit être extrêmement répandue dans notre galaxie et une espèce évoluée doit être capable de coloniser la galaxie en quelques millions d’année. Or, nous n’avons perçu aucune trace d’intelligence extraterrestre. «Où sont-ils?»

Statistiquement, le raisonnement de Enrico Fermi est imparable. Quand nous regardons au milieu de la nuit la voute étoilée, nous percevons environ 2 500 étoiles de notre galaxie, soit à peine un centième de millionième du nombre d’étoiles que comporte notre galaxie et la quasi-totalité d’entre elles se trouvent à moins de 1000 années lumière ce qui représente 1% du diamètre de la Voie Lactée. Nous ne voyons rien.

Pour donner encore un peu plus le vertige. Il y a donc entre 100 et 400 milliards d’étoiles dans notre galaxie et à peu près le même nombre de galaxies dans l’univers observable avec nos moyens actuels. Pour donner un ordre d’idées, cela signifie qu’il existe dans l’univers 10 000 étoiles pour chaque grain de sable présent sur terre.

Poussons le raisonnement statistique de Fermi jusqu’au bout. Les astronomes ne sont pas tous d’accord sur le pourcentage des étoiles dans l’univers qui seraient comparables à notre soleil. Ce pourcentage oscille entre 5% et 20%. Prenons, l’hypothèse la plus basse, 5%. Cela signifie qu’il existe dans l’univers 500 milliards de milliards d’étoiles comparables à la notre. Combien de ces étoiles ont des planètes en orbite autour d’elle qui pourraient avoir des conditions proches de celles de la terre. Là encore les astronomes ne sont pas d’accord. Le pourcentage est compris selon eux entre 50% et 22%. Prenons encore le plus faible, 22%, et revenons à la voie lactée. Si nous considérons qu’elle n’a que 100 milliards d’étoiles, que 5% d’entre elles sont comparables au soleil et que 22% d’entre elles ont en orbite des planètes comparables à la terre cela en fait un milliard de planètes comme la terre dans notre seule galaxie!

Si la vie intelligente s’est développée dans seulement 0,1% des cas, il y a 100 000 civilisations intelligentes dans la Voie Lactée!

Et pourtant le SETI (Search for Extraterrestrial Intelligence), une organisation dont l’objet depuis des décennies est de détecter avec des radio télescopes un signal provenant d’une vie intelligente n’a jusqu’à aujourd’hui jamais rien entendu. «Où sont-ils ?»

Une question d’autant plus lancinante que d’autres formes de vie intelligente devraient beaucoup plus anciennes que la notre. Notre planète à 4,5 milliards d’années, l’univers en a plus de 13 milliards, il existe des planètes et des soleils qui ont 6,7,8 milliards d’années. A-t-on idée de ce que peut-être une civilisation de centaine de millions ou de milliards d’années. Elle nous serait aussi incompréhensible que la civilisation humaine pour des fourmis.

L’université de Princeton a établi une échelle assez simple, la Kardashev Scale, pour mesurer le degré d’avancement des civilisations. Selon cette échelle, une civilisation de type I a la capacité d’utiliser toute l’énergie d’une planète, nous nous en approchons. Une civilisation de type II est capable d’utiliser toute l’énergie de son étoile et une civilisation de type III toute l’énergie de sa galaxie. Une civilisation intelligente qui a des centaines ou des milliards d’année et qui est capable d’atteindre un niveau II ou III a maitrisé le voyage interstellaire. Si 1% seulement des civilisations intelligentes parviennent au type III, il doit y en avoir 1000 dans notre galaxie. «Où sont-elles?».

Il y a deux types de réponses à leur absence. La première catégorie consiste à considérer qu’il n’y a pas de signes de civilisations de Type II ou III, tout simplement parce qu’il n’y en a pas. Nos hypothèses sont mauvaises et les civilisations avancées se heurtent à des barrières naturelles, technologiques et scientifiques infranchissables que nous ne connaissons pas.

L’autre grande catégorie d’explications est plus concrète. Nous sommes incapables de les percevoir parce que notre technologie est trop peu avancée et qu’ils ne veulent rien à avoir à faire avec nous. La galaxie a été colonisée, mais nous sommes dans un recoin ignoré un peu comme les indiens d’Amazonie il y a 50 ans. Le concept de colonisation physique n’a aucun sens pour des civilisations extrêmement avancées. Ou à l’inverse, les civilisations se livrent une guerre sans merci dans l’univers et ne veulent surtout pas indiquer leur présence à leurs ennemis. Une ou plusieurs civilisations dominent l’univers ou notre galaxie et détruisent les autres civilisations quand elles atteignent un certain niveau jugé dangereux. Et enfin, nous avons établi des contacts, mais nos gouvernements nous les cachent, reportez-vous à X-Files.

http://www.slate.fr

La leçon de respect envers les femmes d’un père à tous les garçons


Une belle réflexion de la part d’un homme, quand nous voyons des femmes utilisées, violées, battues. Une réflexion de respect entre homme et femme avec leurs forces et leurs faiblesses. Et c’est une éducation à faire dès la tendre enfance
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La leçon de respect envers les femmes d’un père à tous les garçons

 

© Thinkstock

Depuis plusieurs mois, le Dr Kelly Flanagan s’emploie à communiquer avec la jeune génération mais aussi avec les autres parents par le biais de lettres remplies de précieux conseils et de réflexions sur notre monde visant à chaque fois dans le mille. Dans son dernier texte, il imagine ce qu’il faudrait dire aux jeunes garçons pour que leur vision future de la femme ne soit pas déformée.

« Au printemps dernier, une nouvelle famille a emménagé dans notre quartier. Ils ont une fille en âge d’aller à l’école et le jour de l’emménagement, elle jouait seule dans son nouveau jardin. Pendant ce temps, 6 garçons jouaient dans le nôtre. Mais lorsque je leur ai suggéré d’inviter la voisine à se joindre à eux, un des garçons a crié : « On ne sait pas comment faire avec les filles », et tous les autres ont vivement hoché de la tête en signe d’accord.

Notre confusion concernant les femmes commence très tôt. On nous dit qu’elles sont radicalement différentes de nous​. Les femmes ont des émotions, alors que les hommes ont les muscles. Les femmes nourrissent, les hommes protègent. Les femmes aiment parler mais les hommes préfèrent agir. Les femmes veulent de l’amour, les hommes du respect. Les hommes viennent de Mars, les femmes de Venus. Nous avons été conditionnés à les comparer à des extraterrestres. Nous avons été conditionnés à penser que leur jeu, un après-midi de printemps, est différent. Oui, notre confusion remonte à loin…

Cet après-midi de printemps, alors que les garçons hochaient violemment de la tête, je leur ai dit que je connaissais le secret pour savoir faire avec les filles. Je leur ai demandé d’approcher, ils ont commencé à sourire, et je leur ai dit : « Vous commencez par les traiter comme une personne. » Ils ont cessé de sourire. Ils ont proposé à la fillette de jouer et dans les minutes qui suivaient, ils s’amusaient tous à sauter sur un trampoline. La même énergie, le même rire, la même joie. Des êtres humains se comportant comme tel, ensemble. ​Jeunes hommes, vous pouvez arrêter de traiter les femmes comme des femmes et commencer à les traiter comme des être humains.

Et notre assujettissement de la femme remonte également à très loin. Pendant des millénaires, on nous a appris que non seulement les femmes étaient différentes de nous, mais qu’elles étaient aussi moins que nous. Aux Etats Unis, le Quinzième Amendement a accordé aux minorités ethniques le droit de vote en 1870. Il a fallu attendre 50 ans et 4 autres amendements pour que les femmes l’obtiennent. Pendant des siècles, nous les avons bâillonnées. Nous avons utilisé les femmes comme de simples corps avec une grande violence et nous les avons utilisées comme divertissement avec beaucoup plus de subtilité, avec des regards, des gestes, des blagues, des fantasmes et le déni probable de tout cela. Oui, notre assujettissement des femmes remonte à loi. Nous en avons hérité. Jeunes gens, nous pouvons arrêter de traiter les femmes comme des sujets à soumettre ou comme des objets, et nous pouvons commencer à les traiter comme des humains. Comme des bouches avec une voix, comme des âmes avec un but.

Mais il n’y a qu’un seul moyen d’y parvenir. Il faut que nous cessions de nous haïr nous-mêmes. Elliot Rodger n’a pas ouvert le feu sur la maison de la sororité Alpha Phi principalement parce qu’il détestait les femmes, il a ouvert le feu surtout parce qu’il se détestait lui-même. S’il existe une règle d’or dans la vie et en amour, c’est bien celle-ci : la qualité de l’amour que vous portez pour quelqu’un est limitée à la qualité de l’amour que vous avez pour vous. Nous rejet de l’humanité des femmes n’est qu’un reflet de notre propre rejet. Nous ne parvenons pas à comprendre son coeur fragile et son histoire brisée car nous ne comprenons pas notre coeur fragile et notre histoire brisée. Jeunes hommes, on nous a appris à nous mépriser si nous nous sentons vulnérable et faible. Nous avons été entraînés à penser que nous ne sommes qu’aussi bons que notre prochaine conquête. On nous a appris a affirmer notre valeur sur le fait d’être droit et vertueux. Alors, lorsqu’on se regarde et qu’on voit notre insécurité, nos doutes, notre peur et notre solitude, on hait ce que l’on voit.

Ressentant notre vide intérieur, nous cherchons à le combler avec des signes extérieur comme la réussite, la richesse, des choses et des gens que l’on traite comme des choses. Les femmes sont obsédées par leur corps car elles ont été conditionnées à penser que la beauté ne se trouve qu’en surface plutôt qu’au coeur de leur être. Nous sommes obsédés par notre corps pour la même raison. Ayant été conditionnés à penser qu’il n’y a rien de valeur en nous, nous regardions à l’extérieur de nous pour en trouver. Nous les regardons, elles. Pour emprunter les mots du poète celte John O’Donahue

« Nous ne pouvons combler notre vide avec des objets, des biens et des gens. Nous devons creuser plus profondément dans ce vide, alors nous trouverons sous ce néant la flamme de l’amour qui nous attend. »

Alors, jeunes gens, le seul moyen de changer des siècles de confusion et d’assujettissement est de creuser plus profond dans nos propres coeurs. Arrêtez de vouloir gagner le coeur d’une femme ou de conquérir son corps. Regardez dans votre âme avant. Découvrez-y que votre valeur ne vient pas de ce que vous faites ou de ce que vous avez mais de ce que vous êtes. Trouvez-y un amour capable d’embrasser l’humanité entière, avec sa force et sa faiblesse, la gloire et l’échec. Et une fois que vous avez trouvé cet amour, commencez à le partager avec toutes les personnes autour de vous, y compris les femmes. Surtout, avec les femmes.

Avec espoir pour nous tous,

Un père »

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On peut devenir «accro» aux bains de soleil


On peut devenir dépendant du soleil, ce besoin n’est pourtant pas sans risque. Peut-être avec nos longs hivers, ce besoin de ces rayons dorés éprouvent en nous un plaisir intarissable. Pourtant, nous devons modéré notre exposition aux rayons UV
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On peut devenir «accro» aux bains de soleil

 

Il semble possible de devenir «accro» aux bains de soleil, préviennent des... (Photo Digital/Thinkstock)

Photo Digital/Thinkstock

La Presse Canadienne
Montréal

Il semble possible de devenir «accro» aux bains de soleil, préviennent des chercheurs américains, avec tous les risques de cancer de la peau que cela entraîne.

Une exposition chronique aux rayonnements ultraviolets incite le corps humain à produire des endorphines, un neurotransmetteur dont l’action est comparable à celle de la morphine et de l’héroïne, expliquent les chercheurs de l’université Harvard et de l’Hôpital général du Massachusetts.

Le docteur David Fisher et ses collègues ont constaté, lors de tests réalisés sur des souris, que celles qui avaient été exposées aux rayonnements UV pendant six semaines présentaient des taux d’endorphines plus élevés. Un médicament administré pour bloquer l’effet des endorphines provoquait ensuite chez ces souris des symptômes de sevrage.

Le docteur Fisher dit qu’il est étonnant de constater que le corps humain semble programmé pour devenir dépendant à quelque chose d’aussi dangereux que les rayonnements UV, qui sont peut-être les cancérogènes les plus répandus de la planète.

Il croit que cela découle probablement de la contribution de ces rayonnements à la production de vitamine D dans la peau. Il rappelle ensuite qu’on dispose aujourd’hui de sources de vitamine D sécuritaires, qui ne sont associées à aucun risque de cancer.

Les conclusions de cette étude sont publiées dans le journal scientifique Cell.

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Médecins du Monde lance une clinique mobile à Montréal


Ce genre d’action est concret, et nécessaire pour venir en aide aux itinérants .. Nous avons des difficultés de voir un médecin, ou d’avoir un rendez-vous pour des examens alors imaginez ceux qui vivent dans la rue
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Médecins du Monde lance une clinique mobile à Montréal

 

Pierre Saint-Arnaud
La Presse Canadienne
Montréal

À défaut d’aller chercher des services médicaux, les itinérants et autres clientèles vulnérables verront ces services se déplacer jusqu’à eux.

L’organisme Médecins du Monde Canada mettra en service la semaine prochaine sa toute nouvelle clinique médicale mobile.

Il s’agit d’un véhicule muni de tout l’équipement pour des consultations médicales à bord duquel prendront place un médecin bénévole, une infirmière – ou un infirmier, selon le cas – et d’autres bénévoles, notamment des travailleurs sociaux.

«Ce sont des médecins qui nous donnent des heures de travail gratuitement, après leurs heures régulières», a tenu à souligner le directeur général de Médecins du Monde Canada, Roch Harvey.

Le véhicule sillonnera les rues de Montréal pour aller à la rencontre de personnes marginalisées.

«Avec la clinique mobile, on va se déplacer vers les lieux où on retrouve les besoins, dans les parcs, dans les ruelles», a expliqué M. Harvey.

L’intervention mobile offre le double avantage de donner un accès facile aux personnes vulnérables et de faciliter leur intégration au réseau de la santé.

«Ça s’adresse à des personnes qui sont dans la rue, qui vivent en itinérance, qui ne fréquentent pas les cliniques ou les CLSC parce qu’elles n’ont pas de carte d’assurance-maladie. Elles sont désorganisées, souvent ce sont des utilisateurs de drogue, certains ont des problèmes de santé mentale», a indiqué M. Harvey.

Cette clientèle se retrouve trop souvent marginalisée et pas nécessairement par choix, souligne-t-il.

«Ce sont des gens qui, pour différentes raisons, ne vont pas se faire soigner. Parfois, ils sont mal reçus quand ils vont dans les cliniques, ou ils n’ont pas de carte d’assurance-maladie, ils l’ont perdue. Nous, on apporte les soins à ces personnes», a-t-il dit.

Le projet est financé en partie par les pouvoirs publics, mais surtout par l’Oeuvre Léger et des donateurs privés.

Médecins du Monde a obtenu des succès considérables avec des projets similaires ailleurs, notamment en France et en Grèce.

http://www.lapresse.ca/

Une photographe met en images les derniers « pieds bandés » des Chinoises


Il y a des traditions bizarres du moins a nos yeux, comme ces femmes chinoises qui autrefois subissaient de douloureuses déformations des pieds pour atteindre un critère de beauté. Mais les femmes d’aujourd’hui sont t-elles différentes, avec leur talon aiguille, les chirurgies esthétiques et toute cette industrie de la beauté qui font des affaires d’or
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Une photographe met en images les derniers « pieds bandés » des Chinoises

 

Les « pieds bandés » est une pratique chinoise interdite depuis 1942. Pour mettre en lumière cette tradition en voie d’extinction, la photographe anglaise Jo Farrell a souhaité photographier les dernières femmes dont les pieds nécrosés ne dépassent pas les 7,5 centimètres.

Les diktats de la beauté imposés aux femmes ne datent pas d’hier. Certaines pratiques interpellent et questionnent. Les « pieds bandés », par exemple, qui une pratique chinoise particulièrement douloureuse, a été l’objet d’une étude approfondie par la photographe Jo Farrell pendant plus de 10 ans. Elle a alors souhaité photographier ses dernières femmes aux pieds bandés.

Entrez la légende de la vidéo ici

Les pieds bandés : Une pratique qui a duré 1000 ans

La pratique des « pieds bandés » a été imposée au femmes chinoises du X ème siècle au XX ème où elle a été abolie. Alors qu’au début elle devait représenter la richesse et la distinction, elle s’est très rapidement répandue dans le pays pour toucher toutes les classes sociales. Le bandage des pieds commençait dès l’âge de 5 ans. L’objectif était t’atteindre la taille de 7,5 centimètres à l’âge adulte. Très douloureuse, elle n’a pourtant été définitivement abolie qu’en 1942.

« La femme d’aujourd’hui n’est pas différente de celle d’hier »

Durant son voyage, Jo Farrell s’est alors arrêtée dans un petit village chinois où elle a rencontré des femmes victimes des « pieds bandés » qu’elle a alors photographiées et filmées. Selon elle, la femme d’aujourd’hui n’est pas différente de celle d’hier. En effet, elle s’impose de nombreuses transformations physiques (chirurgies, régimes à répétition…) pour ressembler à un idéal de beauté.

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