Le superflu


Dans notre mode de consommation, on veut toujours plus jusqu’au jour que les dettes nous rattrape, Mieux vaut manquer de quelques nouveautés … ce qui compte c’est la simplicité ainsi éviter les grosses dettes
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Le superflu

 

« Qui se plonge dans le superflu, pleure un jour le nécessaire. »

Jean-Benjamin de Laborden

Une petite fille, un chien, une touchante histoire d’amitié à découvrir en images


Il y a des liens qui se tissent entre un chien et son maitre, mais quelque fois un lien vraiment spécial nait entre l’animal et un membre de la famille. C’est un besoin de partager des bons moments et devenir inséparable
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Une petite fille, un chien, une touchante histoire d’amitié à découvrir en images

 

Par Sophie Le Roux

La petite Siena, 3 ans, et son Dobermann Buddha, alias Cutie and the Beast (la belle et la bête) forment un duo aussi harmonieux que touchant. Un duo inséparable qui en dit long sur tout ce que nos meilleurs amis à 4 pattes peuvent nous apporter, que l’on soit un enfant ou un adulte de par sa simple et rassurante présence.

La fillette et le chien jouent ensemble, dorment ensemble, regardent la mer ensemble, grandissent et découvrent le monde ensemble.

Le lien qui les unit, empli de tendresse et de confiance est unique. Nul besoin d’être un spécialiste du comportement canin et humain pour comprendre à quel point ils s’aiment et ont besoin l’un de l’autre. Les clichés publiés sur leurs comptes Instagram et Facebook parlent d’eux-mêmes.

Quand on lui demande pourquoi elle a surnommé le duo La Belle et la Bête, la maman de Siena et maîtresse de Buddha répond :

« c’est comme dans le conte. La Bête a l’air effrayante vue de l’extérieur mais a un coeur en or ».

Peut-être pourrait-elle songer à les rebaptiser la Belle et le Beau, car Buddha n’a définitivement rien d’effrayant. Il ne dégage sur ces photos que douceur et gentillesse.

© Facebook – Cutie and The Beast

© Facebook – Cutie and The Beast

© Facebook – Cutie and The Beast

© Facebook – Cutie and The Beast

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© Facebook – Cutie and The Beast

© Facebook – Cutie and The Beast

© Facebook – Cutie and The Beast

© Facebook – Cutie and The Beast

© Facebook – Cutie and The Beast

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Le Saviez-Vous ► Top 7 des animaux qui ont aidé à résoudre un crime, balèze le perroquet


Des crimes sont commis a tous les jours, mais la police peuvent se fier aux animaux de compagnies des victimes pour retracer les criminels
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Top 7 des animaux qui ont aidé à résoudre un crime, balèze le perroquet

 

source photo : Ian.thomson

Vous pensiez l’espèce humaine largement supérieure à la race animale ? Que nenni les copains : nos amis les bêtes sont parfois sacrément fortiches quand il s’agit de défendre leur maître ou de résoudre un meurtre. À tel point qu’ils sont de plus en plus souvent impliqués dans les enquêtes de la police criminelle. Et ouais.

  1. Hercule le perroquet

    En février dernier, le corps sans vie de Neelam Sharma était retrouvé dans son appartement d’Agra en Inde. Sans personne pour témoigner, l’affaire semblait d’ores et déjà classée lorsque le mari de la victime s’est souvenu que cette dernière avait toujours à ses côtés son fidèle perroquet. Et ça n’a pas raté : interrogé par la police, Hercule a déclaré « Ashu a tué, Ashu a tué ». Peu de temps après, Ashutosh Goswami, le neveu du couple, a été arrêté et a avoué avoir assassiné sa tante.

  2. Moustico le moustique

    Cette affaire qui a récemment fait la une des journaux est totalement dingue. Tout commence en 2006 avec la découverte du corps d’une prostituée transsexuelle sur une plage sicilienne. La police porte ses soupçons sur un homme d’affaires aperçu non loin du lieu du crime le soir du meurtre, mais elle n’a à ce moment aucune preuve pour l’inculper. C’était sans compter sur le fait que les policiers retrouveraient un moustique écrasé dans l’appartement de ce brave garçon et qu’ils décideraient d’en faire une analyse ADN. Or, en analysant le sang de la dernière victime de ce moustique, la police scientifique s’est rendu compte que c’était le même que celui du transsexuelle retrouvé sur la plage. Bingo en somme.

  3. Théo le dalmatien

    En décembre 2005, Dominique Aubry, riche veuve d’un marchand d’art, était retrouvée pendue dans sa péniche. Un apparent suicide auquel ses proches n’avaient pas cru, demandant une enquête policière. L’investigation avait alors commencé, mais sans trop de témoins les enquêteurs s’étaient rabattus sur le dalmatien de la victime, présent au moment du crime. En mars dernier, Théo était donc invité à venir témoigner au procès des deux accusés. Pour le comportementaliste Gilbert Mouthon, la réaction de peur et de recul à la vue des accusés était sans appel.

  4. Singe n°1 et singe°2

    Nous sommes en janvier 1935 quand deux singes de cirque assistent au meurtre de leur maître en Inde. Plutôt bien dressés, ils se précipitent vers leur maîtresse en mimant la scène du crime et l’amènent sur le lieu du crime. Quelques jours plus tard, alors que l’enquête patauge, ils attaquent violemment deux hommes tranquillement attablés à la table d’un restaurant. Deux hommes qui, après investigation, se sont avérés être les meurtriers.

  5. Snowball, le chat

    Nous sommes en 1994, quand la Canadienne Shirley Duguay est retrouvée morte et (vite fait) enterrée sur l’Île-du-Prince-Édouard. La police se tourne immédiatement vers son ex-mari, Douglas Beamish, délinquant connu dans la région, mais ils n’ont aucune preuve pour l’inculper. Jusqu’à ce qu’ils aient l’idée de comparer les poils blancs retrouvés sur la scène du crime avec ceux du chat de Beamish, Snowball. Quelques semaines plus tard, les résultats revenaient du labo, confirmant que l’ADN était le même. Douglas Beamish a été condamné à 18 années de prison.

  6. Pépito le perroquet

    Décidément, les perroquets c’est bien pratoche. En mars dernier, deux cambrioleurs ont en effet été identifiés grâce à l’animal de compagnie de leur victime de 22 ans. Entrant par effraction chez la jeune femme alors qu’elle était à son domicile, les deux zigotos ont volé deux ordis, deux téléphones, une télé et ce pauvre Pépito (allez savoir pourquoi). En prononçant son nom devant leur victime, cette dernière a reconnu la voix de l’homme auquel elle avait acheté une tablette quelques semaines plus tôt. C’est ballot.

  7. Bird le cacatoès

    Attaqué à son domicile la veille de Noël en 2002, Kevin Butler n’aura pas survécu à son agression. Néanmoins, il aurait pu se vanter d’avoir l’animal de compagnie le plus dévoué du monde. En effet, en voyant son maître agressé, le brave petit Bird a foncé sur les deux cambrioleurs. Un excès de bravoure qui lui aura coûté la vie, mais qui a également permis de mettre la main sur les meurtriers grâce aux petits morceaux de peau retrouvés sous ses griffes lors de l’autopsie.

Un conseil : investissez dans un perroquet.

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La crème glacée qui se garde au chaud


C’est toute une révolution des desserts froids. Non, mais vous imaginez, quand on va l’épicerie, les produits surgelés sont à la dernière rangée dont les crèmes glacées. Ensuite, il faut attendre a la caisse, sortir et tout mettre dans la voiture alors que la température extérieure est humide et très chaude, se rendre à la maison pour se dépêcher a mettre la crème glacées au congélo … Bientôt, cela ne sera plus un problème.
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La crème glacée qui se garde au chaud

 

Anne Caroline Desplanques

Une crème glacée 100% québécoise pourrait bientôt débarquer dans une épicerie près de chez vous… au rayon des fruits en conserves, loin des congélateurs.

Selon Environnement Canada, on ressentira plus de 30 degrés à Montréal aujourd’hui et demain, avec l’humidex. De quoi faire fondre une coupe de crème glacée en moins de temps qu’il n’en faut pour la manger.

Mais, grâce à deux jeunes inventeurs montréalais, vous pourriez laisser votre dessert préféré pendant des heures au soleil sans craindre qu’il ne devienne un liquide immangeable.

«L’innovation majeure, c’est que notre produit peut être gardé dans l’armoire. Il n’a pas besoin d’être conservé au congélateur», indique Karine Paradis, une des inventrices de la crème glacée Frisson.

Ce dessert glacé unique au monde se présente sous forme liquide dans de petits pots individuels de 180 grammes. Pour transformer le liquide en crème glacée, il suffit de secouer le pot et de le placer au congélateur. En quatre heures, on obtient une crème onctueuse.

Le secret est dans la combinaison de sucres sélectionnés par les inventeurs et l’emballage mis au point. Les différentes masses moléculaires des sucres choisis limitent la formation de cristaux qui transformeraient le liquide en bloc de glace. L’emballage, lui, contient du gaz hilarant qui crée des bulles empêchant elles aussi la formation de glaçons.

Création de McGill

Loin d’être le dernier né d’une grande marque internationale, Frisson est toute droite sortie d’un laboratoire de l’Université McGill. Il a été inventé par deux étudiants au baccalauréat dans le cadre d’un simple cours de science de la Pre Salwa Karbourne.

«On travaille jour et nuit là-dessus depuis septembre, tout en suivant nos cours à temps plein», indique Karine Paradis.

Avec son collègue Jonathan Khouzam et 14 autres étudiants, elle a créé Frisson de A à Z, de la recette à l’emballage.

L’effort en a valu la chandelle puisque l’équipe présentera son invention cette semaine aux géants de l’industrie agroalimentaire, dans le cadre d’une compétition internationale réunissant les meilleures innovations à manger de l’année.

Il y a 25 ans qu’un produit canadien n’avait pas été finaliste à l a Food Product Development Competition et jamais des étudiants de McGill n’avaient réussi l’exploit.

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Les premiers cafés expresso… à bord de la Station spatiale


Passer une journée sans au moins le café du matin, cela commence mal la journée, alors imaginez dans l’espace pendant 6 mois… Tant qu’à passer des mois au-dessus de la Terre, aussi bien avoir son p’tit café bien assis, plutôt flottant devant le hublot et admirer le ciel
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Les premiers cafés expresso… à bord de la Station spatiale

 

Si les Italiens ont été capables de mettre au point une machine à expresso pour la Station spatiale, ils n'ont pas résolu le problème de la tasse à café. C'est donc dans une classique poche en plastique que les astronautes dégusteront leur breuvage de fin de repas. © Lavazza, Argotec Si les Italiens ont été capables de mettre au point une machine à expresso pour la Station spatiale, ils n’ont pas résolu le problème de la tasse à café. C’est donc dans une classique poche en plastique que les astronautes dégusteront leur breuvage de fin de repas. © Lavazza, Argotec

Si les Français sont réputés pour leur gastronomie, les Italiens le sont pour leurs glaces, leurs pâtes et leur café. Et à bord de la Station spatiale, l’un des petits conforts qui manquent aux astronautes est un bon expresso en fin de repas. D’ici quelques mois, une machine spécifiquement conçue pour fonctionner en apesanteur sera installée à bord de la Station.

Lorsqu’en novembre 2014 l’astronaute de l’Agence spatiale européenne, l’Italienne Samantha Cristoforetti s’envolera à destination de la Station spatiale pour une mission de six mois, elle apportera avec elle de quoi faire un authentique expresso italien en orbite. Dans ses bagages, en effet, sera glissée la première machine à capsule capable de fonctionner dans un environnement sans gravité.

Lavazza et Argotec, société aéronautique italienne, ce sont associés à l’Agence spatiale italienne pour mettre au point cette machine à café baptisée ISSpresso. Et ce n’est pas un simple gadget destiné à agrémenter le menu des astronautes, bien que l’alimentation soit un soutien psychologique important. Un bon petit café en fin de repas est ce qui manque le plus dans la Station pour la plupart des astronautes interrogés au retour de leur mission !

Le prototype de la machine à café en cours de validation technique et de sécurité dans les laboratoires d’Argotec.
Le prototype de la machine à café en cours de validation technique et de sécurité dans les laboratoires d’Argotec. © Lavazza, Argotec

Une machine à café adaptée à l’apesanteur

L’aspect scientifique et technique est très présent. En effet, la mise au point de cette machine s’appuie sur les connaissances des principes de mécanique des fluides et de leur comportement en situation de microgravité. Les solutions adoptées ont nécessité de déposer de nombreux brevets internationaux, dont certains seront utiles pour les futures missions spatiales et d’autres, immédiatement, sur Terre. Par exemple, le tube en plastique qui permet d’acheminer l’eau dans une machine expresso normale a été remplacé par un tube en acier spécial conçu pour résister à une pression de plus de 400 hectopascals.

Comme tout ce qui monte à bord de la Station spatiale internationale, chaque équipement ou expérience doit respecter un cahier des charges très stricte qui garantit la sécurité des astronautes, une compatibilité électromagnétique avec le reste des équipements de l’ISS et une impossibilité à s’enflammer.

L'ISSpresso développée pour la Station spatiale internationale.
L’ISSpresso développée pour la Station spatiale internationale. © Lavazza, Argotec

L’ISSpresso ne déroge pas à ces règles. Résultat, une machine d’environ 20 kg bien différente de celles que nous utilisons sur Terre car elle fonctionne dans un environnement sans gravité. Son poids élevé s’explique notamment par la présence, pour des raisons de sécurité, de pièces de rechange pour tous les composants cruciaux.

Enfin, si les partenaires de la Station spatiale ont accepté l’installation de cette machine à expresso, parions qu’ils seront beaucoup moins enclins à faire de même pour de bons cigares ou un verre de digestif…

http://www.futura-sciences.com

Arrêtez d’inviter les voleurs par Facebook


Un petit rappel, si vous partez en vacances, c’est en été qu’il y a plus de cambriolages, et avec internet, les réseaux sociaux sont les pires endroits pour donner des informations de vos vacances. De toute manière, vous aurez plein de choses a raconter en revenant et c’est plus agréable de retrouver la maison indemne
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Arrêtez d’inviter les voleurs par Facebook

 

Le SPVM demande à la population de ne pas annoncer ses vacances sur les réseaux sociaux, car écrire ouvertement sur Facebook que l’on part en voyage est la plus belle des invitations que l’on peut lancer aux cambrioleurs, mettent en garde les policiers et les compagnies d’assurance, qui s’inquiètent de plus en plus de ce phénomène

Avec leur popularité grandissante, les réseaux sociaux deviennent un outil de choix pour les cambrioleurs. En quelques clics sur une page Facebook, il est possible de savoir si une personne est en voyage, où elle séjourne et même quand elle pense revenir.

«Il faut se garder une petite gêne. Écrire à tes amis Facebook que tu pars en camping à Mont-Tremblant pendant trois jours et que tu ne seras pas joignable, c’est une porte ouverte pour le cambriolage», résume Laurent Gingras, sergent aux relations médias du SPVM. «Tu n’as peut-être rien à craindre de tes amis. Mais il y a peut-être des personnes malhonnêtes parmi les amis de tes amis Facebook. Ne pas révéler de déplacements, c’est la base.»

Le service de police montréalais affirme ne pas détenir de données permettant d’établir un lien entre des publications imprudentes sur les réseaux sociaux et des cambriolages.

Hausse des vols l’été

«Mais c’est clair, me dit mon instinct, que ça peut faciliter les choses pour un voleur. Ça vaudrait vraiment la peine de faire une étude pour savoir combien de gens se sont fait voler après avoir écrit sur Facebook qu’ils étaient en vacances», souligne le sergent Gingras.

Le phénomène inquiète aussi les compagnies d’assurance. Plus tôt cette semaine, l’entreprise Aviva a publié un communiqué enjoignant à ses clients de ne pas écrire qu’ils sont en vacances sur les médias sociaux, d’autant plus que l’été est la saison des cambriolages.

La compagnie indique que les demandes d’indemnités qu’elle reçoit pour des cambriolages sont en hausse de 24 %, 36 % et 18 % en juillet, août et septembre, par rapport à février, le mois où ce crime est au plus bas.

Une question de prudence

Fait à noter, même si une imprudence de la part du client provoque un vol, la compagnie d’assurance ne peut refuser un remboursement pour cette raison.

«Même si on laisse la porte de notre maison débarrée et qu’on se fait ensuite voler, ça ne peut être un cas de refus de la part des assurances. De toute façon, la négligence ou l’imprudence sont presque impossibles à prouver», explique Anne Morin, responsable des affaires publiques au Bureau d’assurance du Canada.

Cette dernière encourage tout de même fortement les gens à ne pas trop «s’exposer sur les réseaux sociaux».

«On le dit depuis des années. Même à l’époque du répondeur, on demandait aux gens de ne pas indiquer sur leur message qu’ils étaient absents pour une durée indéterminée.»

Nullement surpris du phénomène, même s’il en est inquiet, Claude Sarrazin, un expert en sécurité de la firme Sirco, martèle lui aussi que parler de ses vacances sur les réseaux sociaux est la «pire chose à faire».

«C’est aberrant. Tant qu’à ça, autant mettre une pancarte sur son terrain indiquant qu’on est absent et que les bijoux se trouvent dans un tiroir au troisième étage!»

http://fr.canoe.ca

Caries : adieu roulette et plombages !


Moi qui a un rendez-vous pour mon examen annuel chez le dentiste en juillet. Et que celui-ci, ne semble pas vraiment apprécier ma grande nervosité. Vivement qu’arrive cette nouvelle technique, mais bon faudra s’armer de patience … avant que cela arrive jusqu’ici
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Caries : adieu roulette et plombages !

 

La fraise, bientôt dans un musée grâce à des chercheurs du King's College de Londres ? La fraise, bientôt dans un musée grâce à des chercheurs du King’s College de Londres ? © Philippe Huguen / AFP

Le Point.fr

 

Des chercheurs britanniques ont mis au point une technique révolutionnaire pour soigner les caries, naturelle, indolore et définitive.

La nouvelle réjouira tous ceux qui sont pris d’une sueur froide à la simple idée d’aller chez le dentiste. Des chercheurs du King’s College de Londres ont mis au point une nouvelle technique pour soigner les caries grâce à laquelle le bruit terrifiant de la fraise perçant une cavité à l’intérieur de votre bouche devra être décrit aux plus jeunes par les anciens comme l’exemple d’une barbarie inimaginable et disparue.

Aujourd’hui, pour soigner une carie, il n’y a pas le choix : il faut faire un trou dans la dent et le remplir d’un amalgame ou d’une résine composite. Un net progrès par rapport aux plombages de naguère, mais qui ne règle pas un problème majeur : il faut sans cesse recommencer, les nouveaux matériaux finissant eux aussi par s’user. C’est ce qu’affirme au Guardian le professeur Nigel Pitts, de l’institut dentaire du King’s College :

« Les techniques actuelles ne sont pas idéales. Aujourd’hui, quand on soigne une carie, la dent entre dans un cycle de creusement et de rebouchage, puisque chaque réparation est finalement provisoire. »

Pas plus cher

La nouvelle technique ne nécessite aucun perçage ni rebouchage. Baptisée EARER (Electrically Accelerated and Enhanced Remineralisation), elle consiste à stimuler la recalcification naturelle de la dent. La réparation s’effectue en deux temps, explique le Guardian : d’abord en préparant l’émail endommagé puis par l’introduction, via un courant électrique faible, des minéraux (calcium et phosphate) dans la zone abîmée.

L’avantage, selon le Pr Pitts : le traitement est sans douleur, il est plus respectueux de la dent et il ne devrait pas être plus coûteux que les traitements actuels. Cerise sur le gâteau, la même technique pourrait être utilisée pour blanchir les dents.

Seule mauvaise nouvelle, elle ne devrait pas débarquer dans les cabinets des dentistes avant trois ans. En attendant, il vous faudra encore serrer les poings, à défaut de pouvoir serrer les dents, en voyant aiguilles et fraises s’approcher dangereusement de votre bouche.

http://www.lepoint.fr/

La Norvège interdira la mendicité


Baisser la criminalité en interdisant la mendicité sous peine d’amende ou de séjour en prison, ne résout en rien le problème. Je pense même, que cela va augmenter le problème …  Puis, je trouve absurde d’interdire la mendicité s’il n’y pas un autre moyen positif en échange
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La Norvège interdira la mendicité

 

La mendicité, dans les villes qui l'interdiront, sera... (PHOTO STOYAN NENOV, ARCHIVES REUTERS)

La mendicité, dans les villes qui l’interdiront, sera passible d’une amende et d’une peine allant jusqu’à trois mois de prison. La mesure devrait essentiellement pénaliser les Roms.

PHOTO STOYAN NENOV, ARCHIVES REUTERS

Agence France-Presse
OSLO

La Norvège va interdire la mendicité dans les lieux publics en vertu d’un amendement législatif débattu lundi au Parlement, une mesure controversée qui va particulièrement frapper les Roms.

Le texte présenté par le gouvernement de droite prévoit d’autoriser les municipalités à interdire la mendicité localement à compter de l’été 2014, avant une interdiction nationale prévue à partir de l’été 2015. Sauf coup de théâtre, il est assuré d’être adopté.

Issu du Parti du progrès (FrP), formation de droite populiste anti-immigration, le ministre de la Justice Anders Anundsen a invoqué «un lien» entre la mendicité et la délinquance, notamment le vol à la tire.

Selon les autorités, Oslo connaît autant de vols de pickpockets que Berlin pour une population sept fois moindre.

La mendicité, dans les villes qui l’interdiront, sera passible d’une amende et d’une peine allant jusqu’à trois mois de prison.

La mesure devrait essentiellement pénaliser les Roms. Sur 194 mendiants dénombrés à Oslo en 2012, seuls sept étaient norvégiens.

«Les autres étaient principalement des ressortissants roumains», d’origine rom, selon le ministère de la Justice, qui a précisé que presque tous les 69 Roumains contrôlés avaient un casier judiciaire en Norvège.

Représentant de la Gauche socialiste (opposition), Baard Vegar Solhjell a laissé entendre que l’interdiction de mendier visait à dissuader ces populations de venir en Norvège.

«Comment croire que, dans 200 ans, cela ne soit pas assimilé à une tentative d’empêcher l’entrée des Roms dans le royaume?», a lancé M. Solhjell, une référence implicite à un article – aujourd’hui aboli et perçu comme honteux – de la Constitution norvégienne qui interdisait l’entrée des juifs sur le territoire il y a 200 ans.

Soutenue par une majorité de l’opinion publique, l’interdiction risque d’avoir les effets contraires au but déclaré, ont objecté certaines associations.

Ceux qui mendiaient «seront contraints de recourir davantage à la délinquance», a estimé sur la chaîne de télévision TV2 Nyhetskanalen le président d’une association de toxicomanes, Arild Knutsen.

La Norvège ne fait que rétablir une interdiction en vigueur jusqu’en 2005. D’autres pays européens ont aussi une interdiction nationale (Grande-Bretagne, Danemark) ou locale.

L’amendement, qui devait être voté en première lecture lundi soir, devrait être définitivement adopté dans la semaine. Il est assuré d’obtenir une majorité, car le gouvernement minoritaire formé par les conservateurs et les populistes a obtenu le soutien du parti centriste (agrarien).

http://www.lapresse.ca