Trop c’est comme … trop !! Si une compagnie fait une faillite, si une compagnie est reliée a un scandale ? Sera-t-il toujours fière de son tatouage. ? Enfin, personnellement, je n’aime pas du tout
Nuage
Vin Los: l’homme qui voulait devenir célèbre grâce à ses tattoos
Le mannequin Rick Genest, surnommé Zombie Boy, ne sera plus le seul modèle québécois à avoir son visage recouvert de tatouages. Il semblerait qu’il a quelque peu inspiré Vincent Langlois, 24 ans, aussi connu sous le pseudo de Vin Los et originaire de Granby.
Sauf que le jeune mannequin, montréalais depuis 4 ans, a choisi des mots plutôt qu’un squelette à tatouer sur sa peau. Et pas quelques-uns. Ce sont au total une centaine de tatouages qui recouvrent son corps, allant d’adjectifs à des noms de villes du monde entier, où à son projet d’avenir, «Fame», tatoué en plein milieu de son front. Un bon moyen de ne pas oublier ses objectifs le matin devant le miroir!
«Je veux voyager, je veux partir partout dans le monde. Si une marque a besoin d’un mannequin à l’international, je pourrai représenter toutes ces villes avec London ou Paris écrits sur mon corps».
«Obsédé» par la culture du mainstream
Vin Los souhaitait se démarquer sur le marché du mannequinat et devenir une représentation de la culture mainstream qui l’«obsède». Et cela fonctionne! En attendant de réaliser ses rêves et de partir travailler pour de grandes marques internationales, comme Diesel (comme l’avait fait avant lui Rick Genest), le jeune homme enchaîne les entrevues dans les médias et devrait bientôt apparaître dans les pages du magazine Dress to Kill.
Fasciné par la culture populaire, Vincent Langlois est ambitieux. Il veut une carrière internationale à l’image de celles de Lady Gaga ou Nicki Minaj.
«La culture populaire c’est la seule culture qui est partout la même dans le monde entier. Lady Gaga, les Beatles, c’était partout sur la planète», a expliqué celui qui n’a pas peur que les marques soient frileuses face à tous ses tatouages. «Cela peut me freiner pour des marques qui ne vont pas oser, mais d’autres vont m’appeler juste à cause de mes tatouages», a-t-il expliqué.
Quant à la peur de regretter ses gestes lors de ses vieux jours, Vin Los est serein:
«À 70 ans, personne n’a un corps parfait. Je mange bio, si je continue à entretenir mon corps comme ça, je pense que je vais bien vieillir».
On lui souhaite en effet de ne jamais regretter d’avoir inscrit «Guilty» juste en dessous de «Fame» sur son front.
Par Katia Tobar
Crédit photo: Courtoisie / Maxime Girard-Tremblay
Je crois que ce gars là ne doit pas être bien dans sa tête, bon enfin il fait ce qu’il veut après tout c’est sa vie