Locataire


C’est, je pense, une des raisons que nous sommes si irresponsables face à la planète, c’est que nous oublions que nous ne sommes en réalité des locataires, rien ne nous appartiens. Et nous laissons notre Terre dans un bien mauvais états
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Locataire

 

 

 

La Terre ne nous appartient pas. C’est nous qui appartenons à la Terre

Chef Seattle

Le chat et le Lynx qui s’aiment d’amour tendre


Il y a plus de 30 ans,quand j’étais adolescente, avec mon petit frère, nous retournions à l’école après le diner, et en chemin, il y avait un gros chat, qui arrivait à la ceinture, je le trouvais magnifique, nous l’avons flatté, mais ses oreilles étaient bizarres. Ce fut plusieurs années après que j’ai constaté que c’était un lynx, je ne sais pas pourquoi, il ne s’est pas attaqué à nous, ni pris la fuite
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Le chat et le Lynx qui s’aiment d’amour tendre

 

Par Sophie Le Roux

Crédits photo : Youtube – Видео приколы

Au zoo de Leningrad, le plus ancien parc animalier de Russie, un étonnant duo félin coule des jours heureux depuis maintenant 6 ans : un lynx et un chat, qui s’aiment d’amour tendre et n’ont pas honte de le montrer. C’est le moins que l’on puisse dire !

Dès le jour où ils se sont rencontrés, c’était en 2008, ils sont devenus inséparables. Pas de doute, ces deux-là étaient faits l’un pour l’autre !

Le matou, sans foyer et affamé, serait venu chercher de la nourriture dans l’enceinte du lynx.

Le gros félin aurait pu chasser ce visiteur, mais au lieu de cela, il l’a accueilli dans son enclos et lui a offert son amitié. Tous deux semblent réellement avoir besoin l’un de l’autre et pour leur permettre de rester ensemble jusqu’à la fin de leurs jours, le zoo russe a adopté le chat.

 

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Le Saviez-Vous ►Fanta : Une brève histoire du soda orange, créé sous le régime nazi


La boisson gazeuse, Fanta est vendue au Québec, mais, je ne crois pas que ce soit une boisson très vendue dans la province. Mais cette boisson a eu un début assez douteux lors de la deuxième guerre mondiale.
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Fanta : Une brève histoire du soda orange, créé sous le régime nazi.

Photo: Fanta / Alfonso Jimenez via Flickr License CC by

Le Fanta est le soda le plus consommé en Afrique, après le Coca-Cola.  Les Européens et les Latino-américains en raffolent eux aussi. Comment expliquer que ce soda ait beaucoup plus de succès à l’extérieur qu’à l’intérieur des Etats-Unis?

Des restes de fromage et de pommes

C’est à la fois une affaire de marketing et d’histoire. Coca-Cola et Pepsi ont tout deux fait leurs débuts au tournant du XXe siècle. Le «Fanta orange» a été introduit en Europe en 1955, mais il a fallu attendre les années 1960 pour le voir apparaître aux Etats-Unis; Coca-Cola craignait qu’il ne fasse de l’ombre à son cola vedette. Le Fanta fait son petit bout de chemin tant bien que mal: le soutien marketing est faible, et les ventes sont limitées. Au milieu des années 1980, Coca-Cola décide de ne plus le commercialiser sur le territoire américain. (Il se vendait toujours dans les régions abritant de larges communautés d’immigrés: les familles reconnaissaient immédiatement le soda orange qu’elles avaient bu dans leur pays d’origine.) En 2001, la société décide de le remettre en vente dans l’ensemble des Etats-Unis, en investissant cette fois dans une campagne marketing bien plus efficace. Le produit aux volumes de ventes négligeables des années 1990 est aujourd’hui passé dans le top 10 des sodas.

A l’origine, le Fanta était un produit nazi. Après Pearl Harbor, les sociétés de mise en bouteille allemandes furent privées de sirop Coca-Cola. Max Keith, responsable de Coca-Cola Allemagne –qui arborait une petite moustache à la Hitler et qui célébra le 50e anniversaire du Führer lors de plusieurs séminaires d’entreprise–  élabora une alternative. Il décida de mélanger divers déchets, sans recette précise  –les restes de la fabrication du fromage, les fibres de pommes pressées pour faire le cidre, et tout le surplus de fruits italiens alors disponible. Il ajouta de la saccharine pour adoucir le tout, et le baptisa Fanta, s’inspirant d’un terme allemand signifiant «fantaisie» ou «imagination». Le breuvage fut un succès, surtout lorsque la nourriture vint à manquer –les consommateurs en faisaient un bouillon de soupe. Après la guerre, lorsque la maison mère reprit le contrôle de sa filiale allemande, elle mit un terme à la production du soda.

L’offensive

Dix ans plus tard, Coca-Cola était en crise. Pepsi avait lancé plusieurs sodas aux saveurs distinctes au cours des années 1950; de son côté, en dehors de l’anomalie Fanta, Coca-Cola n’avait jamais eu qu’un seul produit en stock (présenté soit en bouteille en verre de 20cl, soit en fontaine à soda). En 1955, pour mieux contenir l’offensive de Pepsi, la société décide de relancer la marque Fanta dans toute l’Europe, en introduisant la nouvelle recette à l’orange. Elle étend bientôt le marché à l’Afrique, à l’Asie et à l’Amérique du Sud; la marque se décline aujourd’hui en une grande variété de parfums. Mais Coca-Cola n’a jamais tenté d’en faire un produit de premier plan aux Etats-Unis. 

Brian Palmer

Traduit par Jean-Clément Nau

 

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Une ceinture intelligente pour éviter les maux de dos


Je trouve admirable que des jeunes se démarquent dans divers domaines. Et je trouve important de le souligner à chaque fois. Ces deux jeunes vont probablement changer la vie de bien des gens, par leur mauvaise posture, grâce a cette ceinture intelligente. Ils ont franchi étape par étape les concours de science pour maintenant se présenter à la compétition internationale à Bruxelles
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Une ceinture intelligente pour éviter les maux de dos

 

Philippe Massicotte et Thomas Dupré ont été reçus... (Photo: Sylvain Mayer, Le Nouvelliste)

Philippe Massicotte et Thomas Dupré ont été reçus à l’hôtel de ville de Trois-Rivières, lundi, pour souligner les succès récoltés par leur projet scientifique «Tiens-toi droit!».

Photo: Sylvain Mayer, Le Nouvelliste

Vincent Gauthier
Le Nouvelliste

(Trois-Rivières) Deux finissants du Séminaire Saint-Joseph de Trois-Rivières ont peut-être trouvé la solution optimale afin d’éviter à des centaines de milliers de personnes de souffrir de maux de dos en raison d’une mauvaise posture au travail.

En effet, les génies Philippe Massicotte et Thomas Dupré feront rayonner leur institution et leur ville à l’échelle mondiale à l’Expo-sciences internationale grâce à l’invention d’une ceinture intelligente qui émet une vibration lorsque la position du dos n’est pas adéquate.

Tout est parti d’une idée lancée par la mère de Philippe, Sylvie Legendre, qui a défié son fils de trouver une façon de régler les problèmes de posture, notamment celle des travailleurs qui doivent demeurer assis longtemps devant un ordinateur.

«On voulait trouver une façon de rappeler aux gens de se tenir droit», note Philippe, 17 ans.

L’envergure de cette innovation pourrait être majeure si on considère le nombre de personnes qui sont affectées par des problèmes dorsaux en raison d’une mauvaise posture.

«Il y a environ 50 % des travailleurs qui ont des maux de dos et ça coûte 4 milliards $ par année, au Canada seulement», indique Thomas, 16 ans.

Selon la Commission de la santé et de la sécurité du travail (CSST), une blessure au dos représente en moyenne 51 jours d’absence et coûte 2800 $.

De fil en aiguille, les deux étudiants du profil sciences au STR ont gagné le coeur des juges lors des rendez-vous local, régional, provincial et national. Chaque fois, ils ont présenté un prototype amélioré et ils souhaitent encore peaufiner leur outil de prévention. Au départ, un signal lumineux avertissait d’une mauvaise posture puis ensuite, c’était un signal sonore. Enfin, l’option de la vibration a été privilégiée. Jusqu’à présent, les deux jeunes Trifluviens ont consacré 200 heures à la concrétisation de leur ceinture.

Grâce à leur projet, les deux adolescents ont reçu une multitude d’honneurs, dont le prix de l’Excellence (médaille d’argent remis par Sciences jeunesse Canada), le prix S.M. Blair Family Foundation (projet qui mérite une demande de brevet d’invention), le prix de l’Université du Québec et le prix SYNAPSE or remis par l’Institut de recherche en santé du Canada, ainsi que plus de 9800 $ en prix et bourses.

Évidemment, toute cette reconnaissance représente une belle motivation pour les deux comparses de redoubler d’ardeur afin de peaufiner encore davantage leur invention et ainsi attirer les regards lors de l’Expo-sciences international qui se tiendra à Bruxelles, en Belgique, en juillet 2015. En 2013, à Abu Dhabi, ce sont plus de 1200 participants qui avaient pris part à ce rendez-vous international du savoir.

«On était surpris de recevoir autant de prix. On est très fiers», a lancé Philippe. «C’est très motivant de voir qu’on peut créer quelque chose qui peut aider le monde», a renchéri Thomas.

D’ici la compétition à Bruxelles, les deux jeunes hommes tenteront de réduire davantage la taille de leur produit afin de le rendre plus agréable à porter.

Plusieurs entreprises pourraient éventuellement être intéressées par un tel produit afin de mieux protéger leurs travailleurs. D’ailleurs, la ceinture a assurément piqué la curiosité de la Ville de Trois-Rivières.

«La Ville a certainement un intérêt dans le projet. C’est une préoccupation pour nous (les maux de dos) en ce qui concerne la santé et sécurité au travail», a mentionné le conseiller municipal du district des Estacades et professeur au STR, Pierre-Luc Fortin.

Malgré les nombreux commentaires élogieux reçus pour leur ceinture technologique, les deux camarades indiquent ne pas encore avoir reçu d’invitation à commercialiser leur projet.

«Il y a beaucoup de gens qui sont venus nous demander où ils pouvaient acheter la ceinture», note Philippe.

Quant au directeur général du STR, Pierre Normand, il a tenu à souligner l’engagement démontré par ces deux finissants tout au long de ce projet, en plus de les féliciter de faire rayonner l’institution d’enseignement.

«Vous êtes allés jusqu’au bout. Vous ne vous êtes pas mis de limite. Ça vous dessine un assez bel avenir», a-t-il indiqué aux créateurs du projet «Tiens-toi droit!».

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Les rats sont comme les hommes : ils regrettent


Le regret, tout le monde connait ce genre de chose. Mais regrettons-nous ce que nous n’avons pas eu, ou le choix que nous avons fait ? Il semble que le rat donne une réponse, car lui aussi, semble-t-il, ressent le regret
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Les rats sont comme les hommes : ils regrettent

 

PAULA O SULLIVAN/SOUTH GEORGIA HERITAGE TRUST

PAULA O SULLIVAN/SOUTH GEORGIA HERITAGE TRUST

L’individu a le choix entre deux restaurants. Arrivé au premier, dont l’odeur des mets a fortement aiguisé ses papilles, il se rend compte que l’attente est trop longue et opte pour l’offre concurrente. Là, les plats sont en fait loin d’atteindre la même qualité. Le ventre creux, il fait demi-tour et se résout à attendre dans le premier restaurant.

Le gastronome en question est un rat, et les deux « restaurants » sont ceux du Restaurant Row, une expérience menée par des neuroscientifiques à l’université du Minnesota. Leurs recherches, dont les résultats ont été publiés dimanche 8 juin dans la revue Nature Neuroscience, ont permis d’identifier, pour la première fois, le regret chez un mammifère autre que l’être humain.

« Le regret est la prise de conscience d’avoir fait une erreur, dont l’évitement aurait permis d’être mieux loti, explique le professeur David Redish, l’un des auteurs de l’étude. La difficulté était de distinguer cette notion de la déception, qui signifie simplement que les choses ne sont pas aussi bonnes qu’espéré. »

La clé est donc dans le choix laissé au rat, permettant de mettre en avant les changements de décision.

Chez les humains, une région du cerveau, le cortex orbitofrontal, est active lors de l’expression du regret. C’est aussi le cas chez les rongeurs qui se rendent compte de leur erreur face à la seconde option, l’activation du cerveau indiquant une occasion ratée.

« Ce qui est intéressant, c’est que le cortex orbitofrontal du rat représente ce que celui-ci aurait dû faire, et non la récompense manquée. Cela a du sens, car on ne regrette pas la chose que l’on n’a pas eue, on regrette la chose que l’on n’a pas faite », commente le professeur Redish.

Le modèle du regret chez l’animal pourrait finalement, selon les chercheurs, aider à comprendre la façon dont le regret affecte les décisions que les hommes prennent.

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Les chats et les fenêtres : attention danger !


L’été, nous ouvrons nos fenêtres, et ces ouvertures sont très tentantes pour les chats, d’aller s’allonger sur le rebord ou faire quelques acrobaties pour s’évader. Même le plus agile des chats peut tomber et se blesser sérieusement, sans parler que certaines fenêtres sont vraiment dangereuses pour ces boules de poils
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Les chats et les fenêtres : attention danger !

 

Dr Noémie TOMMASINI
Vétérinaire – Directrice ESAV – Institut Bonaparte

Avec les beaux jours, nous ouvrons les fenêtres pour faire entrer le soleil et l’air. Mais le saviez-vous ? Les fenêtres peuvent représenter un réel danger pour nos chats.

Vétérinaire et directrice de l’EASV (Ecole supérieure d’aide vétérinaire) – Institut Bonaparte, le Dr Noémie Tommasini nous en dit plus sur ces risques et les moyens de les éviter.

Le risque de chute

Les chats d’appartement apprécient de regarder par la fenêtre, faute de courir les jardins. Mais ils peuvent aussi vouloir s’aventurer sur le rebord de la fenêtre, sur la balustrade d’un balcon ou encore dans les gouttières et sur les toits.Si certains chats habiles se débrouillent bien dans ces situations périlleuses, aucun chat, même le plus adroit, n’est à l’abri d’un accident ! Un bruit inhabituel qui l’effraie, une chasse aux oiseaux, un revêtement glissant et c’est la chute. Quand les beaux jours arrivent, en clinique vétérinaire, il n’est pas une semaine sans que l’on nous amène un chat tombé par la fenêtre.

Quelque soit la hauteur, une chute d’un ou plusieurs étages peut être gravissime voir mortelle. Elle peut entraîner des fractures, des lésions pulmonaires, ou des organes internes (une rupture de la vessie par exemple). Certains chats après une chute n’expriment pas de symptôme dans un premier temps. Mais il faut toujours vérifier cela par un examen clinique effectué par votre vétérinaire si des conséquences du traumatisme invisibles à cet instant ne risquent pas de s’exprimer dans les jours qui suivent l’accident. Le vétérinaire peut avoir besoin de réaliser des examens complémentaires pour détecter certaines lésions (une radiographie et/ou une échographie par exemples).  Mais qu’en est-il des chats qui retombent toujours sur leurs pattes ?

Il est en effet, possible mais pas systématique, que lors d’une chute, le chat retombe sur ses pattes. Mais en aucun cas son corps n’est fait pour subir une telle chute. Ne seraient-ce que les os qui forment ses membres, mais aussi les organes internes, subissent une secousse violente, brutale.

Les fenêtres oscillantes et oscillo-battantes

Certaines fenêtres oscillantes ou oscillo-battantes (parfois appelées fenêtre à soufflet), peuvent s’ouvrir par des charnières verticales. La fenêtre bascule alors vers l’intérieur, laissant une ouverture en haut de la fenêtre. Sur le côté de la fenêtre, cette ouverture a une forme de triangle et c’est cet endroit qui est particulièrement dangereux pour nos chats.

Le chat tente de passer par cette ouverture, mais reste bloqué le plus souvent au niveau du ventre, mais cela peut être au niveau du thorax, du cou. Le chat se retrouve alors aucune prise, coincé dans cet espace qui le comprime. Cela peut entrainer des lésions d’organes internes, des hémorragies, couper la circulation d’une partie du corps et même entrainer la mort de votre compagnon.

Comment protéger ses fenêtres ?

Surveiller son chat en permanence est souvent illusoire, il est donc conseiller de sécuriser ses fenêtres et balcons.

Pour cela, il existe des filets et grillages qui s’adaptent à la dimension de vos fenêtres. Si vous êtes bricoleurs/ses vous pouvez réaliser un cadre en bois que vous placerez dans l’ouverture de la fenêtre. Le grillage peut aussi être agrafé directement au chambranle s’il est en bois.

Pour les fenêtres oscillo-battantes des grilles existent qui se fixent sur le côté de la fenêtre et sur le dessus.

Mieux vaut toujours prévenir les chutes et accidents, mais si un accident se produisait rendez-vous immédiatement chez votre vétérinaire. En chemin, appelez la clinique vétérinaire afin de la prévenir de votre arrivée. L’équipe de Vétérinaires et d’Aides-soignants Vétérinaires pourra ainsi vous recevoir dans les meilleures conditions.

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Les acariens, des petites bêtes pas si inoffensives


Les acariens ont la belle vie durant les chaleurs de l’été, ils peuvent se multiplier avec les hauts taux d’humidité. Ils peuvent donc causer des allergies. Il est possible de diminuer ce genre d’invasion
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Les acariens, des petites bêtes pas si inoffensives

 

On vous explique ce que sont les acariens et, surtout, comment vous en débarrasser!

Les acariens de lit (une variété parmi les 100 000 qui existent!) sont des araignées microscopiques qui se nourrissent de peaux mortes et affectionnent particulièrement les milieux humides et les fibres, comme celles des lits, oreillers, rideaux et tapis. Au Québec, où le taux d’humidité des maisons tend à être élevé (au-dessus de 50%), ils sont partout.

Doit-on les craindre?

Même si les acariens ne sont pas vecteurs de maladies, ils sont nuisibles dans la mesure où leurs excréments contaminent la poussière domestique et peuvent causer la rhinite allergique (symptômes du rhume en absence d’une infection) et l’asthme. Plus la concentration d’acariens dans une maison est grande, plus on y est sensible, et les personnes asthmatiques le sont encore plus.

Comment les éliminer?

• On maintient un taux d’humidité raisonnable dans la maison (entre 35% et 50%, pas plus), car les acariens ne survivent pas aux milieux secs.

• On accorde une attention particulière à notre lit. On glisse notre matelas et nos oreillers dans des housses anti-acariens et on passe la literie (oreillers inclus) à la laveuse et la sécheuse (pendant au moins 20 minutes) au moins une fois par semaine, en choisissant bien sûr des fibres lavables. On évite aussi de se coucher les cheveux mouillés et on change souvent les draps lorsque les enfants ont le nez qui coule.

• On évite les tapis et les moquettes, si possible. Si on ne peut les enlever, on passe souvent l’aspirateur et on les lave régulièrement.

• S’il y a des personnes asthmatiques dans la maison, on évite les meubles rembourrés et les rideaux épais et on privilégie plutôt les divans et chaises en bois ou en cuir.

Merci au Dr Stéphane Charron, médecin spécialiste en santé publique à la Direction de la santé publique de Montréal.

http://quebec.huffingtonpost.ca/

Va sur ton iPot!


C’est une chose que je n’aurais jamais osée penser utiliser un Ipad adapté au petit pot. Faut vraiment vouloir vendre et tant pis pour l’enfant.. C’est vrai que ce n’est pas toujours évident d’apprendre la propreté aux jeunes enfants, mais nous sommes tout passé par là et nous ne sommes pas traumatisé pour autant
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Va sur ton iPot!

 

« C'est une blague ? », a demandé Julie Boucher, mère de Gabriel, deux ans et... (Photo AP/CTA Digital)

Photo AP/CTA Digital

Marie Allard
La Presse

« C’est une blague ? », a demandé Julie Boucher, mère de Gabriel, deux ans et demi, en voyant la photo du pot d’apprentissage iPotty. Ce petit pot a la particularité de venir avec un support à tablette électronique. Il existe réellement – Future Shop l’offre en ligne à 38,98 $.

« Lorsque votre enfant apprend à utiliser les toilettes, tout ce qui peut l’encourager est utile, fait valoir Future Shop. L’iPotty de CTA Digital est un moyen confortable d’apprendre à utiliser le pot. »

« Ça me sidère vraiment qu’on réussisse à vendre ça aujourd’hui, a réagi Ève Martel, auteure de Dodo, petit pot et astuces de pro, paru aux éditions de l’Homme. On est tellement sensibilisés à l’importance de ne pas passer beaucoup de temps devant les écrans ! »

La Société canadienne de pédiatrie (SCP) recommande, en effet, de limiter le temps passé devant télévision, ordinateur et appareils électroniques à moins d’une heure par jour pour les enfants de 2 à 4 ans. Avant 2 ans ? Il faut carrément éviter de zieuter petits et grands écrans.

Or, dès 18 mois, le contrôle de la vessie et des intestins est généralement possible – bien que la maturation psychologique de l’enfant ne soit pas nécessairement suffisante pour qu’il soit propre.

C’est plutôt entre 24 et 48 mois que les enfants des pays occidentaux y parviennent, selon la SCP, qui souligne que « les parents et éducateurs devraient être prêts à consacrer du temps au processus d’apprentissage de la propreté ».

UN LIVRE COÛTE MOINS CHER

Technicienne en éducation spécialisée et mère de trois enfants, Mme Martel suggère plutôt de placer un jouet ou un livre pour tout-petit dans une boîte qui ne sort pas de la salle de bains.

« L’enfant sait que ce jouet ou ce livre est une récompense associée directement à l’apprentissage du petit pot, souligne-t-elle. Un des problèmes de l’iPad, c’est qu’il peut être utilisé partout. »

Autre atout du livre : il est plus facile, pour le bambin, d’être attentif aux signaux de son corps en regardant des images qui ne bougent pas, sans musique entraînante.

« Comment pourra-t-il se laisser aller s’il est occupé à une activité qui demande de l’attention, comme dessiner Dora sur un iPad ? », s’interroge Mme Martel.

ENCOURAGER SON ENFANT

Julie Boucher n’est pas contre tous les écrans. « Bien sûr que parfois, une vidéo de « petits bonshommes » nous donne un bon coup de main dans nos horaires de fous, reconnaît la maman de Mont-Saint-Hilaire. Mais de là à intégrer un iPad dans la routine du pipi-caca, je ne suis pas d’accord. La salle de bains n’est pas un salon ou une salle de jeux. »

Au lieu de s’en remettre à une tablette pour dire adieu aux couches, il vaut mieux prendre le temps d’encourager son enfant, estime Mme Boucher.

« Même si on semble parfois démesurément content d’un simple pipi ! », observe-t-elle.

COMMENT FACILITER L’APPRENTISSAGE DE LA PROPRETÉ ?

S’assurer que le petit pot est facilement accessible. Permettre à l’enfant de regarder ses parents utiliser la toilette.

Si l’enfant doit utiliser une toilette, y mettre un siège adapté et un tabouret pour les pieds (le pot est préférable, parce que l’enfant y est plus stable et qu’il permet une meilleure posture biomécanique).

Encourager l’enfant à avertir son parent lorsqu’il doit aller aux toilettes et l’en féliciter, même s’il est trop tard. Surveiller les indices comportementaux de l’enfant lorsqu’il est sur le point de se soulager.

Encourager l’enfant par des louanges et s’attendre à des accidents. Éviter les punitions ou le renforcement négatif.

S’assurer de la collaboration de tout l’entourage de l’enfant.

Après des succès répétés, suggérer l’usage d’une culotte de « grand », en faisant de ce moment un événement spécial. Une culotte Hello Kitty ou des Bagnoles peut être un excellent investissement !

Source : Société canadienne de pédiatrie

http://www.lapresse.ca