Demain


Nous sommes tous pareils, souvent on se promet de faire quelque chose de nouveau, ou on remet à demain ce qui nous pèse sur le dos et pourtant, d’aller visiter ou écrire à une personne qui nous tient a coeur et pourtant …. se sera dans un autre demain
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Demain

 

« Vous vous promettez que demain sera différent, pourtant, demain est trop souvent une répétition d’aujourd’hui. « 

James T. McKay

9 chats à l’heure du petit déjeuner


Ils sont bien sages ces chats ! Comme la nourriture n’est pas à la demande, alors oui, il arrive que quelqu’un veulent se servir soi-même
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9 chats à l’heure du petit déjeuner

 

Par Sophie Le RouxCrédits photo : Youtuve – 9Cats

Quand on a 9 chats, mieux vaut être très organisé ! C’est visiblement le cas de cette famille, qui vit avec une ribambelle de matous de tous poils et de tous âges : Musashi, Michelle, Maru, Kojiro, u, Taro, May, Mi-ke et Lulu.

Vous imaginez déjà un vrai chaos ? Il n’en est pourtant rien !

Quand le jour se lève et que vient l’heure du petit déjeuner, une vraie cérémonie se met en place. Chacun sa gamelle, chacun sa place, aucun débordement, coup de griffe, feulement, ni même une seule croquette fugueuse ! Les félins sont sages comme des images et se délectent dans une parfaite harmonie. Le seul bruit perceptible est celui de leur mastication !

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Le Saviez-Vous ► Le test de crayon, blancs honorifiques de “l’apartheid”


Des imbécilités raciales, il y en a toujours eu, et les moyens douteux pour classer les personnes de différentes ethnies démontrent une grande étroitesse d’esprit
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Le test de crayon, blancs honorifiques de “l’apartheid”

 

Fondée sur les bases d’un racisme délirant, le régime d’apartheid “apartheid” a apporté beaucoup de concepts et des situations absurdes, comme le “test du crayon» pour déterminer la race des citoyens ou le statut de «blanc honorifique “dont bénéficient les Asiatiques de l’Est.

La mise en œuvre du programme en 1948, typé et intensifié la discrimination contre les non-Blancs qui existaient déjà en Afrique du Sud depuis l’arrivée des colons européens au XVIe siècle, et a conduit à d’innombrables dispositions fondées sur la race de gens dans le but de répondre aux puristes architectes de système idéal.

Le premier problème en appliquant une séparation physique fondée sur la race proposée par le projet d’ascendance nationalistes afrikaners des colons hollandais, était la classification raciale de la population.

“Le gouvernement a créé quatre catégories: blanc, africaine, indienne et« coloré »(métis)», explique Noor Nieftagodien Efe, professeur d’histoire à l’Université de Witwatersrand à Johannesburg.

“Faire la distinction entre Blancs, Noirs et des Indiens était relativement facile, le problème est venu avec les« gens de couleur »»,

dit Nieftagodien de souligner la diversité des métis, métis peuvent avoir le teint plus clair que de nombreux Blancs.

La peau pâle était un grand avantage dans l’Afrique du Sud, où il valait mieux être blanc que les Indiens ou métis et indiens ou métis mieux que le noir et tous ceux qui aspirent à une vie meilleure a profité de l’absence de définition de la catégorie «métis» pour rechercher un “upgrade” dans leur statut racial.

Une des tâches de l’Office de la classification raciale a été de résoudre les demandes de changement de race, de mulâtres qui prétendaient être blanc ou noir qui prétendait être mulâtres.

“Lumière de peau, le nez pointu, et surtout, les cheveux raides étaient exigences à prendre en considération blanc», dit le professeur, qui rappelle que le personnel de bureau est consacré à la mesure des nez des candidats.

“Mais le plus important était le« test du crayon », qui consistait à mettre un crayon dans les cheveux. S’il tombait, la personne pourrait être considéré comme blanc ou métis, mais s’il restait, il ne pouvait être que la race noire ou mixte», explique Nieftagodien.

 

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Déguisé en gorille, il est pris pour cible par le vétérinaire


Si, les animaux vivaient dans leur environnement, ce genre d’incident n’arriveraient pas. Enfin, l’histoire ne doit pas, si le vétérinaire a gardé son travail … Mais, c’est moins drôle pour l’employé zoo
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Déguisé en gorille, il est pris pour cible par le vétérinaire

 

(RAINER JENSEN / DPA / AFP)

 

Image d’illustration. Un vrai gorille photographié au zoo de Berlin. [RAINER JENSEN / DPA / AFP]

Déguisé en gorille pour les besoins d’une simulation, un employé du zoo de Tenerife (Espagne) a été pris pour cible par un vétérinaire qui lui a tiré dessus une seringue remplie de tranquillisants.

Il faut tout prévoir dans un zoo avec le danger potentiel que représentent les animaux sauvages. Si ces derniers parviennent à sortir de leurs enclos et à s’échapper du parc animalier, il faut s’assurer de la capacité du personnel à récupérer les animaux avant qu’ils ne sèment une belle pagaille.

Ainsi, les zoos ont pour habitude de réaliser des simulations d’évasion de différents animaux pour s’entraîner et faire face le cas échéant.

Pour « interpréter » les bêtes sauvages, des employés des parcs animaliers revêtent des déguisements d’animaux. Après le gardien du zoo de Tokyo déguisé en zèbre, il est arrivé une mésaventure bien plus grave à un employé du zoo de Tenerife en Espagne.

Visé par le vétérinaire

Déguisé en gorille, l’employé du zoo Loro Parque de Tenerife a pris son rôle de singe en vadrouille très au sérieux, rapporte le journal La Opinion. Le faux gorille s’est mis à courir dans tous les sens. Jusqu’ici, tout va bien. Simplement, tous les employés du parc n’étaient pas prévenu de la simulation.

Le vétérinaire de service, en poste depuis deux mois, et n’écoutant que son courage, a cru qu’un vrai gorille avait déserté son enclos et semait la terreur dans le parc. Il a donc dégainé et tiré sur son collègue une flèche qui contenait des tranquillisants pour endormir un animal de 180 kilos.

Le malheureux employé s’est effondré et a développé une réaction allergique. Il se trouve, un mois après les faits, toujours à l’hôpital dans un état critique.

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Une tonne de déchets par kilomètre aux abords des autoroutes


C’est quoi qui est compliqué à comprendre de ne pas jeter des ordures que ce soit des papiers, des boites, des mégots de cigarette par terre ? En ville, je trouve qu’il n’y a pas assez de poubelles et encore, on trouve des ordures à côté de ces poubelles, alors que sur l’autoroute, il n’y a aucune raison de jeter des déchets sur le bord des routes. Sommes-nous si irresponsables ?
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Une tonne de déchets par kilomètre aux abords des autoroutes

 

Les bordures des autoroutes du Québec se transforment en véritables dépotoirs à la fin du printemps. Chaque année, le ministère des Transports doit faire appel à des entreprises pour ramasser les ordures laissées par les automobilistes.

Sur l’autoroute 20, entre le tunnel Louis-Hippolyte-La Fontaine et Sainte-Julie, les travailleurs du sous-traitant EMR recueillent l’équivalent d’une tonne de déchets par kilomètre au printemps. Il s’agit d’un des pires secteurs au Québec.

Un de ces travailleurs, Jocelyn 64 ans, tente de se faire à l’idée que les comportements ne changeront pas de si tôt.

« On ramasse juste les morceaux apparents, les morceaux assez gros. Les petits morceaux, on ne les ramasse pas parce qu’on ne fournirait pas. Y en a trop! »

« Tout ce que le monde jette par terre, des bouteilles de bière, des déchets, des couches… On trouve de toute, on trouve de toute », explique un autre travailleur Stéphane Chamard.

Même des objets inusités comme une baignoire ou une cuvette ont déjà été retrouvés dans un fossé.

Le ministère des Transports consacre un important budget au nettoyage de ces bordures et à tondre la pelouse.

« On a un budget dédié à ça. Pour l’année 2013-2014, on parle d’un peu moins de 5 millions de dollars », explique la porte-parole Sarah Bensadoun.

Pourtant, depuis des décennies, une loi interdit de jeter quoi que ce soit sur un chemin public.

Le nombre de contraventions, de 100 $, émises par la Sûreté du Québec est passé de près 300 $ en 2011 à 500 $ deux ans plus tard.

D’après un reportage de Mathieu Dion

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Une chienne sauve un nouveau-né et reçoit un prix pour son héroïsme


Il y a des chiens que leur instinct est tellement fort, qu’ils font tout pour attirer l’attention de leur maitre. Cette fois-ci, un chien a été un élément important pour la survie d’un bébé qui venait de naitre
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Une chienne sauve un nouveau-né et reçoit un prix pour son héroïsme

 

Par Sophie Le Roux

Crédits photo : WDIV Local 4

Le 25 mai dernier, une chienne originaire de Port Huron, dans le Michigan aux Etats-Unis, a sauvé un nouveau-né dont la vie a commencé d’une bien triste façon…

Elle sauve le bébé d’une mort certaine

Le bébé avait été abandonné sur une chaise longue sous le porche d’une maison voisine, et Ruby Mae, alors qu’elle faisait sa promenade matinale, a tiré sa maîtresse, Leslie Green, vers l’enfant seulement enveloppé dans une couverture et le cordon ombilical encore attaché.

Il était environ 4h30, et les propriétaires de la maison étaient alors absents, et si la chienne n’avait pas guidé Leslie jusqu’au nourrisson, celui-ci n’aurait sans doute pas survécu.

« Les chiens sont bien plus que nos meilleurs amis »

Paniquée, comme elle le confie avec beaucoup d’émotion, Mme Green a immédiatement appelé les secours qui ont conduit le bébé à l’hôpital de Port Huron. D’après les médecins, quelques heures de plus dans le froid auraient tué l’enfant.

Baptisé Brandon, le bébé va bien aujourd’hui, grâce à Ruby Mae. La chienne, considérée comme une véritable héroïne, va même être récompensée par l’association PETA. Elle recevra en effet le prix Heroic Mutt, a annoncé l’association.

En plus du certificat qui fera la fierté de sa famille, Ruby Mae se verra offrir un jouet, des friandises et un harnais.

« Les chiens sont bien plus que nos meilleurs amis – ils peuvent également être nos héros. PETA espère que cet incident va encourager les gens à estimer davantage leurs animaux de compagnie, car chacun d’entre eux a la faculté de changer radicalement nos vies, tout comme Ruby Mae » a déclaré Daphna Nachminovitch, vice-présidente de l’association.

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Hamburgers à la sauterelle et sucette au scorpion, pour la bonne cause


Mangeriez-vous un plat dont un des ingrédients principaux sont des insectes, si on vous promet de donner 5 dollars aux démunis ? Serait-ce assez convaincants pour oser essayer ?
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Hamburgers à la sauterelle et sucette au scorpion, pour la bonne cause

 

Les insectes «sont le futur» pour nourrir le... (Photo Karen BLEIER, AFP)

Les insectes «sont le futur» pour nourrir le monde, affirme Randolph Carter, l’un des responsables d’Ehrlich, «produire un kilogramme de cette nourriture gaspille dix fois moins d’énergie que produire un steak».

Photo Karen BLEIER, AFP

Agence France-Presse
WASHINGTON

«C’est un peu croquant, c’est bon», déclare à l’AFP la jeune Erin Kolski en goûtant le hamburger à la sauterelle qui vient de lui être servi au restaurant l’Occidental Grill, sur la prestigieuse Pennsylvania Avenue.

Le buffet cuisiné par le chef Rodney Scruggs — vers sauce mexicaine, sauterelles rôties, fourmis au chocolat, sucettes au scorpion, etc. — était offert par Ehrlich Pest Control, une société spécialisée dans la lutte contre les nuisibles qui voulait célébrer la maison.

Elle entendait également reverser, pour chaque courageux prêt à croquer dans les sauterelles, 5 dollars à DC Central Kitchen, une banque alimentaire pour démunis.

Les insectes «sont le futur» pour nourrir le monde, ajoute Randolph Carter, l’un des responsables d’Ehrlich, «produire un kilogramme de cette nourriture gaspille dix fois moins d’énergie que produire un steak».

Mary Than et Deth Khaiaphone, la quarantaine, sont venues en connaisseuses. Elles sont laotiennes et Mary Than gère un restaurant.

«Nous avons l’habitude de mettre des insectes dans notre nourriture», disent-elles avant de se régaler d’une assiette de vers et de sauterelles frites.

«C’est délicieux, nutritif, sain et ce n’est pas de la nourriture industrielle», s’amuse Deth.

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Et si votre fille était plutôt un garçon?


Je lève mon chapeau aux parents qui ont su écouter leur enfant au lieu des quand dira-t-on. Ils ont passé sûrement vers plusieurs émotions et probablement des reproches des autres. Ce qui importe, c’est l’enfant. Ils n’ont pas changé le sexe radicalement, mais simplement en changeant certains comportements qui lui apporteront sans doute un meilleur avenir
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Et si votre fille était plutôt un garçon?

 

Par Andrée-Anne Guénette

C’est la vidéo qui fait sensation en ce moment (près de 5 millions de vues sur YouTube en 48 heures!). L’histoire de Ryland, six ans, qui vit avec sa famille en Californie.

Ryland naît en pleine forme, un beau bébé heureux. Pourtant, lorsque le bébé est âgé d’un an, la famille apprend que Ryland est sourde, une peine immense pour les parents. Ils décident éventuellement de faire opérer leur enfant pour lui poser des implants cochléaires pour que la petite puisse entendre et avoir la chance d’apprendre à parler.

Surprise: après avoir appris à parler, l’une de ses premières phrases est: « I am a boy » (je suis un garçon).

Ryland ne joue pas à la poupée, veut s’habiller en garçon, irait jusqu’à dire à ses parents que lorsque tous les membres de sa famille allaient mourir, elle pourrait enfin couper ses longs cheveux.

Les parents sont très justement inquiets, leur entourage leur dit que c’est « juste une phase, ça va lui passer. » Qu’un enfant de cet âge ne sait pas nommer ces choses, qu’elle doit juste être garçonne, que c’est tout à fait normal que certaines filles n’aiment pas le rose et les poupées et préfèrent jouer dans la boue.

Pourtant, la « phase » persiste. Ryland s’habille en superhéros à l’Halloween, mais, chose moins banale, elle commence à avoir honte d’elle-même, à se retirer. Ses parents lisent de plus en plus à ce sujet, consultent des experts. Ils lisent que 41% des personnes qui ne se sentent pas bien dans leur corps car ils sont convaincus de ne pas être dans le bon ont déjà essayé de se suicider. Ils s’inquiètent pour leur fille.

Les experts sont formels: ce serait entre 3 et 5 ans qu’un enfant s’identifie à son genre (c’est compliqué et je ne suis pas experte, mais j’en comprends que le sexe est la biologie de la chose (essentiellement, le type d’organes sexuels qu’on a), tandis que le genre est l’identification sociale aux attributs de notre sexe, donc de s’identifier aux autres filles ou aux autres garçons et faire partie du groupe). Et c’est très possible que Ryland soit femelle dans son corps, mais que son cerveau « soit mâle ».

Alors, ses parents prennent leur courage à deux mains: ils permettent à Ryland de se couper les cheveux, ils utilisent le il/lui lorsqu’ils parlent de leur enfant et permettent à Ryland d’être, à presque tous les égards, un garçon.

Qu’on pense ce qu’on veut de cette histoire (et je vous assure que ça se déchaîne sur les commentaires sur multiples sites américains, le fameux débat de « nature vs nurture », donc de la nature versus la culture), j’ai énormément pensé aux parents qui ont été testés au possible durant les six années de vie de Ryland. Se mesurer au regard des autres, tout en essayant de faire le mieux pour la seule personne pour qui ça compte vraiment: leur enfant.

Je n’ose imaginer le nombre d’heures qu’ils ont passé couchés, à regarder le plafond, en se demandant quoi faire. En espérant que ce soit juste une « phase qui passera ».

En mai dernier, Ryland a pris la parole à un événement organisé en son honneur en Californie pour dire qu’il était « un enfant transgenre de six ans, très cool, le plus heureux qu’il avait jamais été. » Il en a profité pour remercier ses parents.

Quelle histoire, quand même.

http://www.coupdepouce.com