Créer des liens


Il y a des jours où on sent les gens se serrer les coudes quand un grave événement se produit. Alors que d’autres jours, c’est comme si le monde est indifférent.
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Créer des liens

 

Que signifie Communiquer ? demanda le petit prince
C’est une chose trop oubliée. ça signifie créer des liens … répondit le renard

Antonine de Saint Exupéry

VIDÉO. De la réalité augmentée? Non, le projet d’un artiste qui met de la poésie dans le quotidien


Même si, j’essayais de faire la même chose, je suis certaine que le résultats ne serait pas aussi bon que ce Marty Cooper.
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VIDÉO. De la réalité augmentée? Non, le projet d’un artiste qui met de la poésie dans le quotidien

 

 

INSOLITE – Détourner les scènes du quotidien. C’est avec ce principe que l’artiste Marty Cooper aime s’amuser.

Dans une vidéo publiée le 22 mai sur Youtube et déjà visionnée près de 500.000 fois, il montre qu’avec un smartphone, une feuille transparente et un feutre on peut mettre beaucoup de poésie dans la vie de tous les jours.

Son projet intitulé « Aug(De)Mented Reality » (jeu de mots avec les mots « réalité augmentée » et « démente ») consiste à introduire des petits personnages rigolos là où on ne les attend pas.

Pour ce faire, Marty Cooper les dessine sur une feuille transparente puis place celle-ci à la manière d’un calque devant son smartphone. Un vrai travail de fourmi qui donne un résultat assez étonnant. Vous pouvez d’ailleurs voir d’autres créations de Marty Cooper sur son Tumblr.

http://www.huffingtonpost.fr/

5 erreurs fréquentes en photo et leurs solutions (faciles)


Avec l’avènement de la caméra numérique, il semble à la portée de tous de prendre des photos. Sans être des tous des professionnels, il y a des erreurs que nous faisons tous, mais avec quelques trucs, il est possible de s’améliorer.
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5 erreurs fréquentes en photo et leurs solutions (faciles)

5 erreurs fréquentes en photo et leurs solutions (faciles)

Photo Fotolia et Stéphane Vaillancourt / Agence QMI

Stéphane Vaillancourt

La photographie est un art, mais c’est aussi parfois très technique.

Il y a plusieurs façons de réussir ses photos, mais aussi beaucoup de façons de les rater.

D’ailleurs, certains problèmes reviennent un peu trop souvent: photos floues, éléments distrayants, absence de flou en arrière-plan, trop de bruit numérique et la liste pourrait continuer longtemps.

Voici donc cinq problèmes les plus fréquents, ainsi qu’une ou plusieurs façons de les éliminer.

Les photos floues

D’habitude, une photo est floue parce que le sujet a bougé ou que le photographe a appuyé trop fort sur le déclencheur, ce qui a fait bouger l’appareil au moment de prendre la photo.

Mais ces deux raisons découlent du même problème: une vitesse trop basse, ce qui est généralement causé par un manque de lumière.

Comment faire pour obtenir plus de lumière?

L’idéal, c’est d’avoir le contrôle sur la lumière ambiante en allumant plus de lampes, mais si ce n’est pas possible, voici quoi faire : augmentez un peu la valeur ISO et, si vous le pouvez, augmentez l’ouverture (le chiffre précédé d’un «f», qui doit être réglé à sa plus petite valeur possible) afin de laisser entrer plus de lumière.

Sinon, la seule option est de passer en mode manuel ou, encore, en mode S ou Tv (pour Speed, ou Time Value) et de forcer l’appareil à prendre la photo à une vitesse donnée.

Sachez que plus vous montez la vitesse, plus votre photo sera sombre.

Photo chargée et éléments distrayants

Parfois, vous avez envie de prendre un décor en photo, ne portez pas suffisamment attention aux autres éléments du décor.

Vous risquez de vous retrouver avec une photo chargée (trop de choses à regarder – comme l’image ci-dessous), ou avec des éléments distrayants (des branches qui sortent de nulle part, un passant coupé en deux, etc.).

Assurez-vous donc de bien observer le décor et la scène en général avant d’appuyer sur le déclencheur.

Format de fichier: JPEG, RAW… ou les deux?

Tout le monde aime le côté pratique du JPEG, puisqu’il permet le partage rapide de ses photos. Or, une image JPEG est une image compressée et traitée qui offre beaucoup moins de flexibilité en postproduction (lorsque vous voudrez «développer» vos photos, si vous voulez).

En effet, si vous n’avez pas bien ajusté la balance des blancs en fonction du type d’éclairage (au soleil, à l’ombre, sous un néon ou sous une ampoule), les couleurs de votre image tireront vers le bleu ou l’orangé et il sera plus difficile de corriger une image JPEG.

Une façon simple de régler ce problème: photographier en RAW+JPEG, puis retravailler vos photos dans un logiciel comme Lightroom d’Adobe (et il en existe plusieurs autres).

Pourquoi RAW+JPEG et non pas en RAW seul? Parce que les cartes SD offrent une très grande capacité (en moyenne, de 8 à 64 Go), ce qui permet de prendre plusieurs centaines de clichés sur une même carte – alors qu’autrefois, les pellicules nous limitaient à 24 ou 36 clichés.

Vous pourrez donc partager rapidement une photo JPEG qui vous satisfait, puis retravailler les fichiers RAW qui demandent quelques retouches

Manque d’impact

Votre photo n’est pas aussi spectaculaire que vous l’auriez souhaité? Elle manque peut-être d’impact: si vous étiez trop loin du sujet ou de l’action, la scène ne sera pas aussi puissante que vous l’aviez perçue vous-même, en étant sur place au bon moment.

N’hésitez pas à utiliser le zoom optique de votre appareil (évitez le zoom numérique!) afin de rapprocher le sujet ou la scène que vous photographiez!

Voyez la différence entre une photo prise juste un peu trop loin et une photo prise à la bonne distance, ci-dessous.

Image bruitée et ISO

L’ISO, c’est la sensibilité du capteur de l’appareil photo à la lumière. À l’époque de la pellicule, on achetait un film 100 ISO, 200 ISO ou 400 ISO, selon si on allait prendre des photos à l’extérieur, à l’intérieur, ou un peu des deux.

Aujourd’hui, les capteurs numériques offrent une sensibilité variable qu’il est possible d’ajuster en fonction des conditions d’éclairage de la scène. Si le principe reste le même en numérique, il faut savoir qu’il est possible d’aller plus haut que 400 ou 800 ISO, ce qui offre une flexibilité qui simplifie la prise de photos, mais que cette flexibilité a un prix: le bruit.

En effet, si vous montez la sensibilité ISO à 800 ou plus, vous risquez de vous retrouver avec du bruit (ce qu’on appelait le « grain » sur la pellicule). Certains appareils performent mieux que d’autres et permettent de monter à 3200 ou même 6400 ISO sans que le bruit ne soit omniprésent. Faites quelques tests d’une même photo prise à différentes valeurs ISO.

Votre photo finale contient trop de bruit? Vous pouvez décider d’opter pour une approche artistique en la transformant en noir & blanc, ou vous pouvez utiliser la fonction de réduction du bruit de Lightroom, ou un logiciel spécialisé comme DxO ou PhotoNinja.

Dernier petit mot

N’hésitez pas à expérimenter. Prenez des dizaines de photos de scènes quotidiennes. N’attendez pas d’avoir un événement à photographier pour sortir votre appareil.

En pratiquant, vous remarquerez mieux les choses à faire et ne pas faire lorsqu’une occasion photo se présentera à vous.

http://fr.canoe.ca

Pourquoi la routine est-elle si importante pour le chat ?


Les chats, chez nous, ont toujours été libre de chasser, car c’est dans leur nature. Mais, ceux qui restent toute la journée dans la maison, le temps doit leur paraitre bien long …
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Pourquoi la routine est-elle si importante pour le chat ?

 

Marie-Hélène Bonnet
Comportementaliste du chat
www.comportement-chat.com

Crédits photo : MarcSLR – Flickr

Suivre chaque jour les mêmes rituels est extrêmement important pour les chats. Et le moindre changement, de rythme ou d’environnement peut les perturber très profondèmement. Mais pourquoi la routine est-elle si importante pour nos chats domestiques ?

Marie-Hélène Bonnet, comportementaliste du chat, nous explique comment la domestication du chat a rendu cette ritualisation nécessaire, afin de lutter contre le stress :

Quand nous parlons d’éthologie, on parle de chat à l’état sauvage, non domestiqué, ce que nous appelons chat Haret (Félis silvestris catus) de façon un peu technique. Je ne parle généralement jamais de technique dans mes articles, afin que tout le monde puisse comprendre sans avoir une encyclopédie sur les genoux ! Toutefois, vu le sujet traité, il est indispensable de revenir sur quelques points.

De la vie sauvage au confort d’une maison

Autrefois donc, notre chat Haret vivait sur un territoire, qu’il gardait à vie, en effet, le chat n’est pas un nomade. La majeure partie de la journée, et de la nuit, le chat doit chasser, il faut en moyenne une vingtaine de petites proies par jour pour survivre. Cela prend du temps. Beaucoup de temps. Le chat va parcourir des kilomètres pour trouver de quoi se nourrir normalement. Entre 2 proies, il se repose, afin de récupérer toute son agilité et sa rapidité pour la prochaine proie. Il préfèrera chasser de nuit, ce qui le favorise : la structure de son œil lui permet de voir la nuit, à la seule lueur d’une étoile, comme en plein jour. Les proies n’ayant pas cette faculté, il en profitera pour les attraper mieux et plus vite. Ceci n’est qu’une parenthèse pour expliquer que certains chats préfèrent manger ou jouer la nuit.

Puis le chat voit l’homme sédentarisé : il vit sur un territoire sans en changer, comme le chat. L’homme se protège des intempéries, il éloigne les prédateurs, et les proies habituelles du chat sont légions dans son sillage… Toutefois, l’homme tente de se débarrasser de ces délicieuses proies bien dodues… Et si le chat venait aider ce bipède ? Il pourrait être nourri facilement en rendant service, et en contre partie, il pourra profiter d’un toit et de murs, le protégeant du froid et de la pluie, mais aussi il sera hors de portée des prédateurs !

Voilà notre chat Haret dans une grange, à courir derrière des mulots, des souris, des rats, et à attraper les oiseaux nichant dans l’étable… Plus de renards, de belettes ou autres prédateurs, et surtout plus besoin de chercher un abri en cas de froid !

Seulement voilà, que faire de la journée ? Ses 20 proies quotidiennes, pas besoin de faire des kilomètres pour les trouver, quelques heures suffisent, et le reste du temps ?

Ritualiser la journée pour s’occuper

Et voilà encore un autre souci pour notre chat Haret, un voisin aussi a établi domicile dans la grange, et en bon chat, on ne cohabite pas… Dilemme… rester et supporter l’intrus ou repartir et mourir de faim et de froid ? Tant pis, on reste, le sacrifice n’est pas si énorme, même s’il est fait à contre cœur…

Reste à savoir quoi faire de la journée, qui parait bien longue à notre pauvre chat Haret, plus vraiment sauvage, mais de plus en plus domestique. Et là notre ami chat va regarder autour de lui. Que font les bipèdes de leurs journées, eux qui vivent comme des chats ou presque ? Ils ont un rythme fixe, refaisant jour après jours les mêmes gestes aux mêmes moments. La solution est là pour notre chat : s’occuper.

C’est là que le chat va commencer à ritualiser sa journée, refaisant toujours les mêmes choses aux mêmes moments précis. Bien sûr il y a des variations dans le temps, en fonction de l’âge de la météo, des autres animaux etc. Mais la trame journalière, elle, elle reste en place.

Les années passent pour notre chat de ferme devenu domestique. Les villes se créent, se remplissent, et les humains apportent les chats avec eux. Toujours dans le souci premier d’éliminer la vermine, avant de penser à la compagnie. Les chats se multiplient dans les villes, s’appropriant les rues, se nourrissant dans les poubelles quand les rats ne sont pas assez nombreux. La nourriture est de plus en plus facile à trouver et le temps de plus en plus long et difficile à combler.

Et dans les années 60/70, le chat rentre dans les appartements, se fait nourrir de pâtés et de croquettes, prenant encore moins de temps à être trouvées. Progressivement, les humains verront même d’un mauvais œil de laisser un chat chasser et se nourrir de souris et autres rongeurs. Les tapettes et autres pièges remplacent les chats dans cette fonction. Le chat devient notre ami et confident, plus le chasseur de vermine. Il devient le compagnon idéal des personnes seules, des enfants et des personnes âgées. Il rentre dans tous les foyers, mêmes les hommes célibataires ont souvent un chat pour leur tenir compagnie.

Et les journées du chat, seul dans la maison, ou l’appartement, sont longues, très longues. Siestes, toilettes, quelques croquettes, le griffoir, jeux, siestes, croquettes, litières… la journée n’en finit pas. L’humain arrive, et là on réclame son lot de caresses quotidiennes, mais bien vite le bipède part dormir et la nuit aussi va être longue… notre petit félin aurait tôt fait de sombrer dans la déprime étant ainsi désœuvré.

Sans routine, le chat angoisse

La ritualisation devient de plus en plus intense, ne laissant quasiment plus de temps aux temps morts. Et dès que cette routine s’interrompt, le chat s’angoisse. Cela devient une obsession : remplir sa journée, faire ce qui doit être fait quand il le faut. Passer du griffoir au canapé en montant par le bon accoudoir… Ne pas oublier de se frotter long de la porte en rentrant dans le couloir… Faire sa toilette après les 3 croquettes de 13h30… Un tourment sans fin pour notre petit compagnon. Et s’il doit partager sa vie avec un autre chat, il faut prendre soin de ne pas créer d’interactions entre les manies de chacun. Mais là, il s’agit d’un autre sujet !

On considère donc que nos chats souffrent de TOC (Troubles Obsessionnels Compulsifs).

Aussi, pour faciliter la vie de Félix, évitez de changer les meubles de place, voir de changer les meubles, pensez à laisser les choses à leurs places pour ne pas le stopper dans sa course contre l’angoisse, sinon on court droit au stress. Ce stress que le bien heureux chat Haret ne connaît pas et n’a pas le temps de tester… Ce stress qui est le prix à payer pour nos chats pour vivre au chaud et sans disettes. Il peut paraître un modeste sacrifice face aux nombreux avantages de la domestication, mais certains chats ne s’y font jamais. Aussi, aidons-les du mieux que nous le pouvons en mettant à disposition suffisamment d’activités pour que les rituels puissent être nombreux et variés. Pensez aussi à préparer les changements de rythme de vie à l’avance.

Et aux premiers signes de stress de votre chat, réagissez. Inutile de brancher des diffuseurs ou autres sprays aux résultats douteux, mais observez, et tentez de comprendre. N’oubliez pas que là encore les comportementalistes peuvent vous aider. Vous avez un doute ? N’attendez pas que Félix tombe dans la dépression.

Parfois un simple coup de fil peut vous aider à comprendre ou vous rassurer sur ce que vous devez faire ou éviter de faire.

http://wamiz.com

Un artiste mange sa propre hanche


Déjà l’idée de manger un autre être humain, me dégoute, mais manger un morceau de sa propre personne suite a une opération est tout aussi répugnant
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Un artiste mange sa propre hanche

 

Une radiographie qui montre la proth egrave;se d #39;Alexander Selvik Wengshoel. (Alexander Selvik Wengshoel / Facebook)

Une radiographie qui montre la prothèse d’Alexander Selvik Wengshoel.[Alexander Selvik Wengshoel / Facebook]

Né avec une malformation à la hanche, l’artiste Alexander Selvik Wengshoel a subi une opération pour que son articulation soit remplacée. Il a ensuite décidé de la manger.

La viande avait le même goût qu’un « mouton sauvage qui va dans les montagnes et mange des champignons ». Alexander Selvik Wengshoel, étudiant norvégien de 25 ans en art contemporain, a eu l?idée de manger sa propre hanche.

Interrogé par The Local, il a expliqué avoir dégusté son articulation à l’âge de 21 ans. Atteint d’une malformation de naissance, il a subi une opération pour se faire poser une prothèse. Il avait alors demandé aux médecins s’il pouvait garder sa hanche. Il ignorait encore ce qu’il allait en faire

Une catharsis

L’idée lui est venue d’un coup :

« Je me suis préparé à manger quand ma copine était au travail et je me suis résolu à passer ce bon moment, avec moi-même et ma hanche ».

Après avoir fait bouillir sa hanche dans de l’eau, il a pu détacher la viande de l’os et la manger avec de la purée de pomme de terre.

L’artiste a également expliqué au site norvégien que cet acte avait eu l’effet d’une catharsis :

« Ma hanche avait été un vrai problème pour moi pendant 20 ans, et c’était une façon d’aller mieux ».

http://www.directmatin.fr

«Nous avons vécu le pire moment de notre vie»


Le pire cauchemar qu’on vécut des parents. L’enlèvement de leur nouveau-né. Une femme s’est fait passer pour une infirmière et a pris le bébé prétextant des examens. La mère a eu un doute … Mais trop tard. Le bébé a été enlevé mais heureusement, grâce aux réseaux sociaux, aux policiers et 4 jeunes, la petite est revenu dans les bras de ses parents après une escapade de moins de 3 heures
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«Nous avons vécu le pire moment de notre vie»

 

La petite Victoria a été retrouvée saine et sauve

«Hier, nous avons vécu le pire moment de notre vie. Un sentiment que personne ne veut et ne devrait vivre. »

C’est en ces mots que la mère de la petite fille enlevée, lundi soir, à l’hôpital de Trois-Rivières a décrit les extrêmes moments d’angoisse qu’elle a vécus à la suite de l’enlèvement de sa petite Victoria, lundi soir, à l’hôpital de Trois-Rivières.

«L’impuissance face à cette situation était difficile à accepter. Nous devions être patients, chose qui n’est pas facile quand votre enfant est enlevé. Les pires scénarios tournent en boucle dans nos têtes. Malheureusement, les fins ne sont pas souvent heureuses, surtout dans ces cas là. C’était difficile pour nous de penser positivement étant donné les circonstances», a-t-elle écrit sur sa page Facebook.

Heureusement, trois heures plus tard, la jeune mère tenait sa petite fille dans ses bras. Un soulagement immense.

«La petite Victoria porte bien son nom pour cette victoire. Donner la vie à notre enfant est un moment incroyable, mais retrouver notre enfant sain et sauf est un sentiment indescriptible.»

Mélissa McMahon a tenu à remercier tous ceux qui ont permis de retrouver son nouveau-né.

«Merci à tous les Québécois qui ont pris la peine d’en faire plus… vérifier le secteur, les stationnements, les voitures rouges… Nous avons senti un grand soutien provenant de la population. Cette victoire vous revient à vous tous! Ce matin, nous sommes fiers et nous nous sentons en sécurité d’être des Québécois, un peuple qui se soutient et qui s’entraide dans de telles histoires d’horreur. Nous avons reçu une énorme vague d’amour de votre part!»

Elle a vanté le travail des policiers dont l’enquête a permis de diffuser rapidement la photo de la suspecte.

«Je voudrais remercier les milliers de policiers, enquêteurs à travers le Québec qui ont fait preuve de beaucoup de compassion et qui se sont mis au travail sans tarder pour retrouver mon bébé. Ils ont fait un travail efficace et ont lancé l’alerte très rapidement. Hier, c’était une victoire pour nous, mais aussi pour vous. votre travail a été exceptionnel et nous avons de la chance d’avoir un système aussi efficace pour nous aider dans une telle situation.»

Elle a également tenu à exprimer toute sa reconnaissance envers le personnel du Centre hospitalier régional de Trois-Rivières où a lieu l’enlèvement

«Vous avez vécu cette terrible histoire avec nous. De plus, vous avez été très alerte, ce qui m’a rapidement fait réaliser, en moins d’une minute, que mon bébé m’avait été enlevé. J’ai couru vers la sortie de l’hôpital et encore là, de nombreux patients et visiteurs m’ont porté secours et nous ont transmis des informations rapidement sur la femme ainsi que sur son véhicule. Merci à ces gens, merci aux gardiens de sécurité qui ont rapidement agi et trouvé une photo avec l’aide des policiers.»

Une photo qui a eu un impact déterminant dans la suite des choses. Elle a été transmise des milliers de fois sur les réseaux sociaux, ce qui a permis d’identifier la ravisseuse.

«La photo a sauvé notre fille! En moins d’une heure, la photo était partout.  Vous avez été plusieurs milliers de personnes à partager la photo de cette femme sur les réseaux sociaux et ce, sans relâche. Sachez que c’est ce qui l’a sauvée, notre petite Victoria. Chaque clic, chaque partage a fait la différence.»

Elle n’a pas oublié les quatre jeunes qui ont identifié la suspecte et qui ont contacté les policiers, ce qui a permis son arrestation.

«Quatre merveilleuses personnes, que nous avons eu la chance de rencontrer, ont identifié cette femme grâce à Facebook. C’est la seule raison qui explique pourquoi Victoria est dans mes bras en ce moment.»

Elle conclut en conseillant aux mamans de faire preuve de vigilance.

«Ne vous laissez jamais influencer par un uniforme. Je sais que ça peut paraître anodin, mais si je m’étais méfiée plus, tout ça aurait été évité. Vérifiez le badge de l’infirmière, posez des questions. C’est votre enfant, ne le quittez pas des yeux. Je ne voudrais pas que quelqu’un d’autre vive cela.»

 

http://www.lapresse.ca/

Les mouches à fruits en pleine réflexion


Ceux qui doute que les mouches telle que, les mouches a fruits ont une intelligence, alors ils seront surpris qu’elle réfléchissent avant de faire un choix
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Les mouches à fruits en pleine réflexion

 

Photo : Wikipédia Drosophile Photo :  Wikipédia

Les mouches à fruits (ou drosophiles) pensent avant d’agir, selon une étude réalisée par des chercheurs du Centre for Neural Circuits and Behaviour de l’Université d’Oxford. Selon cette recherche, ces insectes sont plus lents à prendre une décision difficile.

Ainsi, les drosophiles n’agiraient pas instinctivement ou impulsivement, mais accumuleraient de l’information avant de prendre une décision. Cette caractéristique est d’habitude considérée comme un signe de haute intelligence, comme en démontrent les singes et les humains.

Lors de leur expérimentation, après avoir entraîné les drosophiles à éviter une odeur particulière, les chercheurs ont observé les mouches faire un choix entre deux odeurs, situées aux coins opposés d’une pièce étroite.

Lorsque les deux odeurs étaient très différentes, les mouches prenaient une décision très rapidement et volaient la plupart du temps vers le coin d’où provenait l’odeur qu’elles ne devaient pas éviter. Cependant, quand les deux odeurs se ressemblaient et étaient difficiles à distinguer, les insectes prenaient beaucoup plus de temps à se décider et faisaient plus d’erreurs.

De plus, certaines mouches qui avaient subi des mutations du gène FoxP, actif chez les drosophiles dans près de 200 neurones sur les 200 000 que contient leur cerveau, prenaient encore plus de temps que les mouches normales à prendre leur décision quand les deux odeurs étaient très proches. Les chercheurs croient que ce gène serait impliqué dans le processus de prise de décision des mouches.

Les mouches à fruit possèdent un seul gène FoxP, alors que les humains en possèdent quatre. Chez les humains, les gènes FoxP1 et FoxP2 sont associés au langage et au développement cognitif. Ces gènes sont aussi associés à la capacité à apprendre une séquence de mouvement, comme apprendre à jouer du piano.

« Nous ne savons pas pourquoi ce gène joue un rôle dans une si grande variété de processus mentaux. FoxP pourrait être important pour lier les capacités à produire et traiter des séquences temporelles dans le cerveau », avance le professeur Gero Miesenböck, qui a participé à la recherche.

http://ici.radio-canada.ca

Tuerie en Californie Des pages Facebook créées en appui à Elliot Rodger


Un exemple que Facebook ne respecte pas les règles qu’il a établi pour éviter la haine, violence … Comment peut-on honorer la mémoire d’un tueur en accusant la faute aux femmes qui l’avait écarté semble-t-il selon ses troubles de comportements ? Alors que d’autres personnes sont écartées par leur poids, leur statut social, que sais-je, encore, n’irons pas tuer des innocents, Peut-être que la perception du jeune homme était faussée tout simplement.Nuage
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Tuerie en Californie

Des pages Facebook créées en appui à Elliot Rodger

 

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Photo Phil Klein/REUTERS

Elliot Rodger a tué six personnes avant de s’enlever la vie, vendredi dernier, en Californie.

TORONTO – Des pages créées par des admirateurs du meurtrier en série Elliot Rodger sont apparues sur Facebook, mais le réseau social a dit à des abonnés qu’il ne les retirerait pas.

La page «Elliot Rodger est un héros américain» fait l’éloge du jeune homme qui a tué six personnes avant de s’enlever la vie, vendredi dernier, en Californie. Rodger avait écrit un long manifeste sur sa haine des femmes expliquant qu’elles l’ont rejeté toute sa vie.

Une page Facebook se lit ainsi:

«Les féministes, que vous soyez d’accord ou non, vous êtes responsables de cet incident. Vous avez habilité les femmes à essentiellement intimider et rejeter les gens et, dans ce cas, il semble que cela soit arrivé à un pauvre enfant atteint d’autisme. Une génération de vaches narcissiques a été élevée au lieu des plus gentilles dames de la génération précédente».

Erica McGillivray a dénoncé le contenu de la page à Facebook, mais le réseau social lui a répondu qu’elle ne viole pas ses normes.

«J’ai été surprise que Facebook n’ait pas retiré une page aussi misogynique. Dans le passé, ils ont été bons pour retirer des pages haineuses (racistes, homophobes)», a-t-elle expliqué, en entrevue à l’Agence QMI. Plusieurs autres personnes ont porté plainte, sans succès.

Selon les règles d’utilisation énoncées sur Facebook, tout contenu qui comprend de la violence et des menaces, l’encouragement au suicide ou à l’automutilation, l’intimidation ou le harcèlement, un discours incitant à la haine, de la nudité ou de la pornographie et l’hameçonnage peut être supprimé par les administrateurs

http://www.journaldequebec.com