Qu’est-ce qui vous fait vibrer


Pour changer le monde, on doit d’abord chercher ce qui nous tient a coeur, ce que nous voulons défendre, ce qui nous éveille et qui nous tiens en vie
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Qu’est-ce qui vous fait vibrer

 

Ne vous demandez pas de quoi le monde a besoin. Cherchez ce qui vous fait vibrer. Parce que ce dont le monde a besoin, c’est de personnes qui vibrent avec la vie. ~

Harold T. Whitman

Des enfants essaient de faire fonctionner un ancien ordinateur


 

Alors que la venu ordinateurs a changer nos vies, on s’aperçoit de la progression quand les enfants d’aujourd’hui découvrent les dinosaures informatiques et n’en veulent pas du tout
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Des enfants essaient de faire fonctionner un ancien ordinateur

 

Laurie Bergeron

 

La nouvelle édition de Kids React toTechnology analyse la réaction des enfants d’aujourd’hui devant un ordinateur datant de la fin des années 1970. Ceux-ci sont complètement exténués après quelques minutes d’utilisation.

Les enfants ont d’abord été impressionnés par la taille de l’appareil. Puis, après l’avoir difficilement mis en marche, ont été étonnés par le son très bruyant. L’ordinateur n’était même pas encore fonctionnel que Brooke-Monaé, 8 ans, était déjà épuisée par toutes les étapes.

«Où est la souris? Où sont les jeux?»

Une fillette a écrit «Google» sur l’écran noir afin d’accéder à Internet, avant de comprendre que cela n’existait pas à l’époque. Les étudiants devaient aller à la bibliothèque pour faire leurs devoirs.

«Qui veut faire ça?», demande Krischelle, 9 ans.

Les enfants se sont presque endormis durant l’énumération des fonctions de l’ordinateur. Celui-ci était complètement inutile, selon eux.

http://www.journaldequebec.com

Le Saviez-Vous ► Top 10 des cambrioleurs les plus cons, les erreurs à ne pas commettre


Non, ce n’est pas des trucs pour devenir des bons cambrioleurs, mais plutôt ce qu’il ne faut pas faire. En tout cas, les bourdes de ces soi-disant cambrioleurs, vous ferons surement sourire. Pas sur, par contre, qu’ils en sont fier.
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Top 10 des cambrioleurs les plus cons, les erreurs à ne pas commettre

 

source photo : mugshotmuseum

Vous avez prévu d’arrondir vos fins de mois en cambriolant la mémé du coin ? Voici quelques petites erreurs à ne pas commettre si vous voulez éviter de finir au poste et de vous taper la honte du millénaire.

Ne pas se cacher dans le congélo

Le conseil peu paraître con, et pourtant : c’est l’étrange réflexe qu’a eu un apprenti cambrioleur de 16 ans. Chopé en train de se remplir les poches dans un bar de Nevers en pleine nuit, le jeune homme s’est réfugié au sous-sol (il a vu trop de films d’horreur celui-là) dudit bar. Coincé dans une pièce sans issue, il a alors eu l’idée absolument géniale de se cacher dans le congélateur, derrière les surgelés. La police l’a rapidement retrouvé, coincé entre deux paquets de Findus et légèrement refroidi par son expérience.

Ne pas faire le mort

Pas tellement plus futé que notre ami de Nevers, un cambrioleur espagnol qui était en train de se remplir les poches dans une maison funéraire s’est dit que la meilleure façon d’échapper à la police était de faire le mort. Dans la mesure où il n’est pas parvenu à arrêter de respirer, il a rapidement été démasqué et a volé au trou comme prévu.

Ne pas faire de selfie

Tout fier d’avoir réussi à rentrer par effraction dans une maison de Rotherham, Ashley Keast a entré sa carte SIM dans le portable qui traînait sur la table basse, pris une jolie photo de lui dans le miroir du salon puis envoyé le tout à ses copains via WhatsApp. Sauf que voilà : ce pauvre Ashley s’est légèrement emmêlé les pinceaux et a envoyé le cliché à un collègue de sa victime, dont le numéro était encore enregistré dans le téléphone qu’il avait emprunté. Il a été condamné à 2 ans et 8 mois de prison en mars 2014.

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source photo : telegraph

Ne pas se foutre une mine

Parce qu’après on fait comme Lewis Ward qui, après avoir cambriolé une maison, est tranquillement rentré chez lui sans se rendre compte qu’il laissait les empreintes de pas dans la neige. Sympa, il a comme ça conduit la police jusqu’à chez lui, où il cuvait lamentablement.

Ne pas tirer (mais pousser) la porte

En janvier, le gérant d’un bar de Chicago a eu la mauvaise surprise de trouver sa serrure fracturée au petit matin, mais (ô surprise) rien n’avait été volé. En regardant les enregistrements de la caméra de surveillance, il s’est rendu compte que le malheureux qui avait essayé de le cambrioler n’avait pas lu la pancarte qui était sur la porte de son bar et qui indiquait « poussez pour ouvrir » et non tirez comme un bourrin pendant 20 minutes.

Ne pas écrire son nom sur la scène du crime

L’Anglais Peter Addison, 18 ans, n’est pas tout à fait ce que l’on appelle un as du crime. Venu dézinguer un camp de loisirs pour enfants, le jeune homme ne voulait pas que son fait de gloire tombe aux oubliettes. Du coup, il a écrit son nom sur un mur au feutre indélébile. Les flics n’ont pas eu trop de mal à le retrouver. « O,D,I,L, qu’est que ça peut bien vouloir dire ? »

Ne pas cacher des couteaux dans son fute

Parce que sinon vous allez mourir dans d’atroces souffrances comme ce cambrioleur du Michigan qui, après avoir volé pour 300 euros de couteaux de chasse, a eu la grande idée de les cacher dans son pantalon. En prenant la fuite, il est tombé et bim l’un des couteaux a atterri dans son estomac. Et dire qu’il n’aura même pas eu le temps de dépecer deux, trois lapins.

Ne pas engrainer maman dans l’affaire

En juillet 2012, Roy Mitchell, 22 ans et toutes ses dents, fait un petit tour en voiture avec sa maman quand il décide de se faire un peu de sous en allant braquer une station-service. Alors qu’il menace la pauvre caissière avec un gros flingue, sa mère qui avait aperçu la scène depuis sa voiture garée sur le parking de la station service entre dans la boutique et l’ordonne de poser son arme qui, au passage, s’est avérée être un pistolet en plastique. Grosse grosse humiliation.

Ne pas cambrioler une banque en dehors de ses heures d’ouverture

Bien décidé à s’en foutre plein les pognes, Christopher Allen Koch s’est pointé à la banque de Liberty, Citizens & Northern Bank, a midi moins vingt. Certain d’avoir le temps de se faire un petit casse-croûte, il a pris son temps et s’est décidé à passer à l’attaque à 12h01. Dommage, la banque avait fermé une minute plus tôt pour la pause déj et lui s’est retrouvé à la porte avec un casque de ski sur la tête et un gros gun dans les mains. Il a rapidement été interpellé.

Ne pas s’attaquer à plus fort que soi

Contrairement au brave garçon qui, en 2008, a eu la sage idée d’aller cambrioler une école d’arts martiaux où révisaient une petite dizaine de champions de karaté. Il va sans dire qu’il s’est fait violemment botter le fessier.

Le monde magique des gens vraiment très cons.

Pâtée pour chiens, pâté pour humains


Pendant des moments difficiles, le manque d’argent et le découragement qu’il peut rester dans le frigo et dans le garde-manger, avez-vous déjà pensé de manger de la nourriture pour chats ou chiens ?
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Pâtée pour chiens, pâté pour humains 

 

Un manque total de cynisme et la peur de choquer nous retiennent de poser la question suivante : en ces temps où un Terrien sur huit est sous-alimenté, où les soupes populaires et autres Restos du cœur affichent complet, pourquoi ne remplit-on pas ces ventres avec la nourriture bon marché que nous réservons à nos animaux de compagnie ?

La science n’ayant pas nos réticences, trois chercheurs ont osé aborder le problème dans une étude publiée en 2009 par l’American Association of Wine Economists. John Bohannon, Robin Goldstein et Alexis Herschkowitsch s’y sont franchement demandé ce qui pouvait bien empêcher que l’on serve de la pâtée pour chiens comme pâté pour humains.

Des problèmes sanitaires ? L’industrie du Ragoûtoutou exploitant restes et rebuts de l’industrie alimentaire humaine, sûrement pas… Des différences dans les besoins nutritionnels ? Homo sapiens et Canis lupus familiaris dînant à la même table depuis au moins 30 000 ans, les régimes alimentaires des deux espèces sont quasiment les mêmes, les quadrupèdes s’étant d’ailleurs adaptés aux menus des bipèdes. Ce qui est bon pour Tintin l’est pour Rintintin et réciproquement. Alors pourquoi Chiquita ne mange-t-elle pas comme son chihuahua, le Pékinois comme son pékinois et le berger allemand comme son berger allemand ?

Sans doute est-ce une question de goût, ou plutôt de dégoût. Tout comme nos amis britanniques ne comprennent pas que l’on déguste du cheval de ce côté-ci de la Manche (choquant, n’est-il pas ?), tout comme nous avons le cœur au bord des lèvres à l’idée de croquer chenilles, scorpions ou… chiens, ainsi que cela se pratique sous d’autres cieux, notre réticence à nous délecter de boîtes de Canigou serait avant tout culturelle. Mais que se passerait-il si nous ignorions ce qui se trouve dans notre assiette ? Serions-nous seulement capables d’identifier la pâtée de Médor ?

C’est ce qu’ont voulu savoir Bohannon, Goldstein et Herschkowitsch dans une expérience en double aveugle ou ni les 18 courageux cobayes ni l’expérimentateur ne savaient ce qui était servi. Pour l’anecdote, le test a eu lieu un 31 décembre au matin, comme un préambule au gueuleton de la Saint-Sylvestre… Les participants devaient goûter cinq échantillons : mousse de canard, pâté de campagne, saucisse, viande en boîte et pâtée pour chiens. La composition de celle-ci laisse songeur : dinde et poulet en étaient les principaux ingrédients mais on trouvait aussi du poisson, du riz, de la carotte, des graines de lin, du son d’avoine, du varech séché, de la gomme de guar et de l’extrait d’algues rouges. Il ne manquait plus qu’un raton laveur pour boucler cet inventaire à la Prévert. Chaque plat était broyé-mixé-traité pour avoir la texture de la mousse de canard. Après la dégustation, les cobayes devaient noter chaque mets de 1 (délicieux, j’en reveux) à 5 (où est le sac à vomi ?) puis tenter de deviner derrière lequel se cachait la pâtée pour chiens.

Le résultat est quelque peu surprenant. Même si 72 % des goûteurs ont jugé que la mixture à la dinde et au poulet était la moins bonne de toutes, seulement trois sur dix-huit l’ont identifiée comme de la nourriture pour animal… L’explication des chercheurs à ce paradoxe ne manque ni de sel ni de piment : pour eux, si les cobayes se sont autant trompés, c’est parce qu’ils se sont imaginé que l’on ne pouvait décemment pas servir quelque chose d’aussi mauvais à un chien ! Pour nourrir la planète des affamés, il faudra trouver autre chose.

Pierre Barthélémy est journaliste et blogueur (Passeurdesciences.blog.limonde.fr).

  • Pierre Barthélémy
    Journaliste au Monde

http://www.lemonde.fr/

A 10 ans, elle prépare des colis pour les SDF


Ce n’est pas le premier enfant qui fait ce genre de chose, mais, je crois, qu’il est important de souligner chaque effort fait par de jeunes enfants. C’est une expérience extraordinaire pour eux, de comprendre que certains n’ont presque rien et vivent dans la rue, mais qu’avec de l’aide, il est possible d’améliorer les choses. En plus, c’est une belle leçon de vie qu’ils donnent aux adultes
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A 10 ans, elle prépare des colis pour les SDF

 

A 10 ans, Mandy a le cœur sur la main.

Photo : DR

 

ETATS-UNIS – Souhaitant venir en aide aux sans-logis, de son quartier, une petite Floridienne a lancé une collecte afin de leur fournir des colis.

Elle a 10 ans et sa générosité est déjà hors norme. Mandy, une fillette de Gibsonton en Floride, organise des collectes pour venir en aide aux SDF de son quartier, rapporte ce lundi le site d’informations locales mynews13.com. C’est en se rendant avec son frère Jax chez ses grands-parents, que la jeune Floridienne avait croisé des personnes sans-logis et avait décidé de leur venir en aide.

Elle commence alors à une toute petite échelle.

 « J’ai pris des vieux jouets et des livres dont je ne me servais plus et j’ai tenté de les vendre à l’école », raconte Mandy.

Malheureusement, si l’initiative est louable, elle est peu rémunératrice. C’est la mère de la fillette qui va l’aider à passer à la vitesse supérieure.

Près de 1 000 dollars collectés

Est ainsi lancée, sur le site de crowdfunding www.gofundme.com, une collecte qui doit permettre à Mandy de confectionner des « paquets de gentillesse ». Ces derniers, enveloppés dans du papier cadeau et destinés aux personnes dans le besoin, comportent divers produits de la vie quotidienne comme une brosse à dents, du savon, des chaussettes, etc.

En deux mois, près de 1 000 dollars ont été collectés sur un objectif de 1350 dollars, ce qui équivaut à environ 200 paquets de gentillesse. Un vide-greniers a également été organisé par Mandy et sa famille pour lever des fonds.

« C’est une des personnes les plus gentilles que je connaisse, commente son père Justin. Quand elle a une idée, rien ne peut l’arrêter. » 

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Ils marchent sur un fil tiré entre deux… montgolfières !


Même s’ils ont des parachutes, je trouve cela insensé que des personnes vont s’amuser a jouer les funambules à 800 mètres d’altitude.
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Ils marchent sur un fil tiré entre deux… montgolfières !

 

 

VIDEO – Pour en prendre plein les mirettes, rien de tel que cette vidéo des Skyliners, des Français qui n’hésitent pas à tirer un fil entre deux montgolfières en plein vol pour ensuite marcher en équilibriste entre les deux ballons.

 

I believe I can fly ! R. Kelly n’a peut-être pas écrit cette chanson en pensant aux Skyliners mais ces six funambules français ont réussi l’exploit de marcher entre ciel et terre sur une sangle de slackline tirée entre deux montgolfières.

C’est au-dessus de l’Espagne, non loin de Barcelone, que ces acrobates de l’extrême ont décidé de réaliser ce tour de force de marcher entre deux objets mobiles à 800 mètres d’altitude. Sans accroche, mais avec des parachutes, ils ont tenté les uns après les autres de réussir la traversée. Si aucun d’entre eux n’est allé jusqu’au bout, ils ont malgré tout réussi à nous faire rêver et à se procurer des sensations fortes à nulle autre pareille. Surtout, ils ne comptent pas s’arrêter là.

http://www.metronews.fr