Les dix espèces les plus étonnantes découvertes en 2013


Les scientifiques ont identifié 18 000 espèces que ce soit des animaux, des plantes, des insectes, et même un microbe capable d’évoluer dans un milieu stérile et supporte autant la grande sécheresse que les désinfectants. Enfin, on peut au moins trouver mignon l’olinguito
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Les dix espèces les plus étonnantes découvertes en 2013

 

L’olinguito, un « chat-ours » vivant dans les forêts de Colombie et d’Équateur. Il s’agit du premier mammifère carnivore découvert à l’ouest du méridien de Greenwich depuis 35 ans. Photo :  ESF/Mark Gurney/CC BY 3.0

Un drôle d’animal mi-chat mi-ourson aux grands yeux vivant dans la forêt des Andes et une anémone vivant sous les glaces de l’Antarctique figurent parmi les dix nouvelles espèces les plus étonnantes découvertes l’an dernier, ont annoncé jeudi des scientifiques.

Cette liste est établie chaque année depuis 2008 par un comité de taxonomistes du College of Environmental Science and Forestry de la State University de New York.

Près de 18 000 nouvelles espèces ont été identifiées en 2013, s’ajoutant aux 2 millions déjà connues de la science.

Comme par les années précédentes, la liste montre que des espèces importantes ont failli échapper aux scientifiques, comme l’olinguito, un « chat-ours » de 2 kilos vivant dans les forêts de Colombie et d’Équateur. Il s’agit du premier mammifère carnivore découvert à l’ouest du méridien de Greenwich depuis 35 ans.

L'anémone vivant sous la glace, en AntarctiqueL’anémone vivant sous la glace, en Antarctique Photo :  ESF/SCINI

L’anémone de mer jaune de 2,5 cm qui étend ses tentacules dans les eaux glacées de l’Antarctique était elle aussi inconnue. Elle a été découverte par un submersible lors d’une exploration de la barrière de Ross. Les experts s’étonnent qu’elle puisse vivre dans des conditions aussi extrêmes – il s’agit de la première espèce d’anémones trouvée sous la glace.

Les scientifiques sont longtemps passés à côté d’une découverte tout aussi importante : l’arbre-dragon de Thaïlande aux fleurs crème rayées d’orange, qui peut atteindre 12 mètres de haut. Cet arbre était bien connu des gens vivant au centre de la Thaïlande, mais pas de la communauté scientifique.

On retrouve aussi dans la liste un escargot sans yeux vivant dans le noir à plus de 900 mètres sous terre en Croatie. Sa coquille est complètement transparente, ce qui lui donne un aspect « fantomatique ».

Les experts rapportent également la découverte d’un insecte, la mymaridae « Fée clochette » au Costa Rica. Il s’agit d’un des insectes les plus petits connus, mesurant 250 micromètres.

L'arbre-dragon de Thaïlande, qui peut atteindre 12 mètres de hautL’arbre-dragon de Thaïlande, qui peut atteindre 12 mètres de haut  Photo :  ESF/Paul Wilkin

Plus alarmant, les scientifiques n’avaient aucune idée de l’existence de microbes capables de survivre dans les « salles blanches » stérilisées où sont assemblés les véhicules spatiaux en Floride et en Guyane. Ces bactéries hyperrésistantes peuvent apparemment survivre à des conditions de sécheresse extrême, à des variations très grandes de température, de pH, et de salinité, ainsi qu’à de fortes doses de rayons UV ou encore au peroxyde d’hydrogène(un désinfectant puissant).

Les autres espèces figurant sur la liste sont un petit crustacé trouvé le long de la côte californienne, un champignon microscopique résistant à la sécheresse – trouvé en Tunisie -, un gecko à queue plate trouvé en Australie et une amibe (organisme unicellulaire) de la Méditerranée qui mesure de 4 à 5 cm.

Les scientifiques estiment à 10 millions le nombre d’espèces non encore répertoriées, aussi bien des organismes unicellulaires que des mammifères. Ils craignent que des milliers d’entre elles ne s’éteignent avant d’avoir pu être identifiées, souligne l’entomologiste Quentin Wheeler, de la State University of New York, dans un communiqué.

La liste des 10 nouvelles espèces les plus surprenantes est publiée tout juste avant l’anniversaire de naissance, le 23 mai, de Carl von Linné (1707-1778), le botaniste suédois considéré comme le fondateur de la taxonomie moderne.

Le gecko à queue plate du nord de l'Australie Le gecko à queue plate du nord de l’Australie Photo :  ESF/Conrad Hoskin

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Il est clair qu’on ne peut changer d’ou l’on vient, la famille, la génétique …. mais, notre perception de notre vie, nos choix, peut en faire toute la différence
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Destin

« Les hommes ne sont pas prisonniers du destin, mais les prisonniers de leurs propres esprits. »

– Franklin D. Roosevelt.

Découverte à l’UdeM Une méthode pour détecter les faux médicaments


Je ne comprends vraiment pas comment des gens peuvent faire confiance aux médicaments acheter sur le web, alors qu’ils peuvent y laisser leur vie. C’est donc à l’arrivé au Canada que ces colis peuvent être interceptés. Si cette nouvelle méthode sauve du temps, ils peuvent donc inspecter plus de colis
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Découverte à l’UdeM

Une méthode pour détecter les faux médicaments

 

Une méthode pour détecter les faux médicaments

Crédit photo : Archives Agence QMI

Des chercheurs de l’Université de Montréal ont mis au point une méthode fiable et rapide pour détecter les médicaments de contrefaçon, selon le Journal Forum.

Selon Philippe Lebel, étudiant à la maîtrise au Département de chimie de l’Université de Montréal qui a développé cette méthode, l’analyse prend cinq fois moins de temps qu’il en faut actuellement aux services douaniers à la frontière, soit 10 min au lieu de 50.

«Notre approche ne cible pas uniquement le produit actif dans le médicament, a expliqué la professeure Alexandra Furtos. Elle vise plutôt à mettre au jour par une technique de balayage les composés inconnus, soit ceux qui sont analogues à l’élément actif. C’est là l’originalité de la méthode.»

Les faux médicaments sont un véritable fléau pour la santé publique.

«Les ventes mondiales de médicaments contrefaits s’élevaient, en 2010, à 75 billions de dollars, selon l’Organisation mondiale de la santé», a indiqué Philippe Lebel.

Par exemple, le citrate de sildénafil, connu sous son nom commercial de Viagra, ainsi que deux autres médicaments pour le dysfonctionnement érectile, Cialis et Levitra, seraient parmi les médicaments les plus contrefaits dans le monde.

L’achat en ligne de médicaments d’ordonnance expose l’acheteur à de graves risques pour sa santé.

«Ces médicaments sont souvent fabriqués dans des garages, où les conditions sanitaires sont mauvaises. Ils peuvent être faits de moins d’éléments actifs, voire en être dénués, a expliqué la chercheuse Karen Waldron. Pire, ils peuvent contenir une substance différente qui peut entraîner des effets secondaires importants.»

Ainsi en 2008, à Singapour, 150 patients atteints d’hypoglycémie grave causée par une baisse brutale du taux de sucre dans le sang ont dû être hospitalisés. Quatre d’entre eux sont morts et sept ont subi des lésions cérébrales. Ils auraient pris des médicaments contrefaits pour le dysfonctionnement érectile qui contenaient en fait du glyburide, une substance utilisée dans le traitement du diabète.

http://tvanouvelles.ca

Le patron de Levi’s conseille… de ne plus laver ses jeans


Limiter le lavage de linge en attendant d’avoir le maximum pour la machine à laver. Laver quand le linge est sale et évitez des produits nocifs sont des bons moyens pour diminuer l’impact sur l’environnement. Cependant, ne pas laver ses jeans qu’avec une éponge ou une brosse a dent ? Pas sur !! Un an sans les laver, je n’aimerais pas m’approcher de ce gars là
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Le patron de Levi’s conseille… de ne plus laver ses jeans

 

 

ENVIRONNEMENT – Afin de protéger l’environnement, Chip Bergh, le PDG de Levi Strauss, a révélé qu’il n’avait pas lavé ses propres jeans depuis un an.

Et il conseille au public de faire de même pour ne pas gaspiller l’eau« If it’s yellow, let it mellow. If it’s brown, flush it down » (« Si c’est jaune, laisse ça tranquille. Si c’est marron, tire la chasse d’eau », en faisant référence au contenu des toilettes). Voilà ce que l’on peut lire sur des pancartes affichées dans les magasins américains de la marque Levi Strauss. Le PDG de la marque, très impliquée dans la protection de l’environnement, est allé un cran plus loin en incitant les possesseurs de jeans à… ne plus les laver.

A l’occasion d’une conférence écologique organisée par le magazine Fortune le 20 mai, Chip Bergh, a révélé que lui-même n’avait pas lavé ses jeans depuis un an et affirmé que ses pantalons étaient les vêtements les plus durables qui soient.

« Si vous en achetez [des jeans Levi’s, ndlr], ils dureront plus longtemps que la plupart des tours de taille des gens », expliquant ainsi que ses jeans sont « increvables » mais que le public qui les achète a tendance à en changer en raison de leur variation de poids. Il a par ailleurs ajouté que les jeans Levi’s étaient la marque N°1 dans les friperies.

« Nettoyer avec une éponge ou une brosse à dents« 

http://actualite.portail.free.fr

Langage des abeilles: on écoute aux ruches


Les abeilles ont-elles un langage ? On sait qu’elles communiquent quand elles, mais ont-elles un seul mode de communication ? Bref, cette recherche permettrait même de prévenir en cas de maladie ou de prédateurs que les abeilles fuient la ruche
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Langage des abeilles: on écoute aux ruches

 

Un rayon sorti d'une ruche.... (Photo archives AFP)

Un rayon sorti d’une ruche.

Photo archives AFP

Agence France-Presse
Paris

Les abeilles se parlent-t-elles? Une équipe de l’Institut national de la recherche agronomique (Inra) d’Avignon a isolé des vibrations particulières émises dans les ruches, comme un claquement sec, qui correspondraient à une forme de communication avec une poignée de «mots».

Pour Yves Le Conte, directeur de l’unité Abeilles et Environnement à l’Inra, «cela voudrait dire qu’elles disposent d’un autre mode de communication que celui des phéromones», le langage des hormones.

Pour passionné qu’il soit, le biologiste ne s’avance pas à parler de «sons» mais envisage l’hypothèse d’un «profil vibratoire» de cinq à six «mots» échangés dans la ruche, enregistré grâce à des capteurs hyper-sensibles.

Une fois modélisées, ces vibrations indétectables à l’oreille forment une émouvante bande-son sur l’écran de son ordinateur, des «kak kak» proches des sons du criquet, qui semblent se répondre et dont le chercheur conserve jalousement l’enregistrement en laboratoire dans l’attente d’une publication prochaine de ses travaux.

«Si elles font ça c’est forcément pour communiquer, reste à trouver ce qu’elles se disent et comment elles émettent cette vibration particulière», juge-t-il.

Cette découverte s’est faite grâce à sa collaboration avec un physicien de l’université de Nottingham, en Angleterre: Martin Benzick, spécialiste des vibrations, pensait possible de prédire à l’avance certaines activités des abeilles.

M. Benzick a mis au point le «SwarMonitor» qui permet de prévoir à l’avance quand la colonie est prête à essaimer. Quand l’essaimage se produit, explique Yves Le Conte, il cause de lourdes pertes à l’apiculteur: il voit partir l’ancienne reine avec la moitié de ses abeilles pour se reproduire ailleurs en formant un essaim dans les arbres, ou sous les toits.

– Mouchards et caméras –

«L’idée était de permettre à l’apiculteur de prévenir l’essaimage, par exemple en séparant sa colonie en deux. On a décidé de s’en servir plus largement pour prédire la santé des colonies» reprend le biologiste.

Avec l’aide d’un apiculteur «compteur d’abeilles», il a pu installer capteurs et caméras sur les ruches. Didier Crauser a marqué ses abeilles selon un code couleur correspondant à leur état: des minuscules pastilles rouges, bleues ou vertes (malade, traitée ou en bonne santé), collées sur leur dos permettent de suivre chaque battement d’aile dans et autour de la ruche depuis l’ordinateur.

A une centaine de mètres du laboratoire, dans les champs de sainfoin, les ruches sont désormais bardées de mouchards qui enregistrent les vibrations, les entrées et les sorties des abeilles, la durée du butinage. Plus une balance pour évaluer le poids de pollen rapporté dans la ruche par les butineuses.

«Deux fois par mois, on ouvre la ruche pour vérifier l’éventuelle présence de prédateur et ou de maladie» précise M. Le Conte.

«A terme, l’idée est de permettre à chaque apiculteur de s’équiper. Pour un prix modique qui sera sans doute de 2 ou 3 euros par capteur, il pourra être directement alerté par l’activité des abeilles en cas de problème. Elles enverront elles-mêmes le signal: je suis malade, je suis attaquée», prédit le chercheur.

Didier Crauser a déjà déposé deux brevets pour ses inventions qui permettent de surveiller l’impact des modifications environnementales sur les abeilles.

L’inquiétant déclin des abeilles pollinisatrices, avec une mortalité hivernale des ruches de 30 à 30% en France et 40% en Belgique ou en Suède, a justifié une vive riposte de la communauté scientifique.

A Avignon, l’Inra dispose de 400 colonies de 30 000 à 50 000 abeilles chacune dans un rayon de 50 kilomètres, pour étudier leur comportement et les menaces qui pèsent sur elles, combinaison de virus et de prédateurs dans un environnement dégradé par les pesticides et le bétonnage pour mieux les contrer.

«L’affaire est devenue politique», souligne M. Le Conte alors que l’Europe subit déjà un déficit de 13,4 millions de colonies pour ses cultures.

http://www.lapresse.ca/

Quand un chat rencontre un bébé pour la toute première fois


Une bien drôle de situation. Une rencontre entre un chat et un nouveau-né. Pas très rassuré,. surtout quand bébé, bouge et émet des sons
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Quand un chat rencontre un bébé pour la toute première fois

 

Par Sophie Le Roux

Crédits photo : Youtube – lena19282

Pas facile quand on est le chat bien-aimé d’un couple, de voir soudainement débarquer à la maison un mini-humain, un petit d’homme sur lequel tous les regards se posent, qui a un bien étrange aspect et fait de drôles de bruits par rapport aux autres humains que l’on connaît.

Ce matou rencontre pour la toute première fois le bébé de ses maîtres, et le moins que l’on puisse dire, c’est que ce petit animal ne lui dit rien qui vaille.

Effrayé, le chat l’observe avec beaucoup de scepticisme, lançant des regards inquiets à ses humains, et n’osant pas s’approcher de trop près.

 « Mais qu’est-ce que c’est que ce truc ? » semble-t-il demander avant de s’en retourner à ses activités félines !

http://wamiz.com