Ils perdent des milliers de tubes contenants des fragments du virus SRAS, qui ne semblent pas avoir été retrouvé à ce jour. Mais assurent que ces virus ne soient pas actifs … Mais bon !!!
Nuage
2349 tubes du virus du SRAS volatilisés : disparition inquiétante ?
Le 12 avril 2014, l’Institut Pasteur lance un communiqué de presse assez surprenant, 2349 tubes composés de fragments du virus du SRAS (syndrome respiratoire aigu sévère) ont été égarés à cause d’un défaut de traçabilité. La difficulté de dater leur disparition, aléatoirement constatée suite à un simple contrôle réglementaire, semble inquiéter et questionner.
SRAS et Institut Pasteur : un protocole de rigueur
Comme le veut la procédure, l’Institut Pasteur a saisi l’Agence nationale de sécurité des médicaments (ANSM) qui a mené son enquête durant 4 jours, du 8 au 12 avril dernier. Les conclusions paraissent rassurantes, ces tubes ne représenteraient aucun danger d’infection mettant ainsi à mal les suspicions de revivre à nouveau le cauchemar de l’épidémie meurtrière survenue en Asie il y a de cela 10 ans.
L’autorité sanitaire a fait appel à des experts indépendants qui ont qualifié « de nul » le potentiel infectieux de ces tubes «au regard des éléments disponibles et des éléments connus de la littérature sur la survie du virus SRAS».1
SRAS : la crainte du retour en arrière
En 2003, c’était en Chine que la pandémie avait frappé, au total 8000 victimes dont 800 morts. L’Organisation Mondiale de la Santé (OMS) demande aux états membres d’être en alerte quant à une possible apparition d’infection au coronavirus de type SRAS.
SRAS : Quels sont les symptômes ?
Une personne qui contracte le virus du SRAS manifeste différents symptômes : de la fièvre, des problèmes respiratoires comme de la toux, un essoufflement, des douleurs musculaires, des maux de tête, de la diarrhée, des maux de gorge. La proximité, le contact avec des sécrétions des voies respiratoires ou des liquides organiques, exposent au risque de contamination par ce type de coronavirus.
Dans tous les cas, concernant l’affaire de l’Institut Pasteur, il semblerait qu’il y aurait eu plus de peur que de mal…
Sources :
1: Communiqué de presse de l’Institut Pasteur, le 12/04/2014
2: L’organisation mondiale de la santé : Syndrome respiratoire aigu sévère
3: Santé canada, syndrome respiratoire aigu sévère
Tout de même effrayant ! Cette s , il était inoffensif , mais ……
Dans tous les cas, concernant l’affaire de l’Institut Pasteur, il semblerait qu’il y aurait eu plus de peur que de mal…
Ben cela ne me rassure pas du tout.
surtout que s’il dirait qu’il y a officiellement des risques cela pourrait occasionner la panique