Reine de la corde à sauter, la chienne Geronimo bat son propre record


Sauter d’une corde a danser, c’est une chose mais deux et en plus être un chien, c’est tout un exploit. Toutou est vraiment en forme
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Reine de la corde à sauter, la chienne Geronimo bat son propre record

 

Par Sophie Le Roux

Crédits photo : NBC New

Du haut de ses 4 printemps, Geronimo n’est pas tout à fait une chienne comme les autres.

Ce superbe toutou, un Border Collie croisé Kelpieoriginaire de Long Island, dans l’Etat de New York, a en effet un talent des plus insolites, qui lui vaut une place de choix dans le livre des records. Sa spécialité ? La corde à sauter !

128 sauts en une minute !

Deux ans après avoir été révélée sur Youtube, voilà que Geronimo vient de battre son propre record, réalisant 128 sauts en 1 minute seulement, soit 14 sauts de plus. Une performance validée par l’arbitre du Guinness World Records Mike Janela, durant l’émission Spring Brakers Today, diffusée sur la chaîne NBC News.

C’est avec grâce et élégance que la chienne saute avec deux cordes tournant en même temps. La belle fait bien sûr la fierté de sa maîtresse Samantha Valls, dans les bras de laquelle elle s’est jetée après avoir réalisé son nouvel exploit.

Quelque chose nous dit que personne n’est près de surpasser l’incroyable Geronimo ! Rescapée d’une fourrière, la jolie chienne prend une belle revanche !

Pour voir la dernière performance de Geronimo, rendez-vous ici.

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Le Saviez-Vous ► Top 10 des allergies insolites, celles que vous êtes bien content de ne pas avoir


Il y a toutes sortes d’allergies et certaines sont inimaginables qu’on n’aurait jamais pensé que cela pouvait exister. Apprendre a vivre avec des allergies connues est déjà difficile mais imaginé être allergie au froid, a l’eau …
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Top 10 des allergies insolites, celles que vous êtes bien content de ne pas avoir

 

    Avec le retour du printemps et de toutes ces satanées plantes et graminées et aussi la poussière, les poils de chats et les plumes on se retrouve vite à râler de moucher et d’éternuer comme ça. Sauf qu’on n’est pas vraiment à plaindre et qu’il existe des allergiques qui galèrent beaucoup plus que nous, car oui, il est possible d’être allergique à à peu près tout. Le froid, le chaud ou encore les vibrations. Petit tour au paradis des allergologues.

  1. Allergie au froid

    Des crises d’urticaires après un petit passage dehors en plein hiver ? Possible. Certaines personnes enflent même un peu dès qu’elles ont froid, ce qui est un peu ennuyeux d’autant qu’un bon coca frais peut déclencher une réaction au même titre qu’une tempête de neige. Prescription : allez vivre en Libye.

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  2. Allergie aux pièces de monnaie

    Cette allergie se manifeste par des plaques et des démangeaisons après un contact prolongé avec du nickel. Notre solution : ne payez qu’avec des billets et ne reprenez jamais la monnaie. Vous allez perdre de l’argent mais ce sera sûrement plus agréable.

  3. Allergie à l’anesthésie

    Pas très fun, notamment quand vous devez vous devez vous faire enlever les dents de sagesse. Les anesthésistes sont formés pour traiter ces cas très rares mais parfois, notamment dans des cas d’extrême urgence, ces derniers n’ont pas le temps de faire tous les tests possibles et les réactions aux anesthésiants peuvent-être très dangereuses. On préférera dans ce cas une opération bien moyenâgeuse avec cautérisation au lance-flamme.

  4. Allergie aux vibrations

    On ne va pas vous mentir, ces allergies sont très rares mais elles existent. Le corps sur-réagit et considère les vibrations comme des agressions. Les vibrallergiques détestent les tremblements de terre et les concerts.

  5. Allergie au soleil

    Elle existe à plusieurs niveaux, des petites plaques rouges un peu chiantes une fois les beaux jours venus, à l’impossibilité totale de sortir de chez soi tant qu’il ne fait pas nuit. Ici on n’est plus vraiment dans l’allergie mais dans une maladie génétique très rare et déménager à Brest ne changera rien.

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  6. Allergie à l’eau

    Peut-être l’allergie la plus relou de toutes celles de ce top. Pas de douche, pas d’averse imprévue, même piquer une suée ou boire un verre d’eau peut s’avérer un problème. Il existe bien des antihistaminiques mais la vie des hydroallergiques reste un petit calvaire.

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  7. Allergie à l’alcool

    Le problème n’est pas tant de devoir faire une croix sur une petite bière de temps en temps, mais aussi sur le vinaigre, les sauces, le parfum, les produits d’entretiens, bref, c’est assez handicapant. Certes c’est le cauchemar du capitaine Haddock mais on peut très bien faire la fête sans alcool vous savez.

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  8. Allergique au contact

    Vous en connaissez peut-être parmi vos potes, les allergiques au contact sont des gens très drôles qui arrivent à se dessiner sur le corps avec l’ongle. On a connu pire. (On parle d’allergie de contact lorsqu’il se produit une réaction de l’organisme en cas de contact avec un allergène sur la peau. Nuage)

  9. Allergie au liquide séminal

    Après l’eau et l’alcool, le sperme. Très rare, cette allergie (comme toutes les autres) peut se manifester n’importe quand dans la vie du patient. La méthode de désensibilisation testée par une équipe israélienne consistait à faire coucher les personnes concernées de manière régulière toutes les 48h pendant 5 mois. On a connu pire comme traitement.

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  10. Allergique à tout

    Les mecs qui piochent le gros lot peuvent être allergiques à tout. Extrêmement rare, cette hypersensibilité à l’environnement ne laisse que peu de répit aux personnes qui en souffrent (a priori à part de l’eau, tout est un problème). C’est le cas du jeune Kaleb Bussenschutt qui peut manger de l’eau, boire de la glace, boire de l’eau et manger de la glace. Et un peu de limonade.

Tant que vous n’êtes pas allergique aux tops, ça ira.

Crédit photo : Inf-Lite Teacher

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Dix symptômes à prendre au sérieux


Il arrive des jours que nous sentons pas très bien, mais certains symptômes ne devraient pas être pris à la légère, et consulté rapidement
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Dix symptômes à prendre au sérieux

 

Crampes, douleurs, saignements… On sait rarement quels symptômes prendre au sérieux. Voici les signes auxquels il ne faut pas faire la sourde oreille – même si certains peuvent sembler bénins…

Perte de poids inexpliquée

Perdre l’appétit et du poids de manière inexpliquée doit vous alerter…

Quelques kilos de moins peuvent être le symptôme d’une maladie sérieuse ! Des problèmes de thyroïde, un diabète, une affection digestive grave ou neurologique (Parkinson, par exemple), des soucis hépatiques, cardiaques, rénaux ou respiratoires sont parfois en cause.

En clair, si vous ne faites pas de régime, n’avez rien changé à vos habitudes alimentaires et mincissez au point de devoir réajuster votre ceinture de quelques crans… n’hésitez pas, consultez !

Troubles de la vue, faiblesse, engourdissement…

Faiblesse soudaine d’un membre, baisse brutale de la vue ou vision double, trouble de la sensibilité, de l’équilibre, engourdissement, difficultés d’élocution, paralysie et confusion mentale : tous peuvent être les premiers symptômes neurologiques d’un accident vasculaire-cérébral (AVC).

Si plusieurs de ces signes surviennent en même temps, et même s’ils disparaissent rapidement, faites immédiatement le numéro d’urgence !

Seule une prise en charge rapide par une équipe de professionnels de santé peut permettre de limiter les dommages au niveau du cerveau… et de vous sauver la vie.

Douleur dans la poitrine

Des douleurs durables dans la poitrine s’apparentant à un poids sur les côtes et pouvant durer de quelques minutes à quelques heures, sont très souvent le signe avant-coureurs d’un infarctus du myocarde.

Ces douleurs peuvent se propager dans le bras gauche, la mâchoire, s’accompagner de difficultés à respirer, de nausées et de vomissements ou de fièvre. Comme en cas d’AVC, il faut composer le numéro d’urgence sur-le-champ

Migraine violente

Une migraine soudaine et insupportable, plus douloureuse que toutes celles que vous avez connues auparavant, doit vous amener à consulter. Mieux vaut se rendre aux urgences.

Les cas d’anévrismes sont rares, mais ils ne sont pas nuls ! Liés à la faiblesse d’une paroi vasculaire se dilatant, ils peuvent comprimer les nerfs environnants et provoquer des douleurs, voire des troubles visuels, mais surtout, en cas de rupture, ils entraînent une hémorragie cérébrale qui peut être fatale… D’où l’intérêt de voir un médecin dès leurs premiers signes.

Douleur dans une jambe

Une crampe persistante ou une douleur diffuse au niveau d’un mollet, accompagnée de lourdeur, d’œdème et d’une coloration rougeâtre, doivent systématiquement alerter.

Ces symptômes peuvent être le signe d’un début de phlébite. Autrement dit : un caillot se trouve peut-être en train de migrer vers le cœur et les poumons, ce qui peut entraîner une embolie pulmonaire…

 

Constipation soudaine

Une constipation soudaine ne correspondant pas au rythme intestinal habituel (attention : tout le monde ne va pas à la selle chaque jour), peut être le symptôme d’une occlusion intestinale – motif d’hospitalisation très fréquent en France.

Avec l’arrêt du transit, les matières s’accumulent, distendent l’intestin et provoquent des douleurs abdominales violentes et des vomissements.

C’est une urgence… d’autant qu’une péritonite, voire une tumeur du côlon, peuvent être en cause.

Saignements vaginaux

Après la ménopause, des saignements vaginaux doivent être pris très au sérieux. Ils peuvent être le signe éventuel d’un cancer. On a trop souvent tendance à croire que de petites coupures sont en cause ou que quelque chose ne va pas au niveau des urines… mais il faut absolument consulter !

Des saignements post-ménopausiques signalent généralement la présence d’une tumeur au niveau de l’utérus… Tumeur qui, aujourd’hui, se soigne plutôt bien si elle est prise en charge dès son apparition.

Selles de couleur inhabituelle

Des selles de couleur noire doivent donner lieu à une consultation. Elles peuvent indiquer la présence d’une hémorragie liée à un ulcère de l’estomac ou dans le tube digestif. Il faut voir au plus vite un médecin car il est indispensable de stopper les saignements et de vérifier qu’un cancer n’est pas en cause.

Attention : la couleur des selles change en fonction de l’alimentation. Elles peuvent être très foncées, mais ce qui doit inquiéter, c’est une couleur goudron !

Maux de tête et raideur de la nuque

Des maux de tête accompagnés d’une raideur de la nuque et de fièvre (plus de 38,5 °C) sont les symptômes d’une affection redoutable, fulgurante et parfois mortelle… la méningite.

Il est souvent difficile de bien évaluer ses signes. Sachez cependant que ne pas pouvoir poser son menton sur sa poitrine est un symptôme à prendre au sérieux ! Dans ce cas, un traitement antibiotique en urgence s’impose afin d’éradiquer la bactérie responsable, avant qu’elle ne se propage à l’ensemble des méninges et du cerveau.

Gonflement du visage

Le gonflement rapide des tissus du visage, du pourtour de la bouche, de la langue ou de la gorge durant quelques minutes, voire durant plusieurs heures, doit donner lieu à une consultation médicale immédiate.

Il peut s’agir d’un oedème de Quincke, occasionné par une allergie à certains médicaments par exemple, et pouvant conduire à l’étouffement.

Il faut réagir au plus vite !

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Heartbleed: des dégâts difficiles à évaluer


Le piratage Heartbleed cause bien des mots de tête, On change oui ou non nos mots de passe ? Doit-on changer sur tous les sites que nous allons ayant besoin d’un mot de passe ? Mais attention, dans vos courriels, certains profiterons de vous harponner en demandant des renseignements confidentiels pour changer votre mot de passe.
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Heartbleed: des dégâts difficiles à évaluer

 

Heartbleed: des dégâts difficiles à évaluer

Photo Fotolia

Sophie Estienne

 

NEW YORK – Presque une semaine après sa découverte, la faille informatique Heartbleed fait l’unanimité chez les experts pour ce qui est de sa gravité mais l’ampleur des dégâts reste difficile à évaluer.

Heartbleed («coeur qui saigne» en français) touche les versions postérieures à mars 2012 d’une portion de programme baptisée OpenSSL, intégrée à nombre de sites internet, serveurs de messagerie et autres accès distants aux entreprises de type VPN.

«C’est sans aucun doute une vulnérabilité critique», indique à l’AFP Thomas Gayet, un spécialiste de la lutte contre la cybercriminalité du cabinet français de conseil en sécurité informatique Lexsi. «Il y a des systèmes vulnérables depuis 2012» et «il y a pu y avoir une fuite de données».

Les pirates ne peuvent pas cibler précisément leurs attaques mais «si sur les deux dernières années des gens ont eu la connaissance de cette vulnérabilité et l’ont utilisée, cela maximise leurs chances d’obtenir des informations sensibles», juge l’expert.

L’agence de renseignement américaine NSA, dont l’espionnage à grande échelle sur internet avait été divulgué l’an dernier par son ancien consultant Edward Snowden, a en tout cas démenti formellement vendredi avoir eu connaissance et exploité Heartbleed.

Thomas Gayet reconnaît qu’il «n’est pas facile a posteriori de savoir si la faille a été utilisée» car cela «ne laisse pas de traces dans les fichiers».

La liste des victimes potentielles est très longue.

Parmi des services en ligne contactés par l’AFP, les groupes internet Yahoo! et Google, le réseau social Facebook et sa filiale de partage de photos Instagram, le site de vidéo en streaming Netflix, ou encore la plateforme de réservation d’hébergements chez l’habitant Airbnb ont effectué une mise à jour de sécurité.

Le site de distribution Amazon.com et le réseau LinkedIn se disent en revanche épargnés. Apple a assuré que ses systèmes d’exploitation iOS et OSX, ainsi que ses «services en ligne clé», n’étaient pas affectés.

Idem pour «la plupart» des services de Microsoft, dont la messagerie Outlook, la messagerie vidéo Skype ou la suite de bureautique en ligne Office 365.

MOTS DE PASSE

 

À côté des géants du web, les banques américaines ont été appelées par leurs régulateurs à remédier «le plus vite possible» à la faille. La première d’entre elles, JPMorgan Chase, a assuré vendredi que ses consommateurs n’avaient pas été exposés.

«Les grands groupes ont pu régler le problème assez vite», explique à l’AFP Tim Maurer, expert en sécurité de la New America Foundation. «Ce sont les entreprises plus petites et de taille moyenne qui n’ont pas nécessairement les ressources et les équipes d’experts en sécurité pour mettre leur système à jour rapidement».

Autre raison de craindre que le problème soit compliqué à régler: des fournisseurs d’infrastructures de réseaux informatiques et télécoms, comme Cisco ou Juniper Networks, soulignent que leurs équipements peuvent eux aussi être affectés.

Si Google estime que ses utilisateurs «n’ont pas besoin de changer leurs mots de passe», la mesure reste recommandée par beaucoup d’acteurs.

Facebook dit ainsi n’avoir «aucun signe d’activité suspecte» mais propose à ses membres de «saisir l’occasion (…) pour créer un mot de passe unique pour leur compte Facebook qui ne soit pas utilisé sur d’autres sites».

Yahoo! suggère en outre «de fournir un numéro de téléphone comme moyen secondaire d’identification».

Changer tous ses mots de passe sans discernement est «un mauvais conseil», prévient toutefois sur son site Graham Cluley, analyste indépendant spécialisé en sécurité informatique.

«On devrait seulement changer les mots de passe sur les sites qui ont confirmé avoir réglé le problème. Le reste augmenterait en réalité les chances que vos informations privées soient interceptées» par des pirates se dépêchant d’exploiter la faille avant sa disparition.

D’autres pourraient aussi, selon lui, utiliser Heartbleed comme prétexte pour des tentatives de «fishing», des courriels demandant de changer un mot de passe et renvoyant sur de fausses copies de sites internet populaires.

Les experts conseillent également aux internautes de surveiller avec une attention particulière leurs comptes bancaires, pour repérer une éventuelle transaction suspecte.

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En Roumanie, les abeilles à l’aide de la médecine


Les abeilles sont des insectes merveilleux autant pour leur pollen, leur miel, leur cire, leur gelée royale, le propolis, et même leur venin sont des merveilles de la nature, surtout dans produits chimiques crée par l’homme. Je suis certaines que nous avons avantage ont mieux connaitre les abeilles et leurs atouts qui peut rendre un grand service point de vue médical
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En Roumanie, les abeilles à l’aide de la médecine

 

Du venin d'abeille pour combattre la sclérose en plaques, du pollen pour la... (Photo Sherjaca/shutterstock.com)

PHOTO SHERJACA/SHUTTERSTOCK.COM

ISABELLE WESSELINGH
Agence France-Presse
BUCAREST

Du venin d’abeille pour combattre la sclérose en plaques, du pollen pour la digestion, du miel comme cicatrisant: la Roumanie cultive l’apithérapie, une médecine alternative dont les racines remontent à l’Antiquité.

Dans la Grèce antique, Hippocrate appliquait du miel pour soigner les blessures et les Romains qualifiaient le pollen de «poudre qui donne la vie».

«La ruche constitue la plus ancienne pharmacie naturelle et la plus saine», explique Cristina Mateescu, directrice générale de l’Institut roumain de recherche et de développement apicole.

Médecin allopathe classique durant des années, le Dr Mariana Stan pratique aujourd’hui à Bucarest l’apithérapie «qui donne des résultats plus lents, mais plus durables et plus profonds».

«Dans mon village, mon arrière-grand-mère était guérisseuse et utilisait les produits de la ruche. Elle m’a inspirée», explique-t-elle à l’AFP.

La Roumanie est un des rares pays au monde où des modules d’apithérapie ont été inclus dans les formations médicales classiques.

L’extrait de propolis développé par l’Institut de recherche et de développement apicole a été officiellement reconnu comme médicament.

En Inde, en Chine et dans l’Égypte antique, la propolis, substance résineuse butinée par les abeilles dans les bourgeons, était déjà prisée pour ses vertus cicatrisantes et antiseptiques.

Fondé en 1974, cet Institut emploie aujourd’hui 105 personnes. Outre ses recherches pour maintenir en bonne santé les colonies d’abeilles, il commercialise une trentaine de traitements homologués.

Une nouvelle gamme permet aussi aux chats et chiens d’être traités par apithérapie…

Pionnière de l’apithérapie

«La Roumanie est une pionnière de l’apithérapie qu’elle a reconnue très tôt comme une composante de la médecine scientifique», explique à l’AFP le professeur américain Theodor Charbuliez, président de la Commission d’apithérapie d’Apimondia, fédération regroupant des milliers d’apiculteurs dans le monde.

Bucarest abrite depuis 1984 un centre médical d’apithérapie, le premier ouvert dans le monde.

Doïna Postolachi, 34 ans, y vient deux fois par semaine pour recevoir des injections de venin d’abeille (apitoxine), qui lui ont «redonné espoir» dans sa lutte contre la sclérose en plaques.

«Il y a un an, je ne pouvais plus marcher ni entrer dans ma baignoire. Mes pieds étaient cloués au sol, mais aujourd’hui le traitement au venin m’a redonné de la force dans les jambes, je marche, je peux prendre un bain», affirme, rayonnante, cette poétesse aux yeux d’un bleu intense.

Le venin est récolté de manière douce, sans provoquer la mort des abeilles.

Doïna n’a jamais voulu des traitements chimiques classiques «qui s’accompagnent de nombreux effets secondaires».

Malgré le scepticisme de certains médecins allopathes, de nombreux patients dans le monde louent cette méthode alternative, y compris aux États-Unis.

Pour ses défenseurs, l’industrie pharmaceutique pourrait voir d’un mauvais oeil les traitements avec les produits de la ruche, car ils sont très abordables.

Des abeilles qui font des merveilles

En 2013, l’université américaine Washington de Saint-Louis a publié une étude sur l’efficacité de la mélittine (toxine contenue dans le venin d’abeille) sur le virus du sida.

En France, des milliers de patients ont bénéficié de pansements au miel dans le service de chirurgie digestive de l’hôpital de Limoges (centre).

Des produits comme la gelée royale sont aussi de plus en plus utilisés en cosmétique. «Ils peuvent retarder les signes de vieillissement», relève Nelly Pfeiffer qui tient un salon spécialisé en apicosmétique à Bucarest.

Partout dans le pays, des officines proposent un vaste choix de produits apicoles.

Ce qui plaît, c’est l’image naturelle de ces traitements, qui ont toujours été présents dans la médecine traditionnelle d’un pays à la nature sauvage traversé par le massif des Carpates.

«En Roumanie, nous avons la chance d’avoir une nature très préservée», note Cornelia Dostetan, apicultrice et membre de la Société nationale d’apithérapie.

Durant le communisme, les pénuries empêchèrent l’utilisation des pesticides. Aujourd’hui, la flore est encore très diverse en raison de l’absence de grandes zones de monocultures agricoles comme en Europe de l’Ouest.

Certifiée bio, la société roumaine Apiland, basée en Transylvanie, exporte du pollen cru aux États-Unis, en France, en Grande-Bretagne.

Selon le dernier recensement agricole de 2010, la Roumanie comptait 42 000 apiculteurs et 1,3 million de colonies d’abeilles.

«Ces êtres minuscules font des merveilles», dit Doïna qui ressent à leur égard «une immense reconnaissance».

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Maudits poils incarnés


La plupart des hommes connaissent ce bouton qui est douloureux avec un poil qui ne trouve pas la sortie de l’épiderme pour apparaitre au grand jour. Peut-être que les conseils donnés pourront éviter ce genre de désagréments
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Maudits poils incarnés

 

Impossible d'y échapper de temps à autre: le poil incarné peut s'inviter à tout... (Photomontage La Presse)

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ANTOINE HASBROUCQ
La Presse

Impossible d’y échapper de temps à autre: le poil incarné peut s’inviter à tout moment et ruiner les efforts consentis pour évoluer avec élégance en société. Mais ce bouton rouge et douloureux, qui apparaît souvent dans le cou, n’est pas une fatalité. C’est ce que nous explique l’esthéticienne certifiée Laïlama Yakubi, du salon Laïlama Santé Beauté.

«Les hommes ne font pas toujours les bons gestes lorsqu’ils se rasent, dit-elle. Il y a des choses qu’il faut savoir.»

Le poil incarné est un poil qui ne parvient pas à se frayer un chemin à travers les couches du derme et de l’épiderme. Il convient donc de s’offrir régulièrement un gommage des zones de rasage afin d’éliminer les peaux mortes et ainsi faire table rase. On choisit pour cela un produit adapté et on gomme en douceur. Notre coup de coeur: le gel moussant visage micro-exfoliant de Lierac homme.

La prévention du poil incarné passe aussi par le renforcement du poil lui-même. Plus le poil sera dur, plus il trouvera son chemin entre les couches de la peau.

«Il faut aussi s’adapter à la nature de sa pilosité. Les hommes qui ont les cheveux frisés ont, par exemple, plus de chance d’avoir des poils incarnés», explique l’esthéticienne.

Si on veut fortifier la barbe, on opte pour une cure d’un mois de vitamine B ou de levure de bière (en vente en pharmacie et dans les boutiques spécialisées).

Un secret venu de Russie

Cependant, la phase la plus importante demeure celle de l’avant-rasage. L’afflux sanguin est moins élevé le matin au réveil, avant d’avoir déjeuné. On limite ainsi les microcoupures. Pour bien préparer la peau au rasage, on passe son visage à l’eau tiède,

«On peut également faire des compresses d’eau chaude», ajoute Laïlama Yakubi.

On dilate ainsi les pores de la peau et on limite le risque de poil incarné. Surtout, on ressort le bon vieux blaireau pour appliquer son gel ou sa mousse de rasage. Cet outil que l’on croyait bon pour le musée est en fait un précieux allié pour masser le visage et soulever les poils.

Une fois la barbe en ordre de bataille, prête à être coupée, on montre un peu de respect au sens du poil.

Oui, se raser dans les deux sens, de haut en bas et de bas en haut permet un résultat a priori plus net, mais le jeu en vaut-il la chandelle? Si vous avez la peau fragile et des boutons récurrents, oubliez ça rapidement.

«C’est vraiment ce qu’il ne faut pas faire, insiste la spécialiste. Il faut aussi tirer sur la peau à chaque coup de rasoir, surtout pour les hommes âgés dont la peau est plus relâchée.»

De ses années de pratique en Russie, Laïlama conserve un secret de beauté des plus surprenants pour tous les hommes:

«Après le rasage, on se met quelques gouttes de citron dans les mains et on tapote délicatement le visage. C’est bien moins cher et bien plus efficace que n’importe quelle lotion après-rasage. On attend cinq minutes et ensuite, on peut mettre une crème hydratante.»

Une pratique certes téméraire, mais qui permet de s’enorgueillir de se raser à la russe.

Enfin, pour les plus technos et ceux qui n’hésitent pas à investir dans les accessoires de salle de bains, le Foreo Luna for Men est une curiosité qui peut s’avérer utile.

L’objet se présente sous la forme d’un galet de caoutchouc muni d’une brosse. En pulsant des ultrasons, il préparerait la peau au rasage et augmenterait l’efficacité des crèmes de soin, permettant ainsi de réduire le feu du rasoir et les fameux poils incarnés. Et comme il est aussi vendu en noir mat, il ne faut pas vraiment plus de raison pour l’envisager.

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Une seringue qui pourrait révolutionner les secours au combat


On moins une chose positive qu’on peut tirer des guerres, l’avancement de la médecine pour des blessures extrêmes. Un outil qui pourra enfin, diminuer les morts du a des hémorragies et qui par le fait même pourra aussi servir en obstétrique
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Une seringue qui pourrait révolutionner les secours au combat

 

L'outil est simple mais susceptible de révolutionner la médecine de guerre: une... (Photo AFP)

PHOTO AFP

MATHIEU RABECHAULT
Agence France-Presse
WASHINGTON

L’outil est simple mais susceptible de révolutionner la médecine de guerre: une seringue remplie d’éponges injectables directement dans la blessure pour stopper une hémorragie massive, une des principales causes de décès au combat.

Le taux de survie pour les soldats touchés au combat en Irak et en Afghanistan a atteint un niveau record de près de 90% avec 6800 morts pour 51 900 blessés. Cette survie est en grande partie due à l’amélioration des secours portés sur le terrain pendant cette «heure d’or» où le blessé doit être évacué par hélicoptère vers un hôpital.

Pourtant près d’un quart des décès au combat sont encore considérés comme «potentiellement évitables», selon une étude de l’US Army menée sur 4596 morts au combat entre 2001 et 2011. Dans neuf cas sur dix, ces décès «évitables» sont dus à une perte sanguine massive.

«L’hémorragie est la principale cause de mort sur le champ de bataille et l’une des formes les plus difficiles à endiguer (…) est celle qui provient de blessures profondes sur lesquelles il est impossible d’appliquer un garrot ou de faire pression manuellement», explique le Dr Anthony Pusateri, responsable du programme de recherche sur les hémorragies au Pentagone.

Le garrot, dont chaque soldat est équipé depuis 2005, a permis de réduire de 85% la mortalité des militaires touchés aux bras ou aux jambes.

Mais quand une artère est sectionnée au niveau de l’aine, de l’aisselle ou dans l’abdomen, le «medic» est bien souvent démuni.

Cela devrait prochainement changer: l’agence américaine du médicament (Food and Drug Administration, FDA) a donné son aval la semaine passée à la commercialisation du XStat, une grosse seringue de trois centimètres de diamètre remplie de 92 petites éponges expansibles ressemblant à des comprimés.

«Le XStat est un outil nouveau qui peut être rapidement déployé, permettant un contrôle rapide de l’hémorragie pour stabiliser un blessé avant son transport», salue la FDA dans un communiqué.

Les éponges sont injectées au coeur de la blessure, leur expansion remplit la cavité et fait pression sur la source de l’hémorragie, la stoppant en une quinzaine de secondes.

«Il n’y a même pas besoin de faire pression», explique à l’AFP John Steinbaugh, directeur du développement de RevMedX, la start-up médicale qui a créé XStat.

Pour les hémorragies post-partum 

Chaque éponge, d’un centimètre de diamètre, est couverte d’un produit hémostatique et d’un marqueur la rendant visible aux rayons X pour éviter le risque de l’oublier dans la blessure quand celle-ci est refermée.

Ce sont les forces spéciales de l’US Army qui sont en fait à l’origine du projet. Puis l’armée a accordé une bourse de 5 millions de dollars à RevMedX en 2009 pour mettre au point le système, pensant à l’origine à un système similaire à celui des kits de réparation rapide pour les pneus crevés.

«On a commencé avec de la mousse expansive, des gels, aucun ne marchait, ils étaient expulsés» sous l’effet de la pression sanguine, explique John Steinbaugh. C’est un collègue qui a eu l’illumination en pensant aux petites capsules pour enfants qui se transforment en «dinosaures géants» une fois plongés dans l’eau.

«On a décidé d’utiliser des éponges comprimées et ça a marché du premier coup», raconte John Steinbaugh.

L’armée américaine commence à passer commande et plusieurs armées étrangères s’y intéressent selon lui.

La seringue à éponges va vraisemblablement avoir des applications bien plus larges dans le domaine civil: la start-up a obtenu l’été dernier une bourse de la Fondation Bill et Melinda Gates. L’objectif, explique-t-il, est de mettre au point une version de la seringue adaptée aux hémorragies post-partum, qui «tuent bien plus de personnes dans le monde que les combats».

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