La famille


C’est probablement plus que jamais important de donner aux enfants le sens de la famille, même si c’est des familles recomposés, ou monoparentales
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La famille

 

 

Les enfants sont la chose la plus précieuse dans la vie … Un parent doit faire tout ce qu’il peut pour donner à un enfant le sens de la famille …

Elvis Presley

Les chiens noirs et leur beauté en images


Les chiens noirs, comme les chats noirs sont souvent méprisé à cause de leur couleur. Ils sont trop souvent délaissé et sont en grand nombre dans les refuges pour animaux
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Les chiens noirs et leur beauté en images

 

ANIMAUX – Fred Levy a peut-être trouvé ses sujets les plus photogéniques.

 

Le photographe originaire du Massachussets vient de dévoiler Black Dogs Project, une série de photos mettant en vedette des chiens noirs devant un mur sombre.

Après avoir parlé à des employés de chenil, Fred Levy a découvert que les chiens noirs étaient traités différemment que d’autres chiens — et ont plus de mal à être adoptés.

crickett
Voici Crickett, l’un de ses modèles.

Le phénomène a pour nom « Syndrome du chien noir », désignant le stéréotype portant contre les chiens noirs, possiblement formé par les descriptions présentes dans les films et livres, selon certains experts.

«Parfois les chiens noirs sont considérés comme plus effrayants», déclare Hope Hancock, directeur du centre de prévention contre la cruauté animale à Raleigh (Caroline du Nord).

Et maintenant, place aux modèles:

Bo, le labrador aveugle.

bo

Denver, le chien de réconfort.

denver

Mercedes.

mercedes

Faith.

faith

Pawnee.

pawnee

Shadow

shadow

Pour en savoir plus sur le Black Dogs Project, cliquez ici.

http://actualite.portail.free.fr/

Le Saviez-Vous ► Cette carte des aérosols qui flottent sur la Terre est super psychédélique et étrangement jolie


On dirait presque des courants marins, ou encore un gif en boucle
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Cette carte des aérosols qui flottent sur

la Terre est super psychédélique et étrangement jolie

 

Avant de regarder cette carte, il faut savoir qu’on se plante tous sur la définition du mot « aérosol ».

En fait, les aérosols, c’est tous les trucs qui flottent dans l’air. Donc pas forcément le déo du matin ou l’anti moustique que l’on secoue frénétiquement sur la terrasse l’été.

C’est pas moi qui l’invente, c’est wikipédia qui le dit.

Revenons donc à notre carte, qui nous montre ici plusieurs types d’aérosols qui se baladent sur la Terre. Je vous laisse d’abord jeter un œil à la carte parce qu’elle en jette vraiment, et vous trouverez la légende en dessous.

La carte du monde des aerosolsLa carte du monde des aérosols

Rouge : La poussière. Logique, le Sahara, le moyen orient, le nord ouest de l’Inde, ça brasse du sable tout ça.

Bleu : Sel (de mer) On voit que ça tourbillonne, à cause des différents cyclones apparemment

Vert : Fumée. Les feux en Amazonie ou en Afrique par exemple, génèrent pas mal de fumée. Et ont de quoi énerver un peu aussi.

Blanc : Sulfates. Alors la je vous avoue que je sais pas vraiment ce que ça veut dire, Wikipédia me dit que c’est du sel, mais pas de la mer. D’accord. Vu comment ça semble venir des régions industrialisées du monde, j’ai pas l’impression que ça soit très bon pour nous.

Et pour prolonger un peu le trip à l’acide, regardez cette vidéo (en HD bien sur, sinon c’est pas la peine), c’est la même chose mais en animé, sur plusieurs jours, et c’est assez hypnotique.

 

la source, c’est la Nasa.

http://www.unecartedumonde.fr/

Les animaux peuvent-ils avoir le sens de l’humour ?


Donner des antidépresseurs aux rats pour les faire rire ainsi trouver la pilule du bonheur, je ne suis vraiment pas sur que cela soit moralement correct. Ces petites bêtes semblent savoir ce qu’est le plaisir mais rire et avoir le sens de l’humour, pour le moment ce ne sont que les singes qui auraient ces caractéristique à moins que l’on donne peut-être des sentiments humain a certains animaux ..
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Les animaux peuvent-ils avoir le sens de l’humour ?

 

Une partie des spécialistes pensent que tous les mammifères pourraient être dotés du sens de l’humour. Les chiens, et donc probablement les renards, riraient dans certaines occasions. © Glen Bowman, Flickr, cc by sa 2.0

Une partie des spécialistes pensent que tous les mammifères pourraient être dotés du sens de l’humour. Les chiens, et donc probablement les renards, riraient dans certaines occasions. © Glen Bowman, Flickr, cc by sa 2.0

Par Janlou Chaput, Futura-Sciences

Rabelais, ce bon vivant, écrivait que le rire était le propre de l’Homme. Depuis, la science a prouvé que les grands singes, les rats ou les chiens (au moins) pouvaient aussi se gondoler.

Mais les animaux peuvent-ils posséder le sens de l’humour ? La question divise la communauté scientifique. Et si la réponse nous venait de rats amateurs de chatouilles ?

Qui est partant pour une franche partie de rigolade ? Le rire, quand il est franc, est une manifestation d’un état de bien-être momentané, et se révèle en plus bénéfique pour la santé, si bien qu’il devient prisé par tous. On a longtemps pensé, François Rabelais en tête dans Gargantua, que ce comportement distinguait l’Homme du reste du monde animal, puisque les zoologistes de l’époque ne relevaient pas chez eux de comportement semblable.

Néanmoins, les sciences du vivant ont évolué et Charles Darwin avait compris que la frontière qui nous distingue des animaux est plus ténue qu’on le pensait, à tel point qu’il estimait déjà que l’intelligence humaine se distinguait de son équivalent animal non par le type, mais par le degré. Autrement sous-entendu, nos cousins pourraient bien partager une forme de rire.

Des propos qui ont été confirmés par des études ultérieures, notamment celles menées sur des grands singes. Ceux-ci poussent des cris particuliers dans des situations plaisantes ou de jeu. Ces sons ont été enregistrés et comparés aux rires humains. Les émissions sonores des chimpanzés et des bonobos, nos plus proches cousins, partagent de nombreuses caractéristiques communes avec nos esclaffements. Pour les gorilles, plus éloignés génétiquement de nous, la ressemblance est moins frappante. Quant aux orangs-outans, le cri paraît plus primitif encore à nos oreilles.

Des singes qui ne manquent pas d’humour

Rient-ils pour autant ? Oui, de l’avis de la communauté scientifique. Ils vont même parfois plus loin et se montrent même taquins. Prenons l’exemple de la femelle gorille Koko, mondialement connue pour comprendre 2.000 mots anglais et maîtriser 1.000 gestes de la langue des signes américaine. Ainsi, lorsqu’il lui a été demandé de décrire ce qu’elle trouvait dur, elle a répondu « roche » et « travail », jouant ainsi avec le sens des mots. Dans un autre contexte, elle a aussi noué entre eux les lacets de son éducatrice, Penny Patterson, tout en lui demandant de lui courir après. Qui n’y a jamais pensé ? D’autres exemples de blagues de grands singes sont relatés à travers le monde, laissant supposer qu’ils possèdent un sens de l’humour, bien qu’il faille toujours se méfier de l’anthropomorphisme.

Koko, la femelle gorille qui parle, se fait un nouvel ami en la personne de l’acteur états-unien Robin Williams. Les deux complices passent un bon moment et rient ensemble. © Jan Turner, YouTube

Désormais, les suspicions se portent sur un animal bien plus éloigné de nous : le rat. Ces rongeurs comptent parmi les espèces reconnues pour leur haut niveau d’intelligence. Et depuis plus de dix ans maintenant, on sait qu’ils émettent un son distinctif, de 50 kHz, en cas de situation agréable et de jeu. Est-ce un rire ? Certains le pensent.

Les 50 kHz du rire du rat

L’initiateur de cette démarche s’appelle Jaak Panksepp, à l’époque où il travaillait pour l’université d’État de Bowling Green (Ohio, États-Unis). Avec l’un de ses étudiants, Jeffrey Burgdorf, ils ont commencé à chatouiller gentiment leurs rats. Ceux-ci ont apprécié l’expérience et cherchaient toujours le contact de la main dès qu’elle rentrait dans leur cage. Lors des caresses ventrales, ils poussaient leur petit cri particulier. À n’en pas douter une manifestation de leur plaisir.

Des expériences ultérieures ont confirmé ces tests préliminaires. Ainsi, lorsque les rongeurs disposent du choix entre un levier qui induit l’émission de ce son caractéristique lorsqu’ils appuient dessus ou un second à l’origine d’un autre cri de rat, ils ne se trompent pas et choisissent la fréquence sonore de 50 kHz. Néanmoins, le débat persiste au sein de la communauté scientifique et certains n’y voient que la manifestation d’un plaisir et d’un bien-être, mais pensent que ces éléments ne suffisent pas pour affirmer qu’il s’agit véritablement d’un rire. À la lumière des données actuelles, il est donc trop tôt pour conclure sur le sens de l’humour de ces rongeurs, bien que les éthologues ne baissent pas les bras.

Aujourd’hui, Jeffrey Burgdorf continue de travailler sur les rats, comme le révèle le magazine Slate. Cette fois, il ne cherche plus à les faire rire, mais tente de trouver la recette du bonheur afin de la mettre dans une pilule. Il essaye d’élaborer un antidépresseur et traque l’émission du fameux son de 50 kHz pour synthétiser une molécule du bien-être. Son objectif : faire des rongeurs un modèle adapté pour tester les traitements contre les troubles de l’humeur. Les rats, qui jouissent d’une si mauvaise réputation, pourraient nous aider à faire de notre planète un meilleur lieu de vie

http://www.futura-sciences.com/

Le mercure perturbe la reproduction d’oiseaux migrateurs en Antarctique


Une autre conséquence de la pollution faite par l’homme qui contamine directement des oiseaux migrateurs qui peuvent causer de grands tord a la reproduction
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Le mercure perturbe la reproduction d’oiseaux migrateurs en Antarctique

 

Les scientifiques souhaitent que des études similaires soient... (Photo TOM RUETHAI/Shutterstock.com)

Les scientifiques souhaitent que des études similaires soient lancées pour mesurer sur les oiseaux de l’Antarctique les effets d’autres polluants.

PHOTO TOM RUETHAI/SHUTTERSTOCK.COM

Agence France-Presse
PARIS

Le mercure, dont la présence dans les océans est renforcée par la pollution, s’accumule dans le sang des skuas, des oiseaux migrateurs vivant en Antarctique, et perturbe leur reproduction, ont constaté des chercheurs.

Les auteurs de l’étude, parue mercredi dans la revue Ecology, affirment que les animaux qui ont les taux de mercure les plus élevés dans le sang ont «moins de chances de se reproduire avec succès et en particulier d’élever leurs poussins».

Sur la base de ces résultats, les scientifiques du Centre d’études biologiques du Chizé et d’un laboratoire CNRS/Université de La Rochelle estiment que «les polluants qui s’accumulent au niveau des pôles peuvent bel et bien mener à un déclin des populations d’oiseaux».

Une partie du mercure issu des activités industrielles et domestiques (combustion d’hydrocarbures et de charbon) est balayé par les vents vers l’Arctique et l’Antarctique, explique l’étude.

Ce mercure d’origine anthropique s’ajoute à celui d’origine naturelle et se retrouve dans la chaîne alimentaire des skuas, qui se nourrissent d’oeufs et de poussins de manchots et de poissons.

Du coup, les skuas ont, dans le sang, des concentrations élevées de mercure, un perturbateur endocrinien capable d’inhiber la production d’hormones nécessaires à la reproduction, écrivent les chercheurs.

L’expérience menée sur dix ans avec des oiseaux bagués a été conduite en Terre Adélie et aux îles Kerguelen.

Les scientifiques souhaitent que des études similaires soient lancées pour mesurer sur les oiseaux de l’Antarctique les effets d’autres polluants, tels que les pesticides et d’autres métaux lourds, ainsi que des molécules nouvelles comme les composés perfluorés.

http://www.lapresse.ca/

L’homme le plus connecté du monde, c’est lui


Je souhaite pour ce gars qu’il n’y a jamais de panne des satellites sinon, il va se sentir complètement perdu. Il s’est mis dans une prison technologique qui serait à mon avis, comme une haute dépendance. Je ne l’envie pas du tout
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L’homme le plus connecté du monde, c’est lui

 

Vidéo : l’homme le plus connecté du monde, c'est lui

Chris Dancy.

Chris Dancy est à la pointe. Cet Américain de 45 ans intrigue depuis quelques jours les médias outre-Atlantique… qui le qualifient d’homme le plus connecté du monde.

En effet, cet habitant de Denver vit en permanence avec 300 à 700 capteurs analysant ses moindres faits et gestes. Un mode de vie qu’il a adopté il y a un peu plus d’un an.

Sa maison et sa voiture ont d’abord été équipées, afin de lui permettre de régler l’éclairage, la température intérieure, le taux d’humidité ou la pression atmosphérique.

Des données que ce geek extrême collecte même en dormant, le matelas de son lit disposant d’un calculateur de fréquence cardiaque. Son chien aussi est équipé, et Chris peut suivre ses mouvements sur un GPS.

«Tout fonctionne bien et je n’ai finalement pas grand-chose à faire au quotidien. Le plus compliqué, c’est de recharger tous ces appareils», a-t-il souligné.

Le quadragénaire veut désormais faire de sa passion un business. Il vient de lancer un site internet pour vanter les bienfaits de sa méthode : en analysant les données récoltées dans le but d’améliorer son mode de vie, il a perdu environ 45 kg.

http://www.directmatin.fr/

Mars: risques pour la santé trop importants pour la NASA


Dans environs, 15 ans, tout ce que nous connaissons aujourd’hui de la technologie aura probablement changer ou évoluer considérablement. Cependant, je doute qu’un voyage sur Mars puisse être possible, du moins de rester vivant jusqu’à l’arrivée
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Mars: risques pour la santé trop importants pour la NASA

 

Mars: risques pour la santé trop importants pour la NASA

La planète Mars. Photo NASA

WASHINGTON – Envoyer des hommes sur Mars les exposerait à des risques pour leur santé allant au-delà des limites aujourd’hui fixées par l’agence spatiale américaine, a estimé mercredi un comité indépendant d’experts médicaux.

«Ce genre de mission exposerait probablement les membres d’équipage à des niveaux de risques connus allant au-delà de ceux autorisés par les critères actuels en matière de santé, ainsi qu’à une série de risques encore mal définis, incertains, voire imprévisibles», souligne le rapport de l’Institute of Medicine (IOM).

Par conséquent, toute mission à long terme ou dans l’espace lointain, à l’horizon des prochaines décennies, nécessitera un certain degré d’examen éthique, ajoute le document.

À l’heure actuelle, les astronautes sont envoyés dans l’espace en orbite terrestre basse, où ils peuvent passer entre trois à six mois à la fois, à bord de la Station spatiale internationale. Mais une expédition vers Mars pourrait prendre jusqu’à 18 mois.

La NASA a assuré vouloir envoyer des personnes sur la Planète rouge d’ici les années 2030 et travaille actuellement à la construction d’un lanceur et d’un engin spatial à cet effet.

Les risques pour la santé de missions courtes dans l’espace peuvent comprendre des nausées, un état de faiblesse généralisé, une vision troublée, tandis que les risques de missions à long terme peuvent aller jusqu’à des cancers radio-induits ou la perte de masse osseuse.

Étant donné ces risques incertains et mal connus, la NASA a demandé à l’IOM de mettre en place un cadre éthique pour guider les décisions à venir dans le domaine des vols spatiaux habités.

Les membres du comité d’experts ont refusé de créer une série de critères de santé à part et spécifiques aux missions vers Mars. À la place, le groupe a conclu que la seule option était d’accorder des exceptions aux critères de santé actuels.

Mais l’IOM a mis en garde sur le fait que la NASA devrait malgré tout, dans tous les cas, déterminer si ce genre d’exceptions restent éthiquement acceptables.

«Toute exception devrait être rare et n’avoir lieu qu’en cas de circonstances particulières», souligne l’IOM, citant par exemple la nécessité que les astronautes puissent décider par eux-mêmes d’y participer ou non, ou le besoin de choisir des missions bénéfiques pour la société en général.

Le comité recommande aussi à la NASA d’assurer une couverture santé à vie pour ses astronautes.

http://fr.canoe.ca/

Réduire le gaspillage pour lutter contre la famine


1,3 milliard de tonnes de nourriture gaspillée par année mondialement. Alors qu’il y a tant a nourrir, c’est des chiffres désastreux. Nous sommes tous responsables de la gestion de nos aliments que nous achetons et que nous jetons, et le gaspillage que nous faisons dans pays industrialisés est facile a résoudre si nous voulions vraiment.
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Réduire le gaspillage pour lutter contre la famine

 

Le gaspillage alimentaire est bien un problème global,... (Photothèque Le Soleil)

Le gaspillage alimentaire est bien un problème global, mais sa nature diffère selon le niveau de développement des pays.

PHOTOTHÈQUE LE SOLEIL

Agence France-Presse
BUCAREST

La FAO, l’organisation de l’Onu pour l’alimentation et l’agriculture, a appelé mercredi à réduire le gaspillage alimentaire, qui coûte 750 milliards de dollars par an, pour lutter contre la famine, lors d’une conférence à Bucarest.

«Réduire le gaspillage et les pertes de nourriture notamment dans les pays les moins développés est l’une des priorités de la FAO», a indiqué l’organisation dans un document diffusé lors de l’ouverture de sa réunion régionale.

Selon l’agence basée à Rome, environ 1,3 milliard de tonnes de nourriture, soit un tiers de la production mondiale, sont gaspillées chaque année.

Limiter ces pertes «est généralement considéré comme une voie prometteuse pour éradiquer la famine» et pourrait améliorer considérablement les conditions de vie dans les pays en voie de développement, où les petits agriculteurs vivent au bord de l’insécurité alimentaire, estime la FAO.

«Si le gaspillage et les pertes alimentaires étaient réduits de moitié, il suffirait d’augmenter de 25% le volume de nourriture nécessaire d’ici 2050 pour nourrir la population mondiale, au lieu des 60% estimés actuellement», souligne-t-on de même source.

«Il s’agit d’un objectif faisable d’un point de vue technique, économique, environnemental et sociétal», estime la FAO.

Le gaspillage alimentaire est bien un problème global, mais sa nature diffère selon le niveau de développement des pays, détaille Stjepan Tanic, un expert de l’organisation.

«Dans les pays développés, le gaspillage est surtout lié aux préférences des consommateurs tandis que dans les pays moins développés il est plutôt dû aux infrastructures et à la technologie inadéquates ainsi qu’à l’éducation insuffisante notamment parmi les agriculteurs», a indiqué M. Tanic à l’AFP.

Selon lui, les mesures pour lutter contre ce phénomène doivent s’adresser à chaque catégorie de pays et peuvent viser une amélioration des capacités de stockage de la nourriture, des investissements accrus dans les infrastructures rurales ou encore des campagnes de sensibilisation des consommateurs concernant l’énorme coût du gaspillage.

«Les États seuls ne peuvent pas résoudre ce problème, c’est pourquoi les ONG aussi doivent oeuvrer pour réduire les pertes alimentaires», a déclaré lors d’une table ronde Friedrich Wacker, un responsable du ministère allemand de l’Agriculture, soulignant le caractère «non éthique» de ce phénomène.

http://www.lapresse.ca/