Dimanche, le 30 mars, nombre de Québécois étaient décourager de voir les cm s’accumuler de cette neige encore une fois. Rien de tentant de se promener dans la sluch. Alors qu’aujourd’hui, gros soleil, température à la hausse et la neige fond, le bonheur total !!! Les entre-saisons sont difficile pour bien des gens, Probablement, plus la transition de l’hiver au printemps
Nuage
Vous n’êtes pas seul à en souffrir
La météo: dur, dur pour le moral
Crédit photo : Agence QMI
Sortir de la maison, apercevoir les terrains couverts de neige et être saisi par le froid: ce genre de situation va certainement affecter notre moral.
Solitude, anxiété et perte d’énergie peuvent parfois faire leur apparition lors de ces changements saisonniers. D’ailleurs, la psychologue Catherine Leblanc le confirme; les conditions météorologiques affectent le moral de ses clients.
(Photo Archives Agence QMI)
Catherine Leblanc précise que les gens en dépression ou avec un problème de santé mentale sont les plus enclins à être affectés par la température.
«Les gens qui vont généralement bien, ça va, mais ceux atteints d’une maladie mentale ressentent le besoin de prendre l’air, voir de la lumière», affirme-t-elle.
(Photo Archives Reuters)
La psychologue explique que cette période de l’année demeure un «entre-deux» saisons.
«En plein hiver, on peut jouer au hockey. Maintenant, le hockey achève et on ne peut pas faire du vélo tout de suite, par exemple, comme activité», souligne-t-elle.
Toutefois, la jeune femme conseille à ses clients de sortir malgré les conditions extérieures.
«Il faut sortir quand même et continuer de profiter de l’hiver», assure Catherine Leblanc.
La luminothérapie serait également une solution. «C’est prouvé, selon des études, que ça apporte énormément de bien, de s’exposer à la lumière, même si c’est juste une heure par jour», affirme-t-elle, convaincue.
Mouvement général
Pour la psychologue, les complaintes de la population sur les réseaux sociaux ou les espaces publics, à propos de la température, contribuent à affecter davantage le moral.
«Il y a un effet de contamination, avec les réseaux sociaux, tout le monde en parle. Il faudrait éviter le sujet le plus possible», conclut-elle.