La vie


Peut-être qu’on aurait voulu vivre une autre vie, mais la seule manière, c’est d’agir pour que les choses puissent évoluer
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La vie

 

 » Pendant des années j’ai attendu que ma vie change, mais maintenant je sais que c’était elle qui attendait que moi je change … « 

Fabio Volo

Un chien sauvé dans un canal en Roumanie exprime sa gratitude à ses sauveurs


Ce sauvetage donne foi en la relation entre l’homme et la bête et démontre que le chien sait être très reconnaissant après avoir frôlé la mort s’il n’avait pas eu de l’aide
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Un chien sauvé dans un canal en Roumanie exprime sa gratitude à ses sauveurs

 

Par Driss (DrissK7)

Les chiens sont décidément des ascenseurs émotionnels hors-normes.

En scène, un chien pris au piège dans les eaux glaciales d’un canal en Roumanie. Un homme décide alors d’aller sauver l’animal en détresse et traverse le canal pour aller à sa rencontre.

En le portant par la nuque, indolore pour l’animal, l’homme parvient à le ramener sur la terre ferme. Conscient d’avoir échappé de peu à une mort certaine, le chien n’en finit plus d’exprimer sa joie à ses sauveurs. Il saute de partout, jappe de bonheur et transmet son bonheur de vivre !

La connexion entre l’homme et la bête est plus visible que jamais dans cette séquence d’héroïsme unique en son genre.

http://www.meltybuzz.fr/

Truc express ► Seconde vie aux pinceaux


Si on achète de bons pinceaux, on paie un certain prix et il serait dommage de les jeter s’ils ont l’air fatigué alors qu’on peut leur donner une nouvelle vie
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Seconde vie aux pinceaux

 

Pour redonner une seconde vie aux pinceaux à peinture qui sont très durs, faites bouillir du vinaigre et trempez-y vos pinceaux pendant quelques heures.

http://www.coupdepouce.com/

Un amour tout sauf déficient


C’est une belle leçon pour ceux qui s’engage vers une vie à deux. Deux jeunes adultes s’aiment au moment présent, et ce, depuis plusieurs années. Ils ont des limites intellectuelles, mais pourtant, ils savent ce qu’est vraiment aimer une autre personne
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Un amour tout sauf déficient

 

Raphaël et Karine ont respectivement 19 et 20... (Photo Alain Roberge, La Presse)

Raphaël et Karine ont respectivement 19 et 20 ans. Les fiancés (parce qu’ils comptent se marier, au plus tard à l’été) sont tous deux atteints de trisomie 21.

PHOTO ALAIN ROBERGE, LA PRESSE

SILVIA GALIPEAU
La Presse

Qui dit trisomie dit généralement risque, anomalie, déficience, bref, handicap. Rien de bien joyeux, on s’entend. On associe rarement la maladie à l’amour, encore moins au mariage. Et pourtant. Dans le cadre de la Semaine québécoise de la déficience intellectuelle (9 au 15 mars dernier), nous avons fait une rencontre surprenante avec deux jeunes amoureux, qui en ont finalement beaucoup à nous apprendre sur la vie et les relations à deux.

Certains se posent mille et une questions. Je l’aime, je ne l’aime pas. Un peu, beaucoup, pas du tout ? Pour la vie ? C’est long, la vie, non ? Avouez que vous vous reconnaissez. Et puis d’autres, non, vraiment pas. Ils aiment, tout simplement. Parce que c’est comme ça.

« Je l’aime parce qu’elle est belle. Super belle. Pis elle fait des buts au soccer! »

« Il est beau. Il est fort. Et je l’aime. C’est tout! »

Raphaël et Karine ont respectivement 19 et 20 ans. Les fiancés (parce qu’ils comptent se marier, au plus tard à l’été) sont tous deux atteints de trisomie 21. Ils sont ensemble depuis plus de cinq ans. Cinq ans, quand on a 20 ans, c’est une éternité. Et pourtant, ils ont l’air de deux tout jeunes amoureux.

Pendant notre entretien, ils se tiennent par la main. Ils ne se font pas prier pour se coller. S’embrasser. Ils se taquinent. La complicité est palpable. Et puis parfois, sans crier gare, ils ont tout à coup l’air d’un vieux couple. Comme quand Karine reprend son amoureux. Ou quand Raphaël l’implore, deux fois plutôt qu’une, de lâcher enfin son téléphone.

« La femme de ma vie »

Mais la plupart du temps, ils se regardent, amoureusement.

« C’est la femme de ma vie. Je l’aime beaucoup. Des fois, elle est un peu tannante, mais pas beaucoup. Comme quand elle veut écouter Marie-Mai. » Les deux amoureux éclatent de rire. « Il est beau, il est fin, on rit ensemble, et on se ressemble. »

« Ils n’ont aucune rancune. Le pardon, c’est leur mode de vie. Ils vivent vraiment le moment présent, explique la mère de Karine, Tania Garofalo. Ils s’aiment. Ils se le disent. C’est une mégaleçon de vie. »

Chantal Aubry, mère de Raphaël, et elle, racontent avec plaisir la rencontre des deux jeunes amoureux. La toute première fois, c’était sur un terrain de soccer. Raphaël, qui aime « les belles femmes », est tout de suite tombé sous le charme de « la belle fille du terrain ». Mais, manque de bol, pas elle. Sans le ménager, elle lui a fait comprendre, du haut de ses 14 ans, qu’elle ne voulait rien savoir. Un an plus tard, les deux ados se retrouvent dans la même école, la même classe. Et cette fois, c’est la bonne.

« Tu veux être ma blonde? » « Ben oui, je vais être ta blonde. » Pas plus compliqué que ça.

Comme tous les ados, ils écoutent de la musique, ils dansent, ils regardent des magazines ensemble. Ils vont au resto, au cinéma. Depuis peu, ils font la cuisine, aussi. Raphaël se vante d’être « pas mal bon ». Ils dorment de temps en temps ensemble, sans plus. Karine prend la pilule, et Raphaël, lui, n’aime pas parler de tout ça.

« On nous parle tout le temps de sexualité à l’école. Moi, je suis pas là. » Chose certaine, ils ne veulent pas d’enfant. « Eux, ce sont encore de grands enfants », glissent leurs mamans…

La grande demande

Puis, l’an dernier, le jour de ses 17 ans, Raphaël a fait la grande demande à sa blonde. « Veux-tu être ma femme? »

« Karine a mis sa main devant sa bouche : «Oh! my God. Oui!» Elle avait les yeux pleins d’eau. Le bonheur, nullement mesurable, était tellement palpable. Une belle leçon de vie », souligne Tania.

Du coup, Raphaël s’est mis à chercher des robes pour sa Karine, qu’il montre fièrement sur son iPad. Les deux amoureux ont aussi commencé à fouiller dans les magazines de décoration, parce qu’ils souhaitent aussi très fort partir ensemble un jour en appartement. Et leurs mères font tout, mais tout, afin de les outiller pour qu’ils y arrivent.

« Moi, je sais faire le lavage toute seule. La bouffe aussi », témoigne Karine. « Moi aussi, des fois, je fais mon lavage », ajoute Raphaël. « Oui, mais.. lui, il plie pas! », le taquine Karine. Chassez le naturel…

LA TRISOMIE EN CHIFFRES

 

> 1 : Maladie génétique la plus commune à la naissance

>125 : Nombre de naissances de trisomiques au Québec chaque année

>10 500 : Nombre de Québécois qui vivent aujourd’hui avec la trisomie 21

>55 : Espérance de vie aujourd’hui, alors qu’elle n’était que de 9 ans en 1930.

D’après une étude danoise réalisée auprès de 2000 personnes vivant avec la trisomie 21 en 2014 : 

>80 % vont à l’école jusqu’à leurs 18 ans

>4 % ont un métier à temps plein

>1,5 % se marient

>0 % divorcent

http://www.lapresse.ca/

Vous n’êtes pas seul à en souffrir La météo: dur, dur pour le moral


Dimanche, le 30 mars, nombre de Québécois étaient décourager de voir les cm s’accumuler de cette neige encore une fois. Rien de tentant de se promener dans la sluch. Alors qu’aujourd’hui, gros soleil, température à la hausse et la neige fond, le bonheur total !!! Les entre-saisons sont difficile pour bien des gens, Probablement, plus la transition de l’hiver au printemps
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Vous n’êtes pas seul à en souffrir

La météo: dur, dur pour le moral

 

La météo: dur, dur pour le moral

Crédit photo : Agence QMI

Sortir de la maison, apercevoir les terrains couverts de neige et être saisi par le froid: ce genre de situation va certainement affecter notre moral.

Solitude, anxiété et perte d’énergie peuvent parfois faire leur apparition lors de ces changements saisonniers. D’ailleurs, la psychologue Catherine Leblanc le confirme; les conditions météorologiques affectent le moral de ses clients.

(Photo Archives Agence QMI)

Catherine Leblanc précise que les gens en dépression ou avec un problème de santé mentale sont les plus enclins à être affectés par la température.

«Les gens qui vont généralement bien, ça va, mais ceux atteints d’une maladie mentale ressentent le besoin de prendre l’air, voir de la lumière», affirme-t-elle.

(Photo Archives Reuters)

La psychologue explique que cette période de l’année demeure un «entre-deux» saisons.

«En plein hiver, on peut jouer au hockey. Maintenant, le hockey achève et on ne peut pas faire du vélo tout de suite, par exemple, comme activité», souligne-t-elle.

Toutefois, la jeune femme conseille à ses clients de sortir malgré les conditions extérieures.

«Il faut sortir quand même et continuer de profiter de l’hiver», assure Catherine Leblanc.

La luminothérapie serait également une solution. «C’est prouvé, selon des études, que ça apporte énormément de bien, de s’exposer à la lumière, même si c’est juste une heure par jour», affirme-t-elle, convaincue.

Mouvement général

Pour la psychologue, les complaintes de la population sur les réseaux sociaux ou les espaces publics, à propos de la température, contribuent à affecter davantage le moral.

«Il y a un effet de contamination, avec les réseaux sociaux, tout le monde en parle. Il faudrait éviter le sujet le plus possible», conclut-elle.

http://tvanouvelles.ca/

Il flambe 31 000$ déposés dans son compte par erreur


Une personne honnête voyant un gros montant d’argent apparaitre sur son compte, aurait eu au moins pu s’informer a la banque, car il devait se douter que c’était une erreur et on ne peut pas dire qu’il a agit par ignorance Cependant, je pense que la banque est malgré tout responsable ..
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Il flambe 31 000$ déposés dans son compte par erreur

Un jeune Américain de 18 ans est maintenant derrière les barreaux parce qu’il a dépensé l’argent qui avait été déposé dans son compte par erreur par une banque, dans la région d’Atlanta.

Steven Fields a vu son compte se garnir d’une somme de 31 000$ en raison de l’erreur d’un commis de banque. Fields a fait plusieurs retraits de guichets automatiques et procédé à divers achats, dont une automobile. Il a aussi dépensé l’argent pour de l’épicerie et dans des restaurants à service rapide, avant que la banque ne s’aperçoive de la méprise.

En fait, l’argent aurait dû être déposé dans le compte d’un client qui portait le même nom que lui, rapporte USA Today.

La banque a essayé de s’entendre avec Fields pour qu’il remette l’argent. Mais comme il ne pouvait pas le faire, la banque a porté plainte pour vol.

Une amie de Fields entend embaucher un avocat pour se défendre des accusations portées contre lui. Selon elle, c’est le commis de la banque qui a fait l’erreur qui devrait rembourser le montant.

http://argent.canoe.ca/

Pour détecter les mensonges, faisons confiance à notre subconscient


Les tricheurs, les menteurs envoient souvent des signaux que notre subconscient capte a l’insu de notre conscient. Probablement, que notre première impression serait plus fiable que l’on pense pour détecter les menteurs
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Pour détecter les mensonges, faisons confiance à notre subconscient

 

 

Détecter le mensonge n’est pas toujours une tâche aisée et nous le faisons mal lorsque nous y réfléchissons. En revanche, notre subconscient nous aide bien mieux à saisir la vérité. © Geralt, www.pixabay.com, DP

Détecter le mensonge n’est pas toujours une tâche aisée et nous le faisons mal lorsque nous y réfléchissons. En revanche, notre subconscient nous aide bien mieux à saisir la vérité. © Geralt, http://www.pixabay.com, DP

Les êtres humains sont plutôt mauvais pour repérer les menteurs. Sauf s’ils font confiance à leurs préjugés, issus de leur subconscient, qui permettent d’avoir une opinion rapide sur la fiabilité des personnes. Une position souvent plus pertinente que lorsqu’on écoute notre partie consciente.

Menteurs et tricheurs invétérés sont plutôt indésirables dans nos sociétés humaines. Pourtant, malgré des millénaires de pratiques du langage, l’évolution ne nous permet pas de déceler les individus malhonnêtes à la seule écoute de leur discours. De nombreuses études tombent sur des résultats concordants : on se trompe en moyenne une fois sur deux, avec un taux de réussite de 54 %. Autant jouer à pile ou face.

Pourtant, d’autres recherches en médecine forensique, en neurologie ou en primatologie suggèrent que les contrevérités se repèrent mieux dans des processus mentaux moins conscients. Pourquoi ? L’acte de mentir s’accompagne souvent de comportements particuliers, comme le regard fuyant face à son interlocuteur que nos sens percevraient et que notre cerveau intégrerait.

Leanne ten Brinke, psychologue à l’université de Californie, Berkeley, et ses collègues ont mis au point un protocole pour confirmer les travaux précédents, considérant que l’observation d’un humain en plein mensonge activerait des concepts cognitifs associés avec la déception. Leurs conclusions, publiées dans Psychological Science, sont concordantes avec leurs suppositions.

Usual Suspects : des préjugés détectent les menteurs

Dans un premier temps, des étudiants étaient invités à pénétrer seuls dans une pièce dans laquelle se trouvaient 100 dollars sur une étagère. Ils avaient deux options : voler l’argent ou ne pas y toucher. Par la suite, ils subissaient un interrogatoire filmé : tous devaient affirmer qu’ils étaient innocents. Dans le lot donc, des menteurs et des personnes sincères.

Si tous les menteurs avaient le nez de Pinocchio, la tâche nous serait simplifiée…
Si tous les menteurs avaient le nez de Pinocchio, la tâche nous serait simplifiée… © Kewl, Flickr, cc by 2.0

Ces vidéos étaient présentées à 72 autres étudiants, qui avaient pour mission de distinguer les innocents des coupables. Une mission seulement moyennement honorée, puisqu’ils n’ont démasqué que 43 % des voleurs et n’ont cru que 48 % des citoyens honnêtes. Des résultats cohérents donc.

Mais l’investigation ne s’arrête pas là. Les participants étaient soumis à un test d’associations implicites, qui prend en compte le temps nécessaire pour classer les gens dans des catégories, à partir des idées reçues de chacun, basées sur des indices sensoriels individuels. Et dans ces cas de figure, les menteurs étaient bien plus souvent associés à des mots comme « mensonger » ou « trompeur ». À l’inverse, les sujets intègres ont été plutôt rangés dans les catégories « honnête » ou « valide ».

Écouter son subconscient quand il parle

Pour les auteurs, cette seconde partie des données s’explique potentiellement par le ressenti du subconscient. Les tricheurs manifestent certains signaux que nous n’interprétons pas toujours consciemment mais que notre cerveau remarque malgré tout et intègre à sa réflexion. Ces à priori, bien que loin d’être systématiquement fiables, permettent de se faire une opinion rapidement sur les gens et ainsi savoir s’ils sont dignes de confiance ou non.

En se plaçant dans une optique évolutive, cette aptitude à juger vite (et mieux) nous permet de limiter les interactions avec des menteurs. Leur compagnie nous met mal à l’aise, ce qui nous pousse à les éviter. Nos premières impressions sont donc parfois les bonnes…

http://www.futura-sciences.com/

Ces médicaments qui peuvent rendre violent


Normalement, quand le pharmacien donne un nouveau médicament, il avertit des effets secondaires et indésirables en plus de donner un feuillet d’information sur le médicament. Il est important de noter tout changement de comportement négatif. Car les médicaments sont faits pour régler un problème de santé mais peuvent aussi provoquer de l’agressivité, la violence, la dépression etc …
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Ces médicaments qui peuvent rendre violent

 

Certains médicaments, parmi les plus consommés, peuvent rendre agressifs, maniaques, impulsifs… parfois même être responsables d’homicides. Voici la liste de ceux qu’il faut prendre avec précautions !

Corticoïdes : ils peuvent rendre maniaque !

Fabriqués à base de corticoïdes, une hormone naturelle, les anti-inflammatoires dits « stéroïdiens » sont les plus puissants. Ils sont prescrits en cas d’asthme, d’allergies, ou d’œdèmes de Quincke par exemple. On ne le sait pas toujours mais ils peuvent avoir de lourdes répercussions psychologiques sur l’organisme :

« J’ai déjà vu des patients devenir maniaque après avoir pris des anti-inflammatoires contenant des corticoïdes. Et pas besoin d’une grosse quantité pour obtenir ce genre d’effets secondaires » prévient ainsi le Dr Vincent Dodin, psychiatre.

Il ajoute qu’ils peuvent aussi entraîner un manque de sommeil poussant le patient à devenir agressif.

Des homicides à cause de l’insuline

Les hypoglycémies provoquées par l’insuline peuvent générer des troubles comportementaux agressifs.

Entre 2004 et 2012, des chercheurs américains* ont enregistré 6 homicides, 90 actes de violences physiques ou verbales […] 47 agitations et 32 irritabilités liées à l’insuline.

« Même si c’est très rare, l’hypoglycémie peut générer de l’irritabilité et de l’impatience », explique le psychiatre Vincent Dodin. « Si une personne est déjà sensible, cela peut augmenter son caractère agressif » met-il en garde.

*Homicide by insulin administration, NCBI

Somnifères : le Stilnox® peut rendre agressif

Et oui ! Les somnifères aident peut-être à s’endormir plus vite mais ils peuvent aussi avoir l’effet inverse sur le système nerveux jusqu’à entraîner des troubles du comportement.

Dépendance : Les patients qui souffrent d’insomnie apprécient très vite les effets des somnifères la nuit. Une fois la boîte prescrite, il est impossible de contrôler leur comportement et certains ne respectent pas les doses prescrites. Du coup, ils ont tendance à prendre un somnifère au moindre trouble. Cela risque de créer une dépendance et des réactions agressives peuvent survenir en cas de manque.

Attention aux benzodiazépines :

« Comme pour les anxiolytiques, les somnifères de la famille des benzodiazépines (Stilnox®, Imovane®) peuvent augmenter l’agressivité du patient » indique le Dr Vincent Dodin, psychiatre.

Lexomil®, Valium® : ils augmentent l’impulsivité

Bromazépam (Lexomil®), Diazépam (Valium®)… Les anxiolytiques sont destinés à calmer les nerfs et réduire les anxiétés et les peurs. Contrairement aux antidépresseurs, leur effet est immédiat. Le problème c’est qu’ils agissent sur le système nerveux et peuvent entraîner des troubles du comportement agressif.

Irritabilité :

« Chez certains patients les anxiolytiques ont l’effet inverse de celui souhaité. On constate une augmentation de l’irritabilité et de l’excitabilité. Dans ce cas-là, il faut arrêter le traitement » explique Vincent Dodin, psychiatre.

Impatience : Des études menées sur les benzodiazépines (famille de tranquilisants) ont montré que des souris pouvaient être intolérantes à la frustration et manifester une augmentation de l’impulsivité.

Dépendance :

« Chez les personnes qui prennent des anxiolytiques depuis longtemps il y a un risque dedépendance pouvant provoquer de  l’agressivité dès qu’il y a un manque. »

En général, le traitement ne doit pas dépasser 10 jours après on réduit la dose pour éviter ce genre d’effets secondaires.

Dépression : le Prozac® peut rendre violent

La France est un des pays les plus consommateurs d’antidépresseurs. En 2001, la consommation moyenne s’élevait à 56 cachets pour 1000 habitants par jour*.

Problème :

« Les personnes qui en prennent depuis longtemps peuvent devenir dépendantes, et violentes dès qu’il y a un sentiment de manque » prévient le Dr Vincent Dodin, psychiatre.

« Ils nécessitent une vigilance particulière pendant les 15 premiers jours du traitement surtout ceux qui contiennent de la sérotonine (Fluoxetine®, Prozac®) » recommande le spécialiste.

*Panorama de la santé, www.OECD.org

Tabac : gare au Champix® !

Arrêter de fumer oui, mais à quel prix ? Au cours d’une étude américaine de pharmacovigilance, des scientifiques ont étudié 1937 cas de violence envers autrui. En tout, l’Agence américaine du médicament (FDA) a rapporté 31 substances utilisées dans le sevrage tabagique, soupçonnées d’en être responsables.

« Il peut y avoir des effets secondaires inattendus liés à la levée des inhibitions. Je pense notamment à la Varénicline (Champix®) » explique le Dr Bernard Pledran, médecin généraliste.

Selon lui « il ne faut pas toujours incriminer les médicaments. C’est au médecin de bien connaître l’état de son patient avant de lui infliger un sevrage brutale ».

Alcool, drogues : les mélanges à éviter

Antidépresseurs, anxiolytiques, somnifères… Lorsque l’on prend des médicaments et particulièrement ceux qui peuvent provoquer des troubles du comportement, il faut respecter certaines règles.

Ne pas boire : Médicaments et alcool forment un cocktail dangereux. Pour certains, les méfaits peuvent apparaître dès le premier verre. Pour d’autres, il en faut plus. Dans tous les cas, les effets secondaires comme les comportements agressifs risquent d’être multipliés.

La drogue :

 « Au-delà de leurs effets néfastes en temps normal, il ne faut pas consommer de drogues ou de produits hallucinogènes lorsqu’on est sous médicament. Cela peut participer à l’apparition de comportements violents » rappelle Vincent Dodin, psychiatre.

Sources

Merci au Professeur Vincent Dodin, Professeur de psychiatrie à la faculté Libre de médecine de Lille.

Comportements violents envers autrui sous l’effet de médicaments, Revue médicale Prescrire de février 2014 Tome 32 N°364

http://www.medisite.fr/

VIDEO – Un chien à deux pattes découvre la mer


Voilà un chien qui donne une grande leçon aux humains. Malgré les obstacles que ce chien a rencontrés, il a su les surmonter et vivre comme n’importe quel chien.
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VIDEO – Un chien à deux pattes découvre la mer

 

CANADA – Un sympathique boxer à deux pattes vivant dans un refuge a découvert la mer pour la première fois ce week-end. Sa course sur le sable montre avec quelle vivacité et quel enthousiasme ce chien amputé se déplace, malgré son handicap.

Quelle joie de vivre ! En allant pour la première fois à la plage ce week-end à Vancouver au Canada, le jeune chien Duncan Lou Who a couru comme un fou dans tous les sens. Rien de plus normal, si ce n’est que ce boxer n’est pas un chien comme les autres : il n’a que… deux pattes.

Il refuse le fauteuil roulant

Pris en charge par un refuge pour animaux, le Panda Paws Rescue, Duncan a été amputé des pattes arrière à cause d’une malformation. Sa force de caractère – il a enduré plusieurs séances de rééducation – lui a valu plusieurs reportages dans les médias.

Duncan Lou Who peut aussi utiliser un fauteuil roulant adapté à son handicap mais qu’il n’aime pas du tout. Il a donc appris à tenir uniquement sur ses deux pattes.

« Il représentera la lumière dans les heures les plus sombres pour beaucoup d’entre nous, avait confié il y a quelques mois la directrice du refuge. Car il est la définition-même de la vie ». 

 

http://www.metronews.fr/