L’action


Il est vrai que si on reste assis, loin de tout le monde, entre 4 murs, il est difficile de trouver le bonheur
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L’action

 

« L’action n’apporte pas toujours le bonheur, sans doute, mais il n’y a pas de bonheur sans action. »

Benjamin Disraeli

Un homme tente l’expérience du bobsleigh Le visage de la peur!


Je me demande si un saut en parachute pour la première fois est moins pire qu’essayer le bobsleigh. Quoiqu’il en soit, je pense que la vitesse de descente doit être vraiment surprenante
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Un homme tente l’expérience du bobsleigh

Le visage de la peur!

 

Le visage de la peur!

Crédit photo : Capture d’écran YouTube

Vous trouvez fous ces athlètes qui se lancent dans une descente d’enfer en bobsleigh aux Jeux olympiques d’hiver à Sotchi?

Incluez cet homme francophone qui a tenté l’expérience dans le lot.

Il est difficile de décrire la peur de l’homme avec des mots, alors nous vous laissons en juger par vous-mêmes.

«Oh! Put***… Oh! Mon dieu c’est parti!» a-t-il dit avant d’être poussé sur la piste.

 

http://tvanouvelles.ca/

Le Saviez-vous ► Le "boycott" vient d’Irlande


Le boycott, aujourd’hui, est une action pour éviter un endroit, ou acheter un produit spécifique pour protester contre des conditions que subissent certaines personnes, ou animales ou encore environnementales. Dans le passé boycotter a eu de très belles victoires
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Le « boycott » vient d’Irlande

 

Le mot « boycott » n’est apparu qu’en 1880, en Irlande. C’est une révolte agraire dans le comté de Mayo, à l’ouest, qui lui donna naissance. Retour sur l’histoire d’un terme aujourd’hui célèbre

Le mot « boycott » est un anthroponyme : un nom commun, qui a comme origine le nom propre d’une personne. Les plus connus sont Watt, Volt, Hertz et Ampère, des unités de mesures portant le nom du scientifique qui les a découvertes.

Pour le « boycott », tout commence en Irlande, au XIXe siècle. Charles Cunningham Boycott (1832-1897), Irlandais et ancien capitaine de l’armée britannique, est alors l’intendant d’un riche propriétaire terrien anglais du comté de Mayo, dans l’ouest du pays. Les fermiers des alentours louent donc des parcelles de terres à Cunningham Boycott. Mais en septembre 1880, les métayers, assommés par les loyers, lui demandent une baisse significative des prix de la terre. Il refuse. Charles Parnell, président de la Ligue Agraire, qui essayait de réformer le système de propriété de la terre, suggère alors que tous les habitants de la localité refusent purement et simplement de faire des affaires avec Cunningham Boycott. Commence ainsi le « boycott » : les ouvriers refusent de travailler pour lui – quitte à sacrifier la récolte – les commerçants locaux arrêtent de lui vendre leurs produits, il avait même du mal à obtenir son courrier !

Et comme personne ne voulait récolter la moisson, il dût embaucher 50 ouvriers du Nord, protégés par 900 militaires britanniques ! Au final, il dépensa plus d’argent pour la protection, que la récolte ne lui en rapporta. Ce qui entraîna la ruine de Charles Cunningham Boycott.

Mais son nom de famille allait devenir un nom commun célèbre, repris dès novembre 1880 par le Times anglais. Il ne tarda pas à se répandre jusqu’en Russie.

Les boycotts qui ont marqué l’Histoire

Le premier boycott de l’Histoire, même s’il ne portait pas encore ce nom, eut lieu en 1830. Aux États-Unis, la National Negro Convention décida de ne plus acheter de produits fabriqués par des esclaves, pour lutter contre ce traitement inhumain.

Mais le boycott le plus célèbre, pour les progrès civiques et sociaux qu’il a permis, reste celui des bus de Montgomery, en Alabama, mené par le révérend Martin Luther King Jr.

En 1955, dans le sud des États-Unis, la ségrégation entre noirs et blancs fait rage. Le 1er décembre de cette année, Rosa Parks, une afro-américaine, refuse de céder sa place dans le bus à un blanc. Elle est arrêtée et très vite, la communauté noire de Montgomery décide de boycotter les bus. Étant les utilisateurs principaux de ces transports en commun, la société publique commence à subir un déficit financier. Et, 20 jours après le début du boycott, la Cour suprême américaine déclare la ségrégation dans les bus anticonstitutionnelle.

Des gouvernements ont aussi boycotté d’autres gouvernements, lors des Jeux Olympiques par exemple. Les États-Unis refusèrent ainsi d’envoyer leurs athlètes aux JO de Moscou en 1980, pour protester contre l’intervention soviétique en Afghanistan.

Le boycott hors la loi

Cette forme de résistance non-violente qui s’apparente à un embargo ou à une grève est à la limite de la légalité.

En France, depuis novembre dernier, il est tout simplement interdit d’appeler au boycott des produits d’un pays. La peine encourue montre le sérieux de la décision : un an d’emprisonnement et 45.000 euros d’amende. Michèle Alliot-Marie, alors garde des Sceaux, a estimé que le boycott n’était qu’une « provocation publique à la discrimination envers une nation« .

L’action collective et citoyenne qu’est le boycott a de beaux jours derrière elle. Devant elle, pas sûr.

http://www.lepetitjournal.com/

Un trou géant engloutit huit voitures de collection (vidéo)


Bah, ce ne sont que des autos qui sont tombées dans ce trou béant de quoi, quand même surprendre. Au moins, il n’a pas eu de victimes comme il y a eu l’an dernier, je crois, aux États-Unis
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Un trou géant engloutit huit voitures de collection (vidéo)

 

Un trou géant au Musée National Corvette, aux États-Unis - © Musée National Corvette

Un trou géant au Musée National Corvette, aux États-Unis

C’est un accident rarissime qui est survenu mercredi dans le hall d’exposition du Musée National Corvette, dans le Kentucky, aux États-Unis. Le sol s’est dérobé dans ce musée de l’automobile, engloutissant huit Corvette de collection. La scène, filmée par une caméra de surveillance, est digne d’un film catastrophe.

Par chance, aucune victime humaine n’est à déplorer. Toutefois, les amoureux de belles voitures seront sûrement attristés par ce spectacle désolant d’un trou béant avalant huit voitures de collection. Et pas des moindres ! Des Corvette datant de 1962 à 2009.

Cet impressionnant effondrement du sol, apparu soudainement vers 5h30 du matin, a provoqué la formation d’un trou d’une dizaine de mètres de large et de profondeur. Les responsables de ce musée situé à Bowling Green, ville où sont construites les Corvette, ont été alertés par le déclenchement de l’alarme. Le « Skydome » qui abritait les voitures de collection a été rapidement sécurisé par les pompiers. Les huit Corvette emportées dans le trou ont été difficilement remontées à la surface.

Ce type de phénomène, appelé « sinkhole » aux États-Unis et « doline » en français, peut se produire à n’importe quel endroit. Il s’agit de cratères qui se créent par effondrement du sous-sol.

Le trou géant filmé par la caméra de surveillance du musée :

 

Le trou filmé par une caméra embarquée sur un drone miniature :

 

http://www.ladepeche.fr/

D’où vient la peur du dentiste ?


Avec les changements apportés en dentisteries, peut-être que les générations suivantes n’auront pas aussi peur des dentistes. En tout cas, non pas que cela fasse mal, enfin moins pire qu’avant, mais plusieurs comme moi vont chez le dentiste de reculons.
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D’où vient la peur du dentiste ?

 

Une étude japonaise explique les origines de la peur du dentiste. Contrairement à ce que l’on pense, ce n’est pas la douleur qui nous effraie le plus.

Ceux qui ont peur du dentiste réagissent cérébralement plus au son de la fraise que ceux qui ne le sont pas. Voilà la découverte du dentiste japonais Hirokuyi Karibe au cours d’une étude menée sur 21 volontaires âgés de 13 à 19 ans. Dans un premier temps, il a demandé à ces sujets ce qu’ils ressentaient lors d’un rendez-vous chez le dentiste pour évaluer leur niveau de peur sur une échelle de 1 à 5. Hirokuyi Karibe a ensuite rassemblé les plus effrayés d’un côté et ceux qui ne le sont pas de l’autre.

Le dentiste, synonyme de mauvais souvenirs ?

Les volontaires ont ensuite subi un scanner permettant d’étudier la réaction de leur cerveau soumis aux différents bruits perçus dans le cabinet dentaire.

Résultat ?

Chez les personnes qui n’ont pas peur, c’est la partie du cerveau liée aux aires auditives primaires qui a réagi. Ils entendent le bruit mais ça ne va pas plus loin.

Chez ceux qui ont peur, c’est le noyau caudé du cerveau, responsable de l’apprentissage et des souvenirs qui a été fortement stimulé.

Conclusion : les bruits leur rappellent leurs anciennes visites chez le dentiste comme de mauvais souvenirs. Or, selon le scientifique, plus on a peur plus on ressent la douleur. La séance devient donc une vraie torture et laisse des traces !

Bénédicte Demmer, rédactrice santé

http://www.medisite.fr/

Une autre girafe menacée d’euthanasie pour sa génétique « trop ordinaire »


Une deuxième girafe au nom de Marius au Danemark, cela ne vous rappelle pas quelque chose ? Comment peut-on s’occuper d’animaux s’il ne rentre pas dans la politique de zoo (qui devrait à mon avis être fermé à vie) ? C’est injuste que pour le plaisir de l’homme s’est animaux soit dans des zoos et non dans un environnement adapté et soit à la merci des bons vouloirs des propriétaires. Le plus insultant c’est que l’association de la défense des animaux la-bas endosse la décision
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Une autre girafe menacée d’euthanasie pour sa génétique « trop ordinaire »

 

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Un zoo du Danemark pourrait devoir euthanasier une deuxième girafe en bonne santé parce que son patrimoine génétique n’est pas suffisamment intéressant.

Cette éventualité pour le moins inusitée serait en fait motivée par des impératifs de préservation de l’espèce.

Le zoo Jyllands Park, à Videbaek, a fait l’acquisition en avril dernier d’une girafe mâle pur-sang dans le cadre du programme pour les espèces protégées de l’Association européenne des zoos et aquariums (EAZA).

Cet animal haut placé d’un point de vue génétique est considéré comme un candidat idéal pour la reproduction de l’espèce.

Or, avant la venue de cette girafe de haut rang, le zoo possédait déjà une girafe mâle âgée de sept ans, prénommée Marius.

Marius n’étant pas le candidat idéal pour la reproduction, les autorités du zoo de Jyllands Park ne peuvent le laisser vivre avec l’autre mâle lorsqu’une femelle sera acquise par le zoo.

« On ne va pas pouvoir le garder si on obtient une femelle, parce qu’on aurait deux mâles qui se battraient », a expliqué à l’Agence France-Presse Janni Løjtved Poulsen, gardienne du zoo.

Marius, dont les gènes ne sont pas suffisamment originaux, devra, le cas échéant, trouver un autre zoo ou être euthanasié.

Une deuxième girafe 

Il s’agit de la deuxième girafe à être menacée d’euthanasie en une semaine au Danemark. Dimanche dernier, l’euthanasie d’un girafon pour des raisons génétiques, au zoo de Copenhague, a soulevé un tollé chez les défenseurs des animaux.

Ce zoo avait expliqué qu’il ne pouvait pas laisser la jeune girafe, qui portait aussi le nom de Marius, devenir adulte en raison des risques de consanguinité.

Des employés du zoo et le directeur scientifique de l’établissement avaient même reçu des menaces de mort.

Fait intéressant, la plus grande association de défense des animaux danoise, Dyrens Beskyttelse, a estimé normal qu’une sélection génétique rigoureuse soit faite lors de la reproduction des girafes pour préserver l’espèce.

http://ici.radio-canada.ca/

Snuffles, le chien à deux nez qui émeut le web


Je trouve aberrant qu’un chien a été adopté plusieurs fois pour être abandonnée par la suite juste parce que le chien a un museau un peu différent des autres chiens. Il y a des gens qui devraient revoir leur valeur sur l’esthétique
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Snuffles, le chien à deux nez qui émeut le web

 

Par Sophie Le Roux

Crédits photo : Youtube – World News

Snuffles, c’est le nom d’un toutou pas tout à fait comme les autres. Ce Berger Belge a en effet deux nez, et s’il semble avoir enfin trouvé le bonheur, cette particularité lui a d’abord causé bien des malheurs.

Snuffles a en effet été adopté à 4 reprises, mais à chaque fois, il a été abandonné par ses propriétaires, qui ne supportaient plus la vue de sa difformité.

« Je n’avais jamais vu ça en 20 ans de carrière »

« Au lieu d’avoir des narines connectés, il y a une espèce de fissure. Il s’agit d’un défaut dans le palais qui permet à ses narines de bouger de manière complètement indépendante l’une de l’autre. Je n’avais jamais vu ça en 20 ans de carrière » explique au Daily Mail Pamela, qui travaille pour le refuge qui a recueilli Snuffles, le Dog’s Trsut Rehoming Centre, situé à Glasgow en Ecosse.

Une vidéo racontant l’histoire du chien a été publiée sur youtube, et visionnée par des dizaines de milliers de personnes. Et soudainement, l’animal dont personne ne voulait a été convoité par nombre de familles !

Enfin heureux ?

Bien sûr, le refuge a pris son temps pour choisir les futurs maîtres de Snuffles. Hors de question qu’il soit une nouvelle fois abandonné. Un véritable casting a alors été organisé.

« Nous avons voulu choisir le meilleur maître pour lui. Celui qui a finalement été retenu a emmené Snuffles en promenade et ils se sont entendus à merveille ! » se réjouit Pamela.

 

http://wamiz.com/

Un nouveau gisement de fossiles au parc national Kootenay : une découverte majeure


Il y en a qui ont un super de bel emploi. Découvrir des fossiles pour mieux comprendre l’Histoire de l’Humanité sur notre Terre. Cette évolution qui nous a amenées ce que nous connaissons aujourd’hui
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Un nouveau gisement de fossiles au parc national Kootenay : une découverte majeure

 

Une cinquantaine d'espèces ont été découvertes dans un gisement fossilifère dans le parc Kootenay en Colombie-Britannique.

Une cinquantaine d’espèces ont été découvertes dans un gisement fossilifère dans le parc Kootenay en Colombie-Britannique. Photo :  Robert Gaines/Collège Pomona

Des scientifiques affirment que la localisation récente d’un gisement fossilifère en Colombie-Britannique, à environ deux heures de route de la capitale albertaine, apporte déjà de nouvelles découvertes à propos de l’évolution animalière primitive. 

Cet important gisement de fossiles a été mis au jour dans le canyon Marble du parc national Kootenay, en Colombie-Britannique, à l’été 2012. Le lieu exact de la découverte ne sera pas dévoilé afin de préserver les fossiles, mais Parcs Canada n’exclut pas la possibilité que le site puisse être visité dans l’avenir.

Parmi les fossiles découverts, on trouve de nombreuses espèces animales, dont le ver polychète.

Parmi les fossiles découverts, on trouve de nombreuses espèces animales, dont le ver polychète. Photo :  Jean-Bernard Caron/Musée royal de l’Ontario

Une équipe de chercheurs canadiens, américains et suédois sont à l’origine de cette découverte, qui a fait l’objet d’une publication dans la revue Nature Communications mardi. Il pourrait s’agir de la plus grande découverte d’animaux fossilisés depuis des décennies.

« On a passé juste deux semaines là-bas et on a trouvé plus de 50 espèces, notamment au moins 12 qui sont nouvelles, donc quand on va retourner cet été, on va essayer d’avoir une équipe plus importante et de trouver de nouvelles espèces et de nouveaux sites en faisant plus de prospection », explique Jean-Bernard Caron, conservateur, Paléontologie des invertébrés, au Département d’histoire naturelle du Musée royal de l’Ontario.

Le site et ses fossiles aideront grandement les chercheurs à mieux comprendre le développement de la vie animale qui a marqué l’explosion cambrienne, la première période de l’ère primaire, et qui a vu l’apparition soudaine d’animaux complexes, un des événements évolutifs les plus importants de l’histoire de la vie sur Terre.

L'équipe de chercheurs qui a découvert le site de fossiles était menée par Jean-Bernard Caron, du Musée royal de l'Ontario.

L’équipe de chercheurs qui a découvert le site de fossiles était menée par Jean-Bernard Caron, du Musée royal de l’Ontario. Photo :  Jean-Bernard Caron/Musée royal de l’Ontario

Le gisement fossilifère se trouve à une quarantaine de kilomètres du site de fossiles des schistes de Burgess, vieux de plus de 500 millions d’années, dans le parc national de Yoho, qui est considéré comme l’un des plus importants sites de fossiles au monde.

Les chercheurs pensent qu’ils pourraient trouver certains fossiles des schistes de Burgess dans le parc national Kootenay, mais ils croient que la taille de leur découverte est éblouissante, selon un géologue du College Ponoma en Californie, Robert Gaines.

Le site original des schistes de Burgess, découvert en 1909, a été désigné site du patrimoine mondial de l’UNESCO en 1980.

http://ici.radio-canada.ca/