Qui suis-je ?


Êtes-vous de ceux qui se cherche ? Pourquoi nous sommes présent a cette époque sur cette Terre.
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Qui suis-je ?

 

« J’ai toujours tenté de trouver une réponse à la fameuse question : qui suis-je ? Et je n’essaie plus. Ce n’est plus une question, c’est une réponse : je suis. »

Paulo Coelho

VIDÉO. Le plus grand chien de Grande-Bretagne s’appelle Freddy et devrait continuer sa croissance


Un chien de cette envergure dans une maison prend toute la place. Je présume aussi qu’avec le temps, le coût certes de nourriture est important, mais aussi des soins de santé qui viendront s’ajouter
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VIDÉO. Le plus grand chien de Grande-Bretagne s’appelle Freddy et devrait continuer sa croissance

 

 

ANIMAUX – Il n’est pas encore le plus grand chien du monde, mais il pourrait le devenir: dites bonjour à Freddy, un dogue allemand appartenant à une famille britannique, médiatisé via une vidéo de Barcroft TV publiée sur YouTube samedi 8 février

 

 

Freddy mesure déjà 223,5 cm de la tête à la queue et 1,01 m au garrot, ce qui en fait le plus grand chien de Grande-Bretagne. Pas très loin du record (homologué par le Guinness Book) du plus grand chien du monde, Zeus, un autre dogue allemand qui mesure 1,12 m au garrot. Mais Freddy pourrait bien dépasser le dieu du tonnerre. Âgé de 18 mois, le « chiot » devrait continuer à grandir, selon Barcroft TV.

Un chien de cette taille est bien sûr un investissement conséquent. Claire Stoneman, la propriétaire du dogue allemand, explique dépenser environ 100 euros en nourriture… par semaine. Voilà ce que ça représente:

http://www.huffingtonpost.fr/

Le Saviez-vous ►La peste noire, un fléau qui court toujours


La peste noire qui avait fait des millions de victimes a été vaincue enfin, qu’il existe encore des personnes qui meurent de la peste noire. Elle n’a pas vraiment disparu, Peut-on revoir l’histoire se répéter ? Pour le moment, cette peste se soigne heureusement …
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La peste noire, un fléau qui court toujours

 

Des bactéries de la peste, Yersinia pestis, noircissent les intestins d’une puce de rat. © Science Source

Johnna Rizzo

L’époque de la peste noire n’est pas révolue. En vingt ans, 5 000 cas ont été recensés.

Bilan officiel : 100 à 200 morts par an.

« Il y a peu de risques d’assister à une flambée, mais la peste se propage dans les communautés de rongeurs », observe Ken Gage, du Centre américain de contrôle et de prévention des maladies, qui la fait encore figurer sur la liste des maladies réémergentes en 2013.

La peste se transmet en cas de morsure par une puce de rat. © National Institute of Allergy and Infectious Diseases

La peste se transmet en cas de morsure par une puce de rat. © National Institute of Allergy and Infectious Diseases

Lorsqu’un rongeur meurt, qu’il soit caché dans le toit en chaume d’une hutte en Ouganda ou sur un terrain de camping du Colorado, ses puces peuvent infecter la population humaine alentour si elles sont porteuses de la maladie.

Les pays d’Afrique de l’Est sont les plus touchés. Mais des cas peuvent se déclarer dans les régions semi-arides, quand humains et rongeurs se côtoient de trop près. Au contraire des pandémies du passé, la peste ne condamne plus à mort : elle se soigne avec des antibiotiques.

La rapidité de la prise en charge médicale reste toutefois essentielle.

 « Si le diagnostic n’est pas posé dans les quatre à cinq jours, précise Ken Gage, le pronostic peut être très défavorable. »

 

http://www.nationalgeographic.fr/

Un réseau de combats de coqs démantelé dans l’État de New York


ON critique beaucoup d’autres pays sur le sort qu’ils font avec des animaux, mais malheureusement, alors notre société dites civilisée n’est guère mieux
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Un réseau de combats de coqs démantèle dans l’État de New York

 

Combat de coq... (Photo d'archives Anupam Nath, AP)

Combat de coq

PHOTO D’ARCHIVES ANUPAM NATH, AP

Associated Press
NEW YORK

Plus de 3000 oiseaux ont été secourus quand un réseau de combats de coqs a été démantelé dans l’État de New York le week-end dernier.

Il s’agirait d’une des plus importantes opérations du genre jamais réalisées aux États-Unis.

L’opération «Angry Birds» a frappé simultanément des emplacements de Queens, Brooklyn et du comté d’Ulster, avec la collaboration de la Société américaine de prévention de la cruauté envers les animaux.

Les spectateurs devaient acquitter des droits d’entrée pour assister, pendant toute la nuit, à des combats organisés dans un sous-sol. De l’alcool était vendu illégalement sur place et les paris placés sur les coqs pouvaient atteindre 10 000 $ US.

Soixante-dix personnes ont été arrêtées dans Queens pendant qu’une cinquantaine d’oiseaux étaient saisis du sous-sol d’une animalerie de Brooklyn. Le propriétaire du commerce a été épinglé et devra répondre de multiples accusations.

Les autorités ont aussi frappé une ferme de 90 acres à Plattekill, où ils ont trouvé quelque 3000 oiseaux. Les propriétaires de la ferme entraînaient apparemment des coqs de combat pour des amateurs provenant notamment du New Jersey, de la Pennsylvanie, du Connecticut et du Massachusetts.

Dans l’État de New York, l’organisation de combats de coqs est passible d’une peine de quatre ans de prison et d’une amende de 25 000 $ US. Les spectacteurs pourraient écoper d’une année de prison et d’une amende de 1000 $ US.

http://www.lapresse.ca/

Une sangsue survit 24 heures à – 196°C, dans de l’azote liquide


C’est étonnant que des simples petites sangsues qui n’ont pratiquement aucune chance de rencontrer des froids aussi intenses peuvent survivre.
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Une sangsue survit 24 heures à – 196°C, dans de l’azote liquide

 

Parue fin janvier dans la revue PLoS ONE, c’est une étude idéale pour un mois d’hiver puisqu’elle évoque la résistance d’un organisme au grand froid. On sait que l’exposition prolongée à des températures négatives provoque le gel de l’eau contenue dans les cellules, ce qui conduit à l’explosion et à la mort de celles-ci.

C’est d’ailleurs pour cette raison que les animaux entrant en hibernation (marmottes, loirs, hérissons, grenouilles, lézards, etc.) voient certes leur température corporelle chuter, mais jamais en dessous de 1 ou 2°C. Ces animaux se débrouillent d’ailleurs pour passer la saison froide dans un habitat relativement protégé, l’hibernaculum, qu’ils ont souvent aménagé eux-mêmes en prévision de leur léthargie à venir et dont la température reste relativement constante pendant l’hiver.

Dans l’étude japonaise publiée par PLoS ONE, on n’est ni dans le programmé, ni dans le progressif. Les auteurs de ce travail ont plutôt fait dans le subit et le violent, en plaçant tout d’abord sept espèces différentes de sangsues dans un congélateur, à – 90°C, pendant 24 heures. Les représentants d’une seule espèce – Ozobranchus jantseanus, une petite sangsue tétant le sang de tortues asiatiques – ont survécu sans problème à ce traitement. On a donc poursuivi l’expérience pour tester leur résistance sur la durée. Trois mois plus tard, toutes les sangsues étaient encore vivantes. Neuf mois après le début de l’expérience, idem. Ce n’est qu’au bout de quinze mois de congélation que les premières pertes sont apparues. Et quand, trente-deux mois après le début de l’expérience, celle-ci est arrivée à son terme, une sangsue était encore en vie.

Mais les chercheurs japonais n’étaient pas au bout de leurs surprises. Ils ont également plongé cinq de ces animaux dans de l’azote liquide, soit à – 196°C, et ce 24 heures durant. Ceux qui croiraient qu’en-dessous d’un certain seuil, il n’y a plus vraiment de différence dans le grand froid, se trompent. Entre les deux expériences, il y a le même écart qu’entre mettre sa main dans la neige et la tremper dans une casserole d’eau bouillante. Quand les sangsues sont ressorties, cryogénisées, de l’azote liquide, elles n’étaient pas mortes pour autant. Après un passage dans de l’eau à température ambiante, elles ont repris vie. Toutes les cinq.

On pourrait rétorquer que ces sangsues présentent certes des caractéristiques exceptionnelles mais qu’on est loin du record en la matière, détenu par des invertébrés encore plus petits qu’elles, les tardigrades. Véritables trompe-la-mort, ces bestioles font preuve d’une résistance exceptionnelle face à quantité d’environnements hostiles, comme le vide spatial ou une plongée dans l’hélium liquide (-269°C), soit à une poignée de degrés du zéro absolu.

Mais les tardigrades ont un truc : ils ont besoin d’une période de préparation, d’adaptation, au cours de laquelle ils réduisent au maximum la présence d’eau dans leur corps, que ce soit dans les cellules ou entre elles. Au cours de cette phase de déshydratation, ils fabriquent des sucres qui vont en quelque sorte servir d’antigel. Puis, leur métabolisme va quasiment s’arrêter et, ainsi parés, ils résisteront presque à tout. Sans cette période d’acclimatation, ils s’avèrent plus fragiles que les sangsues asiatiques : une expérience a ainsi montré que seulement 22 % des tardigrades subitement plongés dans de l’azote liquide survivaient à un quart d’heure de ce traitement.

Pour les auteurs de l’étude, la performance d’Ozobranchus jantseanus est d’autant plus surprenante que rien ne prédestine cet animal à résister à un froid aussi intense, étant donné que, dans son mode de vie, il n’est que rarement exposé à des températures négatives. Pour le moment, on ignore par quel mécanisme ces sangsues parviennent à survivre à des chocs de température aussi violents. Aucune trace du procédé employé par les tardigrades ne se retrouve chez elles. Dans leurs conclusions, les chercheurs soulignent que résoudre l’énigme pourrait permettre le développement de nouvelles méthodes de préservation par le froid voire la résurrection d’organismes congelés, qu’ils soient découverts dans le pergélisol, en Antarctique… ou lors de l’exploration d’autres planètes !

Pierre Barthélémy

http://passeurdesciences.blog.lemonde.fr/

Vers un Québec au climat transformé


Si nous avons un tantinet sens d’observation tout au long des saisons, on voit bien les changements climatiques aux fils des ans. En observant l’environnement, on voit des espèces qui certains sont moins visibles alors que d’autres sont des nouveaux venus que ce soit de faune ou la flore. Nous assistons donc a ce changement qui se déroulent sous nos yeux, lentement certes, mais sûrement
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Vers un Québec au climat transformé

 

Le grand porte-queue, le plus grand papillon d'Amérique... (PHOTO FOURNIE PAR CHRISTER JOHANSSON)

Le grand porte-queue, le plus grand papillon d’Amérique du Nord, fait partie des espèces arrivées au Québec depuis peu.

PHOTO FOURNIE PAR CHRISTER JOHANSSON

CHARLES CÔTÉ
La Presse

La nature québécoise va se transformer pratiquement sous nos yeux au cours des prochaines décennies. Au gré des changements climatiques, de nouvelles espèces vont trouver ici des conditions favorables à leur épanouissement. En revanche, d’autres qui nous sont familières vont reculer devant le nouveau climat.

C’est ce qui ressort d’une recherche d’une ampleur sans précédent réalisée au cours des huit dernières années par une équipe dirigée par le professeur Dominique Berteaux, de l’Université du Québec à Rimouski.

«On a obtenu des résultats spectaculaires, affirme en entrevue M. Berteaux. Les remontées vers le nord sont d’une ampleur supérieure à ce qu’on avait prévu. On s’aperçoit qu’on va avoir beaucoup d’espèces qui vont arriver du sud.» 

«Et il y a des espèces très importantes qui vont disparaître du sud du Québec, ajoute-t-il. Par exemple, dans la région de Montréal, le climat ne devrait plus être favorable à l’érable à sucre à la fin du siècle.»

Identifier les niches bioclimatiques

Avant d’arriver à ces conclusions, l’équipe de M. Berteaux a dû cerner les « niches bioclimatiques » de près de 800 espèces de plantes, d’oiseaux et d’amphibiens.

En gros, il s’agit de déterminer quel régime de températures et de précipitations est favorable à une espèce donnée. Les régions où ces conditions sont présentes sont identifiées sur une carte. La carte est confirmée par les observations sur la présence de l’espèce sur le terrain.

Puis, à l’aide de modèles climatiques, on peut prédire où se trouvera à l’avenir la «niche» de chaque espèce.

Le résultat est en effet spectaculaire.

Les conditions naturelles du Québec se transforment complètement à une vitesse proprement stupéfiante.

En moyenne, les niches bioclimatiques vont se déplacer de 44 km par décennie. Ce qui est très rapide.

«À la fin de la dernière glaciation, les arbres ont remonté vers le nord au rythme d’environ 50 km, voire 100 km par siècle, soit 5 à 10 fois moins vite que la vitesse actuelle de déplacement de leurs niches climatiques», précise M. Berteaux.

Selon Jay Malcom, de la faculté de foresterie de l’Université de Toronto, la recherche de M. Berteaux confirme celle qu’il a réalisée à une moindre échelle sur les arbres en Ontario.

«C’est extraordinairement rapide, dit-il. Nous avions modélisé 35 km par décennie, alors c’est du même ordre.»

Mais il affirme qu’il ne faut pas s’attendre à ce que les écosystèmes entiers se déplacent à cette vitesse.

«Du côté des plantes, seules les pires mauvaises herbes vont être capables de suivre le rythme de déplacement, dit-il. Les arbres ne bougeront pas, à moins qu’on ne les aide!»

Des limites aux déplacements

Des changements aussi rapides font en effet craindre le pire pour les espèces qui n’ont pas la capacité de se déplacer rapidement.

De plus, d’autres facteurs que la température et les précipitations peuvent limiter le déplacement des espèces, explique M. Berteaux.

«Il y a la nature des sols, il y a des espèces qui ont besoin de tel ou tel type de proie. Ou encore, des parasites vont empêcher leur implantation.»

«Il y a aussi des espèces qui vont venir qu’on préférerait ne pas voir ici, note-t-il. Des parasites. Des vecteurs de maladies.»

Le phénomène est déjà observable. Il y a des nouveaux venus sur le territoire québécois.

«On sait que certaines espèces sont bien capables de suivre. On a vu l’exemple récent du grand porte-queue, le plus grand papillon d’Amérique du Nord, qui est arrivé au Québec.»

Les conclusions de la recherche ont des implications profondes pour les politiques de conservation, notamment la création d’aires protégées.

«On ne peut plus raisonner comme si la nature sera stable au cours des prochaines décennies ou des prochains siècles», dit M. Berteaux.

Une portée transfrontalière

L’enjeu a aussi une portée transfrontalière: «Les zones protégées du Québec vont devenir un refuge pour la biodiversité de l’est de l’Amérique du Nord», dit M. Berteaux.

Dans ce contexte, des éléments du paysage naturel vont devenir cruciaux. Par exemple, les montagnes vont jouer un rôle important dans l’adaptation des espèces, car on y retrouve une variété de climats sur une petite superficie.

Cet élément pourrait influencer les dossiers comme celui du mont Kaaikop, une montagne des Laurentides visée par des coupes forestières. La municipalité de Sainte-Lucie veut en faire une aire protégée.

Il faudra aussi s’assurer que des corridors naturels permettront la migration vers le nord. Ces corridors aideront les espèces à traverser les zones urbanisées ou d’agriculture intensive. Voilà un élément dont il faudra tenir compte dans la conservation autour de Montréal, la région la plus importante au Québec pour la biodiversité.

Mais même dans ce cas, il pourrait y avoir des conséquences négatives. Les corridors peuvent aussi bien servir à des espèces indésirables qu’à celles qu’on cherche à aider, explique M. Berteaux.

«Le changement climatique va bousculer nos habitudes, nos façons de réfléchir, conclut le chercheur. On n’a pas toutes les réponses, mais la réflexion est déjà en marche.»

Niches d’espèces

 

128 en immigration

229 en expansion

383 en déplacement

25 subissant une contraction ou une extirpation

Espèces étudiées

 

38 amphibiens

71 oiseaux

84 arbres

472 plantes

Les espèces en déplacement

 

Mésange bicolore (Baeolophus bicolor)

Actuellement aux portes du Québec, elle pourrait coloniser plusieurs régions, jusqu’au Témiscamingue et la Haute-Mauricie.

Troglodyte de Caroline (Carolina Wren, Thryothorus ludovicianus)

Actuellement, on n’en trouve pas au Canada, sauf dans la région de Windsor. Il pourrait s’installer dans tout le sud du Québec, du Témiscamingue à Québec.

Viréo aux yeux blancs (White-eyed Vireo, vireo griseus)

Actuellement, on ne le trouve pas au nord du New Jersey. Il pourrait s’installer dans les vallées du Saint-Laurent et l’Outaouais.

Mésange à tête noire (Poecile atricapillus)

On pourrait la voir sur les rives de la Baie-James, à 400 km au nord de sa limite actuelle.

Chouette rayée (Strix varia)

Actuellement confinée au sud du Québec, elle atteint la baie James et le Labrador

Oxalide de montagne (Oxalis montana)

Cette petite fleur très répandue dans la vallée du Saint-Laurent devra trouver le moyen de coloniser le Grand Nord. Elle sera pratiquement extirpée du sud du Québec et du nord-est des États-Unis.

If du Canada (Taxus canadensis)

Cet arbuste actuellement très répandu dans nos forêts pourrait être extirpé de la vallée du Saint-Laurent et du nord-est des États-Unis, mais les conditions favorables à se croissance atteindraient la Baie-James.

Chêne blanc (Quercus alba)

Confiné à la région de Montréal et dans le parc de la Gatineau, il s’étendrait en Estrie, au Témiscamingue et en Mauricie.

Grenouille verte (Lithobates clamitans)

Présente actuellement de Floride jusqu’au Témiscamingue, cet amphibien pourrait atteindre la baie James.

Bouleau glanduleux (betula gladulosa)

Cet arbre nordique disparaît de la zone d’étude. On présume qu’il s’installera encore plus au nord.

Un livre et un site web

 

Fait inusité: la recherche de M. Berteaux et son équipe, réalisée conjointement avec le consortium Ouranos, est publiée sous la forme d’un livre (Changements climatiques et biodiversité du Québec. Vers un nouveau patrimoine naturel, PUQ) et d’un site web.

Les différents éléments qui composent ce vaste travail seront ensuite publiés dans les revues scientifiques. Néanmoins, chaque chapitre du livre a été révisé par des experts externes. Le projet a démarré en 2006 et a été doté d’un budget de 500 000 $, sans compter les salaires des chercheurs et les bourses des étudiants. Des dizaines de milliers de simulations climatiques ont été réalisées et compilées.

«Après trois ou quatre ans, on avait pas mal tous nos résultats, dit M. Berteaux. Et on a commencé à travailler sur des articles scientifiques. Mais on avait dès le départ la volonté que ce projet donne lieu à rapport pratique, et on s’est dit: allons encore plus loin et publions un livre.»

http://www.lapresse.ca/